Aujourd'hui je dis tout...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Aujourd'hui je dis tout...
Pour une chose que je ne me souvienne plus je me retrouvais à loger chez les parents de ma copine.
À l’époque, tout ce qui concernait mon ex me paraissait merveilleux, aussi ai-je trouvé sa maman gentille. Elle avait alors la quarantaine, vivait avec son mari et deux autres enfants. Elle était de physique lourde, bien en chair pour parler franchement. Comme à son habitude elle était vêtue en tailleur. Très attractive avec un léger décolleté.
Le fait que ma copine prenait son service de très bonne heure fit que je me retrouvais seul avec sa mère. Autour d’une tasse de café, nous échangions des banalités, mais je devais faire un effort extrêmement puissant pour détourner mes yeux de sa poitrine, volumineuse qui semblaient encore fermes et qui m’excitaient au plus haut point.
Naturellement j’étais autant séduit par la mère, que par la fille. Mon attirance pour la mère était peut-être plus fort que pour celle de la fille, car Colette la mère, était, je le pensais inaccessible et le sentiment que j’éprouvais pour elle était agrandi par le fait qu’il y avait une sorte de violation sociale.
Notre histoire avec la fille était banale, et tout fonctionnait dans le meilleur des mondes. Tous les soirs je baisais cette dernière avec la certitude que Colette nous espionner.
Enfin c’était ce que je m’imaginais, surtout que je la trouvais de jour en jour plus attirante. Impressionné par sa présence, à en perdre tous mes moyens devant elle. De son côté, j’avais l’impression qu’elle jouait un jeu de séduction avec moi. Un besoin chez elle de se sentir encore être attirante.
Une nuit, alors qu’une envie pressante m’avait envahie, je croisais Colette sortant de la salle de bains, elle ne portait qu’une chemise de nuit en nylon, tenue par deux bretelles en dentelle. La vision de ce léger tissu sur sa peau me laissa dans un état d’excitation incroyable. A un tel niveau que je m’étais branlé avant de rejoindre ma couche.
Un matin alors que la porte de chambre de Colette était ouverte, je l’aperçus en soutien-gorge en dentelle vert pomme, vision qui me corrompit toute la journée.
Un matin j’entrai dans la salle de bains alors que Colette s’y trouvait, elle sortait de la douche et se séchait avec un linge, malheureusement, je ne pus pas voir ses seins, tellement j’étais ému, je sortis aussitôt. Elle ne réussit pas à cacher une certaine gêne, mais aussi de la satisfaction, me semblait-il. Un autre matin, alors que je me rasais, elle entra rapidement dans la salle de bains et me dit qu’elle était en retard et devait prendre une douche. Elle se tourna, fit tomber sa chemise de nuit sur le carrelage et chevaucha la baignoire pour prendre sa touche. Je ne me gênais pas à la regarder dans le reflet du miroir. Me gavant d’images de son cul, la seule chose qu’elle m’autorisa à voir.
Un soir où ma copine était de service, et que le hasard fit que je me retrouvais seul avec Colette, je profitais de l’occasion qui m’était donnée pour aller la surprendre dans son bain, en espérant qu’elle n’ait pas fermé la porte à clé. Mais là je pouvais lui faire confiance. J’étais un peu près sûr qu’elle ne s’était pas verrouillée, espérant que je prenne l’initiative de lui rendre une petite visite.
Je pesais sur la poignée et en effet, la porte n’était pas fermée à clé. Bien sûr je m’étais excuser, mais elle avait insisté pour que je fasse ce que j’avais à faire. Malencontreusement la mousse cachait le plus important. Comme je devais trouver un moyen pour rester en sa compagnie je choisis de me brosser les dents.
Quelques jours plus tard, l’occasion m’était de nouveau venu d’être seul avec elle. Profitant de cuisiner en sa compagnie. Ne se privant pas de se pencher, pour m’offrir la vue de sa poitrine allongée dans un soutien-gorge noir transparent. Il ne m’en fallait pas plus pour bander.
Après déjeuner je m’autorisais une sieste. Je laissais ma porte ouverte, comme pour provoquer Colette. D’ailleurs elle n’attendait pas longtemps pour se présenter devant l’entrée. Elle en profita pour venir me rejoindre, prenant place sur le lit pour bavarder. Dans le mouvement la jupe de son tailleur avait glissé haut sur ses cuisses. Je ne savais pas ce qui m’avait retenu de poser ma main dessus, mais je n’osai pas.
