Audey (7) : La trahison
Récit érotique écrit par Clar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
- • 64 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Clar ont reçu un total de 536 925 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 285 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Audey (7) : La trahison
Audrey – Partie 7 : J’avais quitté l’appartement de Rose toute ragaillardie après ma leçon de piano. Comme il l’avait promis, Jean avait retrouvé Alexandre. Il lui avait parlé. Et il acceptait forcément de me revoir puisque je le retrouverai le samedi suivant à dix-sept heures.
C’est donc toute joyeuse que je regagnais la maison familiale. Le soir, seule dans ma chambre, je repensais à Alexandre. Alexandre chéri que j’allais revoir. Le weekend passa rapidement. Heureusement, mes sœurs ne venaient pas le dimanche. Je prétextais des devoirs, une montagne de devoirs pour ne pas aller à la messe.
Le mardi, je fêtais avec mes parents mon dix-septième anniversaire. Nous le fêterions en famille dimanche. Après avoir soufflé mes bougies, je déballais mon cadeau : une superbe montre au bracelet de cuir bleu. Après dîner, j’allais me coucher, j’étais dispensée de débarrasser la table et de ranger la vaisselle.
Le reste de la semaine passa, me paraissant d’une absolue lenteur, même si je donnais le change. Fabienne avait averti qu’elle ne rentrerait que le samedi soir. Je soupçonnai un nouvel amoureux….
Arriva enfin le samedi. J’avais averti ma mère que mon cours était déplacé à dix-sept heures. Je m’étais préparée, un pull en V, une jupe au-dessus du genou et un collant couleur chair. Une veste recouvrait mon buste. J’avais failli oublier mon cartable et mes partitions ! Je pris le bus. Un jeune me regardait, détaillant mes jambes. Loin de m’horrifier, son regard m’excitait. S’il savait…. Tout à l’heure j’écarterai mes jambes face à mon amant qui s’enfoncerait dans mon puits d’amour…. Je descendis à la station. J’avais vingt minutes d’avance. Jean m’avait indiqué de ne pas venir avant dix-sept heures. J’occupais mon temps à faire du lèche vitrine. Dix-sept heures sonnèrent à l’église. Fébrilement, je sonnai et entrai dans le hall de l’immeuble. Je me contorsionnai pour me débarrasser de mon soutien-gorge que je glissai dans le cartable. Les pointes de mes seins étaient déjà dressées et leur frottement contre la laine de mon pull aggravait mon excitation. J’entrai dans l’appartement.
La première chose que je vis, fut Jean, debout dans l’embrasure de la porte du salon. Il était entièrement nu. Son sexe droit pulsait devant lui. Je n’avais pas prévu ce singulier accueil. Il me sourit et s’approcha de moi. Il déposa un baiser au coin de mes lèvres, me débarrassa de ma veste et de mon cartable. Il me contourna, se plaça derrière moi, posa ses mains sur mes épaules et me poussa en avant. Je pénétrai dans le salon. Jean se colla contre moi. Je sentais son sexe contre mes fesses. Dans mon champ de vision, je découvris Rose, nue à l’exception de bas noirs, allongée sur le canapé, les jambes largement écartées et relevées, se donnant sans retenue à Alexandre, nu lui aussi, positionné au-dessus d’elle, qui la besognait vigoureusement. « Ah, putain, que tu es bonne. Tu es trop bonne. Longtemps que j’avais pas baisé une femme aussi bonne. » Mon arrivée n’avait pas troublé les activités des deux amants. Tout juste tournèrent-ils les yeux vers moi. Rose me fit un clin d’œil, le visage déformé par le plaisir. « Bonjour Audrey. Tu avais bien choisi. Un bel étalon. Bien fort et vigoureux. » Lui me regarda. « Salut Audrey. Elle est bonne ta prof. Super bonne même. Une vraie chienne. Occupe-toi avec Jean. Ça va m’exciter de vous voir baiser ensemble. Après s’il me reste des munitions je te prendrai comme t’aimes. Vas-y Jean, remonte sa jupe que je vois si elle a mis une petite culotte » Les paroles d’Alexandre me glacèrent. Je n’étais donc pas grand-chose pour lui. Juste une fille qu’on bascule ou qu’on fait basculer par un autre. Je me dégageai rapidement des mains de Jean, ramassais mes affaires et sortis en claquant la porte. Je pleurais de rage. Je me retrouvais dans la rue en larmes. Je rentrais à la maison, heureusement vide, et me jetais sur mon lit en sanglotant. C’étaient tous des salauds : Alexandre, Rose et Jean. Je les haïssais.
