Au sauna
Récit érotique écrit par Acool [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-10-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Au sauna
Après la douche, j'entre dans le hammam après avoir déposée ma serviette sur une patère au mur. La vapeur fait que je n'y vois rien ou quasiment rien. A peine des ombres, je file droit devant entre les deux rangées de fauteuils qui se font face. Je m’apprête à m'asseoir et suis arrêté dans mon mouvement par un mec qui m'attrape au passage. L'une de ses mains caresse mon torse et descend de suite sur mon sexe au repos. Quel accueil, est-ce celui avec qui j'avais rencard qui me saute ainsi dessus?
A peine le temps de me faire cette réflexion que mes mains parcourent déjà ce corps qui me ceinture et que je connais que trop bien. Oui c'est bien lui. A ce moment précis, nos deux bouches se soudent dans un palot d'enfer. Que cette bouche est sauvage, tout comme la façon dont Yann m'accueille. Yann a le milieu de trentaine, brun un peu dégarni sur le dessus, 1,70 pour 60 kilos, une gueule carrée, virile. Une crevette en fait, et c'est ce qui me fait fondre chez lui. Son aspect crevette et sa virilité de mec. Yann a un sexe dans la normale 17x3 environ. Il est actif mais je lui ai fait découvrir lors de notre première rencontre, le plaisir que pouvait procurer un sexe large, et depuis il est accro. Cela fait plus d'un an que nous nous connaissons, mais nous habitons à des distances importantes et les occasions de nous croiser en ce lieu de plaisirs se font rares.
C'est vrai que la dernière fois, la rage à pris le dessus et nous avions convenu de nous revoir très vite. Il est branché bears et mecs plus âgé que lui. Moi je me prénomme Grégoire et j'ai 50 ans, 174 un petit quintal poilu de partout sauf le sexe rasé. Et j'avoue que je suis bien monté d’après ce que l'on m'en dit. Ses mains ne savent à quelle zone de mon corps se vouer. L'une masturbe mon sexe avec vigueur. J'ai passée ma main dans sa nuque pendant que nos langues se mêlent. Je le sens en rut, une bête. Pas un mot juste des caresses suffisamment suggestives pour attirer les regards des trois mecs que je distingue désormais tout à fait qui nous matent et se paluchent. Yann me pousse pour que je plie mon corps et m'assoie. Sitôt fait, sa bouche vient prendre ma barre en bouche. Je bande bien sur et la douceur de sa langue et la chaleur de sa bouche agissent comme un détonateur. Je lance une douce plainte de contentement. Je soupire fortement en laissant s'échapper de voluptueux grognements. La bouche quitte mon membre de chair et revient se coller à la mienne. J'aime l'ardeur de ce mec. Il en veut et va en avoir. Notre échange commence de façon très hot. Je caresse ses fesses, deux magnifiques quartiers fermes et tendres à la fois. Le genre de petit cul que j'adore peloter . Mon index effleure l'espace qui les sépare. Yann se braque de surprise, car ce contact l'électrise. Mais je ne veux rien hâter. Tout va se faire sans précipitations, c'est tellement bon de se désirer ainsi. Il faut faire durer le plaisir réciproque que nous partageons. Nous ne nous rencontrons que de temps à autre, et il serait stupide de ne pas profiter de ces instants en les prolongeant un max.
Nos corps se touchent, nos mains nous palpent, nos bouches sont à l'unisson. Tout roule ainsi, et mon partenaire me claque gentiment les fesses et je fais de même. Il n'y a rien d'une attitude de soumission, rien que des gestes affectifs qui trahissent néanmoins notre impatience. Puis la bouche de Yann revient emboucher mon vit. Il se concentre sur mon gland et le pompe avidement. Je l'aide en maintenant sa tête de mes deux mains pour qu'il fasse coulisser au fond de sa gorge mon dard. Puis je relâche pour le laisser reprendre sa respiration. Voila déjà bien un quart d'heure que nous sommes ainsi en action dans le hammam. Nous décidons d'en sortir. Yann est devant , il tient ma bite de sa main gauche pour m'emmener avec lui. Nous prenons nos serviettes en passant et il me tire ainsi jusqu’à la première cabine que nous trouvons. Ma bite est majestueuse, turgescente à souhait.
