Au service de Madame
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Au service de Madame
Un chemisier sous son manteau ouvert qui moule une poitrine si volumineuse, qu’elle parait artificielle. En toute discrétion mes yeux s’attardent sur ses formes généreuses.
Sans être vraiment belle, il émane de France une sorte de magnétisme sensuel que démentent son visage assez charmant de blonde, et ses grands yeux bleus constamment étonnés, partiellement dissimulés par des lunettes, qui lui donnent un faux air innocent. La différence avec son air de cérébrale un peu vaporeuse venant de sa bouche moelleuse, de son corps délicat, au corsage étroit qui soutient une poitrine généreuse.
Plusieurs fois dans la soirée, nos regards avec France, se sont rencontrés. Et comme par enchantement voilà qu’il m’est demandé d’aller lui fermé les volets. je sais parfaitement à quoi cela consiste.
-Je vais dès à présent Madame, lui fais-je à ma patronne et pas moins maîtresse.
Et me voilà grimpant les étages, avec la pensée qu’il va se passer quelque chose avec la bourgeoise. Je prends le couloir sombre qui va me mener jusqu’à la porte de la chambre allouée au couple.
Avant de frapper à la porte je m’interroge sur la sexualité du couple, formé de la blonde et du petit homme à la barbiche, en train de parler affaire en ce moment dans le fumoir. Est-il encore capable d‘advenir à aux besoins sexuels de sa blondinette ? ou alors, se contente-t-elle s’assouvir ses besoins en se triturant son bouton. Je ricane tout seul à l’idée de lui servir de poupée gonflable. Je toque à la porte et une petite voix m’autorise l’accès.
-Bonsoir Madame, je viens pour les volets.
-Faites-donc !
Je surprends une rougeur sur les joues de France. En même temps que son souffle s’accélère. Elle semble saisie d’émois que je devine bien pourquoi. Tout en faisant semblant à s’intéresser à son livre, elle me jette de vifs regards de temps à autre, sourcils froncés.
Je commence par ceux de la chambre, gardant la salle d’eau pour la suite. Comme la toile de sa chemise de nuit est du genre légère, je n’es pas trop de mal à remarquer les pointes de ses seins dessous, très relevées. Une chaleur connue commence à me chatouiller généreusement les couilles.
Je passe comme convenu dans l’autre pièce adjacente, et je ne suis pas surpris d’y trouver sur le lavabo une petite lingerie. Les conseils de la patronne sont passés par-là.
Sans aucune réticence je porte la fourche copieusement tapissé de déperdition vaginale à mes narines. Cela me fait tout de suite l’effet d’un aphrodisiaque. Je suis prêt à tout tant je suis submergé par une excitation extrême.
Je verrouille les volets et me pointe dans la chambre, avec la ferme intention de conclure avec la bourgeoise. Elle me fixe avec intensité.
-Madame a encore besoin de mes services ?
Toujours allongée sur son lit, elle vrille ses yeux dans les miens. Je suis impatiens de savoir quel genre de sexe elle cache sous sa chemise de nuit. Poilue ou glabre ? Bien sûr, ma queue à son point culminant dans mon slip.
-Qu’est-ce que vous pouvez faire de plus pour moi ?
-Oh Madame, plein de bonne chose.
-De bonne chose ? Fait-elle à nouveau troubler.
Elle baisse même les yeux, avant de lâcher :
-Qu’est-ce que en entendez dans de bonne chose ?
-Tout ce que Madame pense vouloir désirer de moi.
-Mais… mais, je ne pense à rien… soupire-t-elle, me regardant par en dessous.
Un silence s’établi. Ma verge devient de plus en plus douloureuse au fond de mon slip. Son regard aimante le mien, et là elle laisse tomber :
-Bon, arrêtant de tourner autour du pot, seriez-vous d’accord de faire ce que j’attends de vous ? Voilà, c’est dit !
-Je suis à votre service Madame.
-Très bien, cela tombe bien, je suis dans un tel état…
Et après plus rien.
-Dans un tel état de quoi, Madame ?
-Je pense que vous êtes un grand garçon pour deviner la suite.
