Aubout du monde - 11 final

- Par l'auteur HDS Ingyt -
Récit érotique écrit par Ingyt [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Aubout du monde - 11 final Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-04-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Aubout du monde - 11 final
Pluie torrentielle

Luce conduisait menton en l’air comme la plupart des femmes, le visage éclairer par
les lumières oranger du tableau de bord. Le temps avait fraîchi légèrement car la nuit
était tombée et il pleuvait à boire debout, les essuie-glaces dansaient à une vitesse
folle sur le pare-brise. On fut complètement trempé une fois le vernissage terminer,
jutes le temps de se rendre de la galerie d’art a son 4x4 en courant. « Le temps
change vite par ici, » avait dit Luce en prenant le volant. Je frissonnais dans mes
vêtements mouiller en regardant la route que les phares puissants du Hummer peinaient
à éclairer à cause du rideau de pluie. Un vrai déluge ! Ça tambourinait sur le toi
presque a nous rendre sourde et transformait la route de gravier en bourbier. Le 4x4
patinait par endroits mais Luce conduisait de main de maître même perdue dans ses
pensées. Elle rayonnait arborant un petit sourire en coin des plus charmant, griser
par sa soirée sans doute, ses cheveux mouiller plaquer sur le visage tout comme moi.
Elle avait fait des ventes et d’autres propriétaires de galerie lui avaient fait des
offres d’expositions. Et moi, une femme m’avait embrasser et inviter dans son lit et
je ne pensais qu’a cela. Ce baiser entre femmes, mon premier, m’avait complètement
allumé.

— Heureuse de ta soirée ma belle ? Criai-je pour me faire entendre.
— Oh oui ! Merci d’être venu Julie. Hurla-t-elle en riant.
— D’être venu au vernissage ou aux toilettes à cause des mini vibrateurs que tu m’as
inséré dans le vagin et le derrière avant de sortir ce soir et que tu démarrais sans
arrêt avec la télécommande que t’as dans ta poche. J’avais l’air d’une belle cruche
qui avait sans cesse envie de pisser devant tout le monde. Tu m’avais promis de ne pas
le faire, que c’était pour après le vernissage. « Je ne ferais jamais ça Julie... »
mon oeil.
— Quoi ?

Elle avait un gros sourire fendu jusqu’aux oreilles.

— Tu m’as bien entendu la menteuse, n’essayes pas.
— Oh, fâché la vedette ? T’as pas aimé ? Moi si, quand tu m’as rendu l’appareil.

On aurait dit deux petites vielles qui criaient pour se comprendre, ça me fit rire de
plus belle.

— Ah oui ! Hurlais-je en glissant la main dans ma poche car elle aussi avait de ses
petits raisins vibrateur mais dans le derrière et j’avais également une télécommande.

Son sourire s’évanouit aussitôt et elle se tortilla sur le siège en plissant les yeux
et fermant les genoux sous le volant.

— Ouf ! C’est dangereux ça en conduisant, surtout avec cette pluie.
— Quoi ?

Et elle mit la main dans sa poche.

Cinq minutes plus tard elle stoppa à l’entrée du chemin priver menant à sa roulotte
et on se tordait toutes les deux. Luce avait une érection terrible sous sa jupe et moi
j’avais déjà eu un orgasme les deux mains plaquer sur ma fourche. Le souffle me
manquait mais les vibrations diminuaient rapidement, les piles s’épuisaient. Je ne
savais plus si j’en étais heureuse ou déçu. Luce, dans le même état d’excitation que
moi, sortit sous la pluie car son entrée était barrée par une chaîne. Je ne pensais
plus qu’a me retrouver dans le lit, bien au sec, avec elle, jambes en l’air a crier
mon plaisir. En fait, j’avais adoré sortir avec les gadgets en moi et les sentir
vibrer en plein vernissage. Je ne pensais plus qu’à baiser, baisé et baisé.

Je la cherchais des yeux mais en pleine nuit et avec cette averse torrentielle je n’y
voyais rien même avec les phares toujours allumés. Je détacher la ceinture de sécurité
qui m’écrasait les seins et croiser les jambes toujours agacer par les gadgets qui se
mouraient à petit feu. Mon sexe détremper pulsait et je ne pouvais m’empêcher de me le
frotter et c’était bon, si bon, tellement, que je déboutonner mon jean, baisser la
fermeture éclair et soulever les fesses pour le descendre sur mes cuisses en même
temps que ma petite culotte et glisser une main sur mon pubis en me crispant aussitôt.
Je voulais exciter Luce encore plus par la même occasion. Je me mis a faire des
cercles et des pressions en geignant, bouche entrouverte. Le plaisir irradiait jusqu’à
la pointe de mes seins tendus sous mon soutien-gorge humide. Je glisser l’autre main
sous le tailleur pour me les presser par-dessus ma blouse sentant un autre orgasme
naître au creux de mon ventre mais soudain, ma porte s’ouvrit.

