Autorisation de se masturber 6
Récit érotique écrit par Belle-Mère [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Autorisation de se masturber 6
En attendant que Paul prépare son déménagement et libère son logement, nous continuons à nous voir, la plupart du temps chez moi. Je suis restée dans la maison que mon défunt mari et moi habitions. Elle est située en proche banlieue de Bordeaux.
Au gré de ses visites, il apporte des affaires personnelles dans des valises ou cartons. Un jour je remarque une grande valise rouge et lui demande ce qu’elle contient. Je le vois rougir d’un coup, comme sa valise. Comme il s’habitue à m’obéir pour tout, il balbutie sans résistance, tout en ouvrant la valise avec son code :
- Comme tu sais que je porte de la lingerie, ce sont mes affaires féminines personnelles. Il y a aussi quelques joujoux.
- Montre-moi ! Ben dis-donc, on ne s’en fait pas : un dressing complet. Il n’y a pas que de la lingerie, espèce de vicieux. Des robes, des chemisiers, des serviettes hygiéniques!, du maquillage, des bijoux… Tu es une femme ou un homme ? Là je suis décontenancée par ta perversion. Il faut que je m’assoie.
- Je ne les porterai pas devant toi si tu veux. C’est mon passé. Je peux tout jeter si tu le demandes.
- Et ça : des pinces, un martinet, …. Et ces trucs : tu te les mets dans le cul ? Je suis abasourdie par ton vice.
Je me reprends ensuite, après un temps d’assimilation, car je vois un coté de Paul que j’ignorais, mais qui ne me surprend pas. Autant jouer le jeu un minimum et voir, par curiosité, qui il est vraiment. C’est la 1ère fois que j’ai à faire à un travesti, et il se trouve que c’est mon gendre… Je réfléchis de longues minutes tandis que j’explore ses affaires de nana.
- Tu gardes ta cage de chasteté et tu passes une robe. Ce matin, je te demande de faire le ménage complet de la maison. Tu sais où sont les produits, alors, vas-y : sois ma femme de ménage, je te regarde.
Et là, je pique un fou rire en le voyant se déshabiller pour passer un de soutien-gorge, des escarpins noirs à talons bas (j’ai vu : pointure 43) puis une robe. Je dois reconnaitre que la robe BCBG est assez sobre et lui va bien. A 50 ans, mon gendre est grand et mince, s’il était une nana, « elle » ne serait pas mal. Je continue à pouffer quand je le vois passer les gants, sortir aspirateur et produits. Il s’y met sans plus discuter. Je le regarde avec curiosité, puis prend quelques photos de lui pour ma collection personnelle de preuves accablantes, au cas où il me déçoive. Quel tableau : un quinqua bourgeois en robe bleue et escarpins qui fait le ménage. Mon nouvel amant et domestique a l’air d’aimer astiquer. Plus tard, je lui donne un peu de repassage avec lequel il se débrouille bien. Je lui dis :
- Pour te remercier, et bien que je n’approuve pas le caractère désaxé de ton travestisme, je vais te donner une récompense. Depuis combien de temps n’as-tu pas joui ?
- Depuis 18 jours, Maitresse, la dernière fois j’ai joui dans mon pantalon grâce à toi. 18 jours, c’est un record pour moi. J’ai très envie, mon amour.
- Bien. Viens dans la salle de bain. Voici les clés. Retire ta cage. Masturbe-toi en me regardant.
- Tu restes habillée ?
- Oui, je veux que tu me désires avec respect. Et que tu désires tout de moi, même habillée. Je ne suis pas une pute. Vas-y, caresse-toi. J’ai envie de voir comment tu te branles. Tu as trois minutes pour jouir. J’ai autre chose à faire après.
- Merci Maitresse, c’est bon de bander enfin et de pouvoir me masturber. Ca fait si longtemps. Pourrais-je voir ta culotte STP?