Trop d’interdits nous séparaient, j’étais avec sa fille. Malgré que je savais qu’elle savait, que sa fille et moi ce n’était pas sérieux. Elle me regardait avec un regard langoureux, puis après une bonne discussion, elle se leva et me quitta, me laissant en tête à tête avec mon excitation.
A un tel point que quand elle revint cinq minutes plus tard avec un tas de linge repasser en main je bandais fort.
-Excuse-moi, me fit-elle, j’avais oublié ce matin.
-Je vous en prie.
Mon érection était visible, mais pas question pour moi de la planquer. Après avoir ranger mon linge elle s’approcha du lit où j’étais toujours allongé, et me donna une petite tape sur le pantalon, elle toucha ma bite en érection à travers l’étoffe. Mais à peine avais-je réagi qu’elle avait déjà passer le pas de la porte.
J’avais patienté une semaine avant de me retrouver de nouveau seul avec elle. J’avais ce jour-là décidé de prendre un bain après ma journée de boulot. Comme par enchantement elle arriva au moment où je sortais de la baignoire. Comme si elle était seule, je la vis se déshabiller, m’exhibant son dos avant d’enjamber à son tour la baignoire toujours de dos.
Je décidais alors de me raser avec la certitude d’en voir un peu plus. D’ailleurs elle en avait fini avec sa mini-douche. Les Dieux étant ce jour-là avec moi, j’eus la chance d’apercevoir ses seins, alors qu’elle se les séchait, avant d’entourer son corps de sa serviette de bain.
Soudain la mienne tomba et laissa ma bite en érection à l’air, pour le plus grand plaisir de Colette qui y posa son regard. Pour ma part je ne pouvais pas bouger, entendant mon cœur dans mes tempes, alors que j’entendais Colette s’exclamait :
-Oh, si je m’attendais à cela !
Elle me la prit en main, et entama un va-et-vient, tout en posant son regard sur moi. J’étais comme ankylosé, et cela jusqu’à ce que mon esprit me dictât d’en faire autant sur elle. Je posais pour cela ma main sur son épaule et je commence à la faire descendre jusqu’à atteindre son sein emmitouflé dans la serviette, mais soudain elle en décida autrement, me lâchant un :
-Arrêtons-nous là veux-tu, avant d’aggraver notre cas.
Et sur ces mots elle quitta la pièce. Je profitais de mon émois pour aller prendre l’air dehors. Attendant patiemment le retour de ma copine pour revenir dans l’appartement.
Pour une fois, tout le monde était réuni autour de la table. J’avais avec Colette échangé quelques banalités, mais nous étions tous les deux très gênés.
Elle avait attendu que nous soyons seul soit le lendemain matin alors que tout le monde était parti au travail pour m’accoster. Elle s’excusa pour ce qui s’était passé dans la salle de bains et qu’il fallait oublier.
-Et pourquoi s’excuser ? lui fis-je.
-Parce que…
-Parce que quoi… j’ai trouvé que c’était un moment agréable. Et de vous à moi, je ne serais pas contre de renouveler l’instant. M’entendais-je lui envoyer.
-Comment tu vas toi ! s’étonna-t-elle.
Sans en rajouter, je posais ma bouche contre la sienne. Mes lèvres collaient à ses lèvres, ma langue cherchait à violer sa bouche. Elle tenta bien de résister, gardant l’accès fermé, mais ce n’était pas me connaître, alors j’insistai et cela jusqu’à ce que sa bouche s’ouvre. Nous échangions un fougueux baiser. Je sentais tout son lourd corps se détendre.
J’en profitais pour lui soutirer son chemisier. Elle portait dessous un soutien-gorge toujours en dentelle mais de couleur blanc. Au comble de l’excitation mes mains parcouraient son corps, m’attardant sur ses seins à travers le soutien-gorge, que j’enlevai gentiment, libérant par cette action ses seins. Que je malaxais entre mes doigts, avant de taquiner avec ma langue ses tétons. Pour ne pas rester en reste, elle caressait mon torse, m’embrassait dans le cou, me lécha les tétons.