Malgré le plafonnier qui s’était allumé à l’ouverture de la porte, je n’apercevais
qu’une ombre sous la pluie battante et qui restait là, sans bouger, comme dans un film
d’horreur. Luce me regardait me caresser et j’adorais ça. Je ne pus m’empêcher de
frissonner encore plus en serrant les fesses et les cuisses, le visage grimaçant sur
le point d’atteindre l’orgasme. Mais elle s’approcha et je m’aperçus, surprise,
qu’elle était entièrement nue. Son sexe bander dur sursautait sous la pluie, je le
fixais avec envie en salivant. Elle m’agrippa par un bras fermement, celui avec le
quelle je me branlait et me força a lâché mon sexe juste quand j’allais jouir.
Terriblement déçut, je faillit lui crier après pour la forme mais son autre main se
referma sur ma blouse et elle me tira pour me sortir de force du camion et je savais
bien pourquoi et j’en avais drôlement envie même si j’aurais préféré que ça se passe
dans le lit bien au sec. Elle me tira si fort que la blouse craqua, un bouton fut
arraché tandis que je fus propulsé vers l’avant sans pouvoir m’arrêter. Je fus de
nouveau trempé instantanément comme si j’entrais sous la douche. Mon jean déboutonner
et baisser me fit perdre l’équilibre et je m’affaler sur le ventre durement m’écrasant
la poitrine en grimaçant. Je me retrouver le visage dans de la boue liquide qui ce
faufila dans ma bouche et dans mon décolleté agrandit par la perte du bouton jusque
dans ma brassière me chatouillant les seins. Une peut sonner je soulever la tête pour
recracher l’eau boueuse qui me laissa un mauvais goût de terre dans la bouche. La
pluie martelait mes fesses à l’air et c’était plutôt agréable. Je m’attendais à ce
qu’elle s’étende sur moi pour me prendre, soit par le vagin, soit par le cul et je
m’en foutais. L’un ou l’autre ce serait bon, ici, sous la pluie, étendue dans la boue.
Mais Luce me retourna aussitôt et sans ménagement pour s’asseoir sur mon ventre me
coupant le souffle et ouvrir le tailleur pour plaquer ses mains sur ma poitrine
qu’elle pressa avec force me faisant grimacer. Désorienter par son désir violent, ma
chute et cette pluie saler provenant de la mer, je clignais des yeux sentant mon coeur
s’affoler. Je cherchais mon air sous toute cette eau qui tombait du ciel et qui
frappait maintenant mon pubis et mon sexe directement.

Me savoir désirer a ce point me tétanisait, me faisait mouiller dix fois plus tandis
que ses doigts palpaient mes seins, les pressaient, les soulevaient par-dessus la
blouse glissante tremper de boue. Je me tordais sous elle en me frottant le visage et
les yeux. Son pénis bander dur, pointer vers le ciel palpitait au-dessus de mon ventre
me faisant déglutir tandis que je reprenais mes esprits. Je voulus le prendre mais
elle me tapa la main durement pour m’en empêcher avant d’agripper la blouse à deux
mains et de tirer de toute ses forces pour l’ouvrir. Les boutons cédèrent facilement,
un frisson d’excitation me parcourut en sentant la pluie frapper directement mon
ventre cette fois, puis elle souleva mon soutient-gorge dénudant ma poitrine au
mamelon tendu a l’extrême et beaucoup trop sensible. La moindre goutte d’eau les
frappant m’arrachait une grimace. Mon souffle s’accélérait, une ondée de chaleur me
traversait le ventre et remonta jusqu’à mon visage. À défaut de pouvoir la toucher,
mes mains se refermèrent dans la boue, cette même boue qui me chatouillait les fesses.
Je gémissais tandis que la pluie mitraillait mon visage, mes seins et mon sexe pendant
qu’elle me regardait à présent en se caressant la poitrine d’une main et la bite de
l’autre.

Puis elle s’avança un peut et plaça son sexe entre mes seins quelle pressa ensemble et
elle commença a bougé les fesses pour se mettre là, en m’agaçant les mamelons avec ces
pouces. Un petit courant électrique me traversa le bas ventre. Dans le noir,
j’apercevais a peine son gland qui allait et venait dans la chair tendre de ma
poitrine en déglutissant d’envie de le prendre dans ma bouche tout en grimaçant de
plaisir. Les pouces sur mes mamelons me rendaient presque folle, ça et cette maudite
pluie qui me piquait tellement les yeux. Luce s’agitait sur mon ventre le visage
tourner vers le ciel, je la voyais en ombre chinoise à cause des phares et du
plafonnier rester ouvert dans le camion derrière elle.

