Au restaurant ouvrier
Récit érotique écrit par Ajax [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Au restaurant ouvrier
J’ai entendu dire, de la part d’hommes candaulistes, que chaque expérience nouvelle les conduisait immanquablement à pousser l’aventure suivante plus intensément, plus ardente que la précédente.
Je vous confirme que je réponds aussi à cette majorité de ceux qui accompagnent et encouragent leurs bien-aimée dans une voie toujours plus transgressive et exaltée.
J’ai emmené ma femme dans un restaurant ouvriers. Vous savez, ces cantines de zones industrielles où l’on vous sert un plat du jour au prix d’un sandwich.
Je lui ai demandé de s’habiller court et de chausser des talons. J’aime croiser le regard des gars sur la croupe de ma coquine quand elle traverse la grande salle bruyante pour choisir la table la plus reculée.
Il m’a semblé tout à coup que la rumeur avait cessé, ou plutôt qu’elle avait pris un autre aspect ; j’avais l’impression d’entendre des sifflements étouffés et quelques compliments à peine dissimulés. En passant entre les rangées de chaises occupées, je ne doute pas qu’elle aussi a pris du plaisir à attirer le regard un peu lourd de certains hommes.
C’est à ce moment-là précisément que j’ai su que nous étions au bon endroit pour une aventure déviante.
Sabine était la seule femme dans la salle. Je tournais le dos à la majorité des consommateurs alors que mon épouse les embrassait tous du regard. J’avais pour moi, de larges miroirs qui me donnaient une idée précise de l’intérêt ou de la convoitise qu’on pouvait facilement déchiffrer dans le comportement des travailleurs.
Je voulais qu’elle sente le désir des hommes sur elle et là j’étais servi, plus qu’à souhait.
Des bas oui, elle portait des bas, la taille la plus fine, assez court, sur ses longues jambes fuselées. De fait, la lisière était rapidement dépassée et rendait visible la large jarretière de dentelle.
Sabine perchée sur ses talons, était penchée en avant, les bras tendus sur la banque circulaire des plats où l’on devait aller se servir. Elle hésitait entre l’un ou l’autre des plats de crudités.
Les hommes proches d’elle, ne se privaient pas pour reluquer son cul bien cambré. J’étais ravi de ce début de repas prometteur.
J’avais demandé à ma belle allumeuse de passer cette petite jupe en cuir qui remonte sans cesse sur sa taille fine, posée sur ses hanches, avec un chemisier fluide et très ouvert à l’encolure.
Rien d’extravagant si ce n’est qu’elle n’avait ni string, ni soutien-gorge.
Je voulais qu’elle se sente nue sous ses vêtements et qu’autour d’elle ça se sache...
J’ai repéré des tables hautes assorties de tabourets. C’est là que nous nous sommes finalement installés pour déjeuner.
Sabine croise les jambes en se rasseyant, mais il faudra bien qu’elle les décroise de temps en temps. Ce sont ces moments-là que vont épier nos voisins assoiffés.
Un ou deux boutons supplémentaires se son haut s’étaient encore défaits si bien que sa poitrine se découvrait presque entière à chacun de ses mouvements. Mon intention est aussi de la convaincre de desserrer les genoux. Il faudra que je sois assez persuasif, et j’ai quelques arguments en réserve pour la décider.
Elle m’a dit qu’elle était prête à se damner pour un sac à main de marque, sur lequel elle a flashé. Ça m’a donné l’idée de me servir de ce genre d’envies pour l’aider à relever un défi difficile à réaliser la première fois. Puis quand elle va admettre qu’elle en est capable et qu’elle y trouve des satisfactions, alors c’est elle même qui improvisera.
Pour un bijou fantaisie elle m’accordera tous mes caprices.
Au début il s’agira de défis que je calife de conventionnel comme exiger une exhibe devant un inconnu. Puis peu à peu elle sera contrainte à des actions plus déviantes, comme par exemple s’offrir sous une porte cochère à un passant lubrique que je lui aurai désigné.
