Avec l'une d'elles (épisode 1)
Récit érotique écrit par Lucx [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2003 dans la catégorie Plus on est
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Avec l'une d'elles (épisode 1)
Une amie rencontrée sur le Web a pris l’habitude de me confier certains petits secrets de son intimité : ses sorties en boîte, ses flirts, ses petits amis... Ses petitEs amiEs, également... Justement, Cécile se trouvait en vacances sur la côte méditerranéenne, avec ses copines. Quatre filles dans un tout petit appartement : Cécile, Justine, Lise et Elodie.
"On a chacune une chambre, mais il arrive que nous dormions les unes avec les autres", m'avait-elle dit...
Vous vous en doutez, ce dernier point ne manqua pas de m'intriguer. Cécile était décidément bien plus coquine que ce que j'avais cru de prime abord. Lors du courrier suivant, je l’interrogeais à ce propos, lui demandant jusqu'où elles étaient allées ensemble. Elle me répondit brièvement, d'une phrase qui est restée gravée dans ma mémoire :
"Avec l'une d'elle, nous sommes allées assez loin."
Avec l'UNE d'elles, NOUS sommes allées assez loin... "une"... "nous"... Qu'est-ce que ça pourrait bien vouloir dire ? Hélas, Cécile a un petit défaut : elle adore me faire mariner dans mon jus sans donner tous les détails que mon imagination réclame. J'en suis donc réduit, généralement, à l'interroger sans cesse ou à essayer de deviner de quoi il retourne. Pris par le jeu, je décidais alors de lui montrer de quelle façon ses mystères étaient traduits par mon cerveau torturé. Et ceci, à travers un petit récit érotique... Avec l'UNE d'elles, NOUS sommes allées assez loin... Le soleil d'été filtre par les persiennes de l'appartement, jouant avec les volumes de la chambre, agressant les yeux des dormeuses qui se tournent en grommelant. La poussière devient alors visible à travers les rayons lumineux. Elle emplit la lueur de ses grains légers en la rendant presque palpable : minuscules papillons malmenés par le moindre courant d'air, disparaissant à la lisière des lasