Au sauna
Récit érotique écrit par JKJ33 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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Au sauna
Aujourd’hui, je suis seul à la maison. Je n’ai pas pour autant l’âme à me morfondre, je veux profiter un peu. Alors direction le Moon, ce club de « relaxation » que je connais déjà pour y avoir été deux ou trois fois. Même seul, je sais que je vais me détendre, le sauna et le hammam font du bien au corps de temps à autre, ça purge des impuretés !
Me voilà donc en tenue d’Adam, avec un pagne autour de la taille, vidé dès l’entrée … d’une somme non négligeable. Je déambule, bois un verre au bar et finis dans le jacuzzi, dos à un jet massant bien chaud. Zen, j’observe sans idée de séduction. Des couples en effet se forment, des mâles s’agrègent aux couples ou aux femmes seules venues s’éclater. C’est pour elles un supermarché, elles choisissent ou plutôt cèdent à l’un ou l’autre des prétendants. C’est un peu lourd comme drague, je n’aime pas cela et espère secrètement être repéré. C’est ma tactique, c’est nul mais sur un malentendu…
C’est d’ailleurs ce qui se passe. Un couple, la cinquantaine dirais je, s’installe près de moi. L’homme semble plutôt fatigué, ils arrivent déjà de l’étage…, la femme après quelques câlins à son homme, regarde à droite et à gauche, la chasse semble commencer. Je ne vois pas son corps immergé. Le visage n’est plus d’une grande fraicheur mais j’y lis les traits d’une femme décidée et coquine. D’ailleurs, sa poitrine dépassant de temps en temps la ligne de flottaison, est ferme et bien ronde. Ces seins refaits sont bien un témoin du besoin de plaire. Ce n’est pas la jeune et jolie fille de l’autre bout du jacuzzi, mais je ne suis pas un apollon, restons dans le raisonnable. Je pars donc à l’attaque. Je la fixe bien, lui montrant mon intérêt et me rapproche d’eux. Elle se met le dos contre le ventre de son mari qui peut ainsi lui caresser les seins et surement autre chose. Cela me permet d’en profiter un peu, étant aux premières loges. Elle n’est pas gênée. Elle me jette ce que je prends pour un regard d’encouragement, je tente alors d’entrer en conversation. Mais quoi dire ? Parler météo ou baise ? Après un premier bonsoir, le silence revient, pas bon. Je me force un peu : vous venez souvent ? De temps à autre. Moi je joue le novice et avoue mon manque d’expérience. Cela la fait sourire, bon début. Le mari n’ouvre pas la bouche et laisse faire. J’ai bien vu que c’est elle qui décide et qu’un seul homme ne la satisferait pas pour la soirée, il lui faut donc partager. Je décide donc de faire abstraction de lui. Les banalités ayant été dites, il faut passer à l’action pour concrétiser ou quitter, la queue basse, les lieux. J’avance un pied, espérant ne pas tomber sur celui de monsieur… banco, après l’approche par les pieds je pose ma main sur la cuisse. Test décisif. Rien ne semble la perturber alors je continue graduellement. J’effleure son sexe, son ventre jusqu’aux seins que je flatte naturellement. Décidant sans doute que ces préliminaires suffissent, elle se tourne vers moi et directement vient prendre mon sexe dans sa main pour commencer un mouvement de va-et-vient. Après quelques regards, elle m’embrasse, sans chaleur ni fougue mais avec une belle mécanique de langue. Je ne vais pas faire le difficile. Nous voilà maintenant à trois réunis, le mari s’étant ragaillardi et lui pelotant de nouveau les seins. Prise en sandwich, elle m’embrasse et doit avoir maintenant un sexe dans chaque main. C’est bon nous sommes chaud, il est temps de monter.
