Au Restaurant Arabe
Récit érotique écrit par sexe37 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2024 dans la catégorie Plus on est
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Au Restaurant Arabe
Je t'ai appelé dans l'après midi pour t'annoncer que je t'emmenais au restaurant après ma sortie tardive du bureau :
• Habille toi et maquille toi comme une vraie pute, N., genre très vulgaire, outrancier, robe moulante archi courte, pratiquement raz de la chatte et des fesses, avec un mini string ficelle rouge vif, fendu devant, escarpins à talons aiguilles plus de 10cm, ok?
• Hmm oui mon chéri, bien sûr. Tu sais que j'adore ce genre de tenue et ce qu'elle sous-entend...Je suis déjà chaude comme la braise...J'espère que ce ne sera pas une situation trop publique, pour que l'on ne risque pas de me reconnaître, c'est tout...
Je te retrouve devant ton immeuble arrivant exprès en retard pour te voir attendre telle une putain faisant le trottoir. Tu ouvres vite la portière et t'engouffres dans ma grosse berline allemande. On se donne un baiser chaud et voluptueux, ta langue fouille ma bouche, mon palais ; tu aspires la pointe de ma langue. C'est très bon, tu embrasses bien pour une putain.
• Relève ta robe sur ton ventre, écarte les pattes, ma chienne docile.
• Voilà, chéri! Regarde! J'ai la fente bien dégagée, lisse comme celle d'une petite fille. Ca te plait? Elle dégouline déjà : j'ai eu tellement peur d'être prise pour une pute sur le trottoir par des gens que je connais!
Mes doigts s'insinuent dans la fente du minuscule triangle d'étoffe rouge qui ne dissimule rien de ta grosse vulve palpitante de désir et de jouissance, chaude et humide, avide de pénétrations.
• Touche toi, salope! Caresse ton clito, mets tes doigts dans ta chatte, écarte les, fait les aller et venir mais défense de jouir! Ok, salope?
• Entendu, je me touche, je m'astique mais je ne me fais pas jouir : il y en aura davantage pour toi tout à l'heure...Hmmm ça sent bon la mer, tu sais! Tu veux y goûter? J'écarte les babines : il faut que je les décolle tellement elles bavent de mouille bien grasse...
Au restaurant maghrébin où nous entrons, il n'y a que des hommes qui se détournent sur ton passage, en plus ton parfum capiteux laisse derrière toi un sillage d'effluves aphrodisiaques qui excitent les mâles...
Je commande du couscous. Je te regarde dans les yeux en souriant malicieusement, tu me souris aussi, tu devines vite mon envie, je sens les bouts de tes orteils déchaussés se poser contre ma braguette, tu masses la bosse que mon sexe en érection forme en tendant l'étoffe de mon pantalon.
• Hmmm! Eh bien dis donc! Quelle forme! Elle est gonflée à bloc! C'est moi qui te fais cet effet là, chéri? Tu me flattes!
Je t'ordonne de retirer ton minuscule string, que tu fais prestement glisser le long de tes jambes et de le poser à côté de tes couverts bien en évidence quand le serveur apporte les apéritifs.
• Chéri tu exagères...le pauvre garçon va devoir aller se branler en cuisine ou tirer une des serveuse pour se soulager...Mais bon...Puisque c'est ce que tu souhaites...Il doit d'ailleurs avoir une belle bite bien épaisse d'arabe...
• Maintenant, sors un bout de papier de ton sac et un stylo et écris lisiblement : "Je suis une chienne soumise, Monsieur. J'ai envie de vous faire une pipe aux toilettes. Retrouvez moi aux chiottes si OK. Une salope" Je te permets de choisir librement ton « client » ; tu lui feras mettre une capote que tu me ramèneras pleine dans un mouchoir en papier. Compris ma pute? Vas y, lève toi, va trouver un mec!
• Décidément, tu es toujours plus vicieux, mon chéri...Vu la manière dont tous les mecs m'ont regardée lorsque nous sommes entrés ici, je vais passer un sacré quart d'heure...Là-bas, il y en a un tout seul à une table ; tu vois? La trentaine, plutôt mignon et bien mis...Il doit s'ennuyer, le pauvre. Je vais tâcher de lui faire oublier sa solitude...En plus, c'est un arabe, donc...