Elle semblait savourer pleinement ce moment. J’apercevais ses seins se balancer à
chaque coup de reins qu’elle donnait et je ne pus m’empêcher de lui prendre avec mes
mains pleines de vase pour lui caresser en plaçant moi aussi mes pouces sur ces
pointes tendues pour les titiller. Dans le noir, la boue liquide avait la même texture
que du savon rendant mes mains bien glissantes. J’adorais palper ses seins aussi gros
que les miens mais plus fermes. Je la sentis frémir et j’eus soudainement peur quelle
jouisse comme ça, sur ma gorge et la supplier de finir de me déshabiller et de me
prendre par le vagin mais je reçus une gifle qui me fit tourner la tête et lâcher ses
seins. Pas très forte, mais suffisamment pour accentuer toutes mes sensations, puis
elle dit en se penchant vers moi tandis que je me frottais la joue brûlante :

— Je t’interdis de bouger Julie, je t’interdis de me toucher, je t’interdis de parler
car je vais te prendre comme je veux, par ou j’en ai envie et te faire tout ce qu’il
me plaira de te faire. T’ont corps est a moi Julie Demers, tu vas être docile et
obéissante et tout à l'heure, si tu es gentille avec moi, une fois a la roulotte, je
serai a toi, tu feras de moi tout ce que tu voudras et je t’obéirai au doigt et
l’oeil.

Malgré le déluge j’entendis clairement ses paroles et j’en frémis de plaisir,
nullement choquer par sa petite gifle, au contraire, j’avais vraiment aimé, au point
ou j’en aurais bien pris une autre.

Obéissante, exciter, le coeur battant, et amuser par ce jeu, j’étendis mes bras en
croix dans l’eau boueuse lui offrant mon corps, a elle, mais aussi a la pluie tiède
qui me frappait si durement que j’avais l’impression de recevoir des clous aux pointes
émoussées. Elle lâcha ma poitrine pour se reculer et m’enlever mes souliers puis le
jean. Je me laisser faire mollement en me demandant par ou elle allait me prendre; le
vagin, le cul ou la bouche, peut-être les trois, mais je priais pour que ce soit le
vagin. La pluie frappant mes longues jambes me fit frémir de plus belle. Puis ce fut
ma petite culotte détremper qu’elle retira et finalement les mini vibrateurs, dont les
piles étaient mortes, en tirant sur le fil. En sortant, les raisins de plastique me
procurèrent de douces sensations, surtout au niveau de l’anus. Je me lécher les lèvres
de plaisir, les yeux clos en frémissant.

Rarement je n’avais été dans un tel était excitation en m’abandonnant complètement aux
éléments et aux caprices de Luce. Je me contentai d’écarter les jambes et de rester
la, les yeux et la bouche fermer, comme crucifier, presque entièrement nue dans cette
eau boueuse, a attendre son bon vouloir.

Le martèlement de la pluie sur la forêt et le 4x4 était si fort que j’avais
l’impression d’être à côté d’une chute. Qu’allait-elle faire ? Me soulever les jambes
pour les poser sur ses épaules et me pénétrer avec force mains sur mes seins, ou me
retourner et s’étendre sur moi en m’enculant sans ménagement... Je frémis de plus
belle à cette idée. Toujours rien. « Allez ma belle, fait quelque chose, prend moi
puisque mon corps est a toi. » Je me sentait si exciter que j’avais l’impression que
le moindre attouchement, surtout au niveau de mon sexe qui pulsait, me ferait exploser
comme une bombe, Je n’en pouvais plus, je mourais d’envie de me faire mettre ou que ce
soit, mais quelle me touche. Je me tortillais, cette maudite pluie qui martelait mon
corps, surtout mes mamelons, m’agaçait tellement que c’en était presque une torture.
C’était le supplice chinois de la goutte d’eau mais multiplier par mille.

Toujours rien, j’allais ouvrir les yeux quand soudain, je sursauter en sentant son
gland dégoulinant d’eau de pluie me chatouiller les lèvres. Ma bouche s’ouvrit tout
seule et il s’y enfonça profondément, glissant sur ma langue, contre mon palais me
forçant à raidir la nuque en ravalant ma salive déjà abondante. Quand je sentis ses
grosses couilles molles et mouiller s’écraser sur mon nez me le chatouillant, je
compris dans quelle position elle était, en 69. Je serré les fesses dans la boue
imaginant déjà sa bouche et ses doigts s’occuper de mon sexe. Je sentis ses seins aux
mamelons aussi durs que les miens s’écraser contre mon ventre et ses bras se faufiler
sous mes genoux pour me les soulever et me les rabattre presque sur les épaules. Je
passai mes mains en dessous pour les maintenir en place, elle en profita pour planter
ses doigts dans mes fesses. Et je frissonner des pieds à la tête en sentant déjà sa
langue pointue qui se faufilait profondément dans ma fente humide sans préambule pour
s’y agiter tandis qu’elle se mettait entre mes lèvres arrondit, ses couilles heurtant
mon nez.