Je sais qu'il kiffe. Il me pousse sur la couche qui est face à nous et viens se ruer sur moi. Et le contact épidermique de nos corps nous soude de la tête aux pieds. Punaise, je bande un max et mon partenaire positionne mon sexe entre ses jambes. Et il me dit qu'il est accro à ma bite, qu'il n'en a jamais eu d'aussi grosse, que pour un actif qu'il était auparavant. Il se fait salope et soumis pour moi. Qu'il comprend que les mecs que je rencontre veulent toujours se prendre ma bite. Il lit mes aventures en fait . Ces paroles m'excitent et je profite d'un moment ou il parle pour le faire basculer sur le coté et venir grimper sur lui. Nous avons inversé les rôles. Tout le poids de mon corps est par dessus lui. Ma petite crevette est écrasée et il ne manque pas de me dire que : «Ça il adore» que cela lui fait un max d'effets que je l'écrase ainsi. Il caresse la toison de ma poitrine et glisse une main vers mon entre jambes pour mettre ma queue au contact de la sienne sur nos abdos. Les bites se touchent et se frottent. Je sens ses burnes juste au bout de mon gland, puis ma tige passe entre ses jambes et viens caresser la raie de ses fesses. Il soupire, et glousse à la fois. Puis voilà qu'il ouvre sa bouche et viens me mordre le menton. Quelle rage. Il est à point Yann.
-Oh Greg, elle me rend dingue ta queue, je ne peux plus m'en passer. Qu'elle est belle, qu'elle est grosse. Je l'aime trop.
-Et tu vas la sentir Yann, car c'est pour toi qu'elle est si gonflée. J'ai trop envie de te baiser.
-Oh oui ne t'en prives pas.
C'est une supplique, un appel à la queue ça. Une évidence. Ce mec qui se dit actif est devenu un bon passif, qui demande à se faire enfiler et à recevoir un max dans son petit boule. Ah ce petit boule tout fin et bien rond . Pour l'instant je caresse ses hanches, et ses jambes poilues que je kiffe. Il fait du frotti, frotta avec mon zgeg au centre de sa fente. Et chaque fois que mon gland effleure sa rosette, il soupire. Puis ses mains s'abattent sur mon torse pour le serrer, le pincer fortement, c'est mon corps tout entier qu'il kiffe.
Il se soulève pour attraper du gel dans le coin de la cabine. Et il en enduit consciencieusement sa fente. Humm j'aime ce moment ou le sexe palpite avant de passer à l'offensive. Il tartine mon gland de gel et nous continuons ainsi le jeux des frottement peau contre peau. Ma tête chercheuse se fige sur sa fente par moments, pour continuer le frottement le long de sa fente dans le sens opposé à la pénétration. Cela le rend fou. Il demande grâce. Il est assis sur mon torse et son sexe est à quelques centimètres de ma bouche. Je tire ma langue et atteins son prépuce décalotté. Je le lèche et il se rapproche de moi pour que je prenne son sexe en bouche. Humm je le chouchoute et le gloutonne dans entre mes lèvres. Mais je le sens impatient d'autre chose.
Oh Greg viens mettre ton gros zob dans ma fente, je n'en peux plus, il me le faut.
Tu aimes trop, tu la veux bien au fond de ton antre.
Oui tu as fait de moi une pute, je veux que tu me baises.
Tu me fais trop de bien.
A peine a t-il fini sa phrase qu'il descend méthodiquement en s'embrochant sur mon vit. Il n'est pas complètement descendu, que déjà j'entame un soulèvement de mon bassin en cadence pour le bourrer.
Aaaahhh ! Crie t-il.
C'est un cri de joie de sentir cette masse de chair aller dans ses tréfonds.
Je le sens s'écarter, mon sexe pénètre, bien à fond, et le cadencement m'excite un peu plus. Le voilà qu'il monte rageusement puis redescend dessus à une vitesse vertigineuse, et dés qu'il arrête, moi je commence mes vas et vient. Que du bonheur. Si certains se demandent: «Il est ou le bonheur, il est ou ou ou?...»Moi je sais ou il est. Je demande que le temps s’arrête pour savourer ces moments et me dire que je ne rêve pas.