• Te voilà déjà?
• Eh bien dis donc! Il y avait un moment qu'il ne s'était pas vidé les couilles, celui-là! J'ai déposé le petit mot sur sa table et je suis parti aux toilettes « Dames ». Etant la seule femme ici, évidemment il n'a pas hésité à venir me rejoindre : j'étais assise dans une cabine cuisses ouvertes en train de me toucher en pensant à ce qui allait m'arriver...Il n'a pas ouvert la bouche! Seulement sa braguette! Et il a sorti une bite monstrueuse, gonflée, noueuse, le gland décalotté, et me l'a présentée. Je n'ai pu qu'ouvrir la bouche, mais j'ai eue du mal à la faire rentrer tellement elle était grosse. Je l'ai sucée un peu avant que je ne lui enfile une capote. J'ai léché ses couilles et l'ai enfournée à nouveau en pressant doucement les boules. Dés que je lui ai mis l'index dans le cul, il a craché son jus! La capote allait déborder! Il n'a pas dis un mot, s'est lavé les mains et est remonté.
• Je t'ordonne à présent de tremper le bout de tes doigts dans la sauce pimentée et de te toucher la chatte. Ça te fait quoi salope?
• Ouahouh! J'avais déjà la moule en feu! Chéri, tu exagères! J'étais trempée mais là j'ai, au sens propre du terme, le feu au cul!
• Je sais tu n'as pas besoin de cela pour avoir le feu au cul! Refais moi bander avec tes pieds, salope! Dis moi tout bas des choses cochonnes dont les putes ont le secret.
• Tiens, chéri! Tu sens la plante de mes pieds sur ton gros pieu? J'espère que tu vas me le donner bien au fond pour me calmer : j'ai la bave qui me colle encore les lèvres...Il me faut de la bite, sinon je ne pourrais pas m'endormir!
Les cafés arrivent accompagnés de loukoums, toi en guise de friandise, tu sors la capote du mouchoir et tu la mastiques comme un chewing gum.
• C'est comment?
• Sincèrement, je préfère les loukoums ou les mastars...mais ça a l'avantage de me rappeler le bon moment que je viens de passer avec mon arabe à grosse pine...
• Habille toi et maquille toi comme une vraie pute, N., genre très vulgaire, outrancier, robe moulante archi courte, pratiquement raz de la chatte et des fesses, avec un mini string ficelle rouge vif, fendu devant, escarpins à talons aiguilles plus de 10cm, ok?
• Hmm oui mon chéri, bien sûr. Tu sais que j'adore ce genre de tenue et ce qu'elle sous-entend...Je suis déjà chaude comme la braise...J'espère que ce ne sera pas une situation trop publique, pour que l'on ne risque pas de me reconnaître, c'est tout...
Je te retrouve devant ton immeuble arrivant exprès en retard pour te voir attendre telle une putain faisant le trottoir. Tu ouvres vite la portière et t'engouffres dans ma grosse berline allemande. On se donne un baiser chaud et voluptueux, ta langue fouille ma bouche, mon palais ; tu aspires la pointe de ma langue. C'est très bon, tu embrasses bien pour une putain.
• Relève ta robe sur ton ventre, écarte les pattes, ma chienne docile.
• Voilà, chéri! Regarde! J'ai la fente bien dégagée, lisse comme celle d'une petite fille. Ca te plait? Elle dégouline déjà : j'ai eu tellement peur d'être prise pour une pute sur le trottoir par des gens que je connais!
Mes doigts s'insinuent dans la fente du minuscule triangle d'étoffe rouge qui ne dissimule rien de ta grosse vulve palpitante de désir et de jouissance, chaude et humide, avide de pénétrations.
• Touche toi, salope! Caresse ton clito, mets tes doigts dans ta chatte, écarte les, fait les aller et venir mais défense de jouir! Ok, salope?
• Entendu, je me touche, je m'astique mais je ne me fais pas jouir : il y en aura davantage pour toi tout à l'heure...Hmmm ça sent bon la mer, tu sais! Tu veux y goûter? J'écarte les babines : il faut que je les décolle tellement elles bavent de mouille bien grasse...