Je grognais et gémissait par les narines et me tortillai sous elle tellement sa petite
langue pointue me procurait du plaisir pendant que son menton écrasait mon clito
bander dur me coupant le souffle. Sa langue experte, son corps sur moi, sa bite qui
allait et venait entre mes lèvres arrondis et cette pluie qui s’abattait sur nous me
procurait tellement de sensation que je jouis presque instantanément. Mon corps fut
parcouru de spasmes et de frissons électriques. Un orgasme puissant qui me fit presque
mordre sa bite en geignant par les narines.

Dans la position où j’étais, jambe rabattue, cul en l’air, elle avait accès à tout;
anus, clitoris et vulve et la pluie aussi qui martelaient sans pitié ces endroits si
sensibles. Et Luce en profita pleinement tandis que j’essayais de ne pas étouffer à
cause de son gland qui me rentrait jusque dans la gorge. Elle me lécha le sexe
longuement en me tapant les fesses mouiller avant de me les mordre. Je me plaignis
comme je le pouvais de ce délicieux traitement. Puis un pouce m’agaça le clitoris
pendant que sa langue s’enfonçait profondément dans mon anus pour s’y agiter en me
rentrant deux doigts dans le vagin détremper. Je crus devenir folle par ce trop-plein
de sensation en explosant. Un autre orgasme qui me fit raidir les orteils sous la
pluie. C’était si intense que j’aurais voulu crier mais je ne pouvais que grogner la
bouche pleine. Elle continua, doigt et langue alternant d’un trou à l’autre ne me
laissant aucun répit. Quand elle me suçait le clito, mes pieds s’agitaient et je me
tortillais sous elle comme pour m’échapper mais c’était tout le contraire. J’espérais
qu’elle allait me torturer comme ça le plus longtemps possible.

Son scrotum avait durci, je le sentais bien et je me préparais à avaler son sperme.
Mais elle sortit lentement ça bite de ma bouche, j’en profiter pour reprendre mon
souffle malgré la pluie. Elle me retourna et me força à me mettre à quatre pattes pour
me prendre par le vagin un long et délicieux moment tout en me passant un pouce dans
le derrière. Sur les coudes, le nez à fleur d’eau, les cheveux dans le visage cette
fois je pouvais gémir à souhait tellement c’était bon de sentir sa bite si dure aller
et venir en moi et ses couilles me frapper le clitoris. Mes seins, dont les pointes
trempaient dans l’eau tiède sursautait méchamment a chaque coup de boutoir rajoutant a
mon plaisir. J’allais jouir a nouveau mais elle sortit ça bite pour me frapper les
fesses avec avant de placer son gland sur mon anus. Mon corps fut parcouru de frissons
en le sentant si enfoncer lentement et si facilement.

J’ouvris la bouche en fermant les yeux pour mieux sentir son gland entré dans mon
rectum en amenant mes doigts à mon pubis pour me branler. Cette fois je pouvais crier.
Quand son ventre commença à heurter mes fesses je faillis jouir mais l’orgasme
m’échappa. Elle m’enculait avec force à présent en me tenant solidement par les
hanches tandis que je me frottais le sexe sans ménagement en grimaçant. Puis elle
passa au vagin un moment et retour à l’anus. Les deux sensations étaient différentes
mais fantastiques. Je ne pus m’empêcher de me masturber avec plus de violence jusqu’a
jouir une nouvelle fois, enfin, en criant, le visage déformer par le plaisir. Elle
prit son temps à profiter de mon sexe et de mon cul et j’adorais cette baise sauvage
sous la pluie. Jamais je ne pourrais l’oublier.

Au bout d’un moment, elle se retira de mon cul y laissant comme un grand vide pendant
que mon corps parcouru de spasmes se calmait peut a peut et je me sentis tirer par les
cheveux. Je dû me remettre sur les mains, seins pendant tandis qu’elle poussait ça
bite entre mes lèvres pour se mettre dans ma bouche comme si j’étais la dernière des
putes en me tenant par les cheveux. Parfois elle la sortait pour me frapper le visage
avec et elle la repoussait dans ma bouche jusqu’aux couilles. J’agitais la langue pour
lui faire plaisir jusqu’à ce qu’elle laisse juste son gland entre mes lèvres sur ma
langue et qu’elle se masturbe. Son sperme saler jaillit aussitôt avec force me
remplissant la bouche s’y faufilant dans les moindres recoins et j’avalai, encore et
encore jusqu’à ce quelle finisse de jouir. Elle me fit la sucer encore un moment puis
se recula pour s’asseoir sur ses fesses apparemment aussi exténuer que moi. Je me
laissai tomber sur le côté les mains coincer entre mes cuisses me sentant vider avec
toujours le goût de son sperme en bouche.

— Rentrons Julie.

Elle m’aida à me relever et à remonter dans 4x4. Elle ramassa nos vêtements quelle
jeta a l’arrière, débarras la chaîne et on repartit vers la roulotte. Je me sentais
zombie, alangui, vider de toute substance mais bien. Vraiment bien. Mais je
frissonnais des pieds à la tête et mes dents s’entrechoquaient.

