autobiographie d'une chatte ...

- Par l'auteur HDS Georges -
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : autobiographie d'une chatte ... Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2012 dans la catégorie A dormir debout
Tags : Masturbation
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

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autobiographie d'une chatte ...
Au seuil de mes quatre vingt ans je vais finir ma vie de vagin, depuis quelques jours
c’est une infirmière qui passe le gant de toilette sur mes quelques poils blancs
parsemés, mes lèvres ne se jointent plus, je ne regrette pas de partir, j’ai eue une
vie bien remplie si j’ose dire !
De tout bébé a dix douze ans je me suis éveillée doucement, ma maitresse, ma
propriétaire comme vous voulez, s’appelle Maria, elle passait quelquefois ses doigts
sur moi, plus les années passaient plus je percevais les caresses qui déclenchaient un
courant électrique de plus en plus intense, quand mon premier poil est apparut elle
était folle de joie mais bientôt c’est une vrai forêt luxuriante qui cachait mon pubis
et ma fente, cela ne l’empêchait pas de me caresser souvent le soir bien au chaud
entre ses draps les cuisses écartées elle ouvrait mes lèvres pour puiser du lubrifiant
et enduire mon clito qui valsait sous ses doigts agiles jusqu’a ce que j’expulse une
quantité de plus en plus abondante de cyprine
A ses quinze ans j’ai eue la surprise de voir arriver une main de garçon sous la
culotte petit bateau qui me protégeais, celui pestait car les poils l’empêchaient de
trouver aisément mon trou vaginal avec ses doigts, le lendemain ma maitresse, je dis
ma maitresse mais en réalité c’était moi qui la dirigeais par des ondes que je ne
saurais expliquer mais qui influaient directement sur une partie précise de son
cerveau , donc le lendemain a accroupie devant une glace, rasoir ciseaux peigne en
main elle m’a fait une beauté pour la première fois je me voyais dans une glace , des
lèvres moelleuses dégagées de poils superflus cette fois ma fente est très accessible
! Tout en haut mon fidèle complice qui monte la garde sous son capuchon de chair,
c’est lui qui a la première alerte me transmet les infos, je dois mouiller tandis
qu’il grossit, quelques jours après la même main de garçon est revenue, mais Maria
veillait au grain, elle ne laissait pas les doigts me pénétrer car elle tenait a ce
que mon opercule fine qui masque mon entrée reste intacte, elle refusait d’ôter la
culotte qui préservait sa virginité…. Cela a bien changé par la suite …..
A dix sept ans tous les soirs blottie entre ses draps Maria ouvrait les cuisses pour
me caresser, j’étais aux anges je mouillais comme une fontaine, mais un soir
volontairement ou non elle a zappé notre rendez vous, vexée je me suis jurée de lui
faire payer dés le matin j’ai harcelés ses sens, elle frottait ses cuisses l’une sur
l’autre elle était en sueur, l’après midi elle a pris la direction d’un parc et s’est
assise sur un banc, pour la première fois j’ai sentis ses cuisses s’écarter
exagérément et l’air frais parvenir jusqu'à moi, je voyais de plus en plus le jour au
travers de sa culotte, sur le banc d’en face il y avait un homme qui ne perdait rien
de son manège, il massait une bosse énorme sur sa braguette, je me suis mise a
mouiller comme jamais, mon liquide suintait par les mailles du tissu
L’homme s’est levé et s’est assis prés d’elle, une grosse paluche glissait sur son
entre cuisse, des ongles grattaient la culotte et le bombé de mes lèvres, le fond du
slip s’est écarté … un gros doigt a ouvert ma fente, elle l’a retenu en lui expliquant
qu’elle était vierge, celui-ci sans se démonter s’est levé et lui a dis : ‘ vient avec
moi’ nous somment allés en direction des fourrés et là, adossée a un arbre il lui a
relevée la jupe , la culotte a glissé sur ses cuisses, j’était dehors a l’air libre ça
ne m’était jamais arrivée ! il lui a ordonné d’écarter les pieds , un souffle chaud
sur ma vulve puis une chose rose épaisse a glissé entre mes lèvres, l’homme me léchait
tout en maintenant mes lèvres ouvertes avec ses pouces c’était merveilleux, elle a
poussé un cri strident quand j’ai lâché un suc épais dans mes poils et dans la bouche
suceuse
Il s’est relevé, pendant un moment ils m’ont laissée sur ma faim, au mouvement des ses
bras j’ai compris qu’elle manipulait quelque chose, cette chose je l’ai vue arriver,
une grosse prune rouge plantée sur un manche de chair énorme que voulait il faire avec
ça ? Il a frotté ma toison avec c’était très doux, et d’un coup il lui a relevé une
jambe, la prune s’est positionnée sur mes lèvres qui ont épousées sa forme puis ça a
été l’horreur je me suis sentie déchirée, écartelée, enfoncée, une brulure atroce a
fait vaciller la fille maintenue puissamment par l’homme, une odeur de sang régnait
dans mon vestibule, puis le miracle s’est accomplit, la douleur disparue la chose
raide est devenue exquise, elle frottait agréablement sur mes parois inexplorées, mon
utérus bousculé la chose a étiré ma gaine vaginale a n’en plus finir je pissait
littéralement entre ses cuisses
L’homme m’a ramonée interminablement avec son piston de chair avant de me l’enfoncer
au plus profond il s’est arrêté de bouger, un torrent a giclé du bout arrondi et
fendu, j’ai cru me noyer avec cette semence abondante et odorante, le membre a
subitement diminué de volume il s’est retiré me laissant ouverte, la plus grosse parie
du jus est tombée au sol, il a lâché la jambe et a disparut , elle a passé une main