Mais ne brûlons pas les étapes. D’abord le restaurant et ses clients affamés...
Comme j’avais prémédité mon affaire, j’avais demandé à ma belle de se garnir d’une paire de boules de geisha. Je lui en ai offert deux paires, il y a quelques temps. Elle les porte volontiers chaque fois que je le suggère.
La première paire est constituée de deux boules reliées entre elles et à l’intérieur desquelles une bille d’acier mobile se déplace à chacun de ses mouvements, si bien qu’il est impossible d’ignorer ce jouet intime, pour celle qui les porte.
L’autre paire est elle aussi équipée de billes d’acier un nettement plus lourdes que les précédentes. Au moindre mouvement, non seulement Sabine vibre, et un léger cliquetis est perceptible et attire l’attention. C’est cette paire là qu’elle avait enfoui dans son entrejambe.
Je ne me suis pas trompé, c’est en voyant les regards des types converger dans notre direction que j’ai réalisé que ma belle garce avait décroisé les genoux et les hommes les mieux placés pouvaient se douter de l’absence de lingerie entre les cuisses de mon impudique épouse.
Je les voyais se dandiner sur leur sièges ahuris et sidérés pas l’attraction érotique, pendant que ma délicate racoleuse savourait, sainte nitouche, ses feuilles de salade.
Presque 14h, les tables peu à peu se libèrent. En nous rapprochant du comptoir, les têtes se tournent vers Sabine, attirées par un cliquetis indéfinissable pour quelques consommateurs encore là. Ma pinup me lance un regard conquérant, ravie par l’impact sonore collatéral, ajouté aux stimulations excitantes de son jouet remuant. Ils affichent tous des mines ahuries tant la vue d’une femme à la fois remarquable, terriblement sensuelle et improbable. J’aime comme elle soutient leurs regards. C’est presque toujours les hommes qu’elle défie qui se détournent.
⁃ Je vous offre le café ! Annonce le gérant avec un sourire de connivence, les yeux plongés dans la gorge de ma nana qui laisse entrevoir une bonne partie de sa poitrine généreuse.
Je suppose que l’exhibe des cuisses ouvertes et des seins à l’air libre de tout à l’heure, a déjà rendu célèbre ma voisine dans tous l’établissement.
⁃ Vous savez que je propose des chambres d’hôtes, si votre belle dame veut faire une petite sieste ou un brin de toilette. Nous dit-il encore.
⁃ Écoutez ! Volontiers. Je lui réponds en empochant les clés du petit pavillon qu’il me tend.
Nous découvrons une chambre propre, spacieuse, parée de meubles anciens mais fonctionnels.
Sabine est immédiatement à son aise et se vautre sur le lit. Une grande baie vitrée éclaire la pièce qui donne sur le parking du restaurant.
Les deux ou trois ballons de rosé de Provence ont fait leur œuvre et ma belle s’est endormie presque instantanément. Je lui retire délicatement le pull. La jupe s’est retroussée et ne forme plus qu’une ceinture sur ses reins.
Je réalise que quelques spectateurs audacieux se sont collés à la vitre de la chambre. Ils ont une vue intégrale sur le corps dénudé et alangui de ma ribaude.
Après tout pourquoi ne pas leur offrir le plaisir de voir le cul de ma belle ? Je me décide même à leur en montrer un peu plus en séparant délicatement les jambes de ma dormeuse, jusqu’à avoir une vision parfaite de son entrecuisse d’où le cordon des boules de geisha dépassait discrètement.
