Auto-stop spécial
Récit érotique écrit par Omarrrr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Auto-stop spécial
C’est mon mari qui en fait les frais. Nous nous disputons souvent en ce moment, et il m’arrive fréquemment de prendre la poudre d’escampette pour plusieurs heures. Je n’ai même pas le permis de conduire, mais ça ne me dissuade pas de partir faire un tour, histoire de décompresser un peu et de prendre l’air. Pour ne rien arranger, nous habitons vraiment dans un coin paumé de campagne, une véritable cambrousse. Je suis plutôt peureuse, et je préfère marcher le long de la route principale, au lieu de me balader dans les chemins de randonnée. J’ai peur de faire une mauvaise rencontre. C’est paradoxal lorsqu’on sait que la majorité des femmes victimes d’agressions le sont au bord d’une route de campagne. Mais j’ai de la chance, il ne m’est jamais rien arrivé de fâcheux.
Il arrive que des hommes seuls me proposent de me prendre en stop pour une ballade romantique, mais je refuse tout le temps. Il faut dire que j’ai un physique assez avantageux. Je suis une brune avec des formes et des yeux verts qui ont leur petit succès. Je dirais même que je suis un peu rondelette, mais ça me va bien. J’ai un gros fessier et une poitrine volumineuse et je porte des vêtements qui mettent en avant mes atouts. Autant dire qu’un mec qui croise une femme comme moi sur le bord d’une route n’a qu’une seule envie. Mais je suis quelqu’un de fidèle, enfin jusqu’à maintenant je l’ai été. Oui, j’ai craqué. J’ai couché avec un autre homme que mon mari, et je vais vous raconter tout ça sans omettre le moindre détail. J’espère que mon témoignage coquin vous donnera un peu de plaisir. Je lance aussi une alerte à toutes les femmes un peu téméraires comme moi, ne faites jamais du stop toute seule, vous ne savez pas sur qui vous pouvez tomber. Bref, je ne suis pas fière de moi, mais j’ai dit oui à cet inconnu pour qu’il me fasse des saloperies à l’arrière de sa camionnette. C’était un dimanche après-midi, je m’en souviens très bien.
Il faisait horriblement lourd et humide. Le ciel était rempli de nuages menaçants. L’orage n’allait pas tarder à faire son apparition, avec son cortège de rafales de vent et de pluie battante. Moi et mon mari étions devant la télévision. Nous revenions de chez mes parents pour un déjeuner en famille. J’étais donc très bien habillée, je portais une jupe courte avec un chemisier blanc. Je ne portais pas de bas, il faisait trop chaud. Un string couvrait seulement mon intimité. Mon homme se mit à me prendre la tête sur un détail, je ne sais plus exactement le sujet exact de la discorde. Toujours est-il que le climat du salon était le même que dans le ciel: électrique ! Je ne supporte pas lorsqu’il se fâche contre moi pour des raisons futiles. J’ai tenu la dispute une dizaine de minutes, mais j’étais rouge de colère, et je ne tenais plus. J’avais envie de le gifler et de le quitter sur le champ. Je pris donc la porte pour une escapade en solitaire. Nous vivons dans une ferme isolée, sans voisin dans un rayon de plusieurs centaines de mètres. Comme d’habitude, je me dirigeai vers la route principale qui mène au village voisin. Elle est bordée par des près. Il y a des fleurs, un peu d’ombre, et c’est agréable pour se détendre et penser à autre chose qu’à mon mari colérique. Il n’y avait absolument aucune voiture, c’était le calme plat. Je voulais me rendre à pieds chez une amie qui vit à quelques kilomètres. Il faisait très chaud, et j’avais les jambes en compote. C’est alors qu’une camionnette blanche croisa ma route. Je pu voir qu’un charmant jeune homme d’une trentaine d’années était au volant. Il me lança un petit regard enjoliveur et continua son chemin. C’était dans un virage, et le coquin a surement dû faire demi-tour un peu plus loin, car une minute après, il était de retour. Il mit son clignotant et se gara à ma hauteur, avec la fenêtre déjà baissée.
