Aurélie...!
Récit érotique écrit par JIMY [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Aurélie...!
INTRODUCTION
Juillet 2006 un vendredi à 17.30mn.
Tout le monde est parti du bureau, sauf Aurélie et moi....
Décrire Aurélie est un exercice de style...! Dire qu'elle est très belle, serait insuffisant.
Il faudrait créer un néologisme que nos chers habits verts seraient incapables de trouver.
J'ai connu Aurélie, bien avant de travailler avec elle. J'ignorais à l'époque que je serais l'employé de son père. Elle habitait un petit pavillon à trois cent mètres de ma résidence. Elle passait souvent en voiture; le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle ne laissait personne indifférent dans le quartier. Son visage de Madone, ses yeux bleus, ses cheveux mi-longs attachés d'une pince à cheveux rendaient son regard insoutenable.
Que dire quand on la croisait chez la boulangère...? surtout en été...! on devinait son corps.... Des jolies fesses-pommes, une taille parfaite. Des seins mignons, superbes fortins qu'elle ne montrait pourtant pas avec ostentation...Trois minuscules points de pétéchies sur son sein gauche, la sainte trinté nous trie, pensais-je souvent... une jupe à mi-cuisses qui laissait paraître de superbes jambes. on devinait le reste sous sa jupe. Tous les hommes étaient éblouis par sa beauté.
Les clients du bar-tabacs étaient tous sur le seuil de l'entrée dès qu'ils la voyaient arriver. Ils regagnaient leurs tables et leurs jeux de cartes, aussitôt qu'elle avait disparue de leur vue dans sa Nissan bleue. Dans leurs yeux, le ravissement d'avoir comptemplé le "canon" comme ils se plaisaient à le dire.
Aurélie était discrète. Toujours un petit bonjour à Angèle la boulangère. Un petit: "excusez-moi", lorsque, ayant été servie, et qu'invariablement je me tenais devant la porte pour l'admirer, elle esquissait un mince pincement de lèvres qui voulait être un sourire poli. Quel beau visage...même s'il paraissait triste. J'étais heureux...!
Juillet 2006 17.30mn.
Je suis installé à mon bureau. Je fais le rangement hebdomadaire du tas de dossiers qui s'empilent chaque jour d'avantage. Je soulage un peu tout ce désordre en associant toutes les documentations techniques que je pose sur les étagères.
Une rapide prise en mains de mes dossiers, pour ordonner les feuilles qu'ils contiennent. Un coup sec et machinal, plus une feuille ne dépasse. Je peux les poser sur ma desserte. Un coup de plizz sur le bureau, le kutch bien rangé, les crayons et stylos dans leur boite, ça fait plus net déjà.
Le vendredi est pour moi un calvaire. Je vais passer deux jours sans voir Aurélie...!
Pour l'instant, je l'entends au travers de la cloison qui sépare nos deux bureaux. Elle doit ranger ses dossiers elle aussi. Préparer son sac sans doute.
J'ai aussi ce bonheur...toute la semaine je peux "presque" l'entendre respirer. Je connais entre mille le bruit de son pas. Je peux le dissocier de celui de Monique notre comptable, ou de celui de Djamila notre secrétaire de direction.
Toute la journée, j'ai admiré Aurélie. Petit chemisier à fleur, laissant apercevoir un soutien-gorge de belle facture, une jupe courte légère, des chaussures à talons d'été comme en portent les danseuses de Sardane.
Je suis assis à mon bureau, j'ai pris une documentation que par ailleurs je ne lis pas.
Un bruit de pas...! C'est elle...!
Je plonge mon regard dans le prospectus pour me donner une contenance.
Aurélie toute souriante, la main droite posée sur le cadre de la porte de mon bureau me demande:
-On boit un café Patrick...?
-Volontiers Aurélie...!
Je sors de la monnaie de ma poche.
-Non Patrick,laisse, on va prendre la clef du distributeur de café...!
Aurélie se penche pour prendre la clef jaune qui est dans une petite boite rangée dans le grand bureau de l'accueil. Elle se hisse sur la pointe des pieds pour atteindre ce petit objet libérateur de caféine.
Malgré moi, je ne peux m'empêcher d'admirer les cuisses superbes d'Aurélie que l'effort amplifié dévoile. Aurélie est rapide, elle retrouve sa position initiale.
Elle se dirige vers le distributeur de boissons chaudes. Auparavant, elle va à la fontaine d'eau, retire un gobelet, se verse une rasade d'eau fraîche.
Elle insère la clef jaune dans le distributeur de café.
-Comme d'habitude Patrick...un café long quatre barres...?
-Oui Aurélie...!
Pour Aurélie, c'est toujours un café court sans sucre.
