Au revoir Eva - histoire érotique

Notre ami Roger a toujours autant de succès auprès des femmes mûres.
Il a rencontré Eva dans un train (encore, mais plus sagement) Quelques temps après il l'a aidée à réaliser des affaires dans l'immobilier mais Eva retourne chez elle.
Il est chez lui et sa mère vient de partir pour une soirée avec des amis quand Eva vient lui dire au revoir.


Je suis remonté dans ma chambre prendre une douche, j'ai préparé mes cours pour le lendemain et j'ai appelé Eva.
Vingt minutes plus tard elle sonnait à l'entrée. Je suis descendu rapidement pour lui ouvrir et elle m'a embrassé aussitôt entrée. Elle avait mis une veste bleu marine croisée, une jupe d'un bleu plus clair ouverte sur le côté et un chemisier blanc. Je lui ai dit que je la trouvais toujours élégante et je l'ai guidée vers le salon. Je lui ai proposé un apéritif qu'elle a accepté et quand elle s'est installée sur le canapé, sa jupe s'est ouverte sur ses jambes gainées de bas brillants retenus par un porte-jarretelle violet en dentelle. Elle a ouvert sa veste et j'ai pu me rendre compte que son corsage était presque totalement transparent. Dessous elle portait un soutien-gorge en dentelle violet qui faisait pigeonner ses seins. J'ai eu envie d'elle instantanément.
J'ai ouvert le bar et elle a choisi un vieux whisky sans glace et j'ai pris une petite vodka glacée. Je me suis installé dans un fauteuil en face d'elle et nous avons bu notre apéritif tranquillement en reparlant des visites que nous avions faites et des biens que nous avions vus. Nous avons reparlé de mes études et elle m'a dit :
- Tu sais Roger, si tu sens que tu n'es pas sur la voie qui te convient, je serais ravie que tu viennes travailler avec moi…
Comme je souriais sans répondre elle a ajouté :
- Non seulement je serais contente de t'avoir sous la main pour le plaisir mais en plus, je suis convaincue que tu ferais un agent immobilier de premier ordre. Tu piges vite, tu as le sens du contact avec les prospects et tu as du sang froid. Toute une gamme de qualités qui feront de toi un homme d'affaires avisé…
- C'est vrai que j'ai trouvé ça sympa. Mais je pense aussi que c'était le plaisir d'être en votre compagnie…
- Tu es délicieux… si je n'étais pas déjà totalement à toi, je me donnerais sur le champ…
Elle a posé son verre, s'est levée et s'est approchée de mon fauteuil. Elle a posé ses mains sur les bras du fauteuil et m'a tendu les lèvres. Son mouvement était très étudié car j'ai pu plonger mon regard dans son décolleté et me rendre compte que ses bouts de seins pointaient sous la dentelle de soie. Je n'avais pas besoin de chercher ce qu'elle avait en tête.
Elle a pris mes mains s'est redressée et m'a entraîné vers le canapé en disant :
- Viens près de moi, je ne vais plus te voir pendant je ne sais combien de temps… Tu vas me manquer… je veux encore sentir ton corps contre moi…
Elle m'a fait asseoir et s'est allongé la tête sur mes genoux. Je me suis penché pour l'embrasser et j'ai caressé sa poitrine par-dessus le chemisier. Elle a pris ma main et faisant sauter un bouton de son corsage elle a guidé ma main à l'intérieur. Je sentais bien ses tétons durs sous la soie et le les faisais se dresser encore plus en les caressant. Délaissant sa poitrine, j'ai glissé ma main dans l'échancrure de sa jupe et j'ai caressé doucement l'intérieur de sa cuisse. Quand mes doigts sont remontés à la limite du bas elle a plié la jambe et posé son autre pied par terre. J'ai suivi du bout des doigts la limite du bas, revenant sur le devant de la cuisse puis repartant entre ses jambes jusqu'aux fesses. Elle frissonnait sous ma caresse… j'ai posé ma main sur son autre cuisse et j'ai recommencé le même manège. Quand je suis arrivé en haut de la cuisse, elle a largement écarté les jambes et ma main s'est trouvée naturellement sur son pubis voilé de soie violette. J'ai caressé doucement le renflement de sa vulve à travers la soie et mes doigts sont rapidement devenus humides. Elle avait fermé les yeux et se mordait la lèvre profitant au maximum de ce moment délicieux. Toujours les yeux fermés elle posa sa main d'abord sur son ventre puis la fit descendre doucement entre ses jambes et tira sa fine culotte sur le côté, découvrant complètement sa féminité. Mes doigts glissèrent entre ses grandes lèvres et elle ne put retenir un gémissement de plaisir. Je l'ai caressée doucement pendant un bon moment lui arrachant des hoquets de plaisir jusqu'au moment où tout son corps s'est crispé dans le spasme d'un orgasme. Après quelques secondes où sa respiration s'est calmée, elle a rouvert les yeux et a dit en souriant :