J’entreprends de la libérer de son jouet intimes en tirant lentement sur le cordon. Le jouet coulisse facilement vers la sortie de son pubis. La première sphère s’échappe suivie d’une petite coulée de mouille, puis la deuxième chaude et humide, preuve de son efficacité aphrodisiaque. Mes mains s’attardèrent dans le sillon de ses fesses, mes doigts sont comme aspirés entre ses lèvres intimes et moites. Deux, trois puis quatre doigts s’enfoncent facilement dans son conduit vaginal. Je la branle sans ménagement encouragé par des petits OUI à répétition.
Sabine se tortille et ronronne, son cul se soulève à la rencontre d’un membre qu’elle réclame. Dans ces conditions, pas question de laisser refroidir ma catin en chaleurs. Je déverrouille la fermeture de la baie vitrée et me défroque pour offrir mon sexe bandé à la bouche gourmande de ma belle. Dans le même temps les deux hommes derrière la vitre sont entrés et l’un d’eux, le gérant a déjà le caleçon sur les genoux, il vient s’agenouiller entre les jambes écartées de ma femme et la pénètre sans préliminaire pendant que je la contrains à garder la tête droite, devant elle.
Ma pouliche est saillie et les vas et viens du type lui conviennent à en juger par les râles qu’elle exprime. Ses reins se creusent, son corps se tend elle a un premier orgasme pendant que j’éjacule dans sa gorge.
⁃ Ta femme est bonne et elle saurait comment bouger pour satisfaire les plus coriaces de mes clients. Me confie le patron de l’établissement.
Ma femelle s’est retournée et les genoux levés, invite le deuxième étalon à s’accoupler. Je suis surpris par l’épaisseur de sa queue. Mon bras est plus fin que son mandrin bandé. Il se couche sur elle en cherchant sa bouche pour un baisers que ma femme ne lui refuse pas. Son gland gonflé comme mon poing, couvre en entier l’abricot de ma chaudasse. Une poussée et le voilà qui s’engouffre entre les lèvres ruisselantes des fluides mélangés du précèdent assaut. Encore une poussée et il s’enfonce inéluctablement dans l’intimité d’une matrice élastique et heureusement lubrifiée. Une nouvelle poussée, ça y est, ma femme est bien prise, elle respire fort pendant qu’un pieux volumineux et turgescent lui remplit le ventre. Lentement d’abord il coulisse en fourrant la belle. Il la chevauche maintenant sans précaution alors que Sabine gueule son plaisir à pleine voix. Il la démonte encore longtemps. Des pulsions phalliques hors normes enchaînent les spasmes de plaisirs intenses.
Un peu plus tard, alors qu’elle prend sa douche, j’écoute avec intérêt les propos du propriétaire des lieux...
⁃ Vous êtes ici comme chez vous. Vous pourriez apporter à mon établissement une clientèle supplémentaire, alors que moi, je vous enverrai les miens...
Je venais de comprendre avec stupéfaction qu’il proposait à ma chérie ni plus ni moins que de faire des passes, comme une professionnelle.
Ma femme qui sortait de la douche à ce moment, négligemment couverte avec un peignoir me défiait du regard avec un sourire immense.
⁃ Ne me dis pas ma chérie que tu accepterais de louer ton corps pour quelques billets ?
⁃ Et pourquoi pas ? Me dit-elle altière, ça demande réflexion.
⁃ Et bien on ne va pas attendre pour savoir. Réplique le tenancier. Je vous envoie une équipe de maçons bulgare. Ils m’ont demandé de leurs trouver des femmes. Ils sont en manque depuis plus de trois mois et ils sont en pension chez moi. J’ai leurs passeports et leur carnet de santé, je sais qu’ils sont clean. Je vous les envoie un par un, à intervalle de 15 minutes.
⁃ Je suis d’accord réponds ma femme sans attendre. Ah dites-moi ! Combien sont-ils ?
⁃ Une dizaine et le premier arrivé dans 5 minutes. Fais-toi une beauté, lui commande-il en lui claquant les fesses, avant de sortir.
Je vous confirme que je réponds aussi à cette majorité de ceux qui accompagnent et encouragent leurs bien-aimée dans une voie toujours plus transgressive et exaltée.