– Bonjour madame, tout va bien ?
– Bonjour, oui, merci. Je marche chez une amie qui vit un peu plus loin.
– Je vois, mais c’est pas terrible par ici, vous voulez que je vous dépose ?
Je n’ai jamais fait de stop, et je me refuse toujours à monter dans la voiture d’un inconnu. Mais cet homme était plutôt charmant et ouvert. Il ne ressemblait pas du tout à ces tueurs en série que l’on peut voir dans les reportages de télévision. Et puis il faisait si chaud, la maison de mon amie était encore loin.
– Bon, d’accord, vous êtes gentil.
– Mais je vous en prie, si cela peut vous rendre service. Montez.
– Merci beaucoup !
Il sortit du véhicule, et en parfait gentleman, il m’ouvrit la porte. Je montais dans l’habitacle en frôlant mes fesses contre lui. Je n’ai pas fait exprès, au contraire, je n’avais aucune pensée impure sur le moment. J’ai d’un coup compris que j’étais peut-être prise au piège. J’étais vraiment conne d’avoir accepté de monter avec un étranger. Si ça se trouve, il a déjà violé des filles dans son camion. Mais non, ce n’était pas possible, il présentait bien et s’était montré très poli. Ou alors il voulait simplement me draguer, et lorsque je lui dirai que je suis une femme mariée et fidèle, il n’insistera pas. Bref, j’essayais de me rassurer comme je le pouvais, et ça marchait plutôt bien. J’étais maintenant détendue, et en très bonne compagnie en plus. Nous roulions depuis quelques instants lorsque mon téléphone sonna. C’était mon connard de mari qui me demandait de retourner à la maison. Je l’envoyai chier illico presto et raccrochai le portable. Il n’avait qu’à y réfléchir avant. Le mal était fait, et je ne voulais plus le revoir de sitôt.
Le conducteur a très bien remarqué que je me disputais au téléphone avec mon mari, et nous engageâmes la discussion sur ce sujet. Il a certainement senti là une occasion de me sonder, afin de savoir s’il pouvait tenter un truc avec moi. Je ne sais pas trop ce qu’il me prit, mais je lui livrais des détails très personnels. J’étais vraiment à l’aise avec ce jeune homme, et un petit jeu de regards s’installa progressivement. Il me faisait de beaux sourires en coin, et je lui rendais bien. Mais que m’arrivait-il ? J’étais en train de rentrer dans son jeu de séduction, moi, qui avait toujours été fidèles et intransigeante sur le sujet ! C’est alors qu’une envie très pressante se fit sentir dans mon bas-ventre. J’avais bu beaucoup d’eau aujourd’hui, et il fallait tout de suite que je me soulage. Le mec était gentil de s’arrêter encore une fois à cause de moi. J’étais un peu gênée, mais bon, la nature est ainsi faite ! Je m’éloignai du camion, histoire de ne pas être vue, et je me trouvai un coin discret dans les hautes herbes. Je levai ma jupe et me mis à califourchon. J’écartai mon string de mon sexe pour laisser mon liquide doré se répandre sur le sol. J’étais concentrée pour éviter de me mettre du pipi sur les talons lorsque je levai la tête et je cru voir le mec en train de m’observer de loin. Quel cochon tout de même. Je ne pensais pas qu’il irait jusqu’à tenter de me voir en train de pisser. J’aurai dû prendre peur à ce moment-là, comme toute femme normalement constituée. Mais, au contraire, je dois admettre que ce voyeurisme me mis dans un état d’excitation très agréable.
