Avec Hélène sans nos époux
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Avec Hélène sans nos époux
Depuis mon mariage avec un officier, j’ai été ballottée de garnison en garnison. Maintenant qu’il est colonel, malgré son âge, à peine 35 ans, affecté dans un service « spécial ». Il est souvent absent à l’étranger pour son job. Il sait quand il part et ne sait jamais quand il revient: il ne m’envoie jamais de cartes postales. J’ai de temps en temps des nouvelles par l’intermédiaire de la femme d’un autre officier. Nous nous fréquentons beaucoup avec Hélène, au point de devenir inséparables. Nos époux respectifs sont contents de nous voir sympathiser.
Nous allons au cinéma ensemble, faire des courses, déjeuner au restaurant ou simplement bavarder chez l’une ou l’autre. Il nous arrive souvent de parler des étreintes que nous avons avec nos maris. Elle, comme moi est assez portée sur la baise.
Ce qui devait arriver arrivât.
Nous étions chez moi, regardant la télé, un soir quand je ne sais comment j’ai fait mon compte je suis tombée sur une chaîne porno. J’allais changer, pour ne pas la déranger:
- Non, laisse ça, j’aime bien regarder ce genre de film sans scénario sinon que des gens doivent se faire l’amour.
- J’aime aussi le faire quand je suis seule: je peux me caresser.
- C’est-ce que je fais aussi, il faut dire que la bite de mon mari me manque.
- Moi aussi, il m’a payé un godemichet parfait pour que je me baise.
- C’est pareil pour moi.
- Tu t’en sert souvent ?
- Ca dépend des fois, en tout cas plusieurs fois par semaine;
- Comme moi? Tu veux que je te le montre ?
- Pourquoi pas !!!!
Je vais chercher dans ma table de nuit, le substitut de bite pour le lui montrer.
Quand je revient elle regarde toujours le film où des femmes se font l’amour. Elle a une main sous la robe, la main s’agite. Je suppose qu’elle se branle. Malgré mon arrivée elle continue, cette fois en fermant le yeux: elle se donne pas mal de plaisir puisque je la vois mettre sa tête en arrière en poussant un grand soupir.
Quand elle est remise, elle ne s’excuse même pas:
- Je viens de me branler, j’ai joui.
- Je sais je t’ai vu.
- Tu ne m’en veux pas ?
- Si un peu, je ne me suis rien fait et j’ai envie maintenant de jouir aussi.
- Donne moi le gode je vais te le mettre.
Cette proposition aucune femme ne me l’a jamais faite. Je mouille beaucoup. J’hésite à peine pour lui dire oui.
J’enlève mon tout petit slip, lève ma jupe jusqu’à la ceinture. Elle me demande de m’assoir à ses coté pour qu’elle puisse me baiser. Elle passe ses mains entre mes cuisses que j’écarte comme si c’était mon, mari qui le faisait.
- Je fais avec toi comme pour moi.
- C’est agréable, continue.
Elle continue lentement à monter en haut, vers mon sexe qui attend avec impatience. Je sens le gode qui s’approche de mon vagin, enfin elle le pose dessus, juste à l’entrée. Elle le fait tourner avant de le faire entrer lentement. Elle ne fait pas comme moi, quand je m’en sers, il entre très vite pour s’arrêter au fond un instant avant de remonter.
Elle l’enfonce enfin jusqu’au fond, contre le col de la matrice. Les vas et vient commencent: elle sait bien me branler. Je ferme les yeux en imaginant le tableau que nous faisons: une femme qui donne du plaisir à une autre. Je me laisse aller vers l’orgasme qui arrive. Juste un peu avant je sens les lèvres d’Hélène se poser sur ma bouche. Malgré moi j’ouvre ma bouche où elle entre. Nous échangeons un baiser d’amant. Je prend sa tête pour qu’elle reste sur mes lèvres. Je suis attirée par sa poitrine que je caresse par dessus sa robe. Je jouis, elle n’arrête pas la baise. Elle fait comme mon militaire de mari. Elle me fait jouir encore. Je me lève pour me déshabiller. Je préfère être nue pour la suite qui va arriver j’en suis sure. Cette fois c’est ma bouche qui va se poser sur la sienne: à jouer un jeu, jouons le jusqu’au bout. Quand elle se lève, elle se met en tenue d’Eve.
Je m’aperçois que nous sommes bien fichues l’une et l’autre. Quand nous marchons ensemble dans la rue, les hommes se retournent souvent derrière nous.
