Aurélie2. Aurélie à la maison...!
Récit érotique écrit par JIMY [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Aurélie2. Aurélie à la maison...!
Vendredi. Juillet 2006-18h.45mn
Je suis rentré chez moi, le moral à l'ouest du pecos. Je bois une 1664.
Mon portable sonne, je jette un œil sur l'écran, c'est un appel d'Aurélie.
-Comment vas-tu Patrick...?
-Mal, mais ça ira...!
-Que fais-tu ce soir, tu vas à ton karaoké...?
-Non, je n'en ai pas envie...!
-Je n'ai pas le moral non plus, veux-tu qu'on se voit...?
-Si tu veux, mais je ne sors pas de chez moi lui répondis-je.
-J'ai ton adresse, je préfère prendre un taxi j'arrive tu es d'accord...?
-Je t'attends...!
19h05mn
Le taxi est garé devant chez moi, je vois Aurélie en descendre. J'appuie sur l'ouvre-porte. Aurélie est maintenant dans mes murs.
Elle dépose un léger baiser sur mes lèvres. Elle est vêtue d'une superbe minijupe bleue, d'un joli chemisier blanc échancré sous lequel paraît un mignon soutien-gorge.
Aurélie me sourit, assise sur le canapé les jambes croisées. J'ai servi deux verres de Chardonnay. Je pose ma main gauche sur sa cuisse droite. Elle me regarde en souriant, j'embrasse tendrement son cou, mordille ses oreilles. Je caresse ses cheveux. Elle me fixe. Nos lèvres se joignent. Nous échangeons un baiser fougueux. Nos langues jouent la farandole longuement, nos lèvres se découvrent. Ma main fouille l'intérieur des cuisses d'Aurélie. Je caresse ses seins sous son chemisier. Pas un mot n'est échangé. Puis Aurélie se lève, me demande de lui resservir un Chardonnay. Elle fait glisser sa mini-jupe à ses pieds, ôte son chemisier. Mon sexe est turgescent. J'ai une folle envie de clouer son ventre.
Aurélie s'empare de son verre, en boit quelques gorgées, puis me murmure à l'oreille.
-Je veux que tu suces ma chatte, jusqu'à l'épuisement, tu sais faire tu t'en vantes assez...!
-Oui j'en ai très envie...!
Je jette une couverture sur la table de la salle à manger, Aurélie s'allonge. Je prends une chaise. Je suis assis mon visage contre le pont de ses jambes. Elle a conservé son string et son soutien-gorge.
Je commence à lécher le petit bout d'étoffe blanc, avec une moyenne pression. Il ne me fallut pas longtemps pour deviner le relief de sa chatte. Je passe ma langue gourmande sur l'intérieur de ses cuisses.
Je jete un œil sur son corps, je remarque poindre ses tétons sous le soutien-gorge. Elle pince ses lèvres, et respire fortement les yeux clôs...!
J'écarte le string d'Aurélie déjà bien mouillé. Son con était superbe, avec un peu d'humus comme je l'avais deviné par transparence. Ses petites lèvres sont gorgées de sang. Je passe des coups de langue comme un pinceau sur les quartiers "d'orange" qu'ils sont devenus...!
-Salaud j'ai envie entendis-je...!
Aurélie détacha ses jambes qui reposaient sur mes épaules, fit glisser son string d'un geste félin et sensuel. Les ongles de ses pieds étaient superbement vernis d'un rouge carmen. Elle posa son mince "triangle à ficelle" sur un côté de la table, puis dégrafa son soutien-gorge.
Un très léger baiser puis elle me dit.
-Vite Pat, je mouille...j'ai envie de jouir... je veux ta langue folle...!
Je pensais "in petto" c'est pas fini ma belle...
Aurélie reprit la position, ses jambes sur mes épaules. J'admirais ses jolis petits seins, un 85B sans doute. Deux aréoles roses, deux superbes tétons au garde-à-vous...! Tout en suçant son abricot, je pinçais ses tétons, les caressais circulairement avec le plat de mes mains.
Je devais maîtriser un corps convulsé, geignant des mots inaudibles. Je cessais doucement de lécher sa cramouille. Je massais son mont de Vénus. Je voulais que l'excitation d'Aurélie décroisse.