Nos ruades continuent ainsi, puis je lui dis que je veux le prendre en levrette.
Tout ce que tu veux. Souffle t'il. Je suis à toi, tu fais comme ça te conviensIl se positionne à quatre pattes et je viens l'embrocherTu vois ma queue connaît le chemin , je n'ai pas à la guider , elle trouve l'ouverture toute seule.
Tu as vu comment tu m'a éclaté déjà ? Touches mon trou me dit il. C'est un gouffre.
Effectivement, sa chatte est bien écartée, et ne demande qu'à se faire saillir. Et c'est ce que je fais, avec quelques brusques ruades qui le font se coucher sur le ventre. Et je viens le pilonner à fond. Et Yann crie, il hurle désormais, de plaisir à chaque fois que je m'enfonce à fond entre ses jambes.
Oh la la... oh la la … ce que tu me fais subir... C'est pas possible... Trop bon.
Tu es fait pour cela Yann. Tu aimes trop te faire prendre. Tu prends du plaisir avec mon engin.
Oh oui, c'est sur, tu as fait de moi ta salope. J'aime trop ta queue, j'y pense tous les jours. Et j'en deviens fou.
Mon poids l'écrase pour qu'il sente encore mieux cette masse de chair qui le pistonne, comme un marteau piqueur. Et il couine un max, avec parfois un cri strident dés que je m'enfonce. Il prend un plaisir évident ainsi.
Il me demande de changer de position. Et me fait rallonger sur la couche, pour venir de nouveau s'embrocher face à moi.
Son visage me surplombe, je vois la fièvre ardente dedans, nos mains se joignent et je redresse mon corps pour venir l'embrasser et le serrer tout en le gardant empalé sur mon zob. Nous restons quelques secondes ainsi lié l'un à l'autre par ma queue. Puis mon sexe se retire de lui même par la tension de nos corps.
Je lui propose la position levrette debout. Son buste repose sur la couche moi je me tiens derrière lui. J'attrape ses hanches et je rentre en mode bourrin du premier coup tellement son trou est bien dilaté. Et je le ramone ainsi gentiment à une cadence de croisière.
Yann lance des oui...oui...oouuouiii !
Il me propose de se mettre à quatre pattes sur le matelas. Je reste debout puis me réintroduis puis je monte à mon tour sur le rebord du matelas pour donner davantage d'impulsion. Mes jambes sont tendues à la verticale , je suis sur la pointe des pieds maintenant car je me suis déplacé dans le sens de la longueur et je le bourre avec hargne. J'ai trop envie, mes forces se décuplent. Il prend cher, mais il adore.
Que c'est bon de donner autant. Je prend autant de plaisir à donner que lui à recevoir. Je commence à faiblir, ma queue se rétracte un peu car nous sommes dans cette cabine depuis au moins une heure. Il attrape toujours mon sexe en s'extasiant sur son volume, et touche ses fesses pour réaliser qu'il l'a bien pris en entier. Nous nous caressons sur tout le corps encore et toujours. Puis il me dit.
Tu vois je bande aussi, mes envies d'actif resurgissent.
Viens Yann j'ai envie que tu me baises aussi.
T’inquiètes pas j'aime trop ton cul aussiViens là ma salope
Et il joint le geste à la parole , en me faisant glisser sur la couche trempée de nos sueurs mêlées. Il me positionne le cul au bord du matelas jambes dans le vide. Il enfile la capote et m'enduit le derrière. Sa bite est bien raide , et c'est d'un coup sec qu'il entre en moi. L'excitation à fait son œuvre, et je l'accueille par un feulement de plaisir.
Il se repositionne pour commencer à activer des coups de reins vigoureux. Je prend à mon tour. Son énergie est grande. Mes jambes sont pliées en l'air et il attrape l'un d'elle pour la mettre à la verticale. Et il entre sa queue encore plus loin. Et je sens ses burnes me fouetter les fesses. Et je couine. Oui c'est trop bon de s' abandonner ainsi. J'aime faire l'amour bestialement avec ce mec. Le prendre et me donner à lui. Mêler cette énergie. C'est unique, c'est certainement la raison pour laquelle nous aimons nous retrouver, même si ce n'est que de temps à autre. Ces instants sont magiques. On ne ressentirait peut être pas la même chose si c'était plus fréquent?