- Oh le vilain garçon qui fait jouir les vieilles dames…
- Je n'ai pas vu de vieille dame ici… j'ai juste vu une dame qui avait envie de caresses…
- Oui, tu as raison. J'avais envie de caresses et j'en ai encore envie…
Elle s'est retournée sur le ventre et a ouvert mon pantalon. Avec quelques difficultés elle a extirpé mon membre turgescent et l'a léché. Je l'ai laissée faire quelques minutes puis je l'ai repoussée doucement et je me suis levé. Devant son regard étonné, je lui ai pris la main sans un mot et l'ai entraînée à l'étage jusqu'à ma chambre.
Lorsque nous sommes arrivés au pied de mon lit, nous nous sommes embrassés passionnément, nous frottant l'un contre l'autre en ondulant. Éva a déboutonné ma chemise et la ceinture de mon pantalon le laissant tomber sur mes chevilles. J'ai fini de déboutonner son corsage et je l'ai fait glisser de ses épaules. Pendant que je m'inclinais pour poser des baisers sur le dessus de ses seins elle a fini de m'enlever ma chemise. Nous nous sommes encore embrassés puis elle s'est baissée et a fait glisser mon slip et mes chaussettes. J'étais complètement nu devant elle mon membre fièrement dressé vers le ciel. Elle s'est reculée et m'a dit :
- Laisse-moi te regarder… Je veux garder en mémoire ta virilité dressée pour moi.
Elle s'est approchée, m'a fait tourner sur moi-même et m'a donné des petits coups de langue sur tout le corps… elle a mis son ventre contre mon dos et prenant ma bite de la main droite elle m'a branlé doucement. J'ai senti sa jupe glisser le long de mes jambes et elle a plaqué son pubis contre mes fesses en disant :
- J'aime sentir ta queue dans ma main, elle est chaude et dure. J'imagine déjà quand tu me pénètreras… c'est bon…
Elle me donnait des coups de bassin comme pour m'enculer et je sentais la soie glisser sur mes fesses et dans mon dos. J'ai passé la main derrière moi et je l'ai à nouveau caressée par-dessus la fine culotte. Elle m'a entrainé devant l'armoire à glace en restant collée à moi et m'a dit :
- Regarde ta bite, elle est belle…
J'ai glissé sur son côté la plaçant à côté de moi et j'ai dit en lui léchant l'oreille :
- Regarde Eva, ton corps est magnifique… je ne suis pas près de m'en lasser…
Je me suis mis derrière elle et j'ai dégrafé son soutien-gorge. Je l'ai fait glisser de ses épaules j'ai pris ses seins à pleines mains et je lui ai dit :
- Regarde, ils sont magnifiques… Regarde les pointes dressées…
Elle remuait les fesses contre ma verge tendue… Elle a posé ses mains sur ses hanches et a commencé à faire descendre sa culotte de soie. J'ai posé mes mains sur les siennes et je me suis baissé pour faire descendre jusqu'au sol la lingerie arachnéenne. En me relevant j'ai passé ma langue entre ses fesses et toute le long de son dos jusqu'à sa nuque. Elle a passé ses mains derrière elle et m'a plaqué contre son dos ma verge coincée entre ses fesses. J'ai remis mes mains sur ses seins et j'ai repris mes caresses légères. De sa main droite elle a guidé la mienne sur ses poils pubiens et elle a glissé sa main gauche dans son dos pour prendre mon membre dur. J'ai caressé son pubis en suçant le lobe de son oreille et je lui ai dit :
- Regarde mes doigts sur ta vulve…
Elle a écarté les pieds et j'ai fait glisser mon médius entre ses lèvres intimes. Elle a approuvé d'un grognement et dans la glace je voyais son regard fasciné par le spectacle de ma main caressant sa chatte… Je me suis décollé d'elle et j'ai dit attends, j'ai une idée. J'ai placé mon fauteuil devant la glace puis je m'y suis assis et l'ai fait s'asseoir devant moi sur le siège. J'ai soulevé ses cuisses et elle a posé ses pieds sur le siège les jambes écartées exposant son entre cuisse mouillé à nos regards. Je l'ai caressée à nouveau faisant glisser mes doigts dans sa fente et les introduisant de temps en temps dans son vagin.