J’ai emmené ma femme dans un restaurant ouvriers. Vous savez, ces cantines de zones industrielles où l’on vous sert un plat du jour au prix d’un sandwich.
Je lui ai demandé de s’habiller court et de chausser des talons. J’aime croiser le regard des gars sur la croupe de ma coquine quand elle traverse la grande salle bruyante pour choisir la table la plus reculée.
Il m’a semblé tout à coup que la rumeur avait cessé, ou plutôt qu’elle avait pris un autre aspect ; j’avais l’impression d’entendre des sifflements étouffés et quelques compliments à peine dissimulés. En passant entre les rangées de chaises occupées, je ne doute pas qu’elle aussi a pris du plaisir à attirer le regard un peu lourd de certains hommes.
C’est à ce moment-là précisément que j’ai su que nous étions au bon endroit pour une aventure déviante.
Sabine était la seule femme dans la salle. Je tournais le dos à la majorité des consommateurs alors que mon épouse les embrassait tous du regard. J’avais pour moi, de larges miroirs qui me donnaient une idée précise de l’intérêt ou de la convoitise qu’on pouvait facilement déchiffrer dans le comportement des travailleurs.
Je voulais qu’elle sente le désir des hommes sur elle et là j’étais servi, plus qu’à souhait.
Des bas oui, elle portait des bas, la taille la plus fine, assez court, sur ses longues jambes fuselées. De fait, la lisière était rapidement dépassée et rendait visible la large jarretière de dentelle.
Sabine perchée sur ses talons, était penchée en avant, les bras tendus sur la banque circulaire des plats où l’on devait aller se servir. Elle hésitait entre l’un ou l’autre des plats de crudités.
Les hommes proches d’elle, ne se privaient pas pour reluquer son cul bien cambré. J’étais ravi de ce début de repas prometteur.
J’avais demandé à ma belle allumeuse de passer cette petite jupe en cuir qui remonte sans cesse sur sa taille fine, posée sur ses hanches, avec un chemisier fluide et très ouvert à l’encolure.
Rien d’extravagant si ce n’est qu’elle n’avait ni string, ni soutien-gorge.
Je voulais qu’elle se sente nue sous ses vêtements et qu’autour d’elle ça se sache...
J’ai repéré des tables hautes assorties de tabourets. C’est là que nous nous sommes finalement installés pour déjeuner.
Sabine croise les jambes en se rasseyant, mais il faudra bien qu’elle les décroise de temps en temps. Ce sont ces moments-là que vont épier nos voisins assoiffés.
Un ou deux boutons supplémentaires se son haut s’étaient encore défaits si bien que sa poitrine se découvrait presque entière à chacun de ses mouvements. Mon intention est aussi de la convaincre de desserrer les genoux. Il faudra que je sois assez persuasif, et j’ai quelques arguments en réserve pour la décider.
Elle m’a dit qu’elle était prête à se damner pour un sac à main de marque, sur lequel elle a flashé. Ça m’a donné l’idée de me servir de ce genre d’envies pour l’aider à relever un défi difficile à réaliser la première fois. Puis quand elle va admettre qu’elle en est capable et qu’elle y trouve des satisfactions, alors c’est elle même qui improvisera.
Pour un bijou fantaisie elle m’accordera tous mes caprices.
Au début il s’agira de défis que je calife de conventionnel comme exiger une exhibe devant un inconnu. Puis peu à peu elle sera contrainte à des actions plus déviantes, comme par exemple s’offrir sous une porte cochère à un passant lubrique que je lui aurai désigné.
Mais ne brûlons pas les étapes. D’abord le restaurant et ses clients affamés...
Comme j’avais prémédité mon affaire, j’avais demandé à ma belle de se garnir d’une paire de boules de geisha. Je lui en ai offert deux paires, il y a quelques temps. Elle les porte volontiers chaque fois que je le suggère.