Au restaurant maghrébin où nous entrons, il n'y a que des hommes qui se détournent sur ton passage, en plus ton parfum capiteux laisse derrière toi un sillage d'effluves aphrodisiaques qui excitent les mâles...
Je commande du couscous. Je te regarde dans les yeux en souriant malicieusement, tu me souris aussi, tu devines vite mon envie, je sens les bouts de tes orteils déchaussés se poser contre ma braguette, tu masses la bosse que mon sexe en érection forme en tendant l'étoffe de mon pantalon.
• Hmmm! Eh bien dis donc! Quelle forme! Elle est gonflée à bloc! C'est moi qui te fais cet effet là, chéri? Tu me flattes!
Je t'ordonne de retirer ton minuscule string, que tu fais prestement glisser le long de tes jambes et de le poser à côté de tes couverts bien en évidence quand le serveur apporte les apéritifs.
• Chéri tu exagères...le pauvre garçon va devoir aller se branler en cuisine ou tirer une des serveuse pour se soulager...Mais bon...Puisque c'est ce que tu souhaites...Il doit d'ailleurs avoir une belle bite bien épaisse d'arabe...
• Maintenant, sors un bout de papier de ton sac et un stylo et écris lisiblement : "Je suis une chienne soumise, Monsieur. J'ai envie de vous faire une pipe aux toilettes. Retrouvez moi aux chiottes si OK. Une salope" Je te permets de choisir librement ton « client » ; tu lui feras mettre une capote que tu me ramèneras pleine dans un mouchoir en papier. Compris ma pute? Vas y, lève toi, va trouver un mec!
• Décidément, tu es toujours plus vicieux, mon chéri...Vu la manière dont tous les mecs m'ont regardée lorsque nous sommes entrés ici, je vais passer un sacré quart d'heure...Là-bas, il y en a un tout seul à une table ; tu vois? La trentaine, plutôt mignon et bien mis...Il doit s'ennuyer, le pauvre. Je vais tâcher de lui faire oublier sa solitude...En plus, c'est un arabe, donc...
• Te voilà déjà?
• Eh bien dis donc! Il y avait un moment qu'il ne s'était pas vidé les couilles, celui-là! J'ai déposé le petit mot sur sa table et je suis parti aux toilettes « Dames ». Etant la seule femme ici, évidemment il n'a pas hésité à venir me rejoindre : j'étais assise dans une cabine cuisses ouvertes en train de me toucher en pensant à ce qui allait m'arriver...Il n'a pas ouvert la bouche! Seulement sa braguette! Et il a sorti une bite monstrueuse, gonflée, noueuse, le gland décalotté, et me l'a présentée. Je n'ai pu qu'ouvrir la bouche, mais j'ai eue du mal à la faire rentrer tellement elle était grosse. Je l'ai sucée un peu avant que je ne lui enfile une capote. J'ai léché ses couilles et l'ai enfournée à nouveau en pressant doucement les boules. Dés que je lui ai mis l'index dans le cul, il a craché son jus! La capote allait déborder! Il n'a pas dis un mot, s'est lavé les mains et est remonté.
• Je t'ordonne à présent de tremper le bout de tes doigts dans la sauce pimentée et de te toucher la chatte. Ça te fait quoi salope?
• Ouahouh! J'avais déjà la moule en feu! Chéri, tu exagères! J'étais trempée mais là j'ai, au sens propre du terme, le feu au cul!
• Je sais tu n'as pas besoin de cela pour avoir le feu au cul! Refais moi bander avec tes pieds, salope! Dis moi tout bas des choses cochonnes dont les putes ont le secret.
• Tiens, chéri! Tu sens la plante de mes pieds sur ton gros pieu? J'espère que tu vas me le donner bien au fond pour me calmer : j'ai la bave qui me colle encore les lèvres...Il me faut de la bite, sinon je ne pourrais pas m'endormir!
Les cafés arrivent accompagnés de loukoums, toi en guise de friandise, tu sors la capote du mouchoir et tu la mastiques comme un chewing gum.
• C'est comment?
• Sincèrement, je préfère les loukoums ou les mastars...mais ça a l'avantage de me rappeler le bon moment que je viens de passer avec mon arabe à grosse pine...
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