Comme une morte de faim, elle me déculotta, s’emparant de ma verge, qu’elle me branla. Je profitais qu’elle soit occupée à me donner du plaisir, pour la soulager de son collant et de sa culotte blanche. Alors que je humais le fond de sa culotte, elle se courba pour me prendre en bouche, tout en me branlant avec deux doigts. J’étais dans un état second. Comme si j’étais ivre.
Je l’encourageais en lui caressant les cheveux. Il ne me fallut pas longtemps pour ressentir les premiers démangeaisons précurseur d’une proche jouissance. Franchement je l’écartais, surprise elle se laissa faire. Je profitais de son ébahissement pour explorer de ma main son intimité. J’enfilais un doigt dans son antre chaud et imbiber de mouille. Je le ressortais pour m’intéresser à son bouton, gorgée d’excitation. Elle n’en pouvait plus. A un tel point qu’elle empoigna ma verge de force et la pilota vers son puits d’amour.
D’un coup de bassin elle m’avala. Elle prit le temps de me digérer, avant de remuer, dans un lent va-et-vient. Elle ne tarda pas à jouir, encourager par son plaisir je jouis à mon tour. Après quelques minutes, elle se laissa aller à m’embrasser. Puis soudain elle se scindait de moi, prit ses affaires et disparu de ma vue.
Le dîné s’était déroulé comme si rien ne s’était passer entre elle et moi. Ce que je trouvais cela très bien. Mais la coquine attendu que sa fille parte au boulot pour venir me rejoindre dans mon lit. Vêtue de sa chemise de nuit. Elle m’embrassa alors que je passais mes mains sous sa chemise de nuit, lui malaxant sans aménagement son cul. Elle avait pris place sur moi alors que j’étais couché sur le dos. Comme elle avait fait la veille, elle s’était saisie de ma verge bandée pour la guider vers son intimité. Ma position me permit de coulisser lentement en elle. Un vrai fourreau de velours. Impatiente, elle débuta un lent va-et-vient. De temps à autre elle se pencha sur mon torse pour coller sa bouche à la mienne.
Je trouvais ces instant des plus fabuleux, jouissif ! d’ailleurs nous ne mettions pas longtemps pour atteindre le but de notre accouplage. Elle restée sur moi, exténuée, détendue, heureuse.
Alors commença une relation folle avec elle. Découvrant jour après jour son corps, mais aussi sa perversité. Parce qu’elle était du genre aventurière, la cochonne. Je dirai même plus que sa fille.
Un après-midi alors que son époux s’était endormi devant la télé, elle m’attira jusqu’à sa chambre. Une fois la porte fermée, nous nous étions embrassés, avant que je me laisse aller dans un fantasme, celui de la prendre en levrette sur son lit conjugal. Là-même où elle dormait avec son époux et cela depuis vingt-trois ans.
Je me vois encore la faire prendre la position, sur le lit conjugal, ses jambes, légèrement écartées, et cela à quelques mètres du mari, ce qui était très excitant et là voir ma queue bandée s’avançant lentement, jusqu’à atteindre l’entrée luisant de mouille. Puis la sensation ahurissante de sentir ma queue s’enfoncer dans sa chatte, comme elle l’aurait fait dans un pot de miel tiède. Après un léger temps d’arrêt nous commencions une croisière merveilleuse qui nous conduit jusqu’au plaisir.
Suite à cette petite péripétie des plus plaisant, nous avions rejoint le mari toujours assoupi devant l’écran. Je ne vous cache pas que cela faisait tout drôle de prendre un café avec un cocu. A m’en faire bandée de nouveau. D’ailleurs j’en fis part à Colette qui tout de suite trouva la parade. M’invitant à la suivre jusqu’à la cave.
Son corps de femme mure m’excitait. Elle trouvait en moi une nouvelle jeunesse, et cela malgré que je sois le copain de sa fille. Le soir, je baisais l’amour avec cette dernière, c’était excitant de faire l’amour la journée avec la mère et le soir avec la fille.
Je n’ai pas honte d’avouer à présent que c’était pour cela que j’avais épouser la fille, pour baiser la mère, et cela pendant pas mal d’années...
