Audacieuse
Récit érotique écrit par Ajax [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 19 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Ajax ont reçu un total de 182 915 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 2 384 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Audacieuse
Nous connaissions plutôt bien Thomas, responsable des ventes de la marque à l’étoile, pour lui avoir déjà acheté un véhicule. Le feeling était bon et nous nous sommes vus en-dehors de la concession, la première fois à la terrasse d'un café et une autre fois au restaurant.
Je me doutais qu'il avait flashé sur ma chérie et j’étais curieux de confirmer mon intuition. J'avais son 06, nous avons commencé à échanger quelques messages anodins comme deux potes. De fil en aiguilles, nous avons parlé de nos vies personnelles. Un jour il m'a annoncé s'être séparé de sa femme et je l'ai vu très malheureux, alors je lui ai proposé de venir chez nous après son dernier rendez-vous, pour un barbecue. Nous avons passé une bonne partie de la nuit à discuter et à refaire le monde. Sabine s'était endormie sur le canapé, à côté de moi. Il ne s'est rien passé entre eux ce soir-là. Mais Sabine m'a avoué qu'elle le trouvait sympa et très mignon.
Les jours suivants, dans nos échanges par téléphone, en plus de quelques indiscrétions intimes, je lui envoyais des photos de Sabine au bord de la piscine ou alanguie, flottant sur un matelas gonflable. Elle aussi, s’est mise à échanger avec lui par sms. Les photos que je lui envoyais étaient de plus en plus sexy avec l'accord de ma chérie.
Et quand il est revenu chez nous, à la fin de l'été dernier, nous nous sommes baignés tous les trois à poil dans la piscine. En sortant de l'eau, j'ai pris Sabine dans mes bras et je lui ai fait signe de se rapprocher de nous. Sabine s'est retourné vers lui et elle l'a embrassé.
Je me suis assis dans un fauteuil et je les ai regardés se découvrir. Thomas enserrait dans ses mains le visage de ma femme, comme s’il touchait un objet fragile ou précieux. Sabine s’était blottie contre lui. Son bassin ondulait légèrement comme pour éprouver les aptitudes héréditaires du mâle qui l’épousait.
Ils se touchaient, se léchaient ou se caressaient dans une danse approximative qui avait le pouvoir inévitable d’échauffer le désir de l’homme pour la femme qui s’abandonne à lui.
Quand elle s’est agenouillée avec certainement l’intention de vénérer entre ses lèvres le sexe turgescent de Thomas, le garçon a rapidement invité sa conquête à s’incliner et tendre sa croupe. Ils ont fait l’amour pour la première fois ensemble, devant moi, ce soir-là.
Depuis, il est devenu un de ses amants favoris. Il lui arrive quelque fois de le rejoindre à son bureau en journée. Il ferme les stores et mon imprudente compagne s’abandonne aux caresses de son admirateur. Les minces parois de son bureau ne les ont pas dissuadés de se compromettre à quelques centimètres des secrétaires ou des clients. Si Miss Sabine affectionne les chambres cosys des hôtels de charme, elle s’encanaille ici sur l’acier vernis d’un bureau encombré de dossiers. Je continue à échanger avec son favori par message, maintenant c'est lui qui m'envoie des photos de ma femme dans des positions débauchées.
Thomas m'a annoncé récemment que son patron avait compris son manège avec sa cliente « favorite », et il l'avait menacé de le dégager, à moins qu’il accepte de lui prêter sa conquête. Il est venu ce soir pour en parler à Sabine et lui dire combien il était confus de la situation dans laquelle il l’avait mise. Contre toute attente ma coquine de femme a trouvé la situation cocasse avant de convenir qu’il n’était pas exclu qu’elle aille rendre une petite visite à ce patron coureur. Thomas, délivré d’un poids qui le torturait ne savait plus comment exprimer sa reconnaissance.
— Je saurai te rappeler à mon bon souvenir quand je projetterai de changer d’auto, qu’elle lui rétorque, opportuniste.