Nous ne savons plus que faire sinon faire jouir l’autre. Je me colle à Hélène, ses seins contre les miens, nos bas ventres bien serrés. Elle passe une jambe entre les miennes: je frotte ma vulve contre. Je ne peux que lui caresser les fesses et chercher à savoir si elle aime ou non se faire caresser l’anus. Je trouve une douceur que je ne soupçonnais pas sur ses fesses. Je les caresse par plaisir. Je passe un doigt entre ses globes: je le descend le plus possible. J’arrive à son petit trou. Je le touche à peine: il me semble bien petit pour le caresser complètement. Pourtant elle n’enlève pas sa bouche de la mienne. C’est une acceptation. Je caresse sans appuyer l’anus qu’elle commence à ouvrir un peu. Je ne rentre qu’un seule phalange. Elle se laisse faire, comme moi quand elle me baisait.
C’est elle qui demande:
- Nous pourrions nous coucher, ce serait plus confortable que debout. Non ?
- Si tu veux.
- J’ai envie de toi.
- Moi aussi.
- Tu as déjà baisé une femme ?
- Tu sera ma première.
- Comme moi, en somme nous nous dépucelons.
C’est vrai qu’une fois couchées, nous ne nous quittons pas de plus de deux millimètres. Notre première fois risque de devenir habituelle. Et alors, quand nos époux ne sont pas là, rien ne nous empêche de jouir. S’ils ne le voulaient pas il ne nous auraient pas acheté les godes.
Nous nous caressons encore mieux qu’eux. Hélène prend l’initiative de me peloter à la façon: Elle passe une main sous un sein, la remonte juste sur le téton et y passe un doigt comme si elle me caressait le clitoris. C’est nouveau pour moi, c’est surtout agréable. Nous nous tournons pour pouvoir caresser les poitrines. Nous prenons un plaisir fou à être caressées par des mains de femmes et de caresser une autre poitrine. Ma bouche se pose sur un de ses tétons. Je le lèche avant tout avant de le sucer, avec ma langue toujours sur lui. Nous échangeons nos impressions. C’est fort bon de nous aimer ainsi. Il n’empêche que nous avons besoin d’avoir un orgasme normal. Je me laisse couler pour avoir ma bouche à hauteur de sa chatte. Je n’ai pas à forcer pour mettre ma tête entre ses jambes. Tout à l’heure elle n’avait pas l’air de repousser mon doigt. Je pose ma langue sur l’anus. Je le lèche à peine: elle arrive à ouvrir un peu l’entrée de son cul. Je n’hésite plus: je force ma langue pour la faire entrer dans cette intimité particulière. Je la doigte à la fois.
- Oui, continue comme ça, c’est bon, j’aime bien me faire enculer;
- Tu veux que j’y mette le gode ?
- Oui, s’il te plait.
Je prends l’engin et le pose sur son entrée. Je le lui ai mis une minute à peine dans la chatte pour le mouiller. Je le pose sur l’anus: je n’ai pas le temps de le faire entrer, d’elle-même elle donne un coup de rein et se trouve avec le gode à fond dans son ventre. Je commence les aller et venue, accompagnés par ses propres mouvements. Elle gémit et prononce des mots sans suite, sauf les derniers:
- Je……..je……vais………jouiiiiiiiiiiiiiir
Enfin elle s’occupe de mon sexe: elle me lèche tout d’abord le clitoris que j’ai sensible. Elle me doigte à la fois avec trois doigts dans mon vagin. Elle veut maintenant me la mettre au cul. Je me met en levrette, me mouille bien le cul, elle y rajoute de sa cyprine. Elle me la met sans précautions préalable puisque je lui ai dit que j’aimais me faire mettre par derrière. Je ne sais où elle a copié les façons de faire de mon mari, en tout cas, je ressens les mêmes plaisirs. Je serre même les fesses pour qu’elle reste encore en moi, même si j’ai joui. Elle est sous moi pour me sucer: je le lui rend pendent qu’elle me la met. Nous jouissons ensemble: c’est excitant de savoir que l’orgasme vient de moi. C’est bon nos 69.
Nous nous voyons tous les jours, pas forcément pour nous faire l’amour. En tout cas nous aimons bien nous baiser en l’absence de nos maris à qui nous ne dirons rien pour éviter des partouzes. Quand mon mari entre j’ai enfin la joie de recevoir une vrai bite dans ma chatte ou mon cul et même déguster son sperme.