Ce disant, elle laisse choir son livre sur le lit. Elle met ses mains derrière sa nuque. Elle cambre légèrement les reins et me jette un regard de défi. Je suis absorbé dans ma contemplation. Elle lève un bras pour se passer la main dans les cheveux et j'aperçois un mince bouquet de poils poivre et sel dans le creux de son aisselle.
Si elle ne se rase pas les aisselles, alors ?
Je bande en imaginant sa chatte. Pas le temps de m’attarder sur la question que voilà qu’elle trousse l’ourlet de sa chemise de nuit de sa main fine et nerveuse. Je semble sortir d’un rêve. France écarte plus les jambes et m’observe en silence. Elle fait remonter ses mains jusqu’au bas ventre. Sa chatte s’ouvre. Elle se met à se caresser le pubis, les grandes lèvres. Elle les écarte de temps à autre, découvrant les nymphes et le bouton. Je la regarde faire. Ma respiration s’accélère, ma bouche se dessèche. Elle étire ses petites lèvres du bout des doigts, leur impose une forme de losange aplati, comme une bouche grimaçante. D’où dépasse le clitoris.
Je m’avance, jusqu’à être tout proche d’elle.
-Je ne suis pas mécontente de ne pas vous avoir effrayé ! Me fait-elle.
-Effrayé ! Moi jamais !
-Même avec une vieille chose comme la mienne !
-Même ! Je dirai même que j’en raffole !
-C’est bien ce que je me suis laissé entendre !
France prend pose sur pose. Je n’en perds pas une miette. Je la détaille avec cynisme, attendant de voir où me mènerait cette comédie. Je saisis l’occasion, sans savoir au juste comment elle réagit, mais que m’importe ?
Je lui serre la nuque entre mes doigts, amenant mon visage tout près de celui de France. Elle se contente de batte des paupières, les lèvres tremblantes, épouvantées sans doute à l’idée que j’allais passer à l’acte.
J’approche la bouche de son cou. Hume comme un animal son parfum de luxe. Je pose la main à plat sur le ventre et descend lentement jusqu’au renflement du pubis que je palpe. Sa poitrine se soulève au rythme rapide de sa respiration. Je profite de l’instant pour la mettre toute nue.
Bien que légèrement tombante, sa poitrine fait sa fierté. Sous le coup de l’excitation, ses aréoles se contractent autour du téton saillant. Je tends la main et soupèse un sein, jugeant de sa fermeté. Elle frissonne. Je serre le bout grenu entre le pouce et l’index et pince, tirant un cri à la femme.
-Oui encore ! J’adore cela, et vous ?
-J’aime tout ce que Madame aime !
-Vous bandez, j’imagine Alain ?
-Oui Madame !
-Une vieille femme comme moi, vous fait bander, vous un beau jeune homme, vous m’honoré là. Je veux voir ça ! Oui. Je veux la voir.
Alors je m’exécute.
- Il me semble bien que je vous fais de l’effet, ricane-t-elle en lorgnant mon érection.
J’avance ma main, majeur tendu vers son sexe. Je cherche son regard. Quand je le tiens, mon doigt effleure son pubis. Elle ne peut empêcher un petit frisson, un léger sursaut. Son regard tente l’esquive.
Mon doigt lisse ses grandes lèvres. Massant au passage son périnée, il s’enfonce jusqu’à son anus fripé, qui au toucher se contracte.
-Oh ! Lâche-t-elle.
J’effectue ainsi plusieurs allers-retours, terminant la progression au moment où mon pouce et mon index disjoints effleurent sa vulve mousseuse.
-Vous me gâtez Alain !
Tandis que le corps du doigt pèse sur son sexe, l’extrémité appuie, chaque fois, un peu plus fermement sur son anus. J’observe attentivement ses réactions, guettant le moindre indice sur son visage, la moindre variation dans sa respiration. Mon doigt remonte entre ses lèvres en prenant bien garde de ne pas la pénétrer. Je m’attaque à son bouton. Je l’écrase avec douceur. Elle ne peut empêcher sa respiration de s’affoler, entrouvre la bouche, passe nerveusement sa langue sur ses lèvres. Mon doigt taquine son bouton d’amour. Sa respiration s’accélère. Elle ferme les yeux. Elle se mord les lèvres. Dans un souffle, elle laisse tomber :
-C’est bon ! Faite-moi jouir ! Je n’en peux plus !