Mon minou était maintenant humide de pisse, mais aussi de mouille. Je ne pensais tout de même pas franchir le cap de la baise. Je m’essuyais avec un mouchoir et je retournais au véhicule. Le mec faisait semblant de finir sa cigarette, l’air de rien, alors que je voyais bien qu’il avait l’air à l’étroit dans son patalon. Moi aussi je fis comme si je n’avais rien vu, et je repris ma place sans broncher. J’avais tout de même un petit sourire au coin des lèvres, et lui aussi d’ailleurs. Il me demanda si j’étais soulagée par cette pause pipi, et je lui répondis que oui. C’est à cet instant que je commençais à lui poser des questions sur sa présence dans cette campagne perdue. Il me raconta qu’il livrait des éleveurs de la région en nourriture pour bétails. Il faisait dans le bio, et insista pour me montrer des brochures de son entreprise. Elles étaient à l’arrière du véhicule, et il m’invita à le suivre. Je suis une femme de la nature, j’adore tous les trucs bio, et mon père est éleveur également. J’étais donc très intéressé par sa petite affaire, et je voulais en savoir plus. Je ne me doutais pas un seul instant de ce qui allait se produire dans cette remorque dégoutante. Je descendis du véhicule et me plaçai devant la porte glissière de la camionnette. Le mec m’emboîta le pas et ouvrit ce qui lui servait en fait de baisodrome. Une odeur de cul envahit mes narines. Pfiou, ça devait baiser sec là-dedans. Il me montra les brochures. Il était beaucoup plus grand que moi et se plaça donc derrière moi. Sa main avait-elle effleurée volontairement mon cul ou je me faisais des idées ? J’étais un peu gênée par la situation. Il me bloquait presque, et je n’avais pas beaucoup de marge pour bouger. Je levai la tête et mes yeux croisèrent les siens. Je sentis tout à coup son envie de me prendre, là, dans son camion.
– J’ai envie de vous, madame, vous me plaisez énormément.
– Mais, je suis mariée, je ne peux pas.
– On s’en fout de votre mari, je vous propose de vous baiser comme personne ne l’a fait et comme un mari aimant ne pourra jamais le faire.
Je cogitais à pleine vitesse, pensant au fait qu’une baise sans lendemain pouvait effectivement changer des habituels rapports – préliminaires, missionnaire, câlin, douche – que j’avais avec mon mari depuis des années maintenant. Je l’ai fixé droit dans les yeux et je lui ai dit :
– OK, mais capote et je veux du bestial. Si c’est comme avec mon mari ça n’a aucun intérêt.
Il posa ses mains sur mes hanches pour me saisir et m’appuya le fessier contre lui. Je sentais bien cette grosse queue contre moi, et j’étais sur le point de craquer et de profiter à fond. J’ai alors réalisée à quel point j’étais tellement en manque de sexe. Mon mari ne me négligeait depuis bien longtemps, et me laisser aller à un peu de débauche ne pouvait que me faire du bien. Je changeais alors totalement d’avis et commençais à me laisser aller, tout en me collant à lui. Ce pervers sentit bien cette brèche dans mon attitude, et il se glissa dedans comme un manipulateur. Il allait arriver à ses fins, il pouvait être fier. Je l’aidais maintenant à bander encore plus fort en frottant mon cul sur lui. Ce n’était plus lui seul qui se plaquait contre moi. Nous nous lançâmes dans une sorte de danse sexuelle. Je me pressais contre son sexe et faisais des petits cercles. Il avait l’air d’apprécier, mais je sentais bien que ça n’allait pas en rester là. Il me déboutonna violemment mon chemisier, libérant ainsi mes deux plus gros atouts. J’avais les seins tous chaudes, et ils ne demandaient qu’à se faire palper par des mains expertes. Le mec en profita alors pour me saisir les la poitrine et la malaxer, tout en titillant mes tétons désormais très impliqués, qui pointaient fortement et étaient limite douloureux. Il avait la peau dure, ça se sentait que c’était un gars qui bossait avec ses mains. Il avait une attitude un peu rustre et macho, j’aimais vraiment ça. Il pressait mes melons l’un contre l’autre, gorgeant ainsi de sang mes tétons qui semblaient encore plus gros et foncés. L’inconnu me retourna pour m’en bouffer le bout. Il me suçait chaque sein l’un après l’autre, comme s’il faisait une pipe à mes tétons. Je sentais mon clito durcir et ma chatte se tremper comme une rivière.