Il fait très chaud, la grande porte du bureau est ouverte. En partant, Monique a baissé à minima la climatisation...!
Aurélie pose les deux gobelets de café sur un des deux guéridons de l'accueil.
Je tremble de tout mon corps, depuis toujours d'ailleurs. Mais aujourd'hui plus que d'habitude.
Aurélie se tient quelques instants sur le seuil de l'entrée, son paquet de cigarettes "lights" et son briquet à la main. A contre-jour je devine son corps superbe trop longtemps admiré.
J'ai, moi aussi, mon paquet de JPS noires. A grand peine je sors une cigarette, un tremblement irrésistible et irrépréssible s'empare de moi. J'allume difficilement ma clop...!
-Patrick, tu veux qu'on fume dehors...?
-Oui Aurélie, balbutiais-je...!
-Je prends les cafés...! répondit Aurélie.
Un retour inutile dans mon bureau, pour essayer de reprendre mon souffle...!
-Patrick...ça y est...m'indique Aurélie...!
-J'arrive lui répondis-je la voix chevrotante...!
Aurélie avait posé les gobelets de café sur le capot de sa voiture, elle avait le dos appuyé contre sa portière. Elle fumait avec élégance, les yeux perdus dans la pinède toute proche.
A ses côtés, je la regardais, je tremblais...
Aurélie buvait son café avec une lenteur de serpent . Elle le dégustait. Se retournant parfois vers moi avec son sourire. C'était un grand moment de calme. Ce calme torride qui ne fait chanter que les cigales. Avait-elle deviné qu'en cette fin d'après-midi je voulais lui parler...?
J'admirais une fois encore son merveilleux profil.
-Aurélie...j'ai à te parler, mais promets moi que se sera confidentiel...!
-Bien sûr me répondit-elle en me regardant fixement dans les yeux...!
-Aurélie, je suis follement amoureux de toi. Je t'aime vraiment...!
La réponse dût-être immédiate, je n'en ai plus le souvenir.
-C'est gentil Patrick, mais je ne suis pas amoureuse de toi, je ne l'ai jamais été.
Elle continua à parler, je n'entendais plus rien.
Puis elle me dit
-Allez Patrick, il faut que je rentre.
Elle prit son sac, monta dans sa voiture, en me disant:
-A lundi, bon week-end...!
En franchissant le portail du parking, elle m'adressa un coucou de la main...!
A suivre
Juillet 2006 un vendredi à 17.30mn.
Tout le monde est parti du bureau, sauf Aurélie et moi....
Décrire Aurélie est un exercice de style...! Dire qu'elle est très belle, serait insuffisant.
Il faudrait créer un néologisme que nos chers habits verts seraient incapables de trouver.
J'ai connu Aurélie, bien avant de travailler avec elle. J'ignorais à l'époque que je serais l'employé de son père. Elle habitait un petit pavillon à trois cent mètres de ma résidence. Elle passait souvent en voiture; le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle ne laissait personne indifférent dans le quartier. Son visage de Madone, ses yeux bleus, ses cheveux mi-longs attachés d'une pince à cheveux rendaient son regard insoutenable.
Que dire quand on la croisait chez la boulangère...? surtout en été...! on devinait son corps.... Des jolies fesses-pommes, une taille parfaite. Des seins mignons, superbes fortins qu'elle ne montrait pourtant pas avec ostentation...Trois minuscules points de pétéchies sur son sein gauche, la sainte trinté nous trie, pensais-je souvent... une jupe à mi-cuisses qui laissait paraître de superbes jambes. on devinait le reste sous sa jupe. Tous les hommes étaient éblouis par sa beauté.
Les clients du bar-tabacs étaient tous sur le seuil de l'entrée dès qu'ils la voyaient arriver. Ils regagnaient leurs tables et leurs jeux de cartes, aussitôt qu'elle avait disparue de leur vue dans sa Nissan bleue. Dans leurs yeux, le ravissement d'avoir comptemplé le "canon" comme ils se plaisaient à le dire.
Aurélie était discrète. Toujours un petit bonjour à Angèle la boulangère. Un petit: "excusez-moi", lorsque, ayant été servie, et qu'invariablement je me tenais devant la porte pour l'admirer, elle esquissait un mince pincement de lèvres qui voulait être un sourire poli. Quel beau visage...même s'il paraissait triste. J'étais heureux...!
Juillet 2006 17.30mn.
Je suis installé à mon bureau. Je fais le rangement hebdomadaire du tas de dossiers qui s'empilent chaque jour d'avantage. Je soulage un peu tout ce désordre en associant toutes les documentations techniques que je pose sur les étagères.