Je l'avais toujours qualifié de femme callipyge, je n'avais vu son cul qu'après qu'elle se fût dévêtue en conservant son string, et partiellement depuis que je maintenais ses fesses au plus près de ma bouche. C'est vrai qu'il était beau...! j'y déposais de brûlants baisers. Je léchais aussi son joli petit trou.
J'étais face à mon plus beau cadeau. La vulve d'Aurélie. J'écartais à nouveau ses lèvres verticales comme un jeu de cartes.
Je posais la pointe de ma langue sur son capuchon, longuement, lentement. Les jambes d'Aurélie tremblaient, elle me suppliait en gémissant. Je sentais son clitoris érigé comme un clocher. Je léchais l'intégralité de sa vulve en appuyant un peu sur son merveilleux bouton doré...!
J'allongeais et pliais ma langue. Je pénétrais son vagin avec délectation par des va et vient saccadés, j'étouffais mais c'était bon. Aurélie masturbait son clitoris frénétiquement.
J'avais face à moi un corps électrisé, tremblant de toutes ses parties.
Je concentrais mon léchage sur son clitoris insolent, l'aspirais entre mes lèvres, le mordillais...!
Aurélie haussa son bas-ventre en râlant.
-Ouuuuiiiiiii c'est bon....je jouis...!
Je reçu dans ma bouche avide la cyprine qui coulait en abondance de sa chatte. Je buvais les pleurs de sa minette, et ses larmes me rendaient gai.
Je léchais encore cette délicieuse foufoune pour la sécher.
Le sexe d'Aurélie ressemblait à un coquelicot fané. Ses lèvres étaient ouvertes en corolle. Son orifice vaginal faisait penser à un puits sans fond.
Nue, inerte, apaisée, Aurélie reprenait ses esprits.
Je quittais rapidement mon pantalon, mon boxer trempé sous son regard anesthésié. Je me masturbais, elle me regardait en souriant discrètement. La vue de son corps splendide accélérat ma montée de sève. J'eus un puissant éjaculat qui coulat le long de son corps jusqu'à son visage.
-J'ai soif dit-elle en souriant...!
Je lui apportait un grand verre d'eau qu'elle bu d'un trait. J'approchais de son visage, mon sexe revigoré. Elle le prit dans sa main droite, se pencha, enroba mon gland de ses lèvres fines, le suçotât doucement quelques secondes, y déposa quelques baisers puis me dit: -Ca suffit, tu es mon salaud, tu as accepté le jeu...!
Je n'étais pas étonné de cette étérologie...! Oui j'étais son salaud comme des femmes sont des salopes pendant l'acte sexuel.
Nous partimes prendre une douche. Aurélie était belle, les aisselles épilées, son corps dessiné en huit parfait. Je passais du gel douche sur son corps, un doitage dans sa vulve. Elle fermait les yeux sous le jet de la douche. Je me masturbais avec force deux minutes, mon éjaculation échoua sur ses seins...!
Aurélie s'enroba dans une sortie de bains et se dirigea vers la chambre. Je la rejoignit presque aussitôt.
-Ca va lui demandais-je...?
-Oui, très bien, je suis repue répondît-t-elle...!
-Mais ce n'est pas terminé...?
-Je sais, je tiens aussi mes promesses, mais là j'ai envie de me reposer un peu.
Elle s'allongea sur le côté droit du lit, en chien de fusil...! le drap de bain inutile. J'admirais son superbe cul bien rebondi...!
Je filais à la cuisine, m'emparait d'un rouleau de sopalin.
Je m'allongeais contre elle, derrière elle, je bandais comme un âne. Je posais ma bite contre ses fesses. J'imprimais un mouvement aller-retour que
j'appréciais vivement. Je prenais ses seins dans mes mains, je les malaxais avec douceur.
Je frottais ma queue sur le cul d'Aurélie, j'eus deux folles jouissances dont j'effaçais les traces avec des morceaux de sopalin.
La troisième fut exceptionnelle, Aurélie accompagnait les mouvements de mon sexe en ondulant des fesses. Elle se masturbait. Je susurrais à son oreille.
-Je vais jouir...!
-Moi aussi salaud que tu es...!
Nos corps s'aboutirent dans un long tremblement. Aurélie était à présent couchée sur le dos. Je déposais des baisers sur ses seins. je prenais ensuite ma place entre le pont de ses jambes, mes lèvres contre sa minette. Nous nous endormîmes...!