J’ai droit à un festin de roi. Un filet de mouille s’échappe des lèvres vaginales gonflées. Le bas-ventre dégage une odeur caractéristique de femme qui a négligé sa toilette intime. Accumulation de sueur à laquelle se sont jointes, à intervalles réguliers, des gouttes de pisse parsemant des poils pubiens abondants.
Je presse entre mes doigts le bourgeon. J’accorde mes mouvements avec sa respiration qui, peu à peu, s’affole, déraille. Soudain, son ventre se contracte spasmodiquement. Plusieurs soubresauts.
Il est temps que ma langue entre dans la danse. Je l’engage entre ses lèvres en feu. Ma langue heurte ses parois. Je la lance au plus loin que je peux. Bien plus mobile qu’une bite, elle donne à Franc d’autres sensations. Elle tourne, virevolte, avance, recule, s’étire, se comprime. Son bassin est agité de balancements saccadés.
Une envie d’empoigner ma bite et de la branler me saisit. Son bassin, chaotique, tangue de plus en plus amplement. Crispations à répétitions. Ses jambes m’enserrent et colle mon visage tout contre son sexe. Un feulement se fait entendre, plus long, plus fauve. Son corps se décontracte, ma tête est libérée. Je vais pour me reculer mais ses mains me retiennent.
-Encore, s’il vous plaît, encore… faites-moi encore jouir avec la langue, supplie-t-elle.
Avec délicatesse, je frotte mon menton contre sa vulve tandis que mes lèvres attrapent son bourgeon encore très dur malgré son récent orgasme. Ça va être chaud. À peine refermé-je mes lèvres sur son bouton que déjà son corps ondule de nouveau. Ses mains, malaxent ses seins. Absolument divin, je sens son jus s’écouler jusque dans mon cou.
Pour me remercier, elle place mon membre entre ses nichons, la sensation de la chair dure et chaude qui enveloppe ma queue me sublime. Des deux mains elle comprime la masse de sa poitrine autour de ma queue gonflée de sang. Elle me masse, joue de ses seins comme une matière élastique, le comprime le plus fort qu’elle peut. Puis elle crache sur ma queue, l’astique dans le sillon de ses nichons. Plus dur que ça, je ne pourrais pas.
Elle se redresse avance le bassin, s’empale sur ma verge. Sans aucune précaution, sa chatte a enfourné ma queue jusqu’à la garde. Sa matrice se détend pour accueillir le mandrin qui la perforait. Mon membre n’est pas des plus imposants, mais ce soir, il a une taille tout à fait honorable.
Mon bassin tente de se soulever pour la baiser mais elle est plus forte que moi et garde mes fesses collées sur le lit. Son vagin se contracte. Sa chatte enserre ma bite dans une gangue à la chaleur équatoriale. Son bassin remue. Un va-et-vient minimaliste sur un rythme très lent. Au plus haut de son déplacement, sa toison luxuriante chatouille mon pubis. Son mouvement s’amplifie, s’accélère. France se soulève jusqu’à ce que mon gland émerge de ses lèvres puis elle se laisse retomber. Et se met en action, branlant ma queue avec sa chatte avec une cadence infernale.
Je n’essaye même pas d’empêcher mon sperme de se précipiter vers la sortie avec force. Je pense qu’elle a senti mes giclées, puisqu’elle ralentit son rythme. Conservant ma queue encore bien enfoncée dans son con. Où sa vulve musclée suce encore parfaitement ma bite. Comme pour en extraire le dernier suc. Elle la presse si bien qu’une seconde envie de foutre me prend. Et très vite ma queue retrouve suffisamment de fermeté pour que je reprenne la main. Surtout que France à l’air d’accusée le coup. Je la fais prendre la bonne position où je pourrais harmonieusement voyager dans son con. Mon bassin, libéré de toute contrainte, peut enfin s’exprimer. Mes mains se crispent sur ses hanches, la soulevant et la ramenant à mon gré. Je geins de plaisir. Je ne suis pas le seul. France feule. Pour la seconde fois en moins de quelques minutes, je retapisse le vagin de France. Ma jouissance est telle que lorsqu’elle explose, je braille. Je serais incapable de dire si France a vraiment joui. Je m’affale harassé à ses côtés.
