Aux pieds de Maryse.

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : Aux pieds de Maryse. Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Aux pieds de Maryse.
J’ai attendus patiemment que la nuit tombe en cette journée de décembre pour rejoindre Bernadette dans son véhicule stationné sur le parking du square. Une femme mariée et mère de trois enfants, qui a organisé cette petite rencontre, juste pour avoir le loisir de jouir, en face de son bâtiment, un pied de nez à son quartier.
Elle ne mit pas longtemps à succomber à ma caresse buccale. Suite à cela, je prends la direction de chez mes parents.
J’ai la surprise en entrant, de m’apercevoir que mes parents recevez ce soir-là. La belle famille de ma sœur. Après les avoir salués je me rends dans ma chambre prendre mon peignoir, pour me rendre dans la salle de bains, prendre une douche. Mais avant, avec une grande prudence, je me charge d’un escarpin de Maryse, laissé devant l’entrée, que j’emmène avec moi dans la salle de bains. Ce n’est pas la première fois que je fais cela. Après mettre m’enivrer de son odeur, je lèche d’une langue bien à plat, la semelle de cuir, bien imprégner de sudation de son pied. Un vrai régal !
Qu’est-ce que je donnerais pour pouvoir un jour, avoir le privilège de lécher le pied gainée de nylon blanc de Maryse, comme ce soir.
Très vite, une énorme envie de foutre me submerge. Je cale pour cela, mon sexe bandé dans la cavité de cuir, moite de salive. En forçant un peu, je peux même me permettre de faire sortir mon gland du bout ouvert. Un apport supplémentaire pour un branlage fortuit. Un délicieux frisson parcoure mon ventre, alors que j’exerce un rythme à mon bassin. Et cela se prolonge jusqu’à la jouissance.
Bien plus tard, et alors que je fouine en petite tenu dans ma chambre, Martine la fille de Maryse vient me rejoindre, de son propre grés. Ma verge tenue dans mon slip se dresse à sa vue, le prépuce est arrêté par l’élastique et mon gland violacé sort sous les yeux de Martine qui pousse un :
-Oh !
Décontenancé, je fais comme si rien n’était, et ferme mon peignoir. Puis je prends place sur le lit. Elle me rejoint peu après et s’asseoir près de moi. Quelques instants de silence, avant que le dialogue s’installe.
-Dis Alain, c’est ce qu’on appelle le gland que j’ai vu tout à l’heure ?
-Oui, Martine.
-Tu sais, c’et la première fois que j’en vois un. Et j’aimerai bien en voir un peu plus. Enfin si tu veux bien !
-Pardon ? Tu te rends compte de ce que tu dis là ?
-Oh, Alain, je n’ai vu jusqu’à présent que j’ai vu dans les bouquins de culs de papa.
Je me lève, enlève mon peignoir et baisse mon slip, faisant jaillir à l’horizontale ma verge tendue devant Martine qui s’est assise par terre devant le lit. Les yeux exhortés, elle dit :
-Ton gland est caché !
- C’est que mon prépuce qui est la peau qui le recouvre est très long. Pour voir mon gland, il faut me décalotter en faisant coulisser cette peau vers la racine de ma verge.
-Comme ça ? Me dit-elle tout en prenant mon sexe entre deux doigts sous le bourrelet, et en tirant doucement.
- Oui, et comment le trouves-tu ?
-Qu’il est beau ton gland, avec sa couleur violacée et brillante ! Oh, le petit trou au bout perd comme une larme ! J’ai envie de te dire que ta… verge est belle. Elle est chaude, douce et dure à la fois. Je la sens palpiter. Tu aimes que je la touche ?
-Oui, continue, ramène le prépuce et retire-le. Vas-y, c’est bon, tu me branles bien.
-C’est donc ça branler ?ça me fait tout drôle dans le ventre.
-Tu as déjà ressenti cette chaleur ?
-Oui…
-Et qu’as-tu fais alors ?
-Euh… je me suis touchée le minou, mais j’ai honte de t’avouer ça.
-il ne faut pas, tu sais. Veux-tu me montrer ?