Le retour de mes parents me poussa sous la douche. Au moins on ne verrait pas trop que j’avais pleuré. Au dîner, je regardais ma mère à la dérobée. Comment pouvait-elle se laisser aller avec ce sale type que j’avais découvert cet après-midi. Et puis après tout, c’était son problème. Après dîner, Fabienne rentra. Je lui racontais mon après-midi et ma déconvenue. « Ecoute sœurette » me dit elle en guise de consolation » ça ne m’étonne pas de lui. Je te l’avais dit. Tu n’as rien à en attendre. Il profite, voilà tout. Ta prof s’est fait plaisir, lui aussi. Tu ne joues pas dans leur cour. Ce sont des adultes. Pour eux, c’est un jeu. Et toi, avec ton petit cœur d’artichaut et ta naïveté, tu ne peux pas rivaliser. Tourne la page. Laisse passer du temps. Tu trouveras un mec bien ne t’inquiète pas. » Ses paroles m’avaient fait du bien. Le lendemain, j’offrais à ma famille un visage moins triste. Le soir, ma mère, au moment du coucher, s’inquiéta « ça n’a pas l’air aller ma petite fille. Un chagrin ? » Je la rassurais en inventant un copain que j’aimais bien et qui m’avait déçue en me mentant. Elle m’embrassa et me souhaita une bonne nuit. « Ce n’est pas grave ma chérie. C’est la vie ».
J’entamais la semaine plus détendue mais encore meurtrie. Je me plongeais dans mes cours. J’appréhendais le samedi et le face à face avec Rose. Il me fallut me résoudre à y aller quand même. Vêtue d’un pantalon et d’un pull large noyant mes formes, je sonnais à la porte de son appartement. Fort heureusement elle était seule, Jean n’était pas là. « Bonjour, je viens pour ma leçon de piano. Je crois qu’elle dure une heure. Alors commençons. » Je m’assis sur le tabouret de piano.
« Ecoute Audrey. Laisse-moi te parler. Avec Jean, nous avions compris que tu étais amoureuse de ton Alexandre. Votre différence d’âge nous a interpellé. Jean a mené son enquête. Il a vite cerné le gars. Un type qui papillonne de femme en femme. Sans scrupule. Sans s’attarder aux dégâts qu’il pourrait occasionner. Te l’expliquer aurait été difficile, tu n’aurais pas écouté parce que tu as soif d’absolu. En plus c’est l’amant de ta mère. Pour lui, elle n’est qu’une de ses maitresses. Rien de plus. Alors nous avons décidé de le mettre en scène tel qu’il est. Il est arrivé une heure avant toi. Jean lui avait raconté que j’étais ta prof et que j’étais un peu nymphomane. Et que s’il en avait envie, il pourrait me sauter et toi ensuite. Il ne s’est pas fait prier crois moi. Je ne t’apprendrai pas que c’est un bon amant. J’ai pris du plaisir c’est vrai. Il a bon coup de queue, tu connais. Jean s’est déshabillé juste avant que tu n’arrives pour te mettre dans l’ambiance. Ton Alexandre a été lui-même, assez odieux pour que tu sois choquée et que tu comprennes. Ta réaction, nous l’attendions. Nous savions que le ressort casserait. Jean et moi sommes rassurés, il n’aurait fait que te faire souffrir. Et tu es trop jeune pour ça. J’avais ton âge quand je suis tombée entre les pattes d’un type comme Alexandre. Il m’a fallu dix ans pour m’en remettre. Dix ans. Voilà ce que je voulais te dire Audrey. Je comprendrais très bien que tu m’en veuille. Et maintenant, passons à Mozart… »Cinquante minutes plus tard, je plaquais un dernier accord.
La vie reprit son cours. Petit à petit, le souvenir d’Alexandre s’estompa. Je ne cherchai même pas à espionner ma mère. Je ne sus jamais quand et comment elle le rencontrait. Cela ne m’intéressait plus. Les cours de piano étaient de vrais moments d’évasion. Nous parlions librement avec Rose. Elle portait toujours des tenues excentriques recouvrant plus ou moins discrètement son corps nu. J’avais pris l’habitude de porter des jupes. Souvent, elle posait sa main sur mes cuisses pendant que je jouais. Parfois, elle retroussait ma jupe, me caressant avec douceur jusqu’à l’orgasme. Parfois, elle m’offrait son abricot lisse à lécher et se laissait aller à une jouissance bruyante.
