AU PARFUM- Partie 4
Récit érotique écrit par Mib14 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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AU PARFUM- Partie 4
AU PARFUM – PARTIE 4Mariana continuait à se faire une place dans le monde saphique de Lyon. Sa rencontre plus que cordiale avec Madame de Girardin et Madame Armand, sans compter sa mini-orgie avec quelques dames de société, son « affrontement » sexuel avec Bernadette, sa proximité avec Louise, tout ça petit à petit la plaçait sinon au cœur, au moins en bonne position dans ce cercle fermé et bien gardé de lesbiennes jeunes et matures.
Il ne faut pas oublier non plus que Mariana était employée à temps partiel, pour le moment, à la boutique principale de parfumerie de Lyon. Ce chapitre sera donc consacré à la vie quotidienne d’une vendeuse dans une parfumerie à la mode.
D’abord il faut savoir que la boutique vendait les parfums les plus connus et les plus chers qu’on pouvait trouver. Il y avait six vendeuses sur le plancher du rez-de-chaussée en tout temps. Chacune avait son assortiment de parfums. Sauf dans certains cas, il était interdit pour une vendeuse de vendre des produits qui appartenaient à une autre vendeuse. Mariana avait les produits les moins chers car elle avait moins d’expérience que les autres. En revanche, comme elle était la plus jeune et la plus belle des vendeuses, plusieurs clientes préféraient l’aborder et même acheter un parfum qu’elle ne porterait pas seulement pour avoir un contact avec l’Italienne.
Pour développer une bonne relation avec ses collègues, Mariana envoyait toujours ses clientes vers les autres vendeuses quand elle n’avait pas ce que ces dames voulaient. Il y avait deux salles de toilette au rez-de-chaussée : une pour les employées et l’autre pour les clientes. Ça ne surprendra personne si je vous dis que la plupart des contacts intimes se faisaient dans ces deux salles.
Dès les premiers jours, Mariana comprit qu’elle devait être soumise d’abord à la patronne des vendeuses et qu’elle devait se prêter aux attouchements de Rosa, avant de s’aventurer avec les autres collègues. Rosa était bien ronde et pas très grande mais elle avait des nichons remarquables de stabilité pour son âge, et une paire de fesses qu’elle laissait libres de s’échapper de son string et de se promener sous sa jupe plissée. Bref Rosa n’était ni un défi ni une torture et Mariana lui fit sa révérence en arrivant. Les autres vendeuses savaient qu’il fallait laisser Rosa avoir son plaisir avec l’Italienne avant d’essayer quelque chose elles-mêmes.
Ça se passa un vendredi à la fin de la journée, avant l’arrivée des vendeuses de la soirée (le seul soir ouvert) et après le départ des vendeuses de jour. La boutique fermait pour environ 15 minutes vers 18h pour permettre le va-et-vient sans clientèle. Après le départ des vendeuses, Mariana suivit Rosa à la salle de toilette pour les employées. Sur le trottoir on entendait les rires des vendeuses qui terminaient leur journée et qui rencontraient celles qui venaient travailler. Tout le monde savait ce qui allait se passer dans une cabine des toilettes.
La porte de la cabine se ferma derrière Mariana qui la verrouilla. Rosa déboutonna son chemisier et enleva son soutien-gorge. Mariana ne s’attendait pas à une session « intégrale ». Les deux femmes enlevèrent leurs souliers avant de laisser tomber leur jupe au plancher. On gardait le string. Mariana avait reçu quelques conseils des autres femmes du plancher. Rosa avait des habitudes qui changeaient avec les vendeuses et avec le temps. Rosa plaqua Mariana sur le mur de la partition et la garda là quelques minutes en se frottant ses gros nichons sur ceux de sa compagne de plaisir. Puis elle glissa le string de Mariana qui tomba autour des chevilles. Mariana se faisait sucer par une femme d’expérience. Elle retenait ses gémissements et ravala son cri aigu lors de son plaisir. Puis ce fut à son tour de sucer Rosa qui était bien poilue mais avait une crinière qui sentait bon. Le clito de la patronne était court mais large et se glissa bien entre les lèvres de l’Italienne. Rosa avait certainement rêvé à ce moment-là toute la journée. Elle gloussa et atteignit Mariana au visage avec son petit jet de cyprine. Les deux femmes s’embrassèrent à la suggestion de Rosa. Rosa lui demanda si elle voulait lui lécher les fesses. Mariana répondit que ça lui plairait bien. Rosa se pencha en avant pendant que Mariana accroupie lui ouvrit les fesses avec ses mains et laissa sa langue faire le reste. Rosa se masturbait en se faisant lécher le cul. Elle jouit une deuxième fois. Les deux femmes se rhabillèrent et se lavèrent le visage au robinet de la salle de bain. Elles sentaient toutes les deux la moule mouillée mais elles ne travaillaient pas dans une boutique de parfums pour rien et quelques gouttes bien placées les protégèrent pour le trajet à la maison.
