Auto stop forcé - histoire érotique

Kriss roule seul sur une route des landes en direction de Bayonne pour rejoindre sa femme, il sort d’un congrès de médecine a Bordeaux, en fin d’après midi, le temps est à l’orage de gros éclairs zèbres le ciel qui se noircit a vue d’œil

Laurence , elle , roule seule sur cette route des landes en direction de Bayonne pour rejoindre son mari, elle a une peur bleue de l’orage, elle a très chaud malgré qu’elle soit que très légèrement vêtue en vue de faire une surprise a son homme pour leur retrouvaille….un string qui laisse voir ses lèvres charnues dépourvues de poils du matin même pour lui faire la surprise, et une robe d’été très légère blanche a fleurs bleues

L’orage éclate brusquement, des trombes d’eau, des rafales de vent, les essuies glaces ne fournissent pas, Laurence paniquée est obligée de ralentir, malgré cela la voiture fait un écart, elle allume les phares trop tard pour éviter une gigantesque falque d’eau, la vague produite recoure la voiture qui commence à hoqueter, la vitesse diminue toujours ….elle doit se résigner a se garer sur la bas coté même si cela est dangereux, le moteur cale , impossible de la redémarrer , LE PORTABLE !! Hélas il ne passe pas dans cette campagne … feux de détresse allumés quelqu’un va bien s’arrêter !

Kriss avance prudemment, il peste contre ce temps de chien, a quelle heure va-t-il arriver …. Il se saisie du téléphone … rien, pas de réseau …..La poisse totale !

Deux voitures sont passées à coté de Laurence l’ignorant totalement, aux prochaines leurs de phare elle va sortir malgré la pluie