Mes jambes sont à nouveau pliées. Il tient fermement mes hanches et me rapproche du bord pour bien me prendre à fond. Je pousse des petits cris de vierge effarouchée. Je l'entends me dire.
J'ai été ta pute, à toi d’être la mienne. Oh la la ...oh lala
Son souffle devient court, il stoppe quelques secondes pour repartir de plus belle. Il accélère, je sens ses jambes fléchir, je sais qu'il va venir. Il s'emballe puis lance un cri au moment ou je couine avec lui. Quatre, cinq coups de bites plus puissants et il s'affale sur moi. Il vient de jouir. C'est trop bon. Nos corps sont repus. Il revient fébrilement à lui en se redressant. Son corps s 'éloigne du mien. Il ôte la capote.
Putain j'ai bien juté, la capote est pleine me dit-il. Je n'en peux plus, c'était trop bon tout cela.
Je lui propose de venir s'allonger à mes cotés. Nous restons ainsi étreints pendant de longues minutes à reprendre nos esprits. Nos corps trempés par la transpiration. Nos mains caressant mutuellement nos torses. Puis nous nous dirigeons vers les douches ou nous nous séparons. Chacun souhaite profiter de cette après midi. J'ai envie de jouir à mon tour, puisqu'en bon actif je me suis retenu.
Direction le mur à sucettes, vers le fond . Je positionne mon sexe dans un trou. Quelques secondes suffisent pour que des doigts vite remplacés par une bouche s'activent dessus. Deux mecs surgissent ensemble dans le minuscule couloir du glory hole. L'un est grand 1,85 crane rasé, gueule carrée 40 ans environ , belle queue bien bandée que j'agrippe au passage. Il me contourne et viens se placer à ma droite. Je le branle et le caresse , lui me touche le torse. Le second est barbu 1,75, 70 kilos 45 ans je dirais, il porte des lunettes et ne se gène pas pour passer sa main entre la plaque de bois pour aller tâter mes burnes et la base de ma queue qui est pris en bouche de l'autre coté. Je porte ma main sur sa serviette que j'écarte. Mon autre main masse le trou du plus grand à ma droite qui semble apprécier. Sous la serviette je découvre une belle queue de 19x4 bien relevée. Je m'écarte du trou pour venir dévoiler mon attirail. Le barbu chope ma bite et la branle vigoureusement. Le plus grand s'écarte et repart.
Nous nous paluchons ainsi et je lui propose d'aller nous mettre à l'aise dans une cabine. Sitôt entré nous nous lançons dans un 69 endiablé. J'aime sucer aussi et me faire sucer. Ma langue par de son gland, pour descendre jusqu'à ses testicules. Et je lèche ainsi de haut en bas, puis de bas en haut pour ensuite prendre à pleine bouche son gland. Je sens une petite goutte de précum perler. Et je m'active. De son coté mon acolyte n'est pas en reste, je prend du plaisir à ce qu'il me fait subir. Il caresse mes burnes et suce tout lentement. Ce qui est loin d’être désagréable. Moi je mordille ses deux abricots , son sexe est doux , bien rasé de prés et je prends plaisir à le mordiller. Il susurre tout comme moi sous ses caresses. Je lui propose de le prendre, car je masse son petit trou.
Je suis seulement actif me répond-ilQu'a ne cela ne tienne. Je suis partant et je lui présente mes fesses en levrette. Et le voilà parti après avoir enfilé le préservatif. Une noisette de gel dessus et il me ramone copieusement la chatte. Il y va à bon train. Je couine , je trémousse mon postérieur et lui dit de bien me bourrer à fond. Et me voilà encore à miauler et à demander mon compte. Je bande un max, chose pas toujours effective quand on se fait prendre. Il me lime avec vigueur. Je me positionne jambes au sol et torse posé sur le rebord du matelas. Il revient de plus belle et me pilonne. Puis il freine son élan, je le sens chancelant. Effectivement il revient en profondeur me donner le coup de grâce. Il vient de jouir. Il se retire et me propose de me faire jouir à mon tour. Je m'allonge à nouveau il met du gel sur la base de ma queue pour bien la branler, et vient prendre mon gland en bouche. Parfois il tire la langue et me titille le bout. Quelques minutes de ce doux traitement auront raison de ma semence. Je me répand d'une quantité bien supérieure à d'habitude. Quel soulagement, quel bonheur. Je repasse par les douches, puis me sèche dans le sauna, avant de repartir. Quelle belle journée.