Rosa et Mariana avaient échangé leur string. C’était une coutume assez répandue entre lesbiennes. Elles se montaient une petite collection. Rosa demeurait avec sa mère âgée alors elle ne pouvait recevoir mais elle donna l’adresse d’un petit hôtel en ville qui ne posait pas de questions. Elles entendaient se voir de temps en temps pour découvrir et faire découvrir à l’autre de petits plaisirs qu’elles ne pouvaient se donner dans une cabine de toilette.
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------Les invitations à se faire de petites cochonneries ne venaient pas seulement des collègues. Certaines clientes n’hésitaient pas à amener une vendeuse au WC public pour se peloter ou lui laissait son numéro de téléphone pour une rencontre plus poussée. Ce qui m’amène à parler d’une autre erreur commune : les femmes mûres préfèrent toujours les plus jeunes.
Un des vendeuses, qui se prénommait Julie mais qu’on appelait toujours Madame Julie, était une des plus âgées du groupe et approchait 65 ans. Elle avait beaucoup d’expérience dans les parfums mais aussi dans le domaine des femmes. Elle était native de Lyon et avait réussi à constituer un cercle de lesbiennes à une époque où cette pratique était très mal vue. Aucune femme n’aurait avoué être lesbienne même à des intimes. Madame Julie avait maintenu ses relations, dont certaines depuis 30 ans. Ces dames venaient faire leur tour pour voir Madame Julie et l’accompagner au WC public. Mariana qui était très curieuse et qui aimait bien Madame Julie lui demanda un jour si elle pouvait l’accompagner pour voir les ébats entre elle et sa compagne. Elle promit de se limiter à être une spectatrice. Madame Julie lui offrit encore plus.
« Il ne se passe rien de palpitant dans les toilettes mais si tu veux m’accompagner avec une amie dans une chambre d’hôtel, tu pourras non seulement voir mais participer si le cœur t’en dit », avait déclaré Madame Julie.
Mariana avait sauté sur l’occasion car ces dames avaient beaucoup à lui montrer et elles avaient réussi à conserver leurs relations pendant des décennies et ça sous le radar des convenances.
Un dimanche après-midi, Madame Julie, son amie Micheline et Mariana montèrent les escaliers usés d’un petit hôtel qui avait certainement été, dans le temps, un hôtel de passe.
« C’est ici qu’on venait quand on avait 30 ans », dit Micheline, une belle dame bien conservée qui avait presque 70 ans.
Une fois tout le monde à poil, Mariana remarqua avec plaisir que le corps de ces dames étaient bien attirants et que l’âge ne diminuait en rien le désir que ces dames avaient l’une pour l’autre. Micheline et Julie s’installèrent sur le vieux lit en 69 et se sucèrent en ne se préoccupant pas de Mariana qui prit place sur le bord du lit et admira la technique qui n’était jamais devenue une routine. L’orgasme était visible mais pas autant qu’entre des femmes plus jeunes. Elles s’embrassaient souvent. Julie commença à sucer Mariana pendant que Micheline, qui faisait face au pied du lit, glissa lentement son bassin au-dessus de la tête de l’Italienne et ouvrit les cuisses pour se faire lécher. Une fois le petit orgasme atteint par Micheline, Mariana continua de la lécher mais plutôt entre les fesses. Cette fois Micheline cria son plaisir. Les femmes changèrent de position et ce fut au tour de Micheline de sucer Mariana et de Julie de se faire lécher les deux trous. Tout se faisait en douceur.