Après une bonne douche chaude on se sécha les cheveux et j’allai m’affaler à plat
ventre sur le lit complètement épuiser pour m’endormir aussitôt.


Après le déluge


Quand j’ouvris les yeux il faisait jour, j’étais seul et apparemment je n’avais pas
bougé de la nuit. J’avais mal partout mais surtout au dos et aux seins. Je me traîner
a la cuisine en me frottant les reins, les yeux à peine ouverts, trouvant Luce affaler
sur le sofa jambes croisées avec un long t-shirt rouge sur le dos, prenant un café en
écoutant le bulletin de nouvelles du matin. Elle me regarda avec un petit sourire
malicieux en disant :

— T’as l’air d’une fille qui vient de passé sous un train.
— Merci, grognai-je en me servant un café pour ensuite aller m’asseoir en grimaçant à
la petite table de cuisine.

— C’est gentil Luce.

Elle se contenta de sourire. Par la fenêtre, en buvant le liquide chaud et amer, je
vis qu’il ne pleuvait plus mais une brume opaque bouchait la vue complètement. Quand
je la regarder a nouveau j’eus droit a un autre magnifique sourire qui fut contagieux.
Elle, elle avait l’air de sortir tout droit d’un salon de beauté; maquillée, les
ongles couverts d'un rouge éclatant et elle s’était même fait de jolies tresses minces
sur le côté du visage. Elle était si jolie que c’en était décourageant. Moi, je devais
avoir le teint pâle à faire peur, les cheveux en bataille en plus de mon corps couvert
de blessures et quant à mes ongles, je n’en parle même pas. Je soupirer longuement en
me tortillant sur la chaise, l’anus me piquait et m’élançait légèrement.

— Mal au cul Julie ?

Je souris en me mordillant les lèvres me sentant rougir un peu en repensant à hier
sous la pluie.

— Non ça vas ! J’ai mal partout sauf là. Seigneur ! Tu sors, si tôt le matin ?
— Non, pourquoi ?
— C’est juste pour moi que tu t’es faite aussi belle ?
— Oh ! Merci ! Oui, absolument.
— Et tu bandes en plus.

Son pénis commençait à s’élever en sursautant sous son t-shirt.

— Érection matinale, mais voir la belle Julie Demers nue, prendre un café a ma table
de cuisine, ça aide un peu.
— Belle mon oeil, je suis dut pour une manucure, un bon 2 h dans un salon de massage
et ensuite le salon de beauté. Mais au lieu de ça, je vais devoir me taper presque
10 h de route.
— Mauvaise nouvelle Julie.
— Bon ! Quoi encore ? Dis-je distraites en regardant les morsures de fourmis qui
avaient viré au brun pâle pendant la nuit.
— Des rivières ont débordé, des ponts ont été emportés sur la 138, la seule route de
la région. Elle est fermée pour au moins une semaine, et ils annoncent encore des
orages. Désoler Julie t’est coincée ici avec moi pour encore quelques jours.

« C’est Marie qui allait être déçue » me dis-je tout de même heureuse de ne pas avoir
à prendre la route. Même très heureuse d’avoir une excuse pour rester ici. En fait, je
me retenais pour ne pas sauter de joie.

— Bon, fis-je, pas le choix.
— Pas le choix et tu sais ce qu’on va faire ?

Je regarder ça bite qui soulevait le t-shirt en disant.

— Je pense que oui mais laisse moi le temps de me réveiller et de manger quelque
chose. Je meurs de faim.
— On va aller au village déjeuner chez Émile et ensuite au centre de santé Anabelle :
Massage, manucure, Spa dans la rivière, soins de la peau et ensuite on file au cap a
l’aigle dîner dans un restaurent 5 étoiles au bord de la mer et après...
— OK ! OK ! Ouf, je suis déjà épuisé même si j’en ai l’eau a la bouche ma belle. Mais
là, ton beau grand corps vas être a moi pour une heure ma jolie. Tu vas être ma petite
esclave.
— Oh, fit-elle tout sourire en plissant les yeux. Et tu veux que je fasse quoi pour
commencer ?
— Commence par la vaisselle pendant que je me douche...

J’eus droit à une jolie grimace.


Retour a la galerie d’art


Deux heures plus tard Luce ronflait dans le lit me tournant le dos. La soirée d’hier
l’avait épuisé ainsi que la baise de toute a l’heure et moi aussi. On avait remis à
demain ce qu’elle avait prévu pour la journée. Tant mieux car j’avais vraiment mal
partout. Étendu sur le dos jambes croiser je pensais a la propriétaire de la galerie
et au baiser que l’on c’était donner hier soir et je mourrais d’envie de la revoir.
Comme je n’avais pas son numéro je décider d’aller faire un tour au village. Mais
avant je me fis a déjeuné, ensuite j’ouvris mon téléphone a la cuisine pour voir le
dernier film de Marie. Elle s’était masturbée dans sa voiture garer dans le
stationnement d’un centre commercial bondé. Wow ! Je lui envoyer un texto pour lui
expliquer que je ne rentrerais pas avant quelques jours. Elle me répondit aussitôt
qu’elle avait vue ça aux informations, tous les dégâts causer par la pluie et sen
doutaient. On se promit de se réexpédier d’autres petits films entre temps.

