Autour des chevaux...(4)
Récit érotique écrit par How2be [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-07-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Autour des chevaux...(4)
Après cette balade, nous dessellons nos chevaux, et la monitrice me demande de desseller aussi son propre cheval elle a l'air d'être pressée. La stalle se vide, et je reste seul pour exécuter la tâche qui m'a été confiée.
Je me croyais seul, lorsque je sens un mouvement discret derrière moi. Je me retourne, et découvre Étienne, le deuxième garçon de la colonie, le pantalon sur les genoux, sa bite entre les mains, en train de se branler lentement et en me regardant. Il me dit, très calmement:-" Suce moi. "Alors qu'il s'approche de moi, je le repousse, ne sachant pas quoi dire, mais il insiste, en se collant à moi, et en mettant ma main sur sa verge en érection. Son membre est plutôt court, mais étonnamment large, parcouru de grosses et épaisses veines qui le courent sur toute la longueur, de la base du pubis caché par des poils noirs épais, jusqu'au bout de son prépuce qui recouvre avec abondance son gland humide.
Là, Ambroise déboule, attrape Étienne par le col, et le tire en arrière. Il lui lance, avec froideur:-" Je vous regarde depuis la porte. C'est dégueulasse ce que tu lui fait. De toute façon, il est à moi." Le fait qu'il affirme que je lui appartienne éveille en moi une douce chaleur dans mon bas ventre.
-" A toi ? Il t'appartient ? Tu es pathétique.
- Je vais te donner une preuve."Il me retourne contre le mur, me baisse le pantalon d'un coup sec, le fait descendre sur mes chevilles, et tend sa main vers ma bouche, à la commissure de mes lèvres, puis m'ordonne de lécher ses doigts. Je m'exécute, ne sachant pas ce à quoi Ambroise pensait. Lorsqu'il estime que ses doigts sont suffisamment dégoulinants de salive. Il pose son majeur contre ma rondelle découverte au yeux des deux hommes qui me regardent, et l'enfonce rapidement, sans précaution, ce qui me force à serrer les dents pour ne pas crier.
Il l'enfonce progressivement ses 4 doigts dans le fondement, et commence à titiller ma prostate. Étienne continue à nous observer, toujours en se masturbant doucement. Ambroise se cale derrière moi, sans retirer sa main, me retourne pour que je sois en face de notre voyeur. Mon homme m'attrape la verge qui commence à se redresser. Il regarde Étienne, et lui dit:-" Il bande et il ne proteste même pas. Ça te suffit comme preuve ?"Étienne rentre sa bite dans son pantalon, et se dirige vers la sortie, et me lance sans se retourner:-" OK j'ai compris. Mais n'oublie pas Paul: si tu as envie d'autre chose, pense à moi."Ambroise, comme pour me convaincre de ne pas accéder à la requête de ce garçon, me masturbe de sa main libre, d'abord lentement, puis très rapidement: il enfonce encore plus sa main dans mon cul, et je sens son souffle chaud dans ma nuque, et j'aperçois un éclair de folie quasi-lubrique dans son regard. Ses doigts tapent ensemble contre ma prostate, m'envoyant des décharges sur toute la longueur de ma verge.
Je le prévient que je vais bientôt décharger, mais il ne m'écoute pas, et va encore plus vite dans son mouvement de vas et vient, et appuie une dernière fois avec force contre ma prostate, pour essayer de lui faire cracher un maximum de sperme. Je lâche mon foutre, et il serre le long de ma bite pour en extirper les dernières gouttes de foutre. Il me lâche, retire sa main de mon cul, m'embrasse avec fougue, et m'aide à remonter mon pantalon sur mon bassin.
Il m'abandonne dans cette pièce, seul avec l'odeur de phéromones dans l'air, et mon foutre sur le sol et sur la pointe de mes bottes. Je me sens bien.
Là aussi, laissez moi vos commentaire, suppositions, critiques...
Bye <3
Je me croyais seul, lorsque je sens un mouvement discret derrière moi. Je me retourne, et découvre Étienne, le deuxième garçon de la colonie, le pantalon sur les genoux, sa bite entre les mains, en train de se branler lentement et en me regardant. Il me dit, très calmement:-" Suce moi. "Alors qu'il s'approche de moi, je le repousse, ne sachant pas quoi dire, mais il insiste, en se collant à moi, et en mettant ma main sur sa verge en érection. Son membre est plutôt court, mais étonnamment large, parcouru de grosses et épaisses veines qui le courent sur toute la longueur, de la base du pubis caché par des poils noirs épais, jusqu'au bout de son prépuce qui recouvre avec abondance son gland humide.
Là, Ambroise déboule, attrape Étienne par le col, et le tire en arrière. Il lui lance, avec froideur:-" Je vous regarde depuis la porte. C'est dégueulasse ce que tu lui fait. De toute façon, il est à moi." Le fait qu'il affirme que je lui appartienne éveille en moi une douce chaleur dans mon bas ventre.
-" A toi ? Il t'appartient ? Tu es pathétique.
- Je vais te donner une preuve."Il me retourne contre le mur, me baisse le pantalon d'un coup sec, le fait descendre sur mes chevilles, et tend sa main vers ma bouche, à la commissure de mes lèvres, puis m'ordonne de lécher ses doigts. Je m'exécute, ne sachant pas ce à quoi Ambroise pensait. Lorsqu'il estime que ses doigts sont suffisamment dégoulinants de salive. Il pose son majeur contre ma rondelle découverte au yeux des deux hommes qui me regardent, et l'enfonce rapidement, sans précaution, ce qui me force à serrer les dents pour ne pas crier.
Il l'enfonce progressivement ses 4 doigts dans le fondement, et commence à titiller ma prostate. Étienne continue à nous observer, toujours en se masturbant doucement. Ambroise se cale derrière moi, sans retirer sa main, me retourne pour que je sois en face de notre voyeur. Mon homme m'attrape la verge qui commence à se redresser. Il regarde Étienne, et lui dit:-" Il bande et il ne proteste même pas. Ça te suffit comme preuve ?"Étienne rentre sa bite dans son pantalon, et se dirige vers la sortie, et me lance sans se retourner:-" OK j'ai compris. Mais n'oublie pas Paul: si tu as envie d'autre chose, pense à moi."Ambroise, comme pour me convaincre de ne pas accéder à la requête de ce garçon, me masturbe de sa main libre, d'abord lentement, puis très rapidement: il enfonce encore plus sa main dans mon cul, et je sens son souffle chaud dans ma nuque, et j'aperçois un éclair de folie quasi-lubrique dans son regard. Ses doigts tapent ensemble contre ma prostate, m'envoyant des décharges sur toute la longueur de ma verge.
Je le prévient que je vais bientôt décharger, mais il ne m'écoute pas, et va encore plus vite dans son mouvement de vas et vient, et appuie une dernière fois avec force contre ma prostate, pour essayer de lui faire cracher un maximum de sperme. Je lâche mon foutre, et il serre le long de ma bite pour en extirper les dernières gouttes de foutre. Il me lâche, retire sa main de mon cul, m'embrasse avec fougue, et m'aide à remonter mon pantalon sur mon bassin.
Il m'abandonne dans cette pièce, seul avec l'odeur de phéromones dans l'air, et mon foutre sur le sol et sur la pointe de mes bottes. Je me sens bien.
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