« Qui est celle qui frotte l’autre ? », demanda Mariana« Au début c’était moi parce que j’étais la plus âgée des deux », dit Micheline« Puis petit à petit, je pris l’initiative et même pendant un temps, on s’était rasé la motte », dit Julie en riant.
Les deux femmes se mirent en position, avec Julie sur le dessus, et entamèrent un frottage de moules accompagné d’une litanie de mots cochons qui fit bien rire Mariana. Elles jouirent presqu’ensemble puis s’embrassèrent pendant plusieurs minutes.
L’âge n’avait pas changé leur amour des jeux d’eaux et elles furent bien contentes de partager une bonne pisse avec la belle Mariana.
------------------------------------------------------------------------------------------------------------ Plusieurs clientes avaient découvert un petit truc que leur avaient probablement souffler les vendeuses. La boutique était fermée entre midi et 14h pour le déjeuner, comme la plupart des boutiques en ville.
Comme par hasard, la clientèle semblait se donner le mot pour arriver quelques minutes avant la fermeture. On ne pouvait pas les mettre à la porte alors les femmes restaient une dizaine de minutes avec les vendeuses en toute tranquillité pendant la fermeture. Ce stratagème était toléré par la direction mais on limitait quand même les « démones du midi » à cinq. Une fois la porte verrouillée, il n’y avait plus de gêne ni faire-semblant. Les cinq couples se formaient et se dirigeaient vers la salle de toilette des employées ou celle du public. Comme Mariana ne travaillait pas à tous les jours (elle étudiait quand même à l’université) et que son horaire changeait souvent, son « fan club » tentait de savoir à l’avance quand elle serait là à l’heure du midi. Les femmes sortaient leurs griffes pour l’occasion et les accrochages dans la ruelle adjacente à la boutique étaient fréquents.
Pour éviter les bagarres et les déceptions, Mariana avait mis sur pied un système que ses copines vendeuses adoptèrent elles aussi. C’était simple. Elle gardait un carnet de rendez-vous du midi et le tout se faisait au téléphone comme une rendez-vous chez la coiffeuse. Mariana était là trois jours par semaine alors elle se bécotait avec trois femmes différentes pendant la semaine. Les autres vendeuses avaient le même système et les rendez-vous brefs mais satisfaisants aux toilettes étaient devenus une pratique courante. Certaines boutiques de mode ou de souliers avaient adopté le même système. Même dans les boutiques de mode pour hommes, ces messieurs pouvaient se rencontrer pour une brève sucette du midi.
Ce jour-là, Mariana rencontrait Madame Bourgeois qui était une directrice d’entreprise. Mariana n’en savait pas plus car la femme de 45 ans était peu bavarde mais apparemment très active dans le milieu lesbien de la ville. C’était une très belle femme avec tous les appâts qu’on imaginait et un beau visage. Elle était impeccablement habillée et était tout le portrait d’une femme d’affaires qui avait réussi. Dans le milieu, on la donnait souvent en exemple aux personnes qui disaient que les lesbiennes se ressemblaient toutes et qu’il était facile de les reconnaître. Personne n’aurait penser que Madame Bourgeois était lesbienne. En fait plusieurs savaient qu’elle avait été mariée mais son statut n’était pas très clair.