Tien… des warnings ….une silhouette sur le bas coté, Kriss ralentis ….arrivé a hauteur il baisse la glace
- S’il vous plait ma voiture est en panne, pouvez vous m’aider ?
La pauvre femme en deux minutes est trempée
- Écoutez je ne suis pas très calé en mécanique, monter et expliquez moi ce qui c’est passé ….
Laurence heureuse que l’homme se soit arrêté obéis sans se soucier si elle va mouiller le siège
- J’ai roulé dans une flaque d’eau et mon moteur s’est mis à bafouiller et finalement s’est arrêté
- Ha, l’eau a noyé les circuits, hélas pour les sécher par un temps pareil …
- emmenez moi jusqu’au prochain village je trouverais bien un téléphone car le portable ne passe pas !
- Je sais le mien non plus, bon prenez vos affaires et on y va …
La jeune femme va vite récupérer son sac a main ; frigorifiée revient se réfugier au sec, la voiture redémarre
- Vous êtes trempée ! Vous n’avez rien pour vous changé ?
- Je sui bête, j’ai oublié ma valise dans le coffre, mais ça va aller ne faite pas demi tour et de toute façon je n’avais presque rien dedans
- N’empêche que si vous restez comme ça vous aller attraper une pneumonie
Kriss détaille a la dérobée cette jeune femme, la robe lui colle a la peau, le tissu mouillé laisse presque voir la couleur de la peau bronzée, il décèle vite les seins et leur aréoles foncées peut même une absence de culotte, il n’en voit pas les contours … la robe remontée a la moitié des cuisses parfaites, malgré les années qui les séparent il la trouve très a son goût, une érection naissante le surpris …
- Regardez sur le siège arrière, il y a un sac dans lequel vous trouverez un teeshirt propre assez long pour vous servir de robe, je vous en conjure je suis toubib et je sais que vous allez attraper mal si vous ne vous changez pas ! Changez vous je ne regarde pas, de toute façon je suis trop occupé à conduire avec ce temps horrible …..
Il est vrai que le contact froid la fait trembler, mais il va s’apercevoir qu’elle est quasiment nue sous son vetement…
Comme si il avait deviné ses pensées il lui dit :
- Vous savez votre robe mouillée ne cache pas grand-chose de votre anatomie …
Résignée elle cherche la fermeture éclair dans son dos, mais coincée par le tissu mouillé celle-ci fait de la résistance !
- Ha zut ! Je n’y arrive pas ….Décidément ce n’est pas mon jour !je vais avoir besoin de votre aide encore une fois
- Volontiers je vais me garer
Kriss repère une sorte de parking et arrête la voiture, Laurence se tourne pour qu’il ait accès a la fermeture, décoincée il la descend complètement découvrant le dos bronzé, puis il attrape les bretelles pour les faire glisser le long de son corps jusqu’ a la taille il ne peut résister et la passe les mains sur les épaules, elle ne refuse pas cette caresse qui la réchauffe, elle trésaille , prenant ce phénomène causé par le froid il s’ enhardit il descend dans le dos, passe sur les flancs, et remonte vers les seins fermes et ronds dont les tétons sont déjà raidis qu’ils prends a pleine mains
Un silence de plomb, Laurence ferme les yeux, se laisse aller sur lui pour savourer cet instant, il lui murmure a l’oreille
- J’ai envie de vous ….. Vous êtes si belle …
La jeune fille se demande si elle n’a pas rêvé, il a bien dit ‘j’ai envie de vous ‘ ?sur le moment elle se figeât tétanisée par les caresses de cet homme au charme fou qui aurait put être son père, puis, les mots sortent de sa bouche comme si c’était une autre qui parlait
- Moi aussi j’ai envie …..
Elle se retourne leurs lèvres se joignent dans un long baiser, une main passe derrière sa nuque l’autre reprend possession des seins, elle grelotte mais plus de froid, il mit fin au baiser croyant qu’elle était transie
- Passe vite ce teeshirt
Maintenant libérée de toute pudeur elle lève ses fesses pour finir d’ôter la robe qui atterrit sur le plancher elle réfléchie a peine et dans la foulée baisse aussi la petite culotte
- Elle aussi est mouillée regarde …
Effectivement la ceinture est trempée mais ce qui a mouillé le fond n’est pas dut a l’eau ….Puis presqu’a regret elle enfile le vêtement sec qui lui couvre a peine le pubis
- Nous ne pouvons rester là sans risquer l’accident
Kriss en érection redémarre, une main posée sur la cuisse écartée féminine, tout prés de l’aine , elle laisse faire car sa chatte est trop gonflée par le désir, il conduit lentement a la recherche d’un chemin plus propice pour donner suite a ce qu’ils envisagent tous les deux ….l’autoroute approche il faut sa décider avant, là, un petit chemin forestier assez en bon état pour ne pas rester embourbé, pas la peine de trop s’enfoncer en forêt avec ce temps là les promeneurs sont rares même si l’orage s’éloigne ,voilà le soleil qui revient une courbe cache la voiture de la route Kriss s’arrête , il descend fait le tour de la voiture et ouvre la porte Laurence pose un pied au sol les jambes exagérément ouvertes laissent voir la chatte ouverte par la position et par le désir un large sourire