Pas si mal d’être le jouet de ma patronne finalement !
Sans être vraiment belle, il émane de France une sorte de magnétisme sensuel que démentent son visage assez charmant de blonde, et ses grands yeux bleus constamment étonnés, partiellement dissimulés par des lunettes, qui lui donnent un faux air innocent. La différence avec son air de cérébrale un peu vaporeuse venant de sa bouche moelleuse, de son corps délicat, au corsage étroit qui soutient une poitrine généreuse.
Plusieurs fois dans la soirée, nos regards avec France, se sont rencontrés. Et comme par enchantement voilà qu’il m’est demandé d’aller lui fermé les volets. je sais parfaitement à quoi cela consiste.
-Je vais dès à présent Madame, lui fais-je à ma patronne et pas moins maîtresse.
Et me voilà grimpant les étages, avec la pensée qu’il va se passer quelque chose avec la bourgeoise. Je prends le couloir sombre qui va me mener jusqu’à la porte de la chambre allouée au couple.
Avant de frapper à la porte je m’interroge sur la sexualité du couple, formé de la blonde et du petit homme à la barbiche, en train de parler affaire en ce moment dans le fumoir. Est-il encore capable d‘advenir à aux besoins sexuels de sa blondinette ? ou alors, se contente-t-elle s’assouvir ses besoins en se triturant son bouton. Je ricane tout seul à l’idée de lui servir de poupée gonflable. Je toque à la porte et une petite voix m’autorise l’accès.
-Bonsoir Madame, je viens pour les volets.
-Faites-donc !
Je surprends une rougeur sur les joues de France. En même temps que son souffle s’accélère. Elle semble saisie d’émois que je devine bien pourquoi. Tout en faisant semblant à s’intéresser à son livre, elle me jette de vifs regards de temps à autre, sourcils froncés.
Je commence par ceux de la chambre, gardant la salle d’eau pour la suite. Comme la toile de sa chemise de nuit est du genre légère, je n’es pas trop de mal à remarquer les pointes de ses seins dessous, très relevées. Une chaleur connue commence à me chatouiller généreusement les couilles.
Je passe comme convenu dans l’autre pièce adjacente, et je ne suis pas surpris d’y trouver sur le lavabo une petite lingerie. Les conseils de la patronne sont passés par-là.
Sans aucune réticence je porte la fourche copieusement tapissé de déperdition vaginale à mes narines. Cela me fait tout de suite l’effet d’un aphrodisiaque. Je suis prêt à tout tant je suis submergé par une excitation extrême.
Je verrouille les volets et me pointe dans la chambre, avec la ferme intention de conclure avec la bourgeoise. Elle me fixe avec intensité.
-Madame a encore besoin de mes services ?
Toujours allongée sur son lit, elle vrille ses yeux dans les miens. Je suis impatiens de savoir quel genre de sexe elle cache sous sa chemise de nuit. Poilue ou glabre ? Bien sûr, ma queue à son point culminant dans mon slip.
-Qu’est-ce que vous pouvez faire de plus pour moi ?
-Oh Madame, plein de bonne chose.
-De bonne chose ? Fait-elle à nouveau troubler.
Elle baisse même les yeux, avant de lâcher :
-Qu’est-ce que en entendez dans de bonne chose ?
-Tout ce que Madame pense vouloir désirer de moi.
-Mais… mais, je ne pense à rien… soupire-t-elle, me regardant par en dessous.
Un silence s’établi. Ma verge devient de plus en plus douloureuse au fond de mon slip. Son regard aimante le mien, et là elle laisse tomber :
-Bon, arrêtant de tourner autour du pot, seriez-vous d’accord de faire ce que j’attends de vous ? Voilà, c’est dit !
-Je suis à votre service Madame.
-Très bien, cela tombe bien, je suis dans un tel état…
Et après plus rien.
-Dans un tel état de quoi, Madame ?
-Je pense que vous êtes un grand garçon pour deviner la suite.
Ce disant, elle laisse choir son livre sur le lit. Elle met ses mains derrière sa nuque. Elle cambre légèrement les reins et me jette un regard de défi. Je suis absorbé dans ma contemplation. Elle lève un bras pour se passer la main dans les cheveux et j'aperçois un mince bouquet de poils poivre et sel dans le creux de son aisselle.