Madame Bourgeois en profitait pour acheter quelques parfums qu’elle mettait dans son sac avant de suivre Mariana à la salle de toilette des employées. Ce n’était pas la première fois pour ce couple alors Mariana connaissait la routine. Colette Bourgeois enlevait le moins possible de vêtements pour le sexe. Elle accrochait son veston au crochet intérieur de la porte de la cabine puis remontait, en se trémoussant, sa jupe serrée et courte jusqu’à ce que sa toison apparaisse en entier. Mariana descendait le string jusqu’aux souliers où Colette le libérait. Mariana le glissait dans sa poche pour plus tard le mettre dans son sac à main. Mariana soudait sa bouche sur le vagin couvert de poils blonds. Sans qu’elle n’en ait jamais dit mot, Mariana savait que Colette pissait avant d’arriver car l’Italienne se régalait visiblement des gouttes salées qu’elle ramassait dans la pissette de la femme élégante. Mariana savait qu’il fallait se concentrer sur le clito brûlant et hypersensible de Colette. Trois minutes suffisaient habituellement pour lui tirer un orgasme discret mais qu’elle appréciait. Pour le reste, Colette attaquait Mariana en lui glissant la main dans son string et en l’embrassant passionnément. Ce jour-là Colette ne mettait jamais de maquillage. Mariana frottait ses doigts contre le pubis toujours à découvert de la blonde. Les deux femmes se faisaient jouir de la sorte, une seconde fois pour Colette. Colette enfouissait le string de Mariana dans son sac à main et embrassait un peu maladroitement Mariana sur la bouche avant de quitter le cubicule.
Mariana était enviée par toute l’équipe car Colette ne se faisait sucer par personne d’autre que l’Italienne. Ce que les autres ne savaient pas c’était que Marianne avait réussi à approcher Colette comme personne ne l’avait fait auparavant. Elles se parlaient au téléphone certains soirs. Mariana avait appris que Colette était séparée de son mari mais qu’il ne voulait pas le divorce. C’est avec Colette Bourgeois que Mariana commença sa première liaison amoureuse, et elle était tombée sur une femme mariée !
Le premier quart d’heure du midi était donc très occupé mais les femmes quittaient rapidement et les vendeuses avaient hâte de manger mais aussi de se raconter leurs ébats avec leur cliente. La conversation était tout aussi salée que le menu et le vocabulaire très imagé.
Mariana, elle, était dans ses pensées et n’écoutaient pas les conversations autour d’elle. Avant de partir, Colette lui avait proposé un long weekend à Paris. Elle séchait des cours mais ça lui était égal. Ce weekend serait très important pour elle. Elle voulait connaître où elle en était avec Colette. Les deux amoureuses auraient du temps pour se connaître encore davantage. Colette aurait pu choisir une autre femme, mais c’est Mariana qu’elle voulait. Mais il y avait le mari….
A SUIVRE
Il ne faut pas oublier non plus que Mariana était employée à temps partiel, pour le moment, à la boutique principale de parfumerie de Lyon. Ce chapitre sera donc consacré à la vie quotidienne d’une vendeuse dans une parfumerie à la mode.
D’abord il faut savoir que la boutique vendait les parfums les plus connus et les plus chers qu’on pouvait trouver. Il y avait six vendeuses sur le plancher du rez-de-chaussée en tout temps. Chacune avait son assortiment de parfums. Sauf dans certains cas, il était interdit pour une vendeuse de vendre des produits qui appartenaient à une autre vendeuse. Mariana avait les produits les moins chers car elle avait moins d’expérience que les autres. En revanche, comme elle était la plus jeune et la plus belle des vendeuses, plusieurs clientes préféraient l’aborder et même acheter un parfum qu’elle ne porterait pas seulement pour avoir un contact avec l’Italienne.
Pour développer une bonne relation avec ses collègues, Mariana envoyait toujours ses clientes vers les autres vendeuses quand elle n’avait pas ce que ces dames voulaient. Il y avait deux salles de toilette au rez-de-chaussée : une pour les employées et l’autre pour les clientes. Ça ne surprendra personne si je vous dis que la plupart des contacts intimes se faisaient dans ces deux salles.
Dès les premiers jours, Mariana comprit qu’elle devait être soumise d’abord à la patronne des vendeuses et qu’elle devait se prêter aux attouchements de Rosa, avant de s’aventurer avec les autres collègues. Rosa était bien ronde et pas très grande mais elle avait des nichons remarquables de stabilité pour son âge, et une paire de fesses qu’elle laissait libres de s’échapper de son string et de se promener sous sa jupe plissée. Bref Rosa n’était ni un défi ni une torture et Mariana lui fit sa révérence en arrivant. Les autres vendeuses savaient qu’il fallait laisser Rosa avoir son plaisir avec l’Italienne avant d’essayer quelque chose elles-mêmes.