Nous sortons de l’eau, le sexe en érection, sous le regard amusé des autres couples et le regard jaloux des hommes seuls. Emotion partagée entre gêne et fierté d’un pêcheur ayant tiré une belle prise, enfin n’étant pas bredouille. Au demeurant, elle est bien conservée, le corps est ferme sans trop de cellulite. Elle a de grandes jambes et un jolie petit derrière. C’est le genre de femme à faire attention à son corps et son alimentation, à s’habiller moulant. Comment faire maintenant, avec le mari ? J’essaie de ne pas penser à lui et de me concentrer sur mon unique partenaire. Dans notre « cabine », je suis un peu gauche, ne prenant pas l’initiative. Mais en vieille habituée, voire d’un geste blasé, après un premier baiser, elle descend (trop) rapidement, vers mon sexe. Ma foi, une belle fellation. J’aime cela et elle sait y faire alternant les petits coups de langue sur le gland et la plaine saisie en bouche, jusqu’à la garde, sans oublier les bourses et la côté inférieur de mon phallus. Je lui masse le dos pendant ce temps. Son homme s’approche réclamant son dû et elle passe ainsi d’un sexe à l’autre. Je trouve cela bien excitant, elle aussi je pense vu son regard maintenant bien éveillée. Se focalisant ensuite sur celui de son homme, je comprends alors que je dois lui rendre l’appareil. M’allongeant sur le dos, je lui lèche le con pendant qu’elle continue de le sucer. Elle aime cela, lui aussi. Au bout de quelques temps, il prend l’initiative de la pénétrer en levrette et je me retrouve dans le second rôle de la sentir frémir à chaque coup de butoir. Je m’installe de l’autre côté et lui présente de nouveau mon sexe ! Elle aime ça la garce. Elle me suce frénétiquement quand l’autre accélère. Il éjacule mais elle ne semble pas satisfaite. Je comprends que c’est mon tour. Sans ménagement je la prends dans la même position. Elle m’excite avec ses gros seins qui se balancent à chaque mouvement. Mais, compte tenu de « ses heures de vol », son orifice est assez large et je ne trouve pas la bonne sensation de frottement. Certes le préservatif retreint les sensations, mais quand même ! Je profite alors de son excitation pour glisser un doigt mouillé dans son petit trou juste au-dessus.
Un petit cul, ça m’a toujours attiré et celui-là ne doit pas être vierge. Elle montre sa surprise et semble vouloir détourner de sa main mon offensive. Pour autant, elle ne cesse de gémir depuis tout à l’heure et c’est son homme qui vient à ma rescousse. S’étant nettoyé le gland, il le donne à la bouche de sa compagne pour qu’elle lui redonne une forme convenable en ces lieux et ramène vers son sexe la main qui voulait détourner la mienne de son derrière. Je me sens conforté dans mon entreprise et ce nouvel objectif me donne une vigueur supplémentaire qui accompagne chacun de mes mouvements. Le rythme s’accélère, elle ne gémit plus, elle crie désormais, bientôt sans retenue. J’exploite en concentrant mon doigté dans son petit cul. Un puis deux, avec des mouvements coordonnés de mes coups de sexe. Quand je sens que les tissus sont relaxés et que les doigts coulissent, je me retire et dirige mon sexe vers ce trou plus si petit que cela. Elle sait ce qui se passe, m’incite par son vocabulaire de charretière et m’accueille avec un nouveau cri. Je suis excité comme un fou. Mouillant abondamment, malgré le préservatif mon sexe est bien humide et je la pénètre délicatement. Lentement mais surement, elle ne peut m’arrêter tant que je sens son corps réceptif. Je prends beaucoup de plaisir, bien plus que la pénétration vaginale. D’abord parce que c’est plus étroit, ensuite par ce que je la domine réellement. Elle est soumise à mon rythme et ses cris m’excitent toujours plus. Plus elle hurle dans le couloir plus cela me ragaillardit. Une fois bien entrée, je fais une pause, permettant à son corps de s’adapter et moi de me retenir un peu. Puis je recommence les mouvements de va-et-vient, mais beaucoup plus lentement que dans son vagin. Lui rebande complétement et les mains dans sa chevelure, ne lui laisse pas trop loisir de crier pour qu’elle le suce. Il semble aussi bien excité de la situation et j’imagine qu’il n’en attendait pas moins de moi. Je sens que ça monte sévèrement, aussi j’accélère le rythme et il la laisse crier. Cela renforce encore mon ardeur et j’explose en criant un râle peu élégant. Elle aussi a un orgasme tandis qu’elle branle frénétiquement son homme qui finit par éjaculer sur son visage.