Je me fis belle et comme il faisait chaud et humide j’enfilai seulement une camisole
noire et un jean et prit la route boueuse me remémorant notre baise sous la pluie. Ça,
ça resterait marquer dans ma mémoire pour toujours. Je me sentais anxieuse en
conduisant lentement dans la brume qui s’éclaircissait peut a peut, fébrile, nerveuse,
un peut comme si j’allais faire un mauvais coup mais en même temps très exciter a
l’idée de retrouver la proprio de la galerie en espérant qu’elle soit la et seule. À
froid, sans alcool, je me préparais à baiser avec une autre femme, si elle le pouvait
ce matin. Je n’en revenais pas de tout ce qui m’arrivait depuis que j’avais rencontré
Luce.

Je me garer devant la galerie d’art pour apercevoir un écriteau dans la porte
indiquant que c’était fermer. Déçut je regarder le ciel gris, de gros nuages noirs
approchaient venant de la mer. Il allait pleuvoir encore. Je regarder la fenêtre que
j’avais cassée a l’arrière de mon 4x4. Heureusement, Luce l’avait bouché avec un
carton cirer et du ruban adhésif.

Je sursauter quand on frappa a ma fenêtre, en tournant la tête j’aperçus la
propriétaire de la galerie qui me souriait. À peine maquille portant la même chose
qu’hier. Je baisser ma fenêtre en sentant mon coeur accélérer. Son parfum délicat me
sauta au nez.

— Salut, fit-elle tout sourire, quelle belle surprise. Vous m’attendez depuis
longtemps ?
— Non, je viens d’arriver.
— Super, venez.

Nerveuse, je sortis du 4x4, barré les portière, mit l’antivol et je la suivis a
l’intérieur. Elle referma derrière nous et plongea ses yeux magnifiques dans les miens
en disant :

— J’ai pensé à vous toute la nuit Julie. Allons au dessus, dit-elle en pointant le
plafond du doigt, on y sera tranquille, c’est là que je passe le temps en attendant
les clients.

Un désir violent me submergea en la suivant, ce fut comme un coup de poing dans mon
bas ventre. Jamais je n’avais ressenti ça pour une autre femme, même que, jamais je
n’aurais cru ressentir du désir pour une fille surtout a 50 ans il y a quelques jours
seulement. Je n’en revenais pas de tout ce qui m’arrivait, de ses changements dans ma
vie, ma nouvelle vie de célibataire. J’observais ce petit bout de femme de mon âge
tout en rondeur qui marchait avec assurance devant moi en réalisant pleinement ce que
je me préparais à faire avec elle. Ses longs cheveux bruns tombaient sur ses épaules
et son tailleur cachait ses fesses, elle était élégante pour une femme avec de telles
rondeurs. Rondeur qui se situait surtout au niveau de sa poitrine démesurée tout comme
ma meilleure amie. Mais ce n’était pas ses seins qui m’excitaient, mais l’idée qu’on
allait se dénuder et se caresser entre femmes.

On franchit une porte sur laquelle un écriteau indiquait que l’endroit était priver et
on grimpa un escalier étroit pour se retrouver dans un minuscule studio au dessus de
la galerie juste sous le toit. Un coin-cuisine et un coin salon avec une télé, un sofa
et un grand tapis perçant au centre de la pièce. À peine entrée elle commença à se
dévêtir en me regardant tout en déposant ses vêtements sur une table ronde. Je
l’imiter silencieuse en sentant mon coeur accélérer. Une grande fenêtre derrière elle
donnait sur la mer par dessus les toits des maisons environnantes et j’aperçus des
éclairs au loin en me débarrassant de la camisole et de mon soutien-gorge. Mes seins
tombèrent pour rouler sur mon ventre, ce qui me fit rougir car elle les regarda en
souriant. Elle avait enlevé sa blouse et son énorme soutien-gorge de dentelle blanche
et ses seins ballon, pendait en remuant au moindre mouvement tandis qu’elle se
débarrassait de ses chaussures, de son pantalon et de son slip blanc. J’enlevai,
sandale, jean et slip a mon tour.

Une fois nue toutes les deux je me sentis un peut embarrasser et vulnérable tout en
admirant ses rondeurs superbes tandis qu’elle m’examinait également. Je mouillais déjà
en sentant mon coeur accélérer. Ses mamelons avaient les pointes rentrer par en dedans
tout comme sur l’illustration d’elle en bas dans la salle d’exposition et elle avait
une magnifique toison en triangle très fournie. Sa peau était blanche et lisse et je
salivais d’envie de la toucher et de me faire toucher.