Une rapide prise en mains de mes dossiers, pour ordonner les feuilles qu'ils contiennent. Un coup sec et machinal, plus une feuille ne dépasse. Je peux les poser sur ma desserte. Un coup de plizz sur le bureau, le kutch bien rangé, les crayons et stylos dans leur boite, ça fait plus net déjà.
Le vendredi est pour moi un calvaire. Je vais passer deux jours sans voir Aurélie...!
Pour l'instant, je l'entends au travers de la cloison qui sépare nos deux bureaux. Elle doit ranger ses dossiers elle aussi. Préparer son sac sans doute.
J'ai aussi ce bonheur...toute la semaine je peux "presque" l'entendre respirer. Je connais entre mille le bruit de son pas. Je peux le dissocier de celui de Monique notre comptable, ou de celui de Djamila notre secrétaire de direction.
Toute la journée, j'ai admiré Aurélie. Petit chemisier à fleur, laissant apercevoir un soutien-gorge de belle facture, une jupe courte légère, des chaussures à talons d'été comme en portent les danseuses de Sardane.
Je suis assis à mon bureau, j'ai pris une documentation que par ailleurs je ne lis pas.
Un bruit de pas...! C'est elle...!
Je plonge mon regard dans le prospectus pour me donner une contenance.
Aurélie toute souriante, la main droite posée sur le cadre de la porte de mon bureau me demande:
-On boit un café Patrick...?
-Volontiers Aurélie...!
Je sors de la monnaie de ma poche.
-Non Patrick,laisse, on va prendre la clef du distributeur de café...!
Aurélie se penche pour prendre la clef jaune qui est dans une petite boite rangée dans le grand bureau de l'accueil. Elle se hisse sur la pointe des pieds pour atteindre ce petit objet libérateur de caféine.
Malgré moi, je ne peux m'empêcher d'admirer les cuisses superbes d'Aurélie que l'effort amplifié dévoile. Aurélie est rapide, elle retrouve sa position initiale.
Elle se dirige vers le distributeur de boissons chaudes. Auparavant, elle va à la fontaine d'eau, retire un gobelet, se verse une rasade d'eau fraîche.
Elle insère la clef jaune dans le distributeur de café.
-Comme d'habitude Patrick...un café long quatre barres...?
-Oui Aurélie...!
Pour Aurélie, c'est toujours un café court sans sucre.
Il fait très chaud, la grande porte du bureau est ouverte. En partant, Monique a baissé à minima la climatisation...!
Aurélie pose les deux gobelets de café sur un des deux guéridons de l'accueil.
Je tremble de tout mon corps, depuis toujours d'ailleurs. Mais aujourd'hui plus que d'habitude.
Aurélie se tient quelques instants sur le seuil de l'entrée, son paquet de cigarettes "lights" et son briquet à la main. A contre-jour je devine son corps superbe trop longtemps admiré.
J'ai, moi aussi, mon paquet de JPS noires. A grand peine je sors une cigarette, un tremblement irrésistible et irrépréssible s'empare de moi. J'allume difficilement ma clop...!
-Patrick, tu veux qu'on fume dehors...?
-Oui Aurélie, balbutiais-je...!
-Je prends les cafés...! répondit Aurélie.
Un retour inutile dans mon bureau, pour essayer de reprendre mon souffle...!
-Patrick...ça y est...m'indique Aurélie...!
-J'arrive lui répondis-je la voix chevrotante...!
Aurélie avait posé les gobelets de café sur le capot de sa voiture, elle avait le dos appuyé contre sa portière. Elle fumait avec élégance, les yeux perdus dans la pinède toute proche.
A ses côtés, je la regardais, je tremblais...
Aurélie buvait son café avec une lenteur de serpent . Elle le dégustait. Se retournant parfois vers moi avec son sourire. C'était un grand moment de calme. Ce calme torride qui ne fait chanter que les cigales. Avait-elle deviné qu'en cette fin d'après-midi je voulais lui parler...?
J'admirais une fois encore son merveilleux profil.
-Aurélie...j'ai à te parler, mais promets moi que se sera confidentiel...!
-Bien sûr me répondit-elle en me regardant fixement dans les yeux...!
-Aurélie, je suis follement amoureux de toi. Je t'aime vraiment...!
La réponse dût-être immédiate, je n'en ai plus le souvenir.
-C'est gentil Patrick, mais je ne suis pas amoureuse de toi, je ne l'ai jamais été.
Elle continua à parler, je n'entendais plus rien.
Puis elle me dit
-Allez Patrick, il faut que je rentre.
Elle prit son sac, monta dans sa voiture, en me disant:
-A lundi, bon week-end...!
En franchissant le portail du parking, elle m'adressa un coucou de la main...!
A suivre
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Délicieusement exquise cette entame d'histoire...Le lecteur attend avec plaisir la suite de cette aventure...