Ma main glissa automatiquement sur sa braguette pour le mettre à l’aise et en profiter pour jeter un œil à ce qui m’attendait. Je pu enfin lui saisir son sexe. Il était gros et long, digne d’une bite de film porno. Je le branlai doucement mais fermement pendant qu’il m’aspirait les tétons. Cette entrée en matière m’avait ouvert l’appétit. Je n’avais pas sucé un homme depuis longtemps, mais la fellation ne s’oublie pas si vite. Je me mis à genoux sans lui demander son avis pour me mettre à l’œuvre. J’avais un peu de mal à tout prendre en bouche, le truc était si long. Je m’appliquais à lui pomper le sexe correctement lorsqu’il m’attrapa les cheveux et commença à me baiser la gorge. Quel salaud, en tant normal je déteste ça ! Mais cette fois je comptais bien dépasser mes limites et faire de cette rencontre un moment de pure débauche dans une vie sexuelle vraiment morne. Alors qu’avec mon mari je devais souvent prendre les devants et le dominer pour qu’il réagisse je n’étais ici qu’une vulgaire chienne docile en train de bouffer l’os de son maître.
Je faillis vomir plusieurs fois mon repas, tellement ce connard allait loin avec le bout de son engin. Mais je tenais bon, je ne voulais pas décevoir cet amant d’un jour, et je continuais donc d’aspirer sa bite au plus profond de ma trachée. Je respirais mal, et la chaleur était étouffante, mais je me débrouillais bien. J’avais les yeux humides et les joues toutes rouges. L’inconnu à grosse bite voyait bien que je souffrais en lui prodiguant une gorge profonde, et il mit fin au supplice. Il me leva et me poussa contre la paroi du véhicule. Il baissa ma jupe et mon string d’un seul coup. Il voulait me faire la chatte, mais je refusais. Il pouvait me faire ce qu’il voulait, mais il ne toucherait pas à mon abricot. Je l’ai toujours réservé à mon mari, et il en sera ainsi encore longtemps, que je sois fâchée ou non. Et puis j’avais bien précisé que je voulais du hors normes.
Il rechigna un peu, il avait tellement envie de, je cite, “me défoncer la chatte”, mais je restais sur ma position. Il accepta alors de me prendre par le cul. Il m’avoua ne pas être très doué en sexe anal, car un peu violent. Je pressentis le pire. J’avais peur pour ma rondelle. Il avait un si gros sexe. Pourquoi lui avais-je donc proposé cet orifice ? Mon dieu, j’allais la sentir passer celle-là ! J’écartais mes fesses au maximum, comme pour aider mon petit trou du cul à encaisser cette grosse buche. Mais mon trou restait fermé, et seul le passage de son sexe en entier finit par l’ouvrir pour de bon. Il s’était aidé d’un petit tube de vaseline qu’il était allé chercher dans la boite à gants de son véhicule et m’avait préparée sans rechigner avec ses doigts rugueux.
Outch !! Ça c’est du calibre ! Il aurait pu commencer à me baiser les fesses lentement pour aider mon cul à s’habituer à la présence de ce corps étranger, mais non, il y allait comme un bourrin. Je comprenais maintenant ce qu’il voulait dire lorsqu’il m’affirma vouloir me prendre comme jamais personne avant.
Mais ce n’était pas le temps de tergiverser, je devais prendre un peu de plaisir après tout. C’était la première et peut-être seule fois que je trompais mon mari, je devais donc prendre un maximum de bon temps. Au bout de quelques minutes, je commençais maintenant à faire la différence entre douleur et plaisir et lui demandais de me lancer des mots cochons tout accélérant le rythme.
Il augmenta donc la cadence, tout en me traitant de “bonne salope”, me complimentant sur mon “derche qu’il allait enfiler jusqu’au bout”. Je n’ai plus le reste en tête, mais ce vocabulaire fleuri me rendait folle. J’avais les yeux fermés et au bout d’environ une dizaine de minutes je fus parcourue d’un spasme de jouissance puissant, qui fit resserrer mes sphincter sur l’engin de mon partenaire. Ne résistant pas à cette nouvelle configuration, il se laisser aller dans un long gémissement rauque. L’inconnu au fourgon était en train de me jouir dans le cul.