Si elle ne se rase pas les aisselles, alors ?
Je bande en imaginant sa chatte. Pas le temps de m’attarder sur la question que voilà qu’elle trousse l’ourlet de sa chemise de nuit de sa main fine et nerveuse. Je semble sortir d’un rêve. France écarte plus les jambes et m’observe en silence. Elle fait remonter ses mains jusqu’au bas ventre. Sa chatte s’ouvre. Elle se met à se caresser le pubis, les grandes lèvres. Elle les écarte de temps à autre, découvrant les nymphes et le bouton. Je la regarde faire. Ma respiration s’accélère, ma bouche se dessèche. Elle étire ses petites lèvres du bout des doigts, leur impose une forme de losange aplati, comme une bouche grimaçante. D’où dépasse le clitoris.
Je m’avance, jusqu’à être tout proche d’elle.
-Je ne suis pas mécontente de ne pas vous avoir effrayé ! Me fait-elle.
-Effrayé ! Moi jamais !
-Même avec une vieille chose comme la mienne !
-Même ! Je dirai même que j’en raffole !
-C’est bien ce que je me suis laissé entendre !
France prend pose sur pose. Je n’en perds pas une miette. Je la détaille avec cynisme, attendant de voir où me mènerait cette comédie. Je saisis l’occasion, sans savoir au juste comment elle réagit, mais que m’importe ?
Je lui serre la nuque entre mes doigts, amenant mon visage tout près de celui de France. Elle se contente de batte des paupières, les lèvres tremblantes, épouvantées sans doute à l’idée que j’allais passer à l’acte.
J’approche la bouche de son cou. Hume comme un animal son parfum de luxe. Je pose la main à plat sur le ventre et descend lentement jusqu’au renflement du pubis que je palpe. Sa poitrine se soulève au rythme rapide de sa respiration. Je profite de l’instant pour la mettre toute nue.
Bien que légèrement tombante, sa poitrine fait sa fierté. Sous le coup de l’excitation, ses aréoles se contractent autour du téton saillant. Je tends la main et soupèse un sein, jugeant de sa fermeté. Elle frissonne. Je serre le bout grenu entre le pouce et l’index et pince, tirant un cri à la femme.
-Oui encore ! J’adore cela, et vous ?
-J’aime tout ce que Madame aime !
-Vous bandez, j’imagine Alain ?
-Oui Madame !
-Une vieille femme comme moi, vous fait bander, vous un beau jeune homme, vous m’honoré là. Je veux voir ça ! Oui. Je veux la voir.
Alors je m’exécute.
- Il me semble bien que je vous fais de l’effet, ricane-t-elle en lorgnant mon érection.
J’avance ma main, majeur tendu vers son sexe. Je cherche son regard. Quand je le tiens, mon doigt effleure son pubis. Elle ne peut empêcher un petit frisson, un léger sursaut. Son regard tente l’esquive.
Mon doigt lisse ses grandes lèvres. Massant au passage son périnée, il s’enfonce jusqu’à son anus fripé, qui au toucher se contracte.
-Oh ! Lâche-t-elle.
J’effectue ainsi plusieurs allers-retours, terminant la progression au moment où mon pouce et mon index disjoints effleurent sa vulve mousseuse.
-Vous me gâtez Alain !
Tandis que le corps du doigt pèse sur son sexe, l’extrémité appuie, chaque fois, un peu plus fermement sur son anus. J’observe attentivement ses réactions, guettant le moindre indice sur son visage, la moindre variation dans sa respiration. Mon doigt remonte entre ses lèvres en prenant bien garde de ne pas la pénétrer. Je m’attaque à son bouton. Je l’écrase avec douceur. Elle ne peut empêcher sa respiration de s’affoler, entrouvre la bouche, passe nerveusement sa langue sur ses lèvres. Mon doigt taquine son bouton d’amour. Sa respiration s’accélère. Elle ferme les yeux. Elle se mord les lèvres. Dans un souffle, elle laisse tomber :
-C’est bon ! Faite-moi jouir ! Je n’en peux plus !