Il était 23h30
A suivre.
Je suis rentré chez moi, le moral à l'ouest du pecos. Je bois une 1664.
Mon portable sonne, je jette un œil sur l'écran, c'est un appel d'Aurélie.
-Comment vas-tu Patrick...?
-Mal, mais ça ira...!
-Que fais-tu ce soir, tu vas à ton karaoké...?
-Non, je n'en ai pas envie...!
-Je n'ai pas le moral non plus, veux-tu qu'on se voit...?
-Si tu veux, mais je ne sors pas de chez moi lui répondis-je.
-J'ai ton adresse, je préfère prendre un taxi j'arrive tu es d'accord...?
-Je t'attends...!
19h05mn
Le taxi est garé devant chez moi, je vois Aurélie en descendre. J'appuie sur l'ouvre-porte. Aurélie est maintenant dans mes murs.
Elle dépose un léger baiser sur mes lèvres. Elle est vêtue d'une superbe minijupe bleue, d'un joli chemisier blanc échancré sous lequel paraît un mignon soutien-gorge.
Aurélie me sourit, assise sur le canapé les jambes croisées. J'ai servi deux verres de Chardonnay. Je pose ma main gauche sur sa cuisse droite. Elle me regarde en souriant, j'embrasse tendrement son cou, mordille ses oreilles. Je caresse ses cheveux. Elle me fixe. Nos lèvres se joignent. Nous échangeons un baiser fougueux. Nos langues jouent la farandole longuement, nos lèvres se découvrent. Ma main fouille l'intérieur des cuisses d'Aurélie. Je caresse ses seins sous son chemisier. Pas un mot n'est échangé. Puis Aurélie se lève, me demande de lui resservir un Chardonnay. Elle fait glisser sa mini-jupe à ses pieds, ôte son chemisier. Mon sexe est turgescent. J'ai une folle envie de clouer son ventre.
Aurélie s'empare de son verre, en boit quelques gorgées, puis me murmure à l'oreille.
-Je veux que tu suces ma chatte, jusqu'à l'épuisement, tu sais faire tu t'en vantes assez...!
-Oui j'en ai très envie...!
Je jette une couverture sur la table de la salle à manger, Aurélie s'allonge. Je prends une chaise. Je suis assis mon visage contre le pont de ses jambes. Elle a conservé son string et son soutien-gorge.
Je commence à lécher le petit bout d'étoffe blanc, avec une moyenne pression. Il ne me fallut pas longtemps pour deviner le relief de sa chatte. Je passe ma langue gourmande sur l'intérieur de ses cuisses.
Je jete un œil sur son corps, je remarque poindre ses tétons sous le soutien-gorge. Elle pince ses lèvres, et respire fortement les yeux clôs...!
J'écarte le string d'Aurélie déjà bien mouillé. Son con était superbe, avec un peu d'humus comme je l'avais deviné par transparence. Ses petites lèvres sont gorgées de sang. Je passe des coups de langue comme un pinceau sur les quartiers "d'orange" qu'ils sont devenus...!
-Salaud j'ai envie entendis-je...!
Aurélie détacha ses jambes qui reposaient sur mes épaules, fit glisser son string d'un geste félin et sensuel. Les ongles de ses pieds étaient superbement vernis d'un rouge carmen. Elle posa son mince "triangle à ficelle" sur un côté de la table, puis dégrafa son soutien-gorge.
Un très léger baiser puis elle me dit.
-Vite Pat, je mouille...j'ai envie de jouir... je veux ta langue folle...!
Je pensais "in petto" c'est pas fini ma belle...
Aurélie reprit la position, ses jambes sur mes épaules. J'admirais ses jolis petits seins, un 85B sans doute. Deux aréoles roses, deux superbes tétons au garde-à-vous...! Tout en suçant son abricot, je pinçais ses tétons, les caressais circulairement avec le plat de mes mains.
Je devais maîtriser un corps convulsé, geignant des mots inaudibles. Je cessais doucement de lécher sa cramouille. Je massais son mont de Vénus. Je voulais que l'excitation d'Aurélie décroisse.