Il s’excusa platement, me disant que mon trou était si bon et serré qu’il ne pouvait pas tenir dedans une seconde de plus. Je lui ai donc avoué que je l’avais devancé et que j’avais pris mon pied. Je lui fit remarquer avec amusement que je ne devais pas être la seule de ses proies du moment vu l’équipement qu’il trimbalait avec lui. Mon rustre amant d’un jour rougit alors comme un écolier pris en faute et m’assura qu’il avait rarement été aussi excité lors d’une baise improvisée.
Il arrive que des hommes seuls me proposent de me prendre en stop pour une ballade romantique, mais je refuse tout le temps. Il faut dire que j’ai un physique assez avantageux. Je suis une brune avec des formes et des yeux verts qui ont leur petit succès. Je dirais même que je suis un peu rondelette, mais ça me va bien. J’ai un gros fessier et une poitrine volumineuse et je porte des vêtements qui mettent en avant mes atouts. Autant dire qu’un mec qui croise une femme comme moi sur le bord d’une route n’a qu’une seule envie. Mais je suis quelqu’un de fidèle, enfin jusqu’à maintenant je l’ai été. Oui, j’ai craqué. J’ai couché avec un autre homme que mon mari, et je vais vous raconter tout ça sans omettre le moindre détail. J’espère que mon témoignage coquin vous donnera un peu de plaisir. Je lance aussi une alerte à toutes les femmes un peu téméraires comme moi, ne faites jamais du stop toute seule, vous ne savez pas sur qui vous pouvez tomber. Bref, je ne suis pas fière de moi, mais j’ai dit oui à cet inconnu pour qu’il me fasse des saloperies à l’arrière de sa camionnette. C’était un dimanche après-midi, je m’en souviens très bien.
Il faisait horriblement lourd et humide. Le ciel était rempli de nuages menaçants. L’orage n’allait pas tarder à faire son apparition, avec son cortège de rafales de vent et de pluie battante. Moi et mon mari étions devant la télévision. Nous revenions de chez mes parents pour un déjeuner en famille. J’étais donc très bien habillée, je portais une jupe courte avec un chemisier blanc. Je ne portais pas de bas, il faisait trop chaud. Un string couvrait seulement mon intimité. Mon homme se mit à me prendre la tête sur un détail, je ne sais plus exactement le sujet exact de la discorde. Toujours est-il que le climat du salon était le même que dans le ciel: électrique ! Je ne supporte pas lorsqu’il se fâche contre moi pour des raisons futiles. J’ai tenu la dispute une dizaine de minutes, mais j’étais rouge de colère, et je ne tenais plus. J’avais envie de le gifler et de le quitter sur le champ. Je pris donc la porte pour une escapade en solitaire. Nous vivons dans une ferme isolée, sans voisin dans un rayon de plusieurs centaines de mètres. Comme d’habitude, je me dirigeai vers la route principale qui mène au village voisin. Elle est bordée par des près. Il y a des fleurs, un peu d’ombre, et c’est agréable pour se détendre et penser à autre chose qu’à mon mari colérique. Il n’y avait absolument aucune voiture, c’était le calme plat. Je voulais me rendre à pieds chez une amie qui vit à quelques kilomètres. Il faisait très chaud, et j’avais les jambes en compote. C’est alors qu’une camionnette blanche croisa ma route. Je pu voir qu’un charmant jeune homme d’une trentaine d’années était au volant. Il me lança un petit regard enjoliveur et continua son chemin. C’était dans un virage, et le coquin a surement dû faire demi-tour un peu plus loin, car une minute après, il était de retour. Il mit son clignotant et se gara à ma hauteur, avec la fenêtre déjà baissée.
– Bonjour madame, tout va bien ?
– Bonjour, oui, merci. Je marche chez une amie qui vit un peu plus loin.
– Je vois, mais c’est pas terrible par ici, vous voulez que je vous dépose ?
Je n’ai jamais fait de stop, et je me refuse toujours à monter dans la voiture d’un inconnu. Mais cet homme était plutôt charmant et ouvert. Il ne ressemblait pas du tout à ces tueurs en série que l’on peut voir dans les reportages de télévision. Et puis il faisait si chaud, la maison de mon amie était encore loin.