Trois mois plus, tard, lors d’une boum chez une copine, je fis la connaissance de Mathieu. Nous avions le même âge. Je décidais de ne pas lui céder. Il fut patient et accepta. Il fut bien accueilli par mes parents.
Je redevenais une jeune fille comme les autres. Pour combien de temps ? ……
C’est donc toute joyeuse que je regagnais la maison familiale. Le soir, seule dans ma chambre, je repensais à Alexandre. Alexandre chéri que j’allais revoir. Le weekend passa rapidement. Heureusement, mes sœurs ne venaient pas le dimanche. Je prétextais des devoirs, une montagne de devoirs pour ne pas aller à la messe.
Le mardi, je fêtais avec mes parents mon dix-septième anniversaire. Nous le fêterions en famille dimanche. Après avoir soufflé mes bougies, je déballais mon cadeau : une superbe montre au bracelet de cuir bleu. Après dîner, j’allais me coucher, j’étais dispensée de débarrasser la table et de ranger la vaisselle.
Le reste de la semaine passa, me paraissant d’une absolue lenteur, même si je donnais le change. Fabienne avait averti qu’elle ne rentrerait que le samedi soir. Je soupçonnai un nouvel amoureux….
Arriva enfin le samedi. J’avais averti ma mère que mon cours était déplacé à dix-sept heures. Je m’étais préparée, un pull en V, une jupe au-dessus du genou et un collant couleur chair. Une veste recouvrait mon buste. J’avais failli oublier mon cartable et mes partitions ! Je pris le bus. Un jeune me regardait, détaillant mes jambes. Loin de m’horrifier, son regard m’excitait. S’il savait…. Tout à l’heure j’écarterai mes jambes face à mon amant qui s’enfoncerait dans mon puits d’amour…. Je descendis à la station. J’avais vingt minutes d’avance. Jean m’avait indiqué de ne pas venir avant dix-sept heures. J’occupais mon temps à faire du lèche vitrine. Dix-sept heures sonnèrent à l’église. Fébrilement, je sonnai et entrai dans le hall de l’immeuble. Je me contorsionnai pour me débarrasser de mon soutien-gorge que je glissai dans le cartable. Les pointes de mes seins étaient déjà dressées et leur frottement contre la laine de mon pull aggravait mon excitation. J’entrai dans l’appartement.
La première chose que je vis, fut Jean, debout dans l’embrasure de la porte du salon. Il était entièrement nu. Son sexe droit pulsait devant lui. Je n’avais pas prévu ce singulier accueil. Il me sourit et s’approcha de moi. Il déposa un baiser au coin de mes lèvres, me débarrassa de ma veste et de mon cartable. Il me contourna, se plaça derrière moi, posa ses mains sur mes épaules et me poussa en avant. Je pénétrai dans le salon. Jean se colla contre moi. Je sentais son sexe contre mes fesses. Dans mon champ de vision, je découvris Rose, nue à l’exception de bas noirs, allongée sur le canapé, les jambes largement écartées et relevées, se donnant sans retenue à Alexandre, nu lui aussi, positionné au-dessus d’elle, qui la besognait vigoureusement. « Ah, putain, que tu es bonne. Tu es trop bonne. Longtemps que j’avais pas baisé une femme aussi bonne. » Mon arrivée n’avait pas troublé les activités des deux amants. Tout juste tournèrent-ils les yeux vers moi. Rose me fit un clin d’œil, le visage déformé par le plaisir. « Bonjour Audrey. Tu avais bien choisi. Un bel étalon. Bien fort et vigoureux. » Lui me regarda. « Salut Audrey. Elle est bonne ta prof. Super bonne même. Une vraie chienne. Occupe-toi avec Jean. Ça va m’exciter de vous voir baiser ensemble. Après s’il me reste des munitions je te prendrai comme t’aimes. Vas-y Jean, remonte sa jupe que je vois si elle a mis une petite culotte » Les paroles d’Alexandre me glacèrent. Je n’étais donc pas grand-chose pour lui. Juste une fille qu’on bascule ou qu’on fait basculer par un autre. Je me dégageai rapidement des mains de Jean, ramassais mes affaires et sortis en claquant la porte. Je pleurais de rage. Je me retrouvais dans la rue en larmes. Je rentrais à la maison, heureusement vide, et me jetais sur mon lit en sanglotant. C’étaient tous des salauds : Alexandre, Rose et Jean. Je les haïssais.