La première paire est constituée de deux boules reliées entre elles et à l’intérieur desquelles une bille d’acier mobile se déplace à chacun de ses mouvements, si bien qu’il est impossible d’ignorer ce jouet intime, pour celle qui les porte.
L’autre paire est elle aussi équipée de billes d’acier un nettement plus lourdes que les précédentes. Au moindre mouvement, non seulement Sabine vibre, et un léger cliquetis est perceptible et attire l’attention. C’est cette paire là qu’elle avait enfoui dans son entrejambe.
Je ne me suis pas trompé, c’est en voyant les regards des types converger dans notre direction que j’ai réalisé que ma belle garce avait décroisé les genoux et les hommes les mieux placés pouvaient se douter de l’absence de lingerie entre les cuisses de mon impudique épouse.
Je les voyais se dandiner sur leur sièges ahuris et sidérés pas l’attraction érotique, pendant que ma délicate racoleuse savourait, sainte nitouche, ses feuilles de salade.
Presque 14h, les tables peu à peu se libèrent. En nous rapprochant du comptoir, les têtes se tournent vers Sabine, attirées par un cliquetis indéfinissable pour quelques consommateurs encore là. Ma pinup me lance un regard conquérant, ravie par l’impact sonore collatéral, ajouté aux stimulations excitantes de son jouet remuant. Ils affichent tous des mines ahuries tant la vue d’une femme à la fois remarquable, terriblement sensuelle et improbable. J’aime comme elle soutient leurs regards. C’est presque toujours les hommes qu’elle défie qui se détournent.
⁃ Je vous offre le café ! Annonce le gérant avec un sourire de connivence, les yeux plongés dans la gorge de ma nana qui laisse entrevoir une bonne partie de sa poitrine généreuse.
Je suppose que l’exhibe des cuisses ouvertes et des seins à l’air libre de tout à l’heure, a déjà rendu célèbre ma voisine dans tous l’établissement.
⁃ Vous savez que je propose des chambres d’hôtes, si votre belle dame veut faire une petite sieste ou un brin de toilette. Nous dit-il encore.
⁃ Écoutez ! Volontiers. Je lui réponds en empochant les clés du petit pavillon qu’il me tend.
Nous découvrons une chambre propre, spacieuse, parée de meubles anciens mais fonctionnels.
Sabine est immédiatement à son aise et se vautre sur le lit. Une grande baie vitrée éclaire la pièce qui donne sur le parking du restaurant.
Les deux ou trois ballons de rosé de Provence ont fait leur œuvre et ma belle s’est endormie presque instantanément. Je lui retire délicatement le pull. La jupe s’est retroussée et ne forme plus qu’une ceinture sur ses reins.
Je réalise que quelques spectateurs audacieux se sont collés à la vitre de la chambre. Ils ont une vue intégrale sur le corps dénudé et alangui de ma ribaude.
Après tout pourquoi ne pas leur offrir le plaisir de voir le cul de ma belle ? Je me décide même à leur en montrer un peu plus en séparant délicatement les jambes de ma dormeuse, jusqu’à avoir une vision parfaite de son entrecuisse d’où le cordon des boules de geisha dépassait discrètement.
J’entreprends de la libérer de son jouet intimes en tirant lentement sur le cordon. Le jouet coulisse facilement vers la sortie de son pubis. La première sphère s’échappe suivie d’une petite coulée de mouille, puis la deuxième chaude et humide, preuve de son efficacité aphrodisiaque. Mes mains s’attardèrent dans le sillon de ses fesses, mes doigts sont comme aspirés entre ses lèvres intimes et moites. Deux, trois puis quatre doigts s’enfoncent facilement dans son conduit vaginal. Je la branle sans ménagement encouragé par des petits OUI à répétition.