Nous allons au cinéma ensemble, faire des courses, déjeuner au restaurant ou simplement bavarder chez l’une ou l’autre. Il nous arrive souvent de parler des étreintes que nous avons avec nos maris. Elle, comme moi est assez portée sur la baise.
Ce qui devait arriver arrivât.
Nous étions chez moi, regardant la télé, un soir quand je ne sais comment j’ai fait mon compte je suis tombée sur une chaîne porno. J’allais changer, pour ne pas la déranger:
- Non, laisse ça, j’aime bien regarder ce genre de film sans scénario sinon que des gens doivent se faire l’amour.
- J’aime aussi le faire quand je suis seule: je peux me caresser.
- C’est-ce que je fais aussi, il faut dire que la bite de mon mari me manque.
- Moi aussi, il m’a payé un godemichet parfait pour que je me baise.
- C’est pareil pour moi.
- Tu t’en sert souvent ?
- Ca dépend des fois, en tout cas plusieurs fois par semaine;
- Comme moi? Tu veux que je te le montre ?
- Pourquoi pas !!!!
Je vais chercher dans ma table de nuit, le substitut de bite pour le lui montrer.
Quand je revient elle regarde toujours le film où des femmes se font l’amour. Elle a une main sous la robe, la main s’agite. Je suppose qu’elle se branle. Malgré mon arrivée elle continue, cette fois en fermant le yeux: elle se donne pas mal de plaisir puisque je la vois mettre sa tête en arrière en poussant un grand soupir.
Quand elle est remise, elle ne s’excuse même pas:
- Je viens de me branler, j’ai joui.
- Je sais je t’ai vu.
- Tu ne m’en veux pas ?
- Si un peu, je ne me suis rien fait et j’ai envie maintenant de jouir aussi.
- Donne moi le gode je vais te le mettre.
Cette proposition aucune femme ne me l’a jamais faite. Je mouille beaucoup. J’hésite à peine pour lui dire oui.
J’enlève mon tout petit slip, lève ma jupe jusqu’à la ceinture. Elle me demande de m’assoir à ses coté pour qu’elle puisse me baiser. Elle passe ses mains entre mes cuisses que j’écarte comme si c’était mon, mari qui le faisait.
- Je fais avec toi comme pour moi.
- C’est agréable, continue.
Elle continue lentement à monter en haut, vers mon sexe qui attend avec impatience. Je sens le gode qui s’approche de mon vagin, enfin elle le pose dessus, juste à l’entrée. Elle le fait tourner avant de le faire entrer lentement. Elle ne fait pas comme moi, quand je m’en sers, il entre très vite pour s’arrêter au fond un instant avant de remonter.
Elle l’enfonce enfin jusqu’au fond, contre le col de la matrice. Les vas et vient commencent: elle sait bien me branler. Je ferme les yeux en imaginant le tableau que nous faisons: une femme qui donne du plaisir à une autre. Je me laisse aller vers l’orgasme qui arrive. Juste un peu avant je sens les lèvres d’Hélène se poser sur ma bouche. Malgré moi j’ouvre ma bouche où elle entre. Nous échangeons un baiser d’amant. Je prend sa tête pour qu’elle reste sur mes lèvres. Je suis attirée par sa poitrine que je caresse par dessus sa robe. Je jouis, elle n’arrête pas la baise. Elle fait comme mon militaire de mari. Elle me fait jouir encore. Je me lève pour me déshabiller. Je préfère être nue pour la suite qui va arriver j’en suis sure. Cette fois c’est ma bouche qui va se poser sur la sienne: à jouer un jeu, jouons le jusqu’au bout. Quand elle se lève, elle se met en tenue d’Eve.
Je m’aperçois que nous sommes bien fichues l’une et l’autre. Quand nous marchons ensemble dans la rue, les hommes se retournent souvent derrière nous.
Nous ne savons plus que faire sinon faire jouir l’autre. Je me colle à Hélène, ses seins contre les miens, nos bas ventres bien serrés. Elle passe une jambe entre les miennes: je frotte ma vulve contre. Je ne peux que lui caresser les fesses et chercher à savoir si elle aime ou non se faire caresser l’anus. Je trouve une douceur que je ne soupçonnais pas sur ses fesses. Je les caresse par plaisir. Je passe un doigt entre ses globes: je le descend le plus possible. J’arrive à son petit trou. Je le touche à peine: il me semble bien petit pour le caresser complètement. Pourtant elle n’enlève pas sa bouche de la mienne. C’est une acceptation. Je caresse sans appuyer l’anus qu’elle commence à ouvrir un peu. Je ne rentre qu’un seule phalange. Elle se laisse faire, comme moi quand elle me baisait.