A peine le temps de me faire cette réflexion que mes mains parcourent déjà ce corps qui me ceinture et que je connais que trop bien. Oui c'est bien lui. A ce moment précis, nos deux bouches se soudent dans un palot d'enfer. Que cette bouche est sauvage, tout comme la façon dont Yann m'accueille. Yann a le milieu de trentaine, brun un peu dégarni sur le dessus, 1,70 pour 60 kilos, une gueule carrée, virile. Une crevette en fait, et c'est ce qui me fait fondre chez lui. Son aspect crevette et sa virilité de mec. Yann a un sexe dans la normale 17x3 environ. Il est actif mais je lui ai fait découvrir lors de notre première rencontre, le plaisir que pouvait procurer un sexe large, et depuis il est accro. Cela fait plus d'un an que nous nous connaissons, mais nous habitons à des distances importantes et les occasions de nous croiser en ce lieu de plaisirs se font rares.
C'est vrai que la dernière fois, la rage à pris le dessus et nous avions convenu de nous revoir très vite. Il est branché bears et mecs plus âgé que lui. Moi je me prénomme Grégoire et j'ai 50 ans, 174 un petit quintal poilu de partout sauf le sexe rasé. Et j'avoue que je suis bien monté d’après ce que l'on m'en dit. Ses mains ne savent à quelle zone de mon corps se vouer. L'une masturbe mon sexe avec vigueur. J'ai passée ma main dans sa nuque pendant que nos langues se mêlent. Je le sens en rut, une bête. Pas un mot juste des caresses suffisamment suggestives pour attirer les regards des trois mecs que je distingue désormais tout à fait qui nous matent et se paluchent. Yann me pousse pour que je plie mon corps et m'assoie. Sitôt fait, sa bouche vient prendre ma barre en bouche. Je bande bien sur et la douceur de sa langue et la chaleur de sa bouche agissent comme un détonateur. Je lance une douce plainte de contentement. Je soupire fortement en laissant s'échapper de voluptueux grognements. La bouche quitte mon membre de chair et revient se coller à la mienne. J'aime l'ardeur de ce mec. Il en veut et va en avoir. Notre échange commence de façon très hot. Je caresse ses fesses, deux magnifiques quartiers fermes et tendres à la fois. Le genre de petit cul que j'adore peloter . Mon index effleure l'espace qui les sépare. Yann se braque de surprise, car ce contact l'électrise. Mais je ne veux rien hâter. Tout va se faire sans précipitations, c'est tellement bon de se désirer ainsi. Il faut faire durer le plaisir réciproque que nous partageons. Nous ne nous rencontrons que de temps à autre, et il serait stupide de ne pas profiter de ces instants en les prolongeant un max.
Nos corps se touchent, nos mains nous palpent, nos bouches sont à l'unisson. Tout roule ainsi, et mon partenaire me claque gentiment les fesses et je fais de même. Il n'y a rien d'une attitude de soumission, rien que des gestes affectifs qui trahissent néanmoins notre impatience. Puis la bouche de Yann revient emboucher mon vit. Il se concentre sur mon gland et le pompe avidement. Je l'aide en maintenant sa tête de mes deux mains pour qu'il fasse coulisser au fond de sa gorge mon dard. Puis je relâche pour le laisser reprendre sa respiration. Voila déjà bien un quart d'heure que nous sommes ainsi en action dans le hammam. Nous décidons d'en sortir. Yann est devant , il tient ma bite de sa main gauche pour m'emmener avec lui. Nous prenons nos serviettes en passant et il me tire ainsi jusqu’à la première cabine que nous trouvons. Ma bite est majestueuse, turgescente à souhait.