Je suis habillée d’un tee-shirt moulant en coton rose, d’un pantalon beige avec petite ceinture noire et de ballerines noires. Je pense être encore très bien pour mes 75 ans : petite mais mince avec des formes féminines assez harmonieuses. Mes cheveux sont plutôt courts, teints en blond virant sur un joli roux, une mèche devant, mes oreilles ornées de perles et ma nuque sont découvertes, et je porte des lunettes. Je dénoue ma ceinture tandis que je le vois me mater et se branler. Je baisse mon pantalon : il peut voir le haut de ma culotte Sloggi de coton blanc.
- Mon amour, tu es si belle, tu m’excites terriblement. Puis-je voir tes fesses ?
- D’accord, mais tu vas jouir dans les toilettes. Ne salis pas ma salle de bain ni mes vêtements.
Je lui montre mes fesses sans baisser ma culotte. Mon pantalon est tombé par terre. Sa main gauche caresse ma culotte de coton, s’arrête sur le gros élastique à la taille puis épouse le bas de mes fesses tandis que sa main droite s’agite. Je l’aperçois mater mon cul les yeux exorbités et le teint rosi, et ça me trouble beaucoup.
- Ah mon amour, tu es si belle, je vais jouir pour toi, je te désire tant ! Je veux te satisfaire. Merci de me laisser te regarder, tu es belle…. Je jouis, AAAAAAh aaaaaaah AAAAAAH.
Tout en hurlant, il plie les jambes et guides les jets puissants de sa semence vers la cuvette des toilettes. Ca m’amuse, ça me choque et m’émeut de le voir ainsi, pathétique, vicieux, touchant, fou de moi.
- Ca y est ? soulagé ? c’est bien. Tire la chasse, lave toi et repasse ta cage de chasteté.
- Mais Maitresse, je n’ai plus envie, pas le peine pour la cage.
- Je ne le répèterai pas. Tu passes ta cage. C’est tout. Tu t’habilles et tu m’emmènes faire des courses. Tu n’iras plus jamais dehors sans ta cage. Allez ouste !
Au gré de ses visites, il apporte des affaires personnelles dans des valises ou cartons. Un jour je remarque une grande valise rouge et lui demande ce qu’elle contient. Je le vois rougir d’un coup, comme sa valise. Comme il s’habitue à m’obéir pour tout, il balbutie sans résistance, tout en ouvrant la valise avec son code :
- Comme tu sais que je porte de la lingerie, ce sont mes affaires féminines personnelles. Il y a aussi quelques joujoux.
- Montre-moi ! Ben dis-donc, on ne s’en fait pas : un dressing complet. Il n’y a pas que de la lingerie, espèce de vicieux. Des robes, des chemisiers, des serviettes hygiéniques!, du maquillage, des bijoux… Tu es une femme ou un homme ? Là je suis décontenancée par ta perversion. Il faut que je m’assoie.
- Je ne les porterai pas devant toi si tu veux. C’est mon passé. Je peux tout jeter si tu le demandes.
- Et ça : des pinces, un martinet, …. Et ces trucs : tu te les mets dans le cul ? Je suis abasourdie par ton vice.
Je me reprends ensuite, après un temps d’assimilation, car je vois un coté de Paul que j’ignorais, mais qui ne me surprend pas. Autant jouer le jeu un minimum et voir, par curiosité, qui il est vraiment. C’est la 1ère fois que j’ai à faire à un travesti, et il se trouve que c’est mon gendre… Je réfléchis de longues minutes tandis que j’explore ses affaires de nana.
- Tu gardes ta cage de chasteté et tu passes une robe. Ce matin, je te demande de faire le ménage complet de la maison. Tu sais où sont les produits, alors, vas-y : sois ma femme de ménage, je te regarde.