En gémissant et m'a dit :
- Oui, c'est ça que je veux garder en mémoire…
J'ai continué à la caresser jusqu'au moment où elle s'est soulevée et a guidé ma bite à l'entrée de sa chatte en fixant la glace.
Elle est montée et descendue plusieurs fois s'empalant sur mon membre avec délice. Elle gémissait et a brusquement serré les cuisses en disant fort :
- Ahaaaa ! je ne peux plus…"
J'ai senti une rafale de contractions de son vagin sur ma verge puis après une sorte de hoquet elle a recommencé à m'enfoncer en elle en souriant elle m'a dit :
- Superbe ! je t'ai vu me baiser… je n'oublierai pas…"
Elle s'est bien stabilisée sur ses pieds puis elle s'est soulevée faisant sortir ma bite puis la prenant entre ses doigts elle l'a dirigée vers son anus en fixant la glace. Elle est redescendue doucement et mon membre raide s'est enfoncé dans son cul… Elle a fait quelques pénétrations très lentes puis j'ai senti son sphincter de détendre un peu et ma verge est rentrée entièrement. Elle ne perdait pas une miette de ce spectacle et s'enculait en mordant sa lèvre. Sa respiration est devenue plus forte s'alignant au rythme de la mienne ? Je n'en pouvais plus et le spectacle de notre fornication exacerbait mon excitation. J'ai déchargé dans son fondement avec un grognement de libération et j'ai vu ses yeux chavirer quand elle a dit oui en se mettant à trembler de tous ses membres…
Ses pieds ont glissé au bas du siège et elle m'a pris par la taille dans son dos pour m'empêcher de bouger.
Nous sommes restés plusieurs minutes collés l'un dans l'autre et ma bandaison ne diminuait pas. J'ai pensé que c'était à cause de l'intensité de mon excitation.
Elle s'est levée en m'entraînant avec elle puis nous a fait tourner le dos à la glace et s'est penchée très bas pour voir. Elle a mis ma main sur son sexe et m'a dit :
- C'est beau… j'aime te voir comme ça j'aime sentir ta bite au fond de moi… je suis folle de toi… Maintenant je suis satisfaite, je t'ai tout donné de moi… prend moi encore un peu…
J'ai posé mes mains sur ses hanches et j'ai fait quelques pénétrations elle a répété :
- C'est beau… encore…
J'ai un peu accéléré le rythme et j'ai à nouveau lâché une petite éjaculation…Elle s'est redressée et s'est retournée pour plaquer son ventre contre le mien en disant :
- J'aime savoir que tu bandes pour moi…je ne sais pas ce qui me prends, je voudrais t'avoir en moi en permanence… si on ne peut pas baiser régulièrement je crois que je deviendrai folle à lier…
Je lui ai souri sans savoir quoi lui dire. Je n'avais pas d'expérience en la matière mais l'intensité de son excitation me semblait anormale. Elle devait être nymphomane sans le savoir ou particulièrement insatisfaite depuis longtemps mais c'était assez impressionnant pour moi.
Je l'ai emmenée dans la salle de bains et nous avons pris notre douche ensemble, nous savonnant l'un l'autre et nous séchant de même…