– Bon, d’accord, vous êtes gentil.
– Mais je vous en prie, si cela peut vous rendre service. Montez.
– Merci beaucoup !
Il sortit du véhicule, et en parfait gentleman, il m’ouvrit la porte. Je montais dans l’habitacle en frôlant mes fesses contre lui. Je n’ai pas fait exprès, au contraire, je n’avais aucune pensée impure sur le moment. J’ai d’un coup compris que j’étais peut-être prise au piège. J’étais vraiment conne d’avoir accepté de monter avec un étranger. Si ça se trouve, il a déjà violé des filles dans son camion. Mais non, ce n’était pas possible, il présentait bien et s’était montré très poli. Ou alors il voulait simplement me draguer, et lorsque je lui dirai que je suis une femme mariée et fidèle, il n’insistera pas. Bref, j’essayais de me rassurer comme je le pouvais, et ça marchait plutôt bien. J’étais maintenant détendue, et en très bonne compagnie en plus. Nous roulions depuis quelques instants lorsque mon téléphone sonna. C’était mon connard de mari qui me demandait de retourner à la maison. Je l’envoyai chier illico presto et raccrochai le portable. Il n’avait qu’à y réfléchir avant. Le mal était fait, et je ne voulais plus le revoir de sitôt.
Le conducteur a très bien remarqué que je me disputais au téléphone avec mon mari, et nous engageâmes la discussion sur ce sujet. Il a certainement senti là une occasion de me sonder, afin de savoir s’il pouvait tenter un truc avec moi. Je ne sais pas trop ce qu’il me prit, mais je lui livrais des détails très personnels. J’étais vraiment à l’aise avec ce jeune homme, et un petit jeu de regards s’installa progressivement. Il me faisait de beaux sourires en coin, et je lui rendais bien. Mais que m’arrivait-il ? J’étais en train de rentrer dans son jeu de séduction, moi, qui avait toujours été fidèles et intransigeante sur le sujet ! C’est alors qu’une envie très pressante se fit sentir dans mon bas-ventre. J’avais bu beaucoup d’eau aujourd’hui, et il fallait tout de suite que je me soulage. Le mec était gentil de s’arrêter encore une fois à cause de moi. J’étais un peu gênée, mais bon, la nature est ainsi faite ! Je m’éloignai du camion, histoire de ne pas être vue, et je me trouvai un coin discret dans les hautes herbes. Je levai ma jupe et me mis à califourchon. J’écartai mon string de mon sexe pour laisser mon liquide doré se répandre sur le sol. J’étais concentrée pour éviter de me mettre du pipi sur les talons lorsque je levai la tête et je cru voir le mec en train de m’observer de loin. Quel cochon tout de même. Je ne pensais pas qu’il irait jusqu’à tenter de me voir en train de pisser. J’aurai dû prendre peur à ce moment-là, comme toute femme normalement constituée. Mais, au contraire, je dois admettre que ce voyeurisme me mis dans un état d’excitation très agréable.
Mon minou était maintenant humide de pisse, mais aussi de mouille. Je ne pensais tout de même pas franchir le cap de la baise. Je m’essuyais avec un mouchoir et je retournais au véhicule. Le mec faisait semblant de finir sa cigarette, l’air de rien, alors que je voyais bien qu’il avait l’air à l’étroit dans son patalon. Moi aussi je fis comme si je n’avais rien vu, et je repris ma place sans broncher. J’avais tout de même un petit sourire au coin des lèvres, et lui aussi d’ailleurs. Il me demanda si j’étais soulagée par cette pause pipi, et je lui répondis que oui. C’est à cet instant que je commençais à lui poser des questions sur sa présence dans cette campagne perdue. Il me raconta qu’il livrait des éleveurs de la région en nourriture pour bétails. Il faisait dans le bio, et insista pour me montrer des brochures de son entreprise. Elles étaient à l’arrière du véhicule, et il m’invita à le suivre. Je suis une femme de la nature, j’adore tous les trucs bio, et mon père est éleveur également. J’étais donc très intéressé par sa petite affaire, et je voulais en savoir plus. Je ne me doutais pas un seul instant de ce qui allait se produire dans cette remorque dégoutante. Je descendis du véhicule et me plaçai devant la porte glissière de la camionnette. Le mec m’emboîta le pas et ouvrit ce qui lui servait en fait de baisodrome. Une odeur de cul envahit mes narines. Pfiou, ça devait baiser sec là-dedans. Il me montra les brochures. Il était beaucoup plus grand que moi et se plaça donc derrière moi. Sa main avait-elle effleurée volontairement mon cul ou je me faisais des idées ? J’étais un peu gênée par la situation. Il me bloquait presque, et je n’avais pas beaucoup de marge pour bouger. Je levai la tête et mes yeux croisèrent les siens. Je sentis tout à coup son envie de me prendre, là, dans son camion.