Je sais qu'il kiffe. Il me pousse sur la couche qui est face à nous et viens se ruer sur moi. Et le contact épidermique de nos corps nous soude de la tête aux pieds. Punaise, je bande un max et mon partenaire positionne mon sexe entre ses jambes. Et il me dit qu'il est accro à ma bite, qu'il n'en a jamais eu d'aussi grosse, que pour un actif qu'il était auparavant. Il se fait salope et soumis pour moi. Qu'il comprend que les mecs que je rencontre veulent toujours se prendre ma bite. Il lit mes aventures en fait . Ces paroles m'excitent et je profite d'un moment ou il parle pour le faire basculer sur le coté et venir grimper sur lui. Nous avons inversé les rôles. Tout le poids de mon corps est par dessus lui. Ma petite crevette est écrasée et il ne manque pas de me dire que : «Ça il adore» que cela lui fait un max d'effets que je l'écrase ainsi. Il caresse la toison de ma poitrine et glisse une main vers mon entre jambes pour mettre ma queue au contact de la sienne sur nos abdos. Les bites se touchent et se frottent. Je sens ses burnes juste au bout de mon gland, puis ma tige passe entre ses jambes et viens caresser la raie de ses fesses. Il soupire, et glousse à la fois. Puis voilà qu'il ouvre sa bouche et viens me mordre le menton. Quelle rage. Il est à point Yann.
-Oh Greg, elle me rend dingue ta queue, je ne peux plus m'en passer. Qu'elle est belle, qu'elle est grosse. Je l'aime trop.
-Et tu vas la sentir Yann, car c'est pour toi qu'elle est si gonflée. J'ai trop envie de te baiser.
-Oh oui ne t'en prives pas.
C'est une supplique, un appel à la queue ça. Une évidence. Ce mec qui se dit actif est devenu un bon passif, qui demande à se faire enfiler et à recevoir un max dans son petit boule. Ah ce petit boule tout fin et bien rond . Pour l'instant je caresse ses hanches, et ses jambes poilues que je kiffe. Il fait du frotti, frotta avec mon zgeg au centre de sa fente. Et chaque fois que mon gland effleure sa rosette, il soupire. Puis ses mains s'abattent sur mon torse pour le serrer, le pincer fortement, c'est mon corps tout entier qu'il kiffe.
Il se soulève pour attraper du gel dans le coin de la cabine. Et il en enduit consciencieusement sa fente. Humm j'aime ce moment ou le sexe palpite avant de passer à l'offensive. Il tartine mon gland de gel et nous continuons ainsi le jeux des frottement peau contre peau. Ma tête chercheuse se fige sur sa fente par moments, pour continuer le frottement le long de sa fente dans le sens opposé à la pénétration. Cela le rend fou. Il demande grâce. Il est assis sur mon torse et son sexe est à quelques centimètres de ma bouche. Je tire ma langue et atteins son prépuce décalotté. Je le lèche et il se rapproche de moi pour que je prenne son sexe en bouche. Humm je le chouchoute et le gloutonne dans entre mes lèvres. Mais je le sens impatient d'autre chose.
Oh Greg viens mettre ton gros zob dans ma fente, je n'en peux plus, il me le faut.
Tu aimes trop, tu la veux bien au fond de ton antre.
Oui tu as fait de moi une pute, je veux que tu me baises.
Tu me fais trop de bien.
A peine a t-il fini sa phrase qu'il descend méthodiquement en s'embrochant sur mon vit. Il n'est pas complètement descendu, que déjà j'entame un soulèvement de mon bassin en cadence pour le bourrer.
Aaaahhh ! Crie t-il.
C'est un cri de joie de sentir cette masse de chair aller dans ses tréfonds.
Je le sens s'écarter, mon sexe pénètre, bien à fond, et le cadencement m'excite un peu plus. Le voilà qu'il monte rageusement puis redescend dessus à une vitesse vertigineuse, et dés qu'il arrête, moi je commence mes vas et vient. Que du bonheur. Si certains se demandent: «Il est ou le bonheur, il est ou ou ou?...»Moi je sais ou il est. Je demande que le temps s’arrête pour savourer ces moments et me dire que je ne rêve pas.
Nos ruades continuent ainsi, puis je lui dis que je veux le prendre en levrette.
Tout ce que tu veux. Souffle t'il. Je suis à toi, tu fais comme ça te conviensIl se positionne à quatre pattes et je viens l'embrocherTu vois ma queue connaît le chemin , je n'ai pas à la guider , elle trouve l'ouverture toute seule.