Ça se passa un vendredi à la fin de la journée, avant l’arrivée des vendeuses de la soirée (le seul soir ouvert) et après le départ des vendeuses de jour. La boutique fermait pour environ 15 minutes vers 18h pour permettre le va-et-vient sans clientèle. Après le départ des vendeuses, Mariana suivit Rosa à la salle de toilette pour les employées. Sur le trottoir on entendait les rires des vendeuses qui terminaient leur journée et qui rencontraient celles qui venaient travailler. Tout le monde savait ce qui allait se passer dans une cabine des toilettes.
La porte de la cabine se ferma derrière Mariana qui la verrouilla. Rosa déboutonna son chemisier et enleva son soutien-gorge. Mariana ne s’attendait pas à une session « intégrale ». Les deux femmes enlevèrent leurs souliers avant de laisser tomber leur jupe au plancher. On gardait le string. Mariana avait reçu quelques conseils des autres femmes du plancher. Rosa avait des habitudes qui changeaient avec les vendeuses et avec le temps. Rosa plaqua Mariana sur le mur de la partition et la garda là quelques minutes en se frottant ses gros nichons sur ceux de sa compagne de plaisir. Puis elle glissa le string de Mariana qui tomba autour des chevilles. Mariana se faisait sucer par une femme d’expérience. Elle retenait ses gémissements et ravala son cri aigu lors de son plaisir. Puis ce fut à son tour de sucer Rosa qui était bien poilue mais avait une crinière qui sentait bon. Le clito de la patronne était court mais large et se glissa bien entre les lèvres de l’Italienne. Rosa avait certainement rêvé à ce moment-là toute la journée. Elle gloussa et atteignit Mariana au visage avec son petit jet de cyprine. Les deux femmes s’embrassèrent à la suggestion de Rosa. Rosa lui demanda si elle voulait lui lécher les fesses. Mariana répondit que ça lui plairait bien. Rosa se pencha en avant pendant que Mariana accroupie lui ouvrit les fesses avec ses mains et laissa sa langue faire le reste. Rosa se masturbait en se faisant lécher le cul. Elle jouit une deuxième fois. Les deux femmes se rhabillèrent et se lavèrent le visage au robinet de la salle de bain. Elles sentaient toutes les deux la moule mouillée mais elles ne travaillaient pas dans une boutique de parfums pour rien et quelques gouttes bien placées les protégèrent pour le trajet à la maison.
Rosa et Mariana avaient échangé leur string. C’était une coutume assez répandue entre lesbiennes. Elles se montaient une petite collection. Rosa demeurait avec sa mère âgée alors elle ne pouvait recevoir mais elle donna l’adresse d’un petit hôtel en ville qui ne posait pas de questions. Elles entendaient se voir de temps en temps pour découvrir et faire découvrir à l’autre de petits plaisirs qu’elles ne pouvaient se donner dans une cabine de toilette.
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------Les invitations à se faire de petites cochonneries ne venaient pas seulement des collègues. Certaines clientes n’hésitaient pas à amener une vendeuse au WC public pour se peloter ou lui laissait son numéro de téléphone pour une rencontre plus poussée. Ce qui m’amène à parler d’une autre erreur commune : les femmes mûres préfèrent toujours les plus jeunes.
Un des vendeuses, qui se prénommait Julie mais qu’on appelait toujours Madame Julie, était une des plus âgées du groupe et approchait 65 ans. Elle avait beaucoup d’expérience dans les parfums mais aussi dans le domaine des femmes. Elle était native de Lyon et avait réussi à constituer un cercle de lesbiennes à une époque où cette pratique était très mal vue. Aucune femme n’aurait avoué être lesbienne même à des intimes. Madame Julie avait maintenu ses relations, dont certaines depuis 30 ans. Ces dames venaient faire leur tour pour voir Madame Julie et l’accompagner au WC public. Mariana qui était très curieuse et qui aimait bien Madame Julie lui demanda un jour si elle pouvait l’accompagner pour voir les ébats entre elle et sa compagne. Elle promit de se limiter à être une spectatrice. Madame Julie lui offrit encore plus.