Je l'avais toujours qualifié de femme callipyge, je n'avais vu son cul qu'après qu'elle se fût dévêtue en conservant son string, et partiellement depuis que je maintenais ses fesses au plus près de ma bouche. C'est vrai qu'il était beau...! j'y déposais de brûlants baisers. Je léchais aussi son joli petit trou.
J'étais face à mon plus beau cadeau. La vulve d'Aurélie. J'écartais à nouveau ses lèvres verticales comme un jeu de cartes.
Je posais la pointe de ma langue sur son capuchon, longuement, lentement. Les jambes d'Aurélie tremblaient, elle me suppliait en gémissant. Je sentais son clitoris érigé comme un clocher. Je léchais l'intégralité de sa vulve en appuyant un peu sur son merveilleux bouton doré...!
J'allongeais et pliais ma langue. Je pénétrais son vagin avec délectation par des va et vient saccadés, j'étouffais mais c'était bon. Aurélie masturbait son clitoris frénétiquement.
J'avais face à moi un corps électrisé, tremblant de toutes ses parties.
Je concentrais mon léchage sur son clitoris insolent, l'aspirais entre mes lèvres, le mordillais...!
Aurélie haussa son bas-ventre en râlant.
-Ouuuuiiiiiii c'est bon....je jouis...!
Je reçu dans ma bouche avide la cyprine qui coulait en abondance de sa chatte. Je buvais les pleurs de sa minette, et ses larmes me rendaient gai.
Je léchais encore cette délicieuse foufoune pour la sécher.
Le sexe d'Aurélie ressemblait à un coquelicot fané. Ses lèvres étaient ouvertes en corolle. Son orifice vaginal faisait penser à un puits sans fond.
Nue, inerte, apaisée, Aurélie reprenait ses esprits.
Je quittais rapidement mon pantalon, mon boxer trempé sous son regard anesthésié. Je me masturbais, elle me regardait en souriant discrètement. La vue de son corps splendide accélérat ma montée de sève. J'eus un puissant éjaculat qui coulat le long de son corps jusqu'à son visage.
-J'ai soif dit-elle en souriant...!
Je lui apportait un grand verre d'eau qu'elle bu d'un trait. J'approchais de son visage, mon sexe revigoré. Elle le prit dans sa main droite, se pencha, enroba mon gland de ses lèvres fines, le suçotât doucement quelques secondes, y déposa quelques baisers puis me dit: -Ca suffit, tu es mon salaud, tu as accepté le jeu...!
Je n'étais pas étonné de cette étérologie...! Oui j'étais son salaud comme des femmes sont des salopes pendant l'acte sexuel.
Nous partimes prendre une douche. Aurélie était belle, les aisselles épilées, son corps dessiné en huit parfait. Je passais du gel douche sur son corps, un doitage dans sa vulve. Elle fermait les yeux sous le jet de la douche. Je me masturbais avec force deux minutes, mon éjaculation échoua sur ses seins...!
Aurélie s'enroba dans une sortie de bains et se dirigea vers la chambre. Je la rejoignit presque aussitôt.
-Ca va lui demandais-je...?
-Oui, très bien, je suis repue répondît-t-elle...!
-Mais ce n'est pas terminé...?
-Je sais, je tiens aussi mes promesses, mais là j'ai envie de me reposer un peu.
Elle s'allongea sur le côté droit du lit, en chien de fusil...! le drap de bain inutile. J'admirais son superbe cul bien rebondi...!
Je filais à la cuisine, m'emparait d'un rouleau de sopalin.
Je m'allongeais contre elle, derrière elle, je bandais comme un âne. Je posais ma bite contre ses fesses. J'imprimais un mouvement aller-retour que
j'appréciais vivement. Je prenais ses seins dans mes mains, je les malaxais avec douceur.
Je frottais ma queue sur le cul d'Aurélie, j'eus deux folles jouissances dont j'effaçais les traces avec des morceaux de sopalin.
La troisième fut exceptionnelle, Aurélie accompagnait les mouvements de mon sexe en ondulant des fesses. Elle se masturbait. Je susurrais à son oreille.
-Je vais jouir...!
-Moi aussi salaud que tu es...!
Nos corps s'aboutirent dans un long tremblement. Aurélie était à présent couchée sur le dos. Je déposais des baisers sur ses seins. je prenais ensuite ma place entre le pont de ses jambes, mes lèvres contre sa minette. Nous nous endormîmes...!
Il était 23h30
A suivre.
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