Tu as vu comment tu m'a éclaté déjà ? Touches mon trou me dit il. C'est un gouffre.
Effectivement, sa chatte est bien écartée, et ne demande qu'à se faire saillir. Et c'est ce que je fais, avec quelques brusques ruades qui le font se coucher sur le ventre. Et je viens le pilonner à fond. Et Yann crie, il hurle désormais, de plaisir à chaque fois que je m'enfonce à fond entre ses jambes.
Oh la la... oh la la … ce que tu me fais subir... C'est pas possible... Trop bon.
Tu es fait pour cela Yann. Tu aimes trop te faire prendre. Tu prends du plaisir avec mon engin.
Oh oui, c'est sur, tu as fait de moi ta salope. J'aime trop ta queue, j'y pense tous les jours. Et j'en deviens fou.
Mon poids l'écrase pour qu'il sente encore mieux cette masse de chair qui le pistonne, comme un marteau piqueur. Et il couine un max, avec parfois un cri strident dés que je m'enfonce. Il prend un plaisir évident ainsi.
Il me demande de changer de position. Et me fait rallonger sur la couche, pour venir de nouveau s'embrocher face à moi.
Son visage me surplombe, je vois la fièvre ardente dedans, nos mains se joignent et je redresse mon corps pour venir l'embrasser et le serrer tout en le gardant empalé sur mon zob. Nous restons quelques secondes ainsi lié l'un à l'autre par ma queue. Puis mon sexe se retire de lui même par la tension de nos corps.
Je lui propose la position levrette debout. Son buste repose sur la couche moi je me tiens derrière lui. J'attrape ses hanches et je rentre en mode bourrin du premier coup tellement son trou est bien dilaté. Et je le ramone ainsi gentiment à une cadence de croisière.
Yann lance des oui...oui...oouuouiii !
Il me propose de se mettre à quatre pattes sur le matelas. Je reste debout puis me réintroduis puis je monte à mon tour sur le rebord du matelas pour donner davantage d'impulsion. Mes jambes sont tendues à la verticale , je suis sur la pointe des pieds maintenant car je me suis déplacé dans le sens de la longueur et je le bourre avec hargne. J'ai trop envie, mes forces se décuplent. Il prend cher, mais il adore.
Que c'est bon de donner autant. Je prend autant de plaisir à donner que lui à recevoir. Je commence à faiblir, ma queue se rétracte un peu car nous sommes dans cette cabine depuis au moins une heure. Il attrape toujours mon sexe en s'extasiant sur son volume, et touche ses fesses pour réaliser qu'il l'a bien pris en entier. Nous nous caressons sur tout le corps encore et toujours. Puis il me dit.
Tu vois je bande aussi, mes envies d'actif resurgissent.
Viens Yann j'ai envie que tu me baises aussi.
T’inquiètes pas j'aime trop ton cul aussiViens là ma salope
Et il joint le geste à la parole , en me faisant glisser sur la couche trempée de nos sueurs mêlées. Il me positionne le cul au bord du matelas jambes dans le vide. Il enfile la capote et m'enduit le derrière. Sa bite est bien raide , et c'est d'un coup sec qu'il entre en moi. L'excitation à fait son œuvre, et je l'accueille par un feulement de plaisir.
Il se repositionne pour commencer à activer des coups de reins vigoureux. Je prend à mon tour. Son énergie est grande. Mes jambes sont pliées en l'air et il attrape l'un d'elle pour la mettre à la verticale. Et il entre sa queue encore plus loin. Et je sens ses burnes me fouetter les fesses. Et je couine. Oui c'est trop bon de s' abandonner ainsi. J'aime faire l'amour bestialement avec ce mec. Le prendre et me donner à lui. Mêler cette énergie. C'est unique, c'est certainement la raison pour laquelle nous aimons nous retrouver, même si ce n'est que de temps à autre. Ces instants sont magiques. On ne ressentirait peut être pas la même chose si c'était plus fréquent?
Mes jambes sont à nouveau pliées. Il tient fermement mes hanches et me rapproche du bord pour bien me prendre à fond. Je pousse des petits cris de vierge effarouchée. Je l'entends me dire.