— Vous êtes superbe, me dit-elle en s’approchant lentement ce qui fit rouler sa
poitrine sur son ventre rond au nombril creux. Je me mis a salivé, les yeux déjà tout
petits.
— Vous aussi. Dit-je la vois enrouer, me sentant de plus en plus troubler et exciter
par son corps nu. La toison presque noire se démarquait nettement de la blancheur de
sa peau de lait.

Tout comme hier elle m’enlaça, mentons en l’air et je frémis aussitôt que ses mains se
posèrent sur mes hanches en sentant ses gros seins écraser les miens. C’était très
agréable, excitant au possible de sentir son corps nu et sa peau si douce sous mes
doigts. Son odeur parfumée surtout, c’était enivrant, envoûtant. Je la serrer très
fort, presque a lui faire craquer les vertèbres tellement j’adorais la sentir dans mes
bars. Puis, je lui avouer que c’était une première pour moi avec une autre femme
tandis qu’on se caressait les reins puis les fesses en se regardant droit dans les
yeux. Tout me semblait démesuré chez elle tellement j’étais habitué au corps svelte de
Luce pourtant elle n’était pas si grosse, juste ronde, sauf sa poitrine évidemment.

— Et c’est moi la chanceuse, dit-elle tout sourire. Pas de problème Julie laisser moi
faire, moi je suis une lesbienne pure et dure.
— C’est vrai ?
— Absolument.
— Et Luce, demandai-je moqueuse en souriant la sentant palper mes fesses, avec plus de
vigueur, ce qui me donna de sacrés frissons en plus de sentir mes mamelons gonfler
contre ses seins.
— Oh ! La belle Luce, c’est bien la seule bite que je tolère en moi. Venez, dit-elle
en me prenant la main. Allons nous asseoir.

Une fois sur le sofa, assise l’une contre l’autre on se regarda un instant sans rien
dire puis elle posa un bras sur mes épaules et on se frencha longuement et avec
vigueur laissant nos mains parcourir nos corps et mon coeur s’emballa. Je fermer les
yeux un instant pour mieux tout ressentir tandis que nos langues pointues s’agitaient
l’une contre l’autre. On se pressait les seins, les mamelons durcis et c’était
fantastique. C’était si doux, si sensuel que je n’aurais voulu manquer ça pour rien au
monde. Ses seins étaient si lourds que quand j’en soulevais un ma main disparaissait
en dessous. J’imaginai un instant qu’elle était Marie, que c’était sa langue que
j’avais dans ma bouche et sa main délicate qui me pressait la poitrine comme seule une
femme peut le faire et cela me fit mouiller plus.

Un vent violent se leva faisant craquer la vieille maison et une forte pluie s’abattit
tout à coup sur les fenêtres et le toit. Sa langue quitta ma bouche pour descendre sur
ma gorge et ça me chatouilla agréablement. Elle me donna des baisers chatouille
jusqu’a mes seins quelle souleva pour m’en sucer les bouts, l’un après l’autre tandis
que je lui caressais le dos. Ses lèvres délicates et le bout de sa langue sur mes
mamelons m’arrachèrent quelques grimaces de plaisir. Je me mis à gémir doucement à
cause du plaisir que je ressentais mais aussi pour bien lui faire comprendre que
j’appréciais. Au bout d’un moment, sa main lâcha ma poitrine pour descendre sur mon
ventre, mon pubis complètement raser, puis ma vulve déjà gonflée et humide, mes
cuisses s’ouvrirent toutes seules. Elle me la pressa plusieurs fois avec son pouce et
son index et ça m’électrisa. On ne m’avait jamais fait ça. C’était si différent des
caresses d’un homme, moins brutal, encore plus doux que les caresses de Luce. Mon bas
ventre était en feux.

Ma main droite délaissa ses seins pour glisser dans sa toison friser. Je laisser mes
doigts y folâtrer un moment parce que ça mes les chatouillaient avant de les poser sur
sa fente, humide également que je frotter un doigt en avant comme elle me le faisait a
présent. Sur le coup je fus un peut déçut de ne pas sentir une belle bite bander dur
entre ses cuisses ouvertes mais cela s’estompa rapidement. J’avais un peut
l’impression de caresser mon sexe mais sans rien ressentir. Puis, elle glissa
lentement un doigt dans mon vagin jusqu’à la jointure en me forçant à m’étendre sur le
sofa. Je le fis docilement en soulevant une jambe pour la poser sur le dossier tout en
m’agrippant les seins pour me les caresser et amener mes mamelons sensibles a ma
bouche. Elle glissa un cousin sous mes fesses pour avoir un meilleur accès à mon sexe.