Rassuré, notre ami voulu prendre congé mais c’était sans compter sur le pouvoir de persuasion de ma dame.
— Il n’est pas envisageable que tu t’en ailles. Bien que tu ne sois pas ivre, tu vas rester dormir ici, j’ai d’ailleurs préparé la chambre d’amis à toutes fins utiles.
Difficile de contredire une femme déterminée. Après nos ablutions respectives, Thomas s’était retiré dans sa chambre et je ne me souviens pas m’être endormi. Quand j’ai émergé, la place à mon côté était vide. Pas la moindre rai de lumière dans la salle de bain.
Des chuchotements faibles, des petits rires aigus et étouffés me parvenaient de la chambre voisine. Je n’ai pas besoin de vous faire un dessin pour comprendre que ma chipie s’était glissée sous la couette de notre invité.
Je suis resté immobile, essayant d’interpréter les moindres respirations ou frottements de draps. Impossible de résister à l’envie de m’approcher de la porte entrouverte. Les volets n’étaient pas fermés et la lumière pâle de la rue permettait de distinguer ma femme à quatre pattes qui offrait ses fesses à son amant. Les coups de reins réguliers qu’il flanquait à sa partenaire étaient accompagnés d’un soliloque répétitif d’exhortation à pilonner plus fougueusement son joli cul.
Je bandais superbement en me caressant à la cadence imprimée par Thomas. Sabine a exulté bruyamment, impossible pour elle de retenir son plaisir fébrile. Quelques minutes plus tard, le rythme de son cœur battait encore fort alors qu’elle était revenue se blottir dans mes bras. Elle portait sur sa peau les fragrances de leur lutte charnelle. Je flairais dans son cou, des effluves de jouissances. Coopérative, elle consentait à me laisser lécher sa poitrine, son ventre. Elle facilitait ma progression jusqu’à sa vulve humide des fluides fusionnels encore chauds. Nous avons fait l’amour, encore, alors que deux yeux nous épiaient depuis le couloir.
-Viens nous rejoindre Thomas !
On ne résiste pas à une femme audacieuse…
Je me doutais qu'il avait flashé sur ma chérie et j’étais curieux de confirmer mon intuition. J'avais son 06, nous avons commencé à échanger quelques messages anodins comme deux potes. De fil en aiguilles, nous avons parlé de nos vies personnelles. Un jour il m'a annoncé s'être séparé de sa femme et je l'ai vu très malheureux, alors je lui ai proposé de venir chez nous après son dernier rendez-vous, pour un barbecue. Nous avons passé une bonne partie de la nuit à discuter et à refaire le monde. Sabine s'était endormie sur le canapé, à côté de moi. Il ne s'est rien passé entre eux ce soir-là. Mais Sabine m'a avoué qu'elle le trouvait sympa et très mignon.
Les jours suivants, dans nos échanges par téléphone, en plus de quelques indiscrétions intimes, je lui envoyais des photos de Sabine au bord de la piscine ou alanguie, flottant sur un matelas gonflable. Elle aussi, s’est mise à échanger avec lui par sms. Les photos que je lui envoyais étaient de plus en plus sexy avec l'accord de ma chérie.
Et quand il est revenu chez nous, à la fin de l'été dernier, nous nous sommes baignés tous les trois à poil dans la piscine. En sortant de l'eau, j'ai pris Sabine dans mes bras et je lui ai fait signe de se rapprocher de nous. Sabine s'est retourné vers lui et elle l'a embrassé.
Je me suis assis dans un fauteuil et je les ai regardés se découvrir. Thomas enserrait dans ses mains le visage de ma femme, comme s’il touchait un objet fragile ou précieux. Sabine s’était blottie contre lui. Son bassin ondulait légèrement comme pour éprouver les aptitudes héréditaires du mâle qui l’épousait.