Quel bouquet final ! Mon cœur met du temps à baisser de fréquence. J’ai l’impression d’avoir réalisé un exploit sportif, il n’y peut-être pas eu de tendresse mais je suis heureux de cette expérience. Et puis cette femme mûre, quel bon coup ! Pas sûr qu’avec la jolie bonde trentenaire du jacuzzi j’aurai pris mon pied de cette manière. Du coup, j’ai moins de peine à vieillir, il reste encore de belles choses à vivre…
Me voilà donc en tenue d’Adam, avec un pagne autour de la taille, vidé dès l’entrée … d’une somme non négligeable. Je déambule, bois un verre au bar et finis dans le jacuzzi, dos à un jet massant bien chaud. Zen, j’observe sans idée de séduction. Des couples en effet se forment, des mâles s’agrègent aux couples ou aux femmes seules venues s’éclater. C’est pour elles un supermarché, elles choisissent ou plutôt cèdent à l’un ou l’autre des prétendants. C’est un peu lourd comme drague, je n’aime pas cela et espère secrètement être repéré. C’est ma tactique, c’est nul mais sur un malentendu…
C’est d’ailleurs ce qui se passe. Un couple, la cinquantaine dirais je, s’installe près de moi. L’homme semble plutôt fatigué, ils arrivent déjà de l’étage…, la femme après quelques câlins à son homme, regarde à droite et à gauche, la chasse semble commencer. Je ne vois pas son corps immergé. Le visage n’est plus d’une grande fraicheur mais j’y lis les traits d’une femme décidée et coquine. D’ailleurs, sa poitrine dépassant de temps en temps la ligne de flottaison, est ferme et bien ronde. Ces seins refaits sont bien un témoin du besoin de plaire. Ce n’est pas la jeune et jolie fille de l’autre bout du jacuzzi, mais je ne suis pas un apollon, restons dans le raisonnable. Je pars donc à l’attaque. Je la fixe bien, lui montrant mon intérêt et me rapproche d’eux. Elle se met le dos contre le ventre de son mari qui peut ainsi lui caresser les seins et surement autre chose. Cela me permet d’en profiter un peu, étant aux premières loges. Elle n’est pas gênée. Elle me jette ce que je prends pour un regard d’encouragement, je tente alors d’entrer en conversation. Mais quoi dire ? Parler météo ou baise ? Après un premier bonsoir, le silence revient, pas bon. Je me force un peu : vous venez souvent ? De temps à autre. Moi je joue le novice et avoue mon manque d’expérience. Cela la fait sourire, bon début. Le mari n’ouvre pas la bouche et laisse faire. J’ai bien vu que c’est elle qui décide et qu’un seul homme ne la satisferait pas pour la soirée, il lui faut donc partager. Je décide donc de faire abstraction de lui. Les banalités ayant été dites, il faut passer à l’action pour concrétiser ou quitter, la queue basse, les lieux. J’avance un pied, espérant ne pas tomber sur celui de monsieur… banco, après l’approche par les pieds je pose ma main sur la cuisse. Test décisif. Rien ne semble la perturber alors je continue graduellement. J’effleure son sexe, son ventre jusqu’aux seins que je flatte naturellement. Décidant sans doute que ces préliminaires suffissent, elle se tourne vers moi et directement vient prendre mon sexe dans sa main pour commencer un mouvement de va-et-vient. Après quelques regards, elle m’embrasse, sans chaleur ni fougue mais avec une belle mécanique de langue. Je ne vais pas faire le difficile. Nous voilà maintenant à trois réunis, le mari s’étant ragaillardi et lui pelotant de nouveau les seins. Prise en sandwich, elle m’embrasse et doit avoir maintenant un sexe dans chaque main. C’est bon nous sommes chaud, il est temps de monter.