À l’époque, tout ce qui concernait mon ex me paraissait merveilleux, aussi ai-je trouvé sa maman gentille. Elle avait alors la quarantaine, vivait avec son mari et deux autres enfants. Elle était de physique lourde, bien en chair pour parler franchement. Comme à son habitude elle était vêtue en tailleur. Très attractive avec un léger décolleté.
Le fait que ma copine prenait son service de très bonne heure fit que je me retrouvais seul avec sa mère. Autour d’une tasse de café, nous échangions des banalités, mais je devais faire un effort extrêmement puissant pour détourner mes yeux de sa poitrine, volumineuse qui semblaient encore fermes et qui m’excitaient au plus haut point.
Naturellement j’étais autant séduit par la mère, que par la fille. Mon attirance pour la mère était peut-être plus fort que pour celle de la fille, car Colette la mère, était, je le pensais inaccessible et le sentiment que j’éprouvais pour elle était agrandi par le fait qu’il y avait une sorte de violation sociale.
Notre histoire avec la fille était banale, et tout fonctionnait dans le meilleur des mondes. Tous les soirs je baisais cette dernière avec la certitude que Colette nous espionner.
Enfin c’était ce que je m’imaginais, surtout que je la trouvais de jour en jour plus attirante. Impressionné par sa présence, à en perdre tous mes moyens devant elle. De son côté, j’avais l’impression qu’elle jouait un jeu de séduction avec moi. Un besoin chez elle de se sentir encore être attirante.
Une nuit, alors qu’une envie pressante m’avait envahie, je croisais Colette sortant de la salle de bains, elle ne portait qu’une chemise de nuit en nylon, tenue par deux bretelles en dentelle. La vision de ce léger tissu sur sa peau me laissa dans un état d’excitation incroyable. A un tel niveau que je m’étais branlé avant de rejoindre ma couche.
Un matin alors que la porte de chambre de Colette était ouverte, je l’aperçus en soutien-gorge en dentelle vert pomme, vision qui me corrompit toute la journée.
Un matin j’entrai dans la salle de bains alors que Colette s’y trouvait, elle sortait de la douche et se séchait avec un linge, malheureusement, je ne pus pas voir ses seins, tellement j’étais ému, je sortis aussitôt. Elle ne réussit pas à cacher une certaine gêne, mais aussi de la satisfaction, me semblait-il. Un autre matin, alors que je me rasais, elle entra rapidement dans la salle de bains et me dit qu’elle était en retard et devait prendre une douche. Elle se tourna, fit tomber sa chemise de nuit sur le carrelage et chevaucha la baignoire pour prendre sa touche. Je ne me gênais pas à la regarder dans le reflet du miroir. Me gavant d’images de son cul, la seule chose qu’elle m’autorisa à voir.
Un soir où ma copine était de service, et que le hasard fit que je me retrouvais seul avec Colette, je profitais de l’occasion qui m’était donnée pour aller la surprendre dans son bain, en espérant qu’elle n’ait pas fermé la porte à clé. Mais là je pouvais lui faire confiance. J’étais un peu près sûr qu’elle ne s’était pas verrouillée, espérant que je prenne l’initiative de lui rendre une petite visite.
Je pesais sur la poignée et en effet, la porte n’était pas fermée à clé. Bien sûr je m’étais excuser, mais elle avait insisté pour que je fasse ce que j’avais à faire. Malencontreusement la mousse cachait le plus important. Comme je devais trouver un moyen pour rester en sa compagnie je choisis de me brosser les dents.
Quelques jours plus tard, l’occasion m’était de nouveau venu d’être seul avec elle. Profitant de cuisiner en sa compagnie. Ne se privant pas de se pencher, pour m’offrir la vue de sa poitrine allongée dans un soutien-gorge noir transparent. Il ne m’en fallait pas plus pour bander.
Après déjeuner je m’autorisais une sieste. Je laissais ma porte ouverte, comme pour provoquer Colette. D’ailleurs elle n’attendait pas longtemps pour se présenter devant l’entrée. Elle en profita pour venir me rejoindre, prenant place sur le lit pour bavarder. Dans le mouvement la jupe de son tailleur avait glissé haut sur ses cuisses. Je ne savais pas ce qui m’avait retenu de poser ma main dessus, mais je n’osai pas.