– J’ai envie de vous, madame, vous me plaisez énormément.
– Mais, je suis mariée, je ne peux pas.
– On s’en fout de votre mari, je vous propose de vous baiser comme personne ne l’a fait et comme un mari aimant ne pourra jamais le faire.
Je cogitais à pleine vitesse, pensant au fait qu’une baise sans lendemain pouvait effectivement changer des habituels rapports – préliminaires, missionnaire, câlin, douche – que j’avais avec mon mari depuis des années maintenant. Je l’ai fixé droit dans les yeux et je lui ai dit :
– OK, mais capote et je veux du bestial. Si c’est comme avec mon mari ça n’a aucun intérêt.
Il posa ses mains sur mes hanches pour me saisir et m’appuya le fessier contre lui. Je sentais bien cette grosse queue contre moi, et j’étais sur le point de craquer et de profiter à fond. J’ai alors réalisée à quel point j’étais tellement en manque de sexe. Mon mari ne me négligeait depuis bien longtemps, et me laisser aller à un peu de débauche ne pouvait que me faire du bien. Je changeais alors totalement d’avis et commençais à me laisser aller, tout en me collant à lui. Ce pervers sentit bien cette brèche dans mon attitude, et il se glissa dedans comme un manipulateur. Il allait arriver à ses fins, il pouvait être fier. Je l’aidais maintenant à bander encore plus fort en frottant mon cul sur lui. Ce n’était plus lui seul qui se plaquait contre moi. Nous nous lançâmes dans une sorte de danse sexuelle. Je me pressais contre son sexe et faisais des petits cercles. Il avait l’air d’apprécier, mais je sentais bien que ça n’allait pas en rester là. Il me déboutonna violemment mon chemisier, libérant ainsi mes deux plus gros atouts. J’avais les seins tous chaudes, et ils ne demandaient qu’à se faire palper par des mains expertes. Le mec en profita alors pour me saisir les la poitrine et la malaxer, tout en titillant mes tétons désormais très impliqués, qui pointaient fortement et étaient limite douloureux. Il avait la peau dure, ça se sentait que c’était un gars qui bossait avec ses mains. Il avait une attitude un peu rustre et macho, j’aimais vraiment ça. Il pressait mes melons l’un contre l’autre, gorgeant ainsi de sang mes tétons qui semblaient encore plus gros et foncés. L’inconnu me retourna pour m’en bouffer le bout. Il me suçait chaque sein l’un après l’autre, comme s’il faisait une pipe à mes tétons. Je sentais mon clito durcir et ma chatte se tremper comme une rivière.
Ma main glissa automatiquement sur sa braguette pour le mettre à l’aise et en profiter pour jeter un œil à ce qui m’attendait. Je pu enfin lui saisir son sexe. Il était gros et long, digne d’une bite de film porno. Je le branlai doucement mais fermement pendant qu’il m’aspirait les tétons. Cette entrée en matière m’avait ouvert l’appétit. Je n’avais pas sucé un homme depuis longtemps, mais la fellation ne s’oublie pas si vite. Je me mis à genoux sans lui demander son avis pour me mettre à l’œuvre. J’avais un peu de mal à tout prendre en bouche, le truc était si long. Je m’appliquais à lui pomper le sexe correctement lorsqu’il m’attrapa les cheveux et commença à me baiser la gorge. Quel salaud, en tant normal je déteste ça ! Mais cette fois je comptais bien dépasser mes limites et faire de cette rencontre un moment de pure débauche dans une vie sexuelle vraiment morne. Alors qu’avec mon mari je devais souvent prendre les devants et le dominer pour qu’il réagisse je n’étais ici qu’une vulgaire chienne docile en train de bouffer l’os de son maître.