Je planais déjà juste à sentir son doigt s’agiter en moi. Elle prit un temps fou a
m’embrasser et me lécher l’intérieur des cuisses et le mont de vénus tout en me
pénétrant lentement avant de s’attaquer a ma vulve ouverte et gonfler avec sa bouche.
Elle me titilla les lèvres vaginales avec la langue, avant de me lécher la fente sans
sortir son doigt de mon vagin. Je me plaignais déjà en savourant chaque seconde de ce
cunnilingus féminin. Je mouillais en abondance surtout quand le bout de sa langue
s’approcha de mon petit bouton durci. Quand sa bouche se referma sur mon pauvre
clitoris bander dur qu’elle agaça délicatement du bout de la langue en le suçant tout
mon corps se raidit. Mes orteils se replièrent tandis que je me plaignais plus fort à
cause du délicieux traitement qu’elle m’infligeait. Je planais en m’abandonnant
complètement à cette femme.

Quand sa langue agile remplaça son doigt dans mon vagin détremper je crus m’évanouir
tant c’était bon. Elle était chaude, humide et s’agitait et ses cheveux me
chatouillaient les cuisses. Ma tête allait de gauche à droite tandis que je me
mordillais les mamelons rajoutant à mon plaisir. Elle passa du vagin au clito, puis
encore le vagin et l’anus. Sa petite langue pointue me l’agaça tellement que ça me
coupa le souffle et que je faillis jouir en me tortillant. Je lâcher mes seins pour
lui caresser la tête. C’était fantastique, j’en frémissais de partout en me lamentant
de plus en plus fort. Elle m’amena rapidement à l’orgasme en me mangeant le sexe
goulûment avec passion tout en titillant le clito avec les doigts et l’anus. Je me
tordis de plaisir le corps parcouru de spasmes et de frissons. Tandis que l’orage
s’abattait à nouveau sur le village, mon coeur cognait et je manquais de souffle en
jouissant. Et elle continua...

Deux orgasmes plus tard je lui dis d’arrêter car je n’en pouvais plus, mais j’avais
surtout envie de lui rendre la politesse ce qu’elle accepta avec grand plaisir. Elle
s’étendit sur le dos a son tour en passa ses petites mains sous ses genoux pour les
rabattre sur sa poitrine m’offrant sa fente et son anus rose et plisser sans pudeur.
Dès que j’approchai mon visage de son sexe odorant et luisant je me rendis compte que
c’était la première fois de ma vie que je voyais une vulve de si près. Ses grandes
lèvres roses étaient ouvertes comme les ailes d’un papillon, je distinguais également
les petites très pâles, l’urètre et l’entrée du vagin et cela m’excita au plus haut
point. Me laissant guider par mon instinct je lui sucer l’une après l’autre les lèvres
au goût salé avant de titiller son petit clitoris du bout de la langue en la sentant
frémir puis je lui enfoncer dans le vagin chaud et humide et l’agiter tout en
caressant anus et clitoris avec mes doigts comme elle me l’avait fait. Quand je levais
les yeux en lui mangeant le sexe je ne voyais que sa toison fournie qui me
chatouillait le bout du nez et le dessous de ses énormes seins. J’adorais le goût
saler de sa cyprine qui me faisait saliver. L’anus aussi goûtait saler et il était si
étroit que j’eus un peut de peine a y pousser la langue tout en la fourrant dans le
vagin a deux doigts l’entendant gémir malgré la pluie qui martelait le toit. Elle
finit par ce tordre elle aussi en repliant ses petits orteils et au bout d’un long
moment, comme j’avais la nuque raidie, je me redresser en m’essuyant la bouche. Je
n’avais plus de souffle et mal à la langue et je savais bien que je l’avais fait jouir
car quand elle se redressa, alanguie, les yeux brumeux, elle était rouge jusqu’aux
seins.

— Ouf, fit-elle en se frottant le sexe, pour une première Julie, c’était... wow ! Ça
vous a plus ?

Je rougis en souriant, embarrasser en me léchant les lèvres en avouant que oui.

— Super, vous n’êtes pas pressé ?
— Non, et je pense qu’on peut se tutoyer maintenant.

Une heure plus tard on recommençait mais cette fois étendue par terre en 69 sur le
tapis persan et ce fut délirant, fantastique. Quand je rentrer a la roulotte épuiser
mais heureuse de ma première vraie expérience avec une femme je me tapis contre Luce
qui dormait toujours. Je n’avais même pas séché mes cheveux tremper par la pluie et je
me sentais si heureuse que j’en verser quelques larmes...

Quatre jours plus tard, dans le grand lit de mon loft à Montréal, j’étais en train de
manger le sexe de ma meilleure amie, un doigt enfoncer entre ses fesses quand elle dit
entre deux gémissements...

— Oufff... seigneur Marie... T’es sûr que t'as jamais fait ça... Cochonne !!!


Fin

Les avis des lecteurs

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tout etait parfait, sauf la fin c'est la vie !

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hello dommage que se soit déjà fini j aurai voulu plus de détails pour le retour à
Montréal et les retrouvailles avec marie je suis un peut déçu par la fin



Texte coquin : Aubout du monde - 11 final
Histoire sexe : Une rose rouge
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