Trop d’interdits nous séparaient, j’étais avec sa fille. Malgré que je savais qu’elle savait, que sa fille et moi ce n’était pas sérieux. Elle me regardait avec un regard langoureux, puis après une bonne discussion, elle se leva et me quitta, me laissant en tête à tête avec mon excitation.
A un tel point que quand elle revint cinq minutes plus tard avec un tas de linge repasser en main je bandais fort.
-Excuse-moi, me fit-elle, j’avais oublié ce matin.
-Je vous en prie.
Mon érection était visible, mais pas question pour moi de la planquer. Après avoir ranger mon linge elle s’approcha du lit où j’étais toujours allongé, et me donna une petite tape sur le pantalon, elle toucha ma bite en érection à travers l’étoffe. Mais à peine avais-je réagi qu’elle avait déjà passer le pas de la porte.
J’avais patienté une semaine avant de me retrouver de nouveau seul avec elle. J’avais ce jour-là décidé de prendre un bain après ma journée de boulot. Comme par enchantement elle arriva au moment où je sortais de la baignoire. Comme si elle était seule, je la vis se déshabiller, m’exhibant son dos avant d’enjamber à son tour la baignoire toujours de dos.
Je décidais alors de me raser avec la certitude d’en voir un peu plus. D’ailleurs elle en avait fini avec sa mini-douche. Les Dieux étant ce jour-là avec moi, j’eus la chance d’apercevoir ses seins, alors qu’elle se les séchait, avant d’entourer son corps de sa serviette de bain.
Soudain la mienne tomba et laissa ma bite en érection à l’air, pour le plus grand plaisir de Colette qui y posa son regard. Pour ma part je ne pouvais pas bouger, entendant mon cœur dans mes tempes, alors que j’entendais Colette s’exclamait :
-Oh, si je m’attendais à cela !
Elle me la prit en main, et entama un va-et-vient, tout en posant son regard sur moi. J’étais comme ankylosé, et cela jusqu’à ce que mon esprit me dictât d’en faire autant sur elle. Je posais pour cela ma main sur son épaule et je commence à la faire descendre jusqu’à atteindre son sein emmitouflé dans la serviette, mais soudain elle en décida autrement, me lâchant un :
-Arrêtons-nous là veux-tu, avant d’aggraver notre cas.
Et sur ces mots elle quitta la pièce. Je profitais de mon émois pour aller prendre l’air dehors. Attendant patiemment le retour de ma copine pour revenir dans l’appartement.
Pour une fois, tout le monde était réuni autour de la table. J’avais avec Colette échangé quelques banalités, mais nous étions tous les deux très gênés.
Elle avait attendu que nous soyons seul soit le lendemain matin alors que tout le monde était parti au travail pour m’accoster. Elle s’excusa pour ce qui s’était passé dans la salle de bains et qu’il fallait oublier.
-Et pourquoi s’excuser ? lui fis-je.
-Parce que…
-Parce que quoi… j’ai trouvé que c’était un moment agréable. Et de vous à moi, je ne serais pas contre de renouveler l’instant. M’entendais-je lui envoyer.
-Comment tu vas toi ! s’étonna-t-elle.
Sans en rajouter, je posais ma bouche contre la sienne. Mes lèvres collaient à ses lèvres, ma langue cherchait à violer sa bouche. Elle tenta bien de résister, gardant l’accès fermé, mais ce n’était pas me connaître, alors j’insistai et cela jusqu’à ce que sa bouche s’ouvre. Nous échangions un fougueux baiser. Je sentais tout son lourd corps se détendre.
J’en profitais pour lui soutirer son chemisier. Elle portait dessous un soutien-gorge toujours en dentelle mais de couleur blanc. Au comble de l’excitation mes mains parcouraient son corps, m’attardant sur ses seins à travers le soutien-gorge, que j’enlevai gentiment, libérant par cette action ses seins. Que je malaxais entre mes doigts, avant de taquiner avec ma langue ses tétons. Pour ne pas rester en reste, elle caressait mon torse, m’embrassait dans le cou, me lécha les tétons.
Comme une morte de faim, elle me déculotta, s’emparant de ma verge, qu’elle me branla. Je profitais qu’elle soit occupée à me donner du plaisir, pour la soulager de son collant et de sa culotte blanche. Alors que je humais le fond de sa culotte, elle se courba pour me prendre en bouche, tout en me branlant avec deux doigts. J’étais dans un état second. Comme si j’étais ivre.