Et là, je pique un fou rire en le voyant se déshabiller pour passer un de soutien-gorge, des escarpins noirs à talons bas (j’ai vu : pointure 43) puis une robe. Je dois reconnaitre que la robe BCBG est assez sobre et lui va bien. A 50 ans, mon gendre est grand et mince, s’il était une nana, « elle » ne serait pas mal. Je continue à pouffer quand je le vois passer les gants, sortir aspirateur et produits. Il s’y met sans plus discuter. Je le regarde avec curiosité, puis prend quelques photos de lui pour ma collection personnelle de preuves accablantes, au cas où il me déçoive. Quel tableau : un quinqua bourgeois en robe bleue et escarpins qui fait le ménage. Mon nouvel amant et domestique a l’air d’aimer astiquer. Plus tard, je lui donne un peu de repassage avec lequel il se débrouille bien. Je lui dis :
- Pour te remercier, et bien que je n’approuve pas le caractère désaxé de ton travestisme, je vais te donner une récompense. Depuis combien de temps n’as-tu pas joui ?
- Depuis 18 jours, Maitresse, la dernière fois j’ai joui dans mon pantalon grâce à toi. 18 jours, c’est un record pour moi. J’ai très envie, mon amour.
- Bien. Viens dans la salle de bain. Voici les clés. Retire ta cage. Masturbe-toi en me regardant.
- Tu restes habillée ?
- Oui, je veux que tu me désires avec respect. Et que tu désires tout de moi, même habillée. Je ne suis pas une pute. Vas-y, caresse-toi. J’ai envie de voir comment tu te branles. Tu as trois minutes pour jouir. J’ai autre chose à faire après.
- Merci Maitresse, c’est bon de bander enfin et de pouvoir me masturber. Ca fait si longtemps. Pourrais-je voir ta culotte STP?
Je suis habillée d’un tee-shirt moulant en coton rose, d’un pantalon beige avec petite ceinture noire et de ballerines noires. Je pense être encore très bien pour mes 75 ans : petite mais mince avec des formes féminines assez harmonieuses. Mes cheveux sont plutôt courts, teints en blond virant sur un joli roux, une mèche devant, mes oreilles ornées de perles et ma nuque sont découvertes, et je porte des lunettes. Je dénoue ma ceinture tandis que je le vois me mater et se branler. Je baisse mon pantalon : il peut voir le haut de ma culotte Sloggi de coton blanc.
- Mon amour, tu es si belle, tu m’excites terriblement. Puis-je voir tes fesses ?
- D’accord, mais tu vas jouir dans les toilettes. Ne salis pas ma salle de bain ni mes vêtements.
Je lui montre mes fesses sans baisser ma culotte. Mon pantalon est tombé par terre. Sa main gauche caresse ma culotte de coton, s’arrête sur le gros élastique à la taille puis épouse le bas de mes fesses tandis que sa main droite s’agite. Je l’aperçois mater mon cul les yeux exorbités et le teint rosi, et ça me trouble beaucoup.
- Ah mon amour, tu es si belle, je vais jouir pour toi, je te désire tant ! Je veux te satisfaire. Merci de me laisser te regarder, tu es belle…. Je jouis, AAAAAAh aaaaaaah AAAAAAH.
Tout en hurlant, il plie les jambes et guides les jets puissants de sa semence vers la cuvette des toilettes. Ca m’amuse, ça me choque et m’émeut de le voir ainsi, pathétique, vicieux, touchant, fou de moi.
- Ca y est ? soulagé ? c’est bien. Tire la chasse, lave toi et repasse ta cage de chasteté.
- Mais Maitresse, je n’ai plus envie, pas le peine pour la cage.
- Je ne le répèterai pas. Tu passes ta cage. C’est tout. Tu t’habilles et tu m’emmènes faire des courses. Tu n’iras plus jamais dehors sans ta cage. Allez ouste !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très intéressante cette petite histoire ! Je vais lire les autres...
Bonne continuation !
Roger
Bonne continuation !
Roger