« Il ne se passe rien de palpitant dans les toilettes mais si tu veux m’accompagner avec une amie dans une chambre d’hôtel, tu pourras non seulement voir mais participer si le cœur t’en dit », avait déclaré Madame Julie.
Mariana avait sauté sur l’occasion car ces dames avaient beaucoup à lui montrer et elles avaient réussi à conserver leurs relations pendant des décennies et ça sous le radar des convenances.
Un dimanche après-midi, Madame Julie, son amie Micheline et Mariana montèrent les escaliers usés d’un petit hôtel qui avait certainement été, dans le temps, un hôtel de passe.
« C’est ici qu’on venait quand on avait 30 ans », dit Micheline, une belle dame bien conservée qui avait presque 70 ans.
Une fois tout le monde à poil, Mariana remarqua avec plaisir que le corps de ces dames étaient bien attirants et que l’âge ne diminuait en rien le désir que ces dames avaient l’une pour l’autre. Micheline et Julie s’installèrent sur le vieux lit en 69 et se sucèrent en ne se préoccupant pas de Mariana qui prit place sur le bord du lit et admira la technique qui n’était jamais devenue une routine. L’orgasme était visible mais pas autant qu’entre des femmes plus jeunes. Elles s’embrassaient souvent. Julie commença à sucer Mariana pendant que Micheline, qui faisait face au pied du lit, glissa lentement son bassin au-dessus de la tête de l’Italienne et ouvrit les cuisses pour se faire lécher. Une fois le petit orgasme atteint par Micheline, Mariana continua de la lécher mais plutôt entre les fesses. Cette fois Micheline cria son plaisir. Les femmes changèrent de position et ce fut au tour de Micheline de sucer Mariana et de Julie de se faire lécher les deux trous. Tout se faisait en douceur.
« Qui est celle qui frotte l’autre ? », demanda Mariana« Au début c’était moi parce que j’étais la plus âgée des deux », dit Micheline« Puis petit à petit, je pris l’initiative et même pendant un temps, on s’était rasé la motte », dit Julie en riant.
Les deux femmes se mirent en position, avec Julie sur le dessus, et entamèrent un frottage de moules accompagné d’une litanie de mots cochons qui fit bien rire Mariana. Elles jouirent presqu’ensemble puis s’embrassèrent pendant plusieurs minutes.
L’âge n’avait pas changé leur amour des jeux d’eaux et elles furent bien contentes de partager une bonne pisse avec la belle Mariana.
------------------------------------------------------------------------------------------------------------ Plusieurs clientes avaient découvert un petit truc que leur avaient probablement souffler les vendeuses. La boutique était fermée entre midi et 14h pour le déjeuner, comme la plupart des boutiques en ville.
Comme par hasard, la clientèle semblait se donner le mot pour arriver quelques minutes avant la fermeture. On ne pouvait pas les mettre à la porte alors les femmes restaient une dizaine de minutes avec les vendeuses en toute tranquillité pendant la fermeture. Ce stratagème était toléré par la direction mais on limitait quand même les « démones du midi » à cinq. Une fois la porte verrouillée, il n’y avait plus de gêne ni faire-semblant. Les cinq couples se formaient et se dirigeaient vers la salle de toilette des employées ou celle du public. Comme Mariana ne travaillait pas à tous les jours (elle étudiait quand même à l’université) et que son horaire changeait souvent, son « fan club » tentait de savoir à l’avance quand elle serait là à l’heure du midi. Les femmes sortaient leurs griffes pour l’occasion et les accrochages dans la ruelle adjacente à la boutique étaient fréquents.