Je l’encourageais en lui caressant les cheveux. Il ne me fallut pas longtemps pour ressentir les premiers démangeaisons précurseur d’une proche jouissance. Franchement je l’écartais, surprise elle se laissa faire. Je profitais de son ébahissement pour explorer de ma main son intimité. J’enfilais un doigt dans son antre chaud et imbiber de mouille. Je le ressortais pour m’intéresser à son bouton, gorgée d’excitation. Elle n’en pouvait plus. A un tel point qu’elle empoigna ma verge de force et la pilota vers son puits d’amour.
D’un coup de bassin elle m’avala. Elle prit le temps de me digérer, avant de remuer, dans un lent va-et-vient. Elle ne tarda pas à jouir, encourager par son plaisir je jouis à mon tour. Après quelques minutes, elle se laissa aller à m’embrasser. Puis soudain elle se scindait de moi, prit ses affaires et disparu de ma vue.
Le dîné s’était déroulé comme si rien ne s’était passer entre elle et moi. Ce que je trouvais cela très bien. Mais la coquine attendu que sa fille parte au boulot pour venir me rejoindre dans mon lit. Vêtue de sa chemise de nuit. Elle m’embrassa alors que je passais mes mains sous sa chemise de nuit, lui malaxant sans aménagement son cul. Elle avait pris place sur moi alors que j’étais couché sur le dos. Comme elle avait fait la veille, elle s’était saisie de ma verge bandée pour la guider vers son intimité. Ma position me permit de coulisser lentement en elle. Un vrai fourreau de velours. Impatiente, elle débuta un lent va-et-vient. De temps à autre elle se pencha sur mon torse pour coller sa bouche à la mienne.
Je trouvais ces instant des plus fabuleux, jouissif ! d’ailleurs nous ne mettions pas longtemps pour atteindre le but de notre accouplage. Elle restée sur moi, exténuée, détendue, heureuse.
Alors commença une relation folle avec elle. Découvrant jour après jour son corps, mais aussi sa perversité. Parce qu’elle était du genre aventurière, la cochonne. Je dirai même plus que sa fille.
Un après-midi alors que son époux s’était endormi devant la télé, elle m’attira jusqu’à sa chambre. Une fois la porte fermée, nous nous étions embrassés, avant que je me laisse aller dans un fantasme, celui de la prendre en levrette sur son lit conjugal. Là-même où elle dormait avec son époux et cela depuis vingt-trois ans.
Je me vois encore la faire prendre la position, sur le lit conjugal, ses jambes, légèrement écartées, et cela à quelques mètres du mari, ce qui était très excitant et là voir ma queue bandée s’avançant lentement, jusqu’à atteindre l’entrée luisant de mouille. Puis la sensation ahurissante de sentir ma queue s’enfoncer dans sa chatte, comme elle l’aurait fait dans un pot de miel tiède. Après un léger temps d’arrêt nous commencions une croisière merveilleuse qui nous conduit jusqu’au plaisir.
Suite à cette petite péripétie des plus plaisant, nous avions rejoint le mari toujours assoupi devant l’écran. Je ne vous cache pas que cela faisait tout drôle de prendre un café avec un cocu. A m’en faire bandée de nouveau. D’ailleurs j’en fis part à Colette qui tout de suite trouva la parade. M’invitant à la suivre jusqu’à la cave.
Son corps de femme mure m’excitait. Elle trouvait en moi une nouvelle jeunesse, et cela malgré que je sois le copain de sa fille. Le soir, je baisais l’amour avec cette dernière, c’était excitant de faire l’amour la journée avec la mère et le soir avec la fille.
Je n’ai pas honte d’avouer à présent que c’était pour cela que j’avais épouser la fille, pour baiser la mère, et cela pendant pas mal d’années...
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
le reve et la réalité!!!!!
Y'en a qui ont de la chance. Pourvu que ma belle-mère lise ce genre d'histoires et que ça lui donne des idées !!!
belle histoire de belle mere cochone.
belle histoire de belle mere cochone.
Voilà un homme heureux jusqu au jour où sa va se savoir et l'histoire prendra sûrement une autre tournure merci pour le récit