J’ai droit à un festin de roi. Un filet de mouille s’échappe des lèvres vaginales gonflées. Le bas-ventre dégage une odeur caractéristique de femme qui a négligé sa toilette intime. Accumulation de sueur à laquelle se sont jointes, à intervalles réguliers, des gouttes de pisse parsemant des poils pubiens abondants.
Je presse entre mes doigts le bourgeon. J’accorde mes mouvements avec sa respiration qui, peu à peu, s’affole, déraille. Soudain, son ventre se contracte spasmodiquement. Plusieurs soubresauts.
Il est temps que ma langue entre dans la danse. Je l’engage entre ses lèvres en feu. Ma langue heurte ses parois. Je la lance au plus loin que je peux. Bien plus mobile qu’une bite, elle donne à Franc d’autres sensations. Elle tourne, virevolte, avance, recule, s’étire, se comprime. Son bassin est agité de balancements saccadés.
Une envie d’empoigner ma bite et de la branler me saisit. Son bassin, chaotique, tangue de plus en plus amplement. Crispations à répétitions. Ses jambes m’enserrent et colle mon visage tout contre son sexe. Un feulement se fait entendre, plus long, plus fauve. Son corps se décontracte, ma tête est libérée. Je vais pour me reculer mais ses mains me retiennent.
-Encore, s’il vous plaît, encore… faites-moi encore jouir avec la langue, supplie-t-elle.
Avec délicatesse, je frotte mon menton contre sa vulve tandis que mes lèvres attrapent son bourgeon encore très dur malgré son récent orgasme. Ça va être chaud. À peine refermé-je mes lèvres sur son bouton que déjà son corps ondule de nouveau. Ses mains, malaxent ses seins. Absolument divin, je sens son jus s’écouler jusque dans mon cou.
Pour me remercier, elle place mon membre entre ses nichons, la sensation de la chair dure et chaude qui enveloppe ma queue me sublime. Des deux mains elle comprime la masse de sa poitrine autour de ma queue gonflée de sang. Elle me masse, joue de ses seins comme une matière élastique, le comprime le plus fort qu’elle peut. Puis elle crache sur ma queue, l’astique dans le sillon de ses nichons. Plus dur que ça, je ne pourrais pas.
Elle se redresse avance le bassin, s’empale sur ma verge. Sans aucune précaution, sa chatte a enfourné ma queue jusqu’à la garde. Sa matrice se détend pour accueillir le mandrin qui la perforait. Mon membre n’est pas des plus imposants, mais ce soir, il a une taille tout à fait honorable.
Mon bassin tente de se soulever pour la baiser mais elle est plus forte que moi et garde mes fesses collées sur le lit. Son vagin se contracte. Sa chatte enserre ma bite dans une gangue à la chaleur équatoriale. Son bassin remue. Un va-et-vient minimaliste sur un rythme très lent. Au plus haut de son déplacement, sa toison luxuriante chatouille mon pubis. Son mouvement s’amplifie, s’accélère. France se soulève jusqu’à ce que mon gland émerge de ses lèvres puis elle se laisse retomber. Et se met en action, branlant ma queue avec sa chatte avec une cadence infernale.
Je n’essaye même pas d’empêcher mon sperme de se précipiter vers la sortie avec force. Je pense qu’elle a senti mes giclées, puisqu’elle ralentit son rythme. Conservant ma queue encore bien enfoncée dans son con. Où sa vulve musclée suce encore parfaitement ma bite. Comme pour en extraire le dernier suc. Elle la presse si bien qu’une seconde envie de foutre me prend. Et très vite ma queue retrouve suffisamment de fermeté pour que je reprenne la main. Surtout que France à l’air d’accusée le coup. Je la fais prendre la bonne position où je pourrais harmonieusement voyager dans son con. Mon bassin, libéré de toute contrainte, peut enfin s’exprimer. Mes mains se crispent sur ses hanches, la soulevant et la ramenant à mon gré. Je geins de plaisir. Je ne suis pas le seul. France feule. Pour la seconde fois en moins de quelques minutes, je retapisse le vagin de France. Ma jouissance est telle que lorsqu’elle explose, je braille. Je serais incapable de dire si France a vraiment joui. Je m’affale harassé à ses côtés.
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