J'ai été ta pute, à toi d’être la mienne. Oh la la ...oh lala
Son souffle devient court, il stoppe quelques secondes pour repartir de plus belle. Il accélère, je sens ses jambes fléchir, je sais qu'il va venir. Il s'emballe puis lance un cri au moment ou je couine avec lui. Quatre, cinq coups de bites plus puissants et il s'affale sur moi. Il vient de jouir. C'est trop bon. Nos corps sont repus. Il revient fébrilement à lui en se redressant. Son corps s 'éloigne du mien. Il ôte la capote.
Putain j'ai bien juté, la capote est pleine me dit-il. Je n'en peux plus, c'était trop bon tout cela.
Je lui propose de venir s'allonger à mes cotés. Nous restons ainsi étreints pendant de longues minutes à reprendre nos esprits. Nos corps trempés par la transpiration. Nos mains caressant mutuellement nos torses. Puis nous nous dirigeons vers les douches ou nous nous séparons. Chacun souhaite profiter de cette après midi. J'ai envie de jouir à mon tour, puisqu'en bon actif je me suis retenu.
Direction le mur à sucettes, vers le fond . Je positionne mon sexe dans un trou. Quelques secondes suffisent pour que des doigts vite remplacés par une bouche s'activent dessus. Deux mecs surgissent ensemble dans le minuscule couloir du glory hole. L'un est grand 1,85 crane rasé, gueule carrée 40 ans environ , belle queue bien bandée que j'agrippe au passage. Il me contourne et viens se placer à ma droite. Je le branle et le caresse , lui me touche le torse. Le second est barbu 1,75, 70 kilos 45 ans je dirais, il porte des lunettes et ne se gène pas pour passer sa main entre la plaque de bois pour aller tâter mes burnes et la base de ma queue qui est pris en bouche de l'autre coté. Je porte ma main sur sa serviette que j'écarte. Mon autre main masse le trou du plus grand à ma droite qui semble apprécier. Sous la serviette je découvre une belle queue de 19x4 bien relevée. Je m'écarte du trou pour venir dévoiler mon attirail. Le barbu chope ma bite et la branle vigoureusement. Le plus grand s'écarte et repart.
Nous nous paluchons ainsi et je lui propose d'aller nous mettre à l'aise dans une cabine. Sitôt entré nous nous lançons dans un 69 endiablé. J'aime sucer aussi et me faire sucer. Ma langue par de son gland, pour descendre jusqu'à ses testicules. Et je lèche ainsi de haut en bas, puis de bas en haut pour ensuite prendre à pleine bouche son gland. Je sens une petite goutte de précum perler. Et je m'active. De son coté mon acolyte n'est pas en reste, je prend du plaisir à ce qu'il me fait subir. Il caresse mes burnes et suce tout lentement. Ce qui est loin d’être désagréable. Moi je mordille ses deux abricots , son sexe est doux , bien rasé de prés et je prends plaisir à le mordiller. Il susurre tout comme moi sous ses caresses. Je lui propose de le prendre, car je masse son petit trou.
Je suis seulement actif me répond-ilQu'a ne cela ne tienne. Je suis partant et je lui présente mes fesses en levrette. Et le voilà parti après avoir enfilé le préservatif. Une noisette de gel dessus et il me ramone copieusement la chatte. Il y va à bon train. Je couine , je trémousse mon postérieur et lui dit de bien me bourrer à fond. Et me voilà encore à miauler et à demander mon compte. Je bande un max, chose pas toujours effective quand on se fait prendre. Il me lime avec vigueur. Je me positionne jambes au sol et torse posé sur le rebord du matelas. Il revient de plus belle et me pilonne. Puis il freine son élan, je le sens chancelant. Effectivement il revient en profondeur me donner le coup de grâce. Il vient de jouir. Il se retire et me propose de me faire jouir à mon tour. Je m'allonge à nouveau il met du gel sur la base de ma queue pour bien la branler, et vient prendre mon gland en bouche. Parfois il tire la langue et me titille le bout. Quelques minutes de ce doux traitement auront raison de ma semence. Je me répand d'une quantité bien supérieure à d'habitude. Quel soulagement, quel bonheur. Je repasse par les douches, puis me sèche dans le sauna, avant de repartir. Quelle belle journée.
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