Je faillis vomir plusieurs fois mon repas, tellement ce connard allait loin avec le bout de son engin. Mais je tenais bon, je ne voulais pas décevoir cet amant d’un jour, et je continuais donc d’aspirer sa bite au plus profond de ma trachée. Je respirais mal, et la chaleur était étouffante, mais je me débrouillais bien. J’avais les yeux humides et les joues toutes rouges. L’inconnu à grosse bite voyait bien que je souffrais en lui prodiguant une gorge profonde, et il mit fin au supplice. Il me leva et me poussa contre la paroi du véhicule. Il baissa ma jupe et mon string d’un seul coup. Il voulait me faire la chatte, mais je refusais. Il pouvait me faire ce qu’il voulait, mais il ne toucherait pas à mon abricot. Je l’ai toujours réservé à mon mari, et il en sera ainsi encore longtemps, que je sois fâchée ou non. Et puis j’avais bien précisé que je voulais du hors normes.
Il rechigna un peu, il avait tellement envie de, je cite, “me défoncer la chatte”, mais je restais sur ma position. Il accepta alors de me prendre par le cul. Il m’avoua ne pas être très doué en sexe anal, car un peu violent. Je pressentis le pire. J’avais peur pour ma rondelle. Il avait un si gros sexe. Pourquoi lui avais-je donc proposé cet orifice ? Mon dieu, j’allais la sentir passer celle-là ! J’écartais mes fesses au maximum, comme pour aider mon petit trou du cul à encaisser cette grosse buche. Mais mon trou restait fermé, et seul le passage de son sexe en entier finit par l’ouvrir pour de bon. Il s’était aidé d’un petit tube de vaseline qu’il était allé chercher dans la boite à gants de son véhicule et m’avait préparée sans rechigner avec ses doigts rugueux.
Outch !! Ça c’est du calibre ! Il aurait pu commencer à me baiser les fesses lentement pour aider mon cul à s’habituer à la présence de ce corps étranger, mais non, il y allait comme un bourrin. Je comprenais maintenant ce qu’il voulait dire lorsqu’il m’affirma vouloir me prendre comme jamais personne avant.
Mais ce n’était pas le temps de tergiverser, je devais prendre un peu de plaisir après tout. C’était la première et peut-être seule fois que je trompais mon mari, je devais donc prendre un maximum de bon temps. Au bout de quelques minutes, je commençais maintenant à faire la différence entre douleur et plaisir et lui demandais de me lancer des mots cochons tout accélérant le rythme.
Il augmenta donc la cadence, tout en me traitant de “bonne salope”, me complimentant sur mon “derche qu’il allait enfiler jusqu’au bout”. Je n’ai plus le reste en tête, mais ce vocabulaire fleuri me rendait folle. J’avais les yeux fermés et au bout d’environ une dizaine de minutes je fus parcourue d’un spasme de jouissance puissant, qui fit resserrer mes sphincter sur l’engin de mon partenaire. Ne résistant pas à cette nouvelle configuration, il se laisser aller dans un long gémissement rauque. L’inconnu au fourgon était en train de me jouir dans le cul.
Il s’excusa platement, me disant que mon trou était si bon et serré qu’il ne pouvait pas tenir dedans une seconde de plus. Je lui ai donc avoué que je l’avais devancé et que j’avais pris mon pied. Je lui fit remarquer avec amusement que je ne devais pas être la seule de ses proies du moment vu l’équipement qu’il trimbalait avec lui. Mon rustre amant d’un jour rougit alors comme un écolier pris en faute et m’assura qu’il avait rarement été aussi excité lors d’une baise improvisée.
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Super