Se relevant, elle se dénude et j’admire ses petits seins bien droits et sa toison châtain clair, assez peu fournie, qui laisse apercevoir le début de la fente vulvaire entre ses cuisses. Elle s’assoit sur mon lit, tandis que je me laisse à terre et écarte grand le compas de ses cuisses ce qui me dévoile son adorable petit abricot. Alors sans hésiter, elle passe son majeur le long de sa vulve, du périnée au clitoris. Ses nymphes délicatement ourlées s’ouvrent et accompagnent le mouvement. Je tends la main pour atteindre cette tendre vulve, j’écarte ensuite doucement sa main que je pose sur ma verge, et je me mets à caresser son sexe vierge, qui tout de suite mouille alors que son clitoris se gorge de sang roulant sous mon doigt. C’est l’instant que choisit Maryse pour venir nous rejoindre. Elle attend quelques instants pour lâcher :
-Eh bien en voilà une surprise !
Martine, qui ne s’est pas aperçus de l’apparition de sa mère sursaute à cette phrase, et bafouille un :
-Ne crie pas maman… je… je suis désolée, c’est… c’est lui qui a… vou..voulut.
-Oui c’est ça ! Murmure-t-elle pour ne pas attirer l’attention, Vous vous rhabillez et toi, (en s’dressant à moi), je veux te voir demain.
-Où ? M’entends lui dire.
-Tu as cours ?
-Oui.
-A la sorti, 18H00 heure, c’est ça ?
-Parfaitement.
-A demain, quant à toi jeune fille tu viens, nous partons !
Dans mon lit, j’ai un mal fou à attraper le sommeil, tant je suis excité. M’imaginant plein de chose de ma rencontre avec Maryse.
Alors que je sors du lycée je la vis près de sa voiture. Elle me fait des grands signes de la main pour que je la rejoigne. Elle porte une robe assez courte mais surtout moulante qui met en valeur ses fesses. Ses cheveux blonds sont nattés avec des nœuds rouges au bout de ses tresses. Elle a une façon de marcher en se dandinant qui lui fait remuer son derrière. Déjà le spectacle qu’elle me donne m’émoustille. Elle me propose alors de prendre place sur le siège passager pour une balade en voiture.
Je suis aux anges !
-Est-il nécessaire de préciser à quel point je me trompais ?
-C’est-à-dire ! fais-je.
-Je te croyais plus renfermer.
Elle m’emmène jusqu’à un sentier. Bien sûr désert, cela va de soit. Elle coupe le moteur, elle approche son visage tout près du mien. Je vois deux yeux noisette, pétillants de malice, éclairant un minois rieur, au petit nez entouré de quelques menues taches de rousseur. Ils accrochent les miens.
- Pas la peine de me faire croire que tu es timide, maintenant ! Tu aies du genre très virtuose !
Je ne trouve rien à redire à ce constat, d’autant qu’elle vient d’attraper mes mains et de les positionner sur ses hanches, après quoi elle s’attaque aux boutons de ma chemise. Je me la laisse m’entraîner avec plaisir, sur la pente savonneuse de la débauche. Elle me regarde plus intensément, ironique et provocante.
- Martine m’a tout avouer, ajoute-t-elle en achevant de déboutonner ma chemise.
-Ah oui ! Et je peux savoir quoi ? Fais-je en ne pouvant résister de poser mon regard sur son ventre.
-Je peux savoir ce que tu regardes là ? Lâche-t-elle, loin d’être mécontente.
-J’imagine ta culotte.
-Mais tu aies incorrigible ! Tu aimes les culottes de femmes ?
-Je les aime pas, je les adore, surtout quand elles sentent.
-T’aime le parfum de la femme, alors.
-Oui !
Là, elle fait descendre sa culotte aux chevilles. Elle se penche pour la ramasser puis me la tend.
-Je t’autorise à la renifler en ma présence.
Je plaque le tissu roulé en boule contre mes narines. Son parfum poivré se mêle à ses odeurs de femme, les unes salées, les autres plutôt âcres.
-Je l’ai portée toute la nuit, si tu veux savoir.