Sabine se tortille et ronronne, son cul se soulève à la rencontre d’un membre qu’elle réclame. Dans ces conditions, pas question de laisser refroidir ma catin en chaleurs. Je déverrouille la fermeture de la baie vitrée et me défroque pour offrir mon sexe bandé à la bouche gourmande de ma belle. Dans le même temps les deux hommes derrière la vitre sont entrés et l’un d’eux, le gérant a déjà le caleçon sur les genoux, il vient s’agenouiller entre les jambes écartées de ma femme et la pénètre sans préliminaire pendant que je la contrains à garder la tête droite, devant elle.
Ma pouliche est saillie et les vas et viens du type lui conviennent à en juger par les râles qu’elle exprime. Ses reins se creusent, son corps se tend elle a un premier orgasme pendant que j’éjacule dans sa gorge.
⁃ Ta femme est bonne et elle saurait comment bouger pour satisfaire les plus coriaces de mes clients. Me confie le patron de l’établissement.
Ma femelle s’est retournée et les genoux levés, invite le deuxième étalon à s’accoupler. Je suis surpris par l’épaisseur de sa queue. Mon bras est plus fin que son mandrin bandé. Il se couche sur elle en cherchant sa bouche pour un baisers que ma femme ne lui refuse pas. Son gland gonflé comme mon poing, couvre en entier l’abricot de ma chaudasse. Une poussée et le voilà qui s’engouffre entre les lèvres ruisselantes des fluides mélangés du précèdent assaut. Encore une poussée et il s’enfonce inéluctablement dans l’intimité d’une matrice élastique et heureusement lubrifiée. Une nouvelle poussée, ça y est, ma femme est bien prise, elle respire fort pendant qu’un pieux volumineux et turgescent lui remplit le ventre. Lentement d’abord il coulisse en fourrant la belle. Il la chevauche maintenant sans précaution alors que Sabine gueule son plaisir à pleine voix. Il la démonte encore longtemps. Des pulsions phalliques hors normes enchaînent les spasmes de plaisirs intenses.
Un peu plus tard, alors qu’elle prend sa douche, j’écoute avec intérêt les propos du propriétaire des lieux...
⁃ Vous êtes ici comme chez vous. Vous pourriez apporter à mon établissement une clientèle supplémentaire, alors que moi, je vous enverrai les miens...
Je venais de comprendre avec stupéfaction qu’il proposait à ma chérie ni plus ni moins que de faire des passes, comme une professionnelle.
Ma femme qui sortait de la douche à ce moment, négligemment couverte avec un peignoir me défiait du regard avec un sourire immense.
⁃ Ne me dis pas ma chérie que tu accepterais de louer ton corps pour quelques billets ?
⁃ Et pourquoi pas ? Me dit-elle altière, ça demande réflexion.
⁃ Et bien on ne va pas attendre pour savoir. Réplique le tenancier. Je vous envoie une équipe de maçons bulgare. Ils m’ont demandé de leurs trouver des femmes. Ils sont en manque depuis plus de trois mois et ils sont en pension chez moi. J’ai leurs passeports et leur carnet de santé, je sais qu’ils sont clean. Je vous les envoie un par un, à intervalle de 15 minutes.
⁃ Je suis d’accord réponds ma femme sans attendre. Ah dites-moi ! Combien sont-ils ?
⁃ Une dizaine et le premier arrivé dans 5 minutes. Fais-toi une beauté, lui commande-il en lui claquant les fesses, avant de sortir.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Belle histoire , vite la suite !
Mais bien sur et la marmotte met le chocolat dans le papier d'alu.
Comme si les bourgeoises coincées du cul avaient envi de faire la pute comme les gamines dans les baraquements ou sur le trottoir au Prado à Marseille !!!!
Pff que des conneries.
Comme si les bourgeoises coincées du cul avaient envi de faire la pute comme les gamines dans les baraquements ou sur le trottoir au Prado à Marseille !!!!
Pff que des conneries.