Pour éviter les bagarres et les déceptions, Mariana avait mis sur pied un système que ses copines vendeuses adoptèrent elles aussi. C’était simple. Elle gardait un carnet de rendez-vous du midi et le tout se faisait au téléphone comme une rendez-vous chez la coiffeuse. Mariana était là trois jours par semaine alors elle se bécotait avec trois femmes différentes pendant la semaine. Les autres vendeuses avaient le même système et les rendez-vous brefs mais satisfaisants aux toilettes étaient devenus une pratique courante. Certaines boutiques de mode ou de souliers avaient adopté le même système. Même dans les boutiques de mode pour hommes, ces messieurs pouvaient se rencontrer pour une brève sucette du midi.
Ce jour-là, Mariana rencontrait Madame Bourgeois qui était une directrice d’entreprise. Mariana n’en savait pas plus car la femme de 45 ans était peu bavarde mais apparemment très active dans le milieu lesbien de la ville. C’était une très belle femme avec tous les appâts qu’on imaginait et un beau visage. Elle était impeccablement habillée et était tout le portrait d’une femme d’affaires qui avait réussi. Dans le milieu, on la donnait souvent en exemple aux personnes qui disaient que les lesbiennes se ressemblaient toutes et qu’il était facile de les reconnaître. Personne n’aurait penser que Madame Bourgeois était lesbienne. En fait plusieurs savaient qu’elle avait été mariée mais son statut n’était pas très clair.
Madame Bourgeois en profitait pour acheter quelques parfums qu’elle mettait dans son sac avant de suivre Mariana à la salle de toilette des employées. Ce n’était pas la première fois pour ce couple alors Mariana connaissait la routine. Colette Bourgeois enlevait le moins possible de vêtements pour le sexe. Elle accrochait son veston au crochet intérieur de la porte de la cabine puis remontait, en se trémoussant, sa jupe serrée et courte jusqu’à ce que sa toison apparaisse en entier. Mariana descendait le string jusqu’aux souliers où Colette le libérait. Mariana le glissait dans sa poche pour plus tard le mettre dans son sac à main. Mariana soudait sa bouche sur le vagin couvert de poils blonds. Sans qu’elle n’en ait jamais dit mot, Mariana savait que Colette pissait avant d’arriver car l’Italienne se régalait visiblement des gouttes salées qu’elle ramassait dans la pissette de la femme élégante. Mariana savait qu’il fallait se concentrer sur le clito brûlant et hypersensible de Colette. Trois minutes suffisaient habituellement pour lui tirer un orgasme discret mais qu’elle appréciait. Pour le reste, Colette attaquait Mariana en lui glissant la main dans son string et en l’embrassant passionnément. Ce jour-là Colette ne mettait jamais de maquillage. Mariana frottait ses doigts contre le pubis toujours à découvert de la blonde. Les deux femmes se faisaient jouir de la sorte, une seconde fois pour Colette. Colette enfouissait le string de Mariana dans son sac à main et embrassait un peu maladroitement Mariana sur la bouche avant de quitter le cubicule.
Mariana était enviée par toute l’équipe car Colette ne se faisait sucer par personne d’autre que l’Italienne. Ce que les autres ne savaient pas c’était que Marianne avait réussi à approcher Colette comme personne ne l’avait fait auparavant. Elles se parlaient au téléphone certains soirs. Mariana avait appris que Colette était séparée de son mari mais qu’il ne voulait pas le divorce. C’est avec Colette Bourgeois que Mariana commença sa première liaison amoureuse, et elle était tombée sur une femme mariée !
Le premier quart d’heure du midi était donc très occupé mais les femmes quittaient rapidement et les vendeuses avaient hâte de manger mais aussi de se raconter leurs ébats avec leur cliente. La conversation était tout aussi salée que le menu et le vocabulaire très imagé.
Mariana, elle, était dans ses pensées et n’écoutaient pas les conversations autour d’elle. Avant de partir, Colette lui avait proposé un long weekend à Paris. Elle séchait des cours mais ça lui était égal. Ce weekend serait très important pour elle. Elle voulait connaître où elle en était avec Colette. Les deux amoureuses auraient du temps pour se connaître encore davantage. Colette aurait pu choisir une autre femme, mais c’est Mariana qu’elle voulait. Mais il y avait le mari….
A SUIVRE
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