illumine son visage sachant l’effet produit par ce mouvement, l’autre pied se pose aussi au sol , et plutôt que de descendre elle attire l’homme vers elle par la ceinture qu’elle entreprit de défaire , le pantalon aux chevilles le boxer le rejoins vite , devant ses yeux écarquillés se dresse un bitte qu’elle ne peut s’empêcher de comparer a celle de son mari , celle de son mari est fine , droite , celle-ci est plus grosse , plus large ,légèrement recourbée vers le haut , une goutte de rosée perle au bout du gland qu’elle décalotte Kriss s’avance au maximum vers la portière, sa queue se retrouve vite au chaud dans la bouche , tantôt profondément avalée, tantôt le bout de langue agasse le bout du gland , ou bien la langue part juste sous les couilles velues pour remonter enveloppante le long de la bitte , il ne peut retenir des râles qui attestent l’habilité de la femme
Soudain il se retire, attire Laurence en dehors, prés de l’aile avant, ôte le teeshirt, d’un mouvement aisé pose les fesses de la jeune fille sur le capot encore chaud il lui fait ouvrir les cuisses afin d’y passer sa tête, sa bouche posée sur la moule impatiente Laurence laisse échapper un petit cri puis se détend quand la langue lèche la fente ruisselante, le clitoris est débusqué, des doigts partent a la recherche de son petit trou, le majeur du médecin pénètre le tunnel étroit , une phalange , puis tout le doigt, la fille surprise , par l’audace se prête au jeu en avançant son cul pour mieux profiter de la caresse
Bientôt le pouce de l’homme s’enfonce à son tour dans son con gluant, les doigts se frottent l’un sur l’autre a travers la mince paroi
Laurence apprécie là l’expérience de l’âge, les deux mains sur la tête de son amant elle hurle sa jouissance, les oiseaux fuient dans un bruissement d’ailes ! Kriss retire sa tête de l’entre cuisse, et se redresse, elle rie aux éclats lorsqu’elle voit le bas du visage englué de jus féminin
- ça va ?
- Hoooo Ouiiiii, tu m’as fait jouir, excuse moi je crie beaucoup sous le plaisir !... approche ….
De sa langue elle nettoie la mouille sur le visage de Kriss avant de la rentrer carrément dans la bouche, la queue bandée de l’homme se trouve juste a hauteur de la vulve, quelques mouvements tournants pour trouver la faille, il embroche doucement la jeune fille qui noue ses bras autour de son cou et ses jambes autour de la taille robuste, il n’a aucuns efforts à faire la fille ondule du bassin appréciant la queue experte du mâle, un coït qui n’a rien à voir avec une baise de son mari
En bon amant Kriss passe ses mains sous les fesses de la fille, faisant en sorte que son pouce vienne en contact avec l’anus ouvert par les préliminaires récents, elle gémit de plus en plus fort
- Ouiii dans mon cul, enfonce, encore, plus loin ….ta queue, met là ……encule moi …
Kriss retire sa verge ruisselante de cyprine, pose la fille a terre, la retourne, les seins sur le capot, pose le gland mafflu sur la rosette palpitante, ’ pour une jeunette cette fille aime la baise intense ! ‘ Pense t il et il s’enfonce jusqu'à la garde dans ce fondement accueillant, la maintenant aux hanches il se met à sodomiser violement ce jeune cul, son ventre claque très fort les fesses de la fille, ses couilles s’écrasent sur la moule a chaque coups de reins
Laurence hurle à nouveau, poussant son cul vers le sodomite afin d’en prendre le maximum dans son boyau
Kriss fou de désir de posséder ce jeune corps retrouve une seconde jeunesse et pilonne comme un assoiffé de sexe le cul de la fille, à nouveau les oiseaux qui s’étaient enhardis à revenir au nid fuient en criant leur mécontentement
Les deux amants s’effondrent en même temps dans un orgasme simultané, la queue ramollie se retire d’elle-même laissant une trace de sperme sur l’aile, un dernier baiser, et c’est le dégrisement, la réalité reprend le dessus, et la voiture en panne ?
Laurence enfile a nouveau le vêtement prêté, tire dessus au maximum afin qu’il cache au moins la chatte
Ils repartent sans échanger un mot, Kriss s’arrête devant un bistro, conscient qu’elle n’est pas tellement visible en public il entre seul, deux minutes plus tard il revint avec une couverture
- Pose cela sur tes épaules si tu ne veux pas te faire agresser par les poivrots du coin !
Laurence passe deux coups de fil, un au dépanneur et l’autre a un membre se sa famille qui habite dans le secteur, nos chemins se séparent ici, moroses nous échangeons un dernier baiser furtif ……..
Ce n’est que le lendemain que je découvre sous le siège la petite robe et le mini slip, après avoir envoyé le tout au pressing je passe une petite annonce :
- Echange petite robe bleue a fleurs blanches, et un ‘accessoire’ contre teeshirt x x l , s’adresser au cabinet du docteur xx -
Evidement j’ai reçus un tas de réponses aussi farfelues les unes que les autres sauf une qui a retenue toute mon attention preuves intimes a l’appui ….. L’échange doit avoir lieu demain jour de repos pour moi à mon cabinet …….