C’est elle qui demande:
- Nous pourrions nous coucher, ce serait plus confortable que debout. Non ?
- Si tu veux.
- J’ai envie de toi.
- Moi aussi.
- Tu as déjà baisé une femme ?
- Tu sera ma première.
- Comme moi, en somme nous nous dépucelons.
C’est vrai qu’une fois couchées, nous ne nous quittons pas de plus de deux millimètres. Notre première fois risque de devenir habituelle. Et alors, quand nos époux ne sont pas là, rien ne nous empêche de jouir. S’ils ne le voulaient pas il ne nous auraient pas acheté les godes.
Nous nous caressons encore mieux qu’eux. Hélène prend l’initiative de me peloter à la façon: Elle passe une main sous un sein, la remonte juste sur le téton et y passe un doigt comme si elle me caressait le clitoris. C’est nouveau pour moi, c’est surtout agréable. Nous nous tournons pour pouvoir caresser les poitrines. Nous prenons un plaisir fou à être caressées par des mains de femmes et de caresser une autre poitrine. Ma bouche se pose sur un de ses tétons. Je le lèche avant tout avant de le sucer, avec ma langue toujours sur lui. Nous échangeons nos impressions. C’est fort bon de nous aimer ainsi. Il n’empêche que nous avons besoin d’avoir un orgasme normal. Je me laisse couler pour avoir ma bouche à hauteur de sa chatte. Je n’ai pas à forcer pour mettre ma tête entre ses jambes. Tout à l’heure elle n’avait pas l’air de repousser mon doigt. Je pose ma langue sur l’anus. Je le lèche à peine: elle arrive à ouvrir un peu l’entrée de son cul. Je n’hésite plus: je force ma langue pour la faire entrer dans cette intimité particulière. Je la doigte à la fois.
- Oui, continue comme ça, c’est bon, j’aime bien me faire enculer;
- Tu veux que j’y mette le gode ?
- Oui, s’il te plait.
Je prends l’engin et le pose sur son entrée. Je le lui ai mis une minute à peine dans la chatte pour le mouiller. Je le pose sur l’anus: je n’ai pas le temps de le faire entrer, d’elle-même elle donne un coup de rein et se trouve avec le gode à fond dans son ventre. Je commence les aller et venue, accompagnés par ses propres mouvements. Elle gémit et prononce des mots sans suite, sauf les derniers:
- Je……..je……vais………jouiiiiiiiiiiiiiir
Enfin elle s’occupe de mon sexe: elle me lèche tout d’abord le clitoris que j’ai sensible. Elle me doigte à la fois avec trois doigts dans mon vagin. Elle veut maintenant me la mettre au cul. Je me met en levrette, me mouille bien le cul, elle y rajoute de sa cyprine. Elle me la met sans précautions préalable puisque je lui ai dit que j’aimais me faire mettre par derrière. Je ne sais où elle a copié les façons de faire de mon mari, en tout cas, je ressens les mêmes plaisirs. Je serre même les fesses pour qu’elle reste encore en moi, même si j’ai joui. Elle est sous moi pour me sucer: je le lui rend pendent qu’elle me la met. Nous jouissons ensemble: c’est excitant de savoir que l’orgasme vient de moi. C’est bon nos 69.
Nous nous voyons tous les jours, pas forcément pour nous faire l’amour. En tout cas nous aimons bien nous baiser en l’absence de nos maris à qui nous ne dirons rien pour éviter des partouzes. Quand mon mari entre j’ai enfin la joie de recevoir une vrai bite dans ma chatte ou mon cul et même déguster son sperme.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je suis comme la première à avoir écrit un commentaire. Pourquoi ma fontaine à cyprine a-t-elle un tel débit quand je me plonge dans un récit d'Huguette34.
trés bien
J'adore
Bravo les filles
Bravo les filles
sympa
Histoire bien contée. La lectrice qui a mis un avis a raison.... qu'il doit etre
agréable de discuter avec elle...
Excellente année 2011.
agréable de discuter avec elle...
Excellente année 2011.
pourquoi dois je me caresser à chaque fois que je lis vos récits,au point de mouiller comme jamais et de jouir de bonheur... Pourtant je ne manque pas de sexe mais c'est tellement bon... j'aimerai bien etre l'une d'elles...