sur moi pour constater les dégâts, avec ses doigt elle a recollées tant bien que mal
mes lèvres l’une sur l’autre puis a renfilée la culotte , arrivée a la maison elle a
joué longtemps avec moi examinant pour la première fois mon intérieur devant une glace
avant de se décider a me laver
A partir de ce moment là tout s’est accéléré les petites lolitas de maintenant n’ont
rien inventé avec leurs jupes ras la moule j’ai vus défiler des tas de queues dans ma
grotte recouverte d’une grande culotte et d’une robe longue
A dix neuf ans Maria s’est mise en ménage avec un attitré de mes lieux que j’aimais
bien, il était doté d’une verge très acceptable, un soir ils avaient un invité mais ça
n’empêchait pas l’attitré de me toucher, je me suis retrouvée sans rien dessus exposée
en pleine lumière, de nombreux doigts se disputaient l’entrée de mon vagin, après
avoir trouvé un terrain d’entente ils m’ont masturbée a deux, puis elle s’est mise à
califourchon sur un garçon, lentement j’ai été investie par la queue de son compagnon
qui a commencé a me baiser, il s’est arrêté de bouger c’est là que j’ai sentie la
deuxième verge se présenter contre la première ……. Ils sont fous ? Ils vont me
déchirer ! Et l’autre qui se laisse faire ! Au lieu de se dégager elle arque son cul,
ma fente s’étire ….ça va céder …….Aaaaaaahhhhhh le salaud a trouvé une faille ! Me
voici plantée par deux verges, mes parois tendues à craquer prennent la forme de ces
envahisseurs qui se mettent en mouvement, les deux premiers allers retours sont
pénibles puis la glisse devient de plus en plus aisée, ce jour là j’ai compris tout le
sens du mot ‘ fornication ‘
Le copain est revenu souvent et un soir comme a chaque fois je me suis retrouvée
coincée entre eux deux a un moment celui qui me prenait par derrière a glissé hors de
moi tant j’étais poisseuse, mais en voulant me réinvestir il a manqué mon entrée c’est
mon voisin qui l’a pris dans son trou sans fond, ce voisin c’est un peu comme un
colocataire
Ce colocataire je m’en passerais bien ! Il est bruyant malodorant, je n’ose pas
raconter tout ce que je vois passer …..Bref Maria a hurlé a la mort a cause de la
surprise et de la douleur sans doute, je sentais le membre glisser sur celui qui
baisait mon conduit soyeux a travers la mince cloison qui nous sépare, puis elle a
cessé de crier et lui demandait de continuer a la limer, elle tendait son cul de
salope aux deux mâles , l’attitré a déchargé très vite , je dégoulinais sur son ventre
, le copain l’a suivit de prés je sentais les contractions de la verge qui arrosait le
trou voisin
Après un moment de silence ils ont rit de bon cœur, depuis ce jour là les deux trous
ont étés visités par des queues toujours plus imposantes il a bien fallu que je me
fasse a la mitoyenneté de mon colocataire !
Je croyais avoir tout vécu mais un soir j’ai décelé une présence féminine, il y avait
dans cette pièce une autre chatte qui dégageais des phéromones, donc en chaleur, j’en
étais jalouse ! Maria se faisait toucher par quatre mains , elle s’est laissée
déshabiller une main délicate est venue me solliciter, des ongles manucurés bien
taillés de façon a ne pas écorcher finissaient ses doigts fins qui savaient exactement
ou toucher pour faire du bien, j’ai rapidement mouillé, la culotte a été retirée les
jambes écartées j’étais en première ligne , la bouche de cette femme s’est collée a
moi , fantastique cette langue agile aidée par les doigts n’en finissaient pas de
m’ouvrir, j’ai décollé deux fois puis sa bouche retirée elle a seulement laissé ses
doigts , tout ses doigts , mes parois s’écartaient , la partie la plus large de sa
main était au seuil de ma craquette , c’était tellement bon que je me suis relâchée et
…. Ploufff ! La main est entrée entièrement jusqu’au poignet emprisonné par mes
lèvres, même deux queues ne m’ouvraient pas autant !
Le poignet a commencé à tourner, les doigts grattaient mes parois comme cinq petites
verges, un liquide giclait hors de moi de façon inépuisable, je les entendais rire et
faire des réflexions : regarde là pisser cette salope de chatte, jamais elle n’a
mouillé autant avec moi ! - elle est comme moi quand ont la fist ta copine : femme
fontaine ! Continue à me baiser en levrette !
Le salaud ! Il baise la femme en même temps qu’elle me fait jouir, j’étais à un stade
de décontraction telle que la main entrait et sortais entièrement sans peine
provoquant des bruits monstrueusement jouissifs, Maria hurlait de bonheur, ma mouille
giclait à plusieurs mètres, mes lèvres étaient tellement distendues qu’on ne les
distinguait plus, je ne me souciais même pas si je pourrais reprendre un aspect normal
après un tel ravage c’était si bon !
Un moment après la queue du copain est venue me voir, il s’est engouffré entièrement
sans que je ressente quoique ce soit elle ne touchait pas les bords ! Il pestait après
Maria comme si c’était sa faute, n’empêche qu’il était tellement excité qu’il m’a
barbouillée rapidement
Après cette expérience Maria allait se promener dans des endroits ou elle savait
trouver des femmes et des hommes prêts à me rendre hommage, je ne regrette pas d’avoir
été rasée, baisée, écartelée, malmenée par des mains, des membres et des objets de
toutes sortes, je m’éteins doucement ……….c’est fini !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
toute une vie de bonheur. pas a regretter. jolie ecriture remplie de plaisirs. . .

Histoire Erotique
Magnifiquement écrit de façon originale et sans vulgarité!
Félicitations



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