Je la respire bruyamment pour qu’elle sache bien que j’aime son odeur.
- Tu veux voir ma chatte ? Si tu veux savoir, je mouille comme une petite cochonne, là. Ça ne te fait pas bandé de savoir cela ?
Sans attendre ma réponse, elle retrousse alors sa jupe, pour m’exhiber son sexe. Maryse remarque mon hésitation et s’en amuse.
- Tu sais, il ne brûle pas, répond-elle. Et il aime bien quand on la touche.
Je suis en extase devant ce qu’elle me dévoile. Elle se rase, Maryse, gardant juste un triangle de poils de quelques centimètres. Ses lèvres de sexe, bien sorties, leur tracé déchiqueté, leur épaisseur. Un filet de mouille vient se perdre le long de son périnée. Sous mes yeux le clitoris se dégage de son capuchon et s’allonge. Ça me fascine, comme toujours devant un sexe de femme.
Contre mon gland gorgé de sang, le coton du slip fait un contact électrique. À la fois irritant et agréable.
-Tu attends quoi là ? S’impatiente-t-elle.
Je pose alors, ma main sur son genou chaud. Très lentement, très progressivement, ma main parcoure un ou deux centimètres de plus. Mes doigts se glissent très lentement, millimètre par millimètre vers le haut. Ma main sur sa cuisse bouge inlassablement. Jusqu’au moment où mon doigt atteint la toison. Puis soudain, je sens qu’elle ouvre ses jambes, et s’offre à ma main fureteuse.
- C’est bon de se faire caresser la foufoune !
- La quoi ?
- Eh bien la foufoune, la chatte, c’est comme ça que ça s’appelle aussi, tu ne le sais pas ?
Je l’entends respirer plus fort, se tendre. Sa poitrine se soulève. Sa respiration s’accélère. Bon sang, me dis-je, la coquine, elle en a envie de moi. je rêve ! Sans aucune mesure ma main prend possession de sa fourche et je caresse le sexe. Elle m’encourage de la masturber. Je peux me rendre compte de son excitation, sentant sa chatte humide, moite d’excitation. Je sens rouler sous mes doigts la boule de son clitoris. Excitée, elle écarte maintenant les cuisses et se donne à mon caprice. Avec deux doigts à plat, des mouvements circulaires et réguliers, je survole son clitoris, le caressant, l’excitant, Elle ferme les yeux, goûtant la montée de son désir. Puis, je lui enfonce un doigt entre ses lèvres, débusquant d’autres sensations, rencontrant son humidité croissante. Bref, je mets dans cette branlette toute ma science.
C’est alors que mon regard tombe sur les escarpins rouges. Le même qui m’a servi à me branler dans la salle de bains la veille. J’abandonne ma branlette pour me saisir de sa jambe. Je la déchausse sous ses yeux ébahi de surprise.
-Qu’est-c que tu fais ? S’inquiète-t-elle.
Sans prendre la peine de lui répondre, je parcoure de la langue le cou-de-pied. Que je trouve succulent.
Je tente de gober l’arrondie du talon. Je m’enhardi en soulevant son pied droit, pour pouvoir glisser ma langue sous la voûte plantaire. Me délectant des replis, comme je l’avais tant imaginé lors de mes caresses solitaires. Je couvre son pied de baiser. Je bande avec déraison. À en grogner. J’étais dans mon élément.
D’une bouche langoureuse, je fonds sur les orteils. Je les avale. M’attardant sur le plus gros, très salé. Le suçotant comme je l’aurais fait avec une queue. J’ai ma verge qui mouille au fond de mon slip. Les yeux révulsés, elle se tord en gémissant sans discontinuer. Elle s’ouvre à moi avec une sorte de rage. Je me nourrie de son plaisir. Je lui dévore littéralement le pied. Je me saoule de son pied. Je suis aux anges ! Ma langue ne cesse de lécher. Je m’enivre des parfums.
Subrepticement, ma main palpe la courbe voluptueuse d’un mollet. Caressant une rondeur ferme à la peau douce et chaude. Peu à peu ma main gravit sa jambe pour se poser sur son genou. Un frisson parfaitement visible coure sur sa peau.