Ils se touchaient, se léchaient ou se caressaient dans une danse approximative qui avait le pouvoir inévitable d’échauffer le désir de l’homme pour la femme qui s’abandonne à lui.
Quand elle s’est agenouillée avec certainement l’intention de vénérer entre ses lèvres le sexe turgescent de Thomas, le garçon a rapidement invité sa conquête à s’incliner et tendre sa croupe. Ils ont fait l’amour pour la première fois ensemble, devant moi, ce soir-là.
Depuis, il est devenu un de ses amants favoris. Il lui arrive quelque fois de le rejoindre à son bureau en journée. Il ferme les stores et mon imprudente compagne s’abandonne aux caresses de son admirateur. Les minces parois de son bureau ne les ont pas dissuadés de se compromettre à quelques centimètres des secrétaires ou des clients. Si Miss Sabine affectionne les chambres cosys des hôtels de charme, elle s’encanaille ici sur l’acier vernis d’un bureau encombré de dossiers. Je continue à échanger avec son favori par message, maintenant c'est lui qui m'envoie des photos de ma femme dans des positions débauchées.
Thomas m'a annoncé récemment que son patron avait compris son manège avec sa cliente « favorite », et il l'avait menacé de le dégager, à moins qu’il accepte de lui prêter sa conquête. Il est venu ce soir pour en parler à Sabine et lui dire combien il était confus de la situation dans laquelle il l’avait mise. Contre toute attente ma coquine de femme a trouvé la situation cocasse avant de convenir qu’il n’était pas exclu qu’elle aille rendre une petite visite à ce patron coureur. Thomas, délivré d’un poids qui le torturait ne savait plus comment exprimer sa reconnaissance.
— Je saurai te rappeler à mon bon souvenir quand je projetterai de changer d’auto, qu’elle lui rétorque, opportuniste.
Rassuré, notre ami voulu prendre congé mais c’était sans compter sur le pouvoir de persuasion de ma dame.
— Il n’est pas envisageable que tu t’en ailles. Bien que tu ne sois pas ivre, tu vas rester dormir ici, j’ai d’ailleurs préparé la chambre d’amis à toutes fins utiles.
Difficile de contredire une femme déterminée. Après nos ablutions respectives, Thomas s’était retiré dans sa chambre et je ne me souviens pas m’être endormi. Quand j’ai émergé, la place à mon côté était vide. Pas la moindre rai de lumière dans la salle de bain.
Des chuchotements faibles, des petits rires aigus et étouffés me parvenaient de la chambre voisine. Je n’ai pas besoin de vous faire un dessin pour comprendre que ma chipie s’était glissée sous la couette de notre invité.
Je suis resté immobile, essayant d’interpréter les moindres respirations ou frottements de draps. Impossible de résister à l’envie de m’approcher de la porte entrouverte. Les volets n’étaient pas fermés et la lumière pâle de la rue permettait de distinguer ma femme à quatre pattes qui offrait ses fesses à son amant. Les coups de reins réguliers qu’il flanquait à sa partenaire étaient accompagnés d’un soliloque répétitif d’exhortation à pilonner plus fougueusement son joli cul.
Je bandais superbement en me caressant à la cadence imprimée par Thomas. Sabine a exulté bruyamment, impossible pour elle de retenir son plaisir fébrile. Quelques minutes plus tard, le rythme de son cœur battait encore fort alors qu’elle était revenue se blottir dans mes bras. Elle portait sur sa peau les fragrances de leur lutte charnelle. Je flairais dans son cou, des effluves de jouissances. Coopérative, elle consentait à me laisser lécher sa poitrine, son ventre. Elle facilitait ma progression jusqu’à sa vulve humide des fluides fusionnels encore chauds. Nous avons fait l’amour, encore, alors que deux yeux nous épiaient depuis le couloir.
-Viens nous rejoindre Thomas !
On ne résiste pas à une femme audacieuse…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Ajax
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très beau du bon candaulisme bien établi. Daniel
Oui, excellent. la suite!

