Aurélie en mode pute - Part 4 - histoire érotique

Jules est probablement l'amant qui la connait le mieux. C'est celui qu'elle voit le plus souvent, et qui la soumet comme personne. C'est lui qui se lève pour prendre le relais après Ben.

Dans le couloir, avant d'entrer, il marque un temps d'arrêt. Visiblement, il y a une chose qu'il ne voulait pas dire devant les autres.

"Combien pour gicler dedans ?"
Un peu pris au dépourvu, j'improvise.

"- Euh, 600 euros, le double de la totale.
- Vendu"
Et voilà que Jules me sort une impressionnante liasse de billets de 50 euros. 12 billets, et le compte est bon.
Quand j'entre dans la chambre, je vois le sourire de ma femme, heureuse de retrouver cet homme qui lui donne tant de plaisir.
Jules n'attend pas, il retire ses fringues alors que je commence à peine à parler.

"- Ton nouveau client a une demande un peu particulière. Pour lui ce sera sans capote. Sois gentille avec lui, il a payé très cher pour toi.
- Oui monsieur. Je vais être une bonne pute pour lui."
Elle joue le jeu, mais je pense qu'elle s'adresse plus à lui qu'à moi quand elle dit ça. Elle le chauffe déjà.

Quand je quitte la chambre, Jules est déjà à poil. Pour rappel, il est black, musclé, et surtout équipé d'une bite impressionnante.

Je ferme la porte mais ne sort pas mon téléphone de suite. J'ai envie de fantasmer. D'écouter. Et je ne suis pas déçu. Au bout de quelques secondes, j'entends une belle claque qui a dû se placer sur le cul d'Aurélie. Comme d'habitude, il n'est pas là pour plaisanter.

Je m'approche de la porte pour essayer de ne pas être trop gêné par les bruits du salon. Pas facile. Je colle l'oreille, tant pis si je me fais griller par les autres. Au bout de quelques instants, je finis par distinguer quelques mots.

"Ouai, c'est bien ça, mange-moi bien les couilles. Va-y. Je vais bien te baiser petite chienne."
Silence...

"Descend maintenant, bouffe-moi le cul. Crache et lèche moi bien le cul."
Comme d'habitude, Jules domine ma femme avec autorité. Trop excité, j'allume mon téléphone. Je le découvre allongé, les fesses au bord du lit. Aurélie est à genou par terre, en train de branler sa queue avec la main droite, pendant que son visage est enfoncé sous les couilles de son client.

"Oh oui putain c'est bon. T'aime ça me bouffer le cul petite pute", lance-t-il assez bruyamment pour qu'on l'entende nettement dans le couloir.

J'ai une érection de dingue. J'adore la voir si soumise. De temps en temps, elle remonte de son cul jusqu'au bout de son gland, sans jamais décoller sa langue. Après quelques allers-retours, il la prend par les épaules pour la ramener sur lui. Elle va s'empaler sur sa queue nue.

Ils sont dans le bon axe, et je vois son énorme sexe s'introduire dans les petites lèvres de ma belle. Elle descend assez rapidement pour être remplie à fond. Elle s'écroule sur lui, tandis qu'il commence à agiter son bassin pour lui baiser la chatte. Il descend ses mains pour tenir les hanches d'Aurélie. C'est lui qui donne le rythme. Après l'avoir bien pilonnée, il ralenti et la relève sur lui. Elle est toujours empalée sur sa queue, mais il veut clairement faire durer le plaisir. Et pas seulement le sien.

"Branle toi. Fais-toi jouir sur ma queue !"
Cela ne devrait pas être un problème, c'est la position préférée d'Aurélie. Elle dos à la caméra, mais je vois son bras bouger. Doucement. Puis de plus en plus vite. Et l'inévitable arrive.

"Oh oui ! Oui !!!!!!!"
Je vois ma femme prise de spasme, en train de jouir intensément sur le large sexe sans capote de Jules. Après quelques secondes d'agitations, elle s'écroule sur lui.

Mais lui n'a pas terminé. Je vois sa queue sortir de sa chatte. Et sans changer de position, il la pose sur le petit trou d'Aurélie. Je ne sais pas s'il lui parle, le son est trop étouffé, mais je vois qu'elle se redresse, visiblement encore dans les vapes, mais elle commence à s'empaler doucement le cul.

"Oh oui, putain c'est bon. Il bien serré ton cul de pute !"
La bite de Jules est si imposante qu'elle ne semble pas pouvoir entrer en entier. Pourtant, elle finit bien par disparaître de l'image. Il prend les fesses d'Aurélie pour bien les écarter et commence à la limer. Très doucement d'abord. Avec un peu plus de rythme ensuite.

J'entends ma femme gémir à travers la porte. Rien de distinct, mais elle prend clairement son pied.

Alors que j'ai les yeux fixés sur mon écran, je n'ai pas vu Julien arriver vers moi. Il cherchait les toilettes, mais il a trouvé mieux.

"Ah batard, t'as mis une cam !"
Je relève les yeux, pris au dépourvu, mais j'ai le réflexe de lui faire signe en mettant mon doigt sur ma bouche de ne pas faire trop de bruit. Merde, qu'est-ce qu'il va dire ?

"Va-y fait tourner !"
Je lui fais de nouveau comprendre qu'il ne faut pas nous faire griller par les autres, mais surtout par ceux qui sont dans la chambre. Voilà que Julien m'a pris le téléphone des mains. Il affiche un grand sourire. Je suis là, assis, en train de regarder un des amants de ma femme qui regarde ma femme se faire enculer. Et dans la chambre, les gémissements sont devenus des cris.

Je ramène Julien vers moi. Nous regardons ça comme d'autres partagent un match de foot.

"Quelle chaudasse quand même. T'as une sacrée chance", me glisse-t-il.

Aurélie est toujours sur Jules. Sauf que cette fois c'est elle qui donne le rythme. Lui ne bouge pas, et elle agite son cul pour le baiser.

"- Oh putain tu vas me faire jouir salope. Continue, baise-moi avec ton cul.
- Va-y, jouis dans mon cul. Balance ton foutre dans mon cul !
- Ah c'est ça que tu veux ? Tiens"
À ce moment-là, Jules reprend le contrôle. Il saisit les hanches d'Aurélie et accélère comme un fou dans son cul.

Elle hurle de plaisir. Je pense qu'elle jouit une deuxième fois. Tout l'appartement en profite. Les gars du salon se retournent vers nous. Et c'est au tour de Jules de hurler.

"Ahhhh !!! AAhhh putain ouii !"""
Son bassin s'est collé au cul de ma femme, et on voit à ses spasmes qu'il gicle au plus profond d'elle. Une fois. Deux fois. Trois fois.

"Popopo le batard il l'a défoncée", me lâche Julien.

Je ne peux que le constater. Et je bande toujours.

Je dis à Julien de filer, qu'on ne se fasse pas voir. Quelques minutes plus tard, Jules sort, sourire aux lèvres. Il nous rejoint dans le salon, me regarde à peine et se sert un coup à boire.

Marc est le dernier. Je ne sais pas dans quel état il va trouver Aurélie.