Nous sortons de l’eau, le sexe en érection, sous le regard amusé des autres couples et le regard jaloux des hommes seuls. Emotion partagée entre gêne et fierté d’un pêcheur ayant tiré une belle prise, enfin n’étant pas bredouille. Au demeurant, elle est bien conservée, le corps est ferme sans trop de cellulite. Elle a de grandes jambes et un jolie petit derrière. C’est le genre de femme à faire attention à son corps et son alimentation, à s’habiller moulant. Comment faire maintenant, avec le mari ? J’essaie de ne pas penser à lui et de me concentrer sur mon unique partenaire. Dans notre « cabine », je suis un peu gauche, ne prenant pas l’initiative. Mais en vieille habituée, voire d’un geste blasé, après un premier baiser, elle descend (trop) rapidement, vers mon sexe. Ma foi, une belle fellation. J’aime cela et elle sait y faire alternant les petits coups de langue sur le gland et la plaine saisie en bouche, jusqu’à la garde, sans oublier les bourses et la côté inférieur de mon phallus. Je lui masse le dos pendant ce temps. Son homme s’approche réclamant son dû et elle passe ainsi d’un sexe à l’autre. Je trouve cela bien excitant, elle aussi je pense vu son regard maintenant bien éveillée. Se focalisant ensuite sur celui de son homme, je comprends alors que je dois lui rendre l’appareil. M’allongeant sur le dos, je lui lèche le con pendant qu’elle continue de le sucer. Elle aime cela, lui aussi. Au bout de quelques temps, il prend l’initiative de la pénétrer en levrette et je me retrouve dans le second rôle de la sentir frémir à chaque coup de butoir. Je m’installe de l’autre côté et lui présente de nouveau mon sexe ! Elle aime ça la garce. Elle me suce frénétiquement quand l’autre accélère. Il éjacule mais elle ne semble pas satisfaite. Je comprends que c’est mon tour. Sans ménagement je la prends dans la même position. Elle m’excite avec ses gros seins qui se balancent à chaque mouvement. Mais, compte tenu de « ses heures de vol », son orifice est assez large et je ne trouve pas la bonne sensation de frottement. Certes le préservatif retreint les sensations, mais quand même ! Je profite alors de son excitation pour glisser un doigt mouillé dans son petit trou juste au-dessus.
Un petit cul, ça m’a toujours attiré et celui-là ne doit pas être vierge. Elle montre sa surprise et semble vouloir détourner de sa main mon offensive. Pour autant, elle ne cesse de gémir depuis tout à l’heure et c’est son homme qui vient à ma rescousse. S’étant nettoyé le gland, il le donne à la bouche de sa compagne pour qu’elle lui redonne une forme convenable en ces lieux et ramène vers son sexe la main qui voulait détourner la mienne de son derrière. Je me sens conforté dans mon entreprise et ce nouvel objectif me donne une vigueur supplémentaire qui accompagne chacun de mes mouvements. Le rythme s’accélère, elle ne gémit plus, elle crie désormais, bientôt sans retenue. J’exploite en concentrant mon doigté dans son petit cul. Un puis deux, avec des mouvements coordonnés de mes coups de sexe. Quand je sens que les tissus sont relaxés et que les doigts coulissent, je me retire et dirige mon sexe vers ce trou plus si petit que cela. Elle sait ce qui se passe, m’incite par son vocabulaire de charretière et m’accueille avec un nouveau cri. Je suis excité comme un fou. Mouillant abondamment, malgré le préservatif mon sexe est bien humide et je la pénètre délicatement. Lentement mais surement, elle ne peut m’arrêter tant que je sens son corps réceptif. Je prends beaucoup de plaisir, bien plus que la pénétration vaginale. D’abord parce que c’est plus étroit, ensuite par ce que je la domine réellement. Elle est soumise à mon rythme et ses cris m’excitent toujours plus. Plus elle hurle dans le couloir plus cela me ragaillardit. Une fois bien entrée, je fais une pause, permettant à son corps de s’adapter et moi de me retenir un peu. Puis je recommence les mouvements de va-et-vient, mais beaucoup plus lentement que dans son vagin. Lui rebande complétement et les mains dans sa chevelure, ne lui laisse pas trop loisir de crier pour qu’elle le suce. Il semble aussi bien excité de la situation et j’imagine qu’il n’en attendait pas moins de moi. Je sens que ça monte sévèrement, aussi j’accélère le rythme et il la laisse crier. Cela renforce encore mon ardeur et j’explose en criant un râle peu élégant. Elle aussi a un orgasme tandis qu’elle branle frénétiquement son homme qui finit par éjaculer sur son visage.
Quel bouquet final ! Mon cœur met du temps à baisser de fréquence. J’ai l’impression d’avoir réalisé un exploit sportif, il n’y peut-être pas eu de tendresse mais je suis heureux de cette expérience. Et puis cette femme mûre, quel bon coup ! Pas sûr qu’avec la jolie bonde trentenaire du jacuzzi j’aurai pris mon pied de cette manière. Du coup, j’ai moins de peine à vieillir, il reste encore de belles choses à vivre…
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