Le retour de mes parents me poussa sous la douche. Au moins on ne verrait pas trop que j’avais pleuré. Au dîner, je regardais ma mère à la dérobée. Comment pouvait-elle se laisser aller avec ce sale type que j’avais découvert cet après-midi. Et puis après tout, c’était son problème. Après dîner, Fabienne rentra. Je lui racontais mon après-midi et ma déconvenue. « Ecoute sœurette » me dit elle en guise de consolation » ça ne m’étonne pas de lui. Je te l’avais dit. Tu n’as rien à en attendre. Il profite, voilà tout. Ta prof s’est fait plaisir, lui aussi. Tu ne joues pas dans leur cour. Ce sont des adultes. Pour eux, c’est un jeu. Et toi, avec ton petit cœur d’artichaut et ta naïveté, tu ne peux pas rivaliser. Tourne la page. Laisse passer du temps. Tu trouveras un mec bien ne t’inquiète pas. » Ses paroles m’avaient fait du bien. Le lendemain, j’offrais à ma famille un visage moins triste. Le soir, ma mère, au moment du coucher, s’inquiéta « ça n’a pas l’air aller ma petite fille. Un chagrin ? » Je la rassurais en inventant un copain que j’aimais bien et qui m’avait déçue en me mentant. Elle m’embrassa et me souhaita une bonne nuit. « Ce n’est pas grave ma chérie. C’est la vie ».
J’entamais la semaine plus détendue mais encore meurtrie. Je me plongeais dans mes cours. J’appréhendais le samedi et le face à face avec Rose. Il me fallut me résoudre à y aller quand même. Vêtue d’un pantalon et d’un pull large noyant mes formes, je sonnais à la porte de son appartement. Fort heureusement elle était seule, Jean n’était pas là. « Bonjour, je viens pour ma leçon de piano. Je crois qu’elle dure une heure. Alors commençons. » Je m’assis sur le tabouret de piano.
« Ecoute Audrey. Laisse-moi te parler. Avec Jean, nous avions compris que tu étais amoureuse de ton Alexandre. Votre différence d’âge nous a interpellé. Jean a mené son enquête. Il a vite cerné le gars. Un type qui papillonne de femme en femme. Sans scrupule. Sans s’attarder aux dégâts qu’il pourrait occasionner. Te l’expliquer aurait été difficile, tu n’aurais pas écouté parce que tu as soif d’absolu. En plus c’est l’amant de ta mère. Pour lui, elle n’est qu’une de ses maitresses. Rien de plus. Alors nous avons décidé de le mettre en scène tel qu’il est. Il est arrivé une heure avant toi. Jean lui avait raconté que j’étais ta prof et que j’étais un peu nymphomane. Et que s’il en avait envie, il pourrait me sauter et toi ensuite. Il ne s’est pas fait prier crois moi. Je ne t’apprendrai pas que c’est un bon amant. J’ai pris du plaisir c’est vrai. Il a bon coup de queue, tu connais. Jean s’est déshabillé juste avant que tu n’arrives pour te mettre dans l’ambiance. Ton Alexandre a été lui-même, assez odieux pour que tu sois choquée et que tu comprennes. Ta réaction, nous l’attendions. Nous savions que le ressort casserait. Jean et moi sommes rassurés, il n’aurait fait que te faire souffrir. Et tu es trop jeune pour ça. J’avais ton âge quand je suis tombée entre les pattes d’un type comme Alexandre. Il m’a fallu dix ans pour m’en remettre. Dix ans. Voilà ce que je voulais te dire Audrey. Je comprendrais très bien que tu m’en veuille. Et maintenant, passons à Mozart… »Cinquante minutes plus tard, je plaquais un dernier accord.
La vie reprit son cours. Petit à petit, le souvenir d’Alexandre s’estompa. Je ne cherchai même pas à espionner ma mère. Je ne sus jamais quand et comment elle le rencontrait. Cela ne m’intéressait plus. Les cours de piano étaient de vrais moments d’évasion. Nous parlions librement avec Rose. Elle portait toujours des tenues excentriques recouvrant plus ou moins discrètement son corps nu. J’avais pris l’habitude de porter des jupes. Souvent, elle posait sa main sur mes cuisses pendant que je jouais. Parfois, elle retroussait ma jupe, me caressant avec douceur jusqu’à l’orgasme. Parfois, elle m’offrait son abricot lisse à lécher et se laissait aller à une jouissance bruyante.
Trois mois plus, tard, lors d’une boum chez une copine, je fis la connaissance de Mathieu. Nous avions le même âge. Je décidais de ne pas lui céder. Il fut patient et accepta. Il fut bien accueilli par mes parents.
Je redevenais une jeune fille comme les autres. Pour combien de temps ? ……
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Clar
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...