Elle aime ça ! Songe-je. J’en éprouve une violente poussée d’adrénaline à lui en donner encore plus.
Doucement, de nouveau, j’enfonce mon index dans son sexe emplit de mouille. Je commence à la branler, alors qu’elle roule des hanches. Respirant fort, le bas de son corps vient maintenant à la rencontre du doigt branleur. D’ailleurs je ne bouge plus. Même pas la main. C’est Maryse qui s’empale d’elle-même, par saccades, sur le doigt comme si c’était une queue. Un spectacle qui me fascine au plus haut point. Son regard intense accroche le mien, me suppliant de lui en donner encore.
Je tremble d’excitation. Une sensation de chaleur remonte le long de ma main. Je me rends compte que j’ai joui dans mon slip. Elle avance ses fesses au bord de son siège. Elle attrape la main et elle l’amène sur sa croupe. J’interprète ce qu’elle attend de moi. Je me mets à cajoler son sexe de ma main droite, de l’autre son cul autant que je le peux. Je capte à ses plaintes que je suis sur la bonne voie. J’active alors ma manipulation jusqu’à lui faire concéder un orgasme.
Pas sans mal, me faufilant, j’approche ma bouche de son sexe. Elle gémit en sentant mon souffle chaud. J’accède à son dôme rebondi. En dessous le puits d’amour ruissèle de jus exquis. J’exhale d’ensorcelantes senteurs. Gonflée et juteuse, sa vulve est plus qu’une grosse boule de chair brûlante. La fièvre s’empare d’elle. Je colle ma bouche à cette source détrempée qui suinte encore et encore et d’une langue habile je taquine le bouton alors qu’elle se tord et geigne, un sursaut plus vif la tend tandis qu’elle s’écrie.
-Je jouis… Oh oui je jouis ! Tu me fais jouir !
Elle crie longuement, le corps incroyablement arqué, se tord sous les flammes de ma langue.
-Vite ! Me fit-elle, sans prendre la peine de cuver son orgasme. Tu bandes au moins ? Ajoute-t-elle.
- Oui ! Répondis-je.
-Désape-toi ! Fit-elle en souriant avec une petite lueur de triomphe que je lis dans ses yeux. Des yeux qui s’attardent sur mon érection souillé de ma jouissance.
Puis sans crier gare, elle se place sur mes jambes. Me chevauchant les cuisses écartées. Le bas de sa robe remontée sur son ventre. À l’aide de sa main droite elle cale ma queue poisseuse contre ses lèvres intimes. Puis elle commence à se balancer d’avant en arrière pour mon plus grand plaisir. Frottant son sexe contre ma verge.
Poussant un miaulement énervé puis des petits cris d’impatience. Accélérant la chevauchée sur ma queue. Le souffle coupé, elle se laisse aller contre moi. Son ventre tressaute sous la violence des vagues de jouissance qui déferlent en elle. Je ne mets pas longtemps à suivre le même chemin. Il lui faut un certain moment pour reprendre sa respiration. Suite à tout ça elle remet de l’ordre sur elle, avant de prendre la route du retour.
Bien entendu notre histoire ne c’est pas arrêter là. C’est qu’elle en voulait la cochonne. Une grosse consommatrice de jouissance. Et chaque fois le même scénario exigé de sa part.
Je commence à masser ses pieds, puis les lèche avant de lui retirer sa petite culotte. Je laisse mon regard s’enfoncer entre les poils. Cela bâille comme une huître. Mon cœur s’emballe. Je prends plaisir du tableau qu’elle m’offre. Après lui avoir brouté le minou, et deux orgasmes plus tard, elle me fait m’installer au plus vite sur le siège de sa voiture et elle se branle le vagin transpirant de mouille avec ma queue. Sa façon bien à elle de jouir avec une queue dans la chatte.
Après ça, elle se rajuste avant de mettre le contact de la voiture, et reprendre la route, sa faim sexuelle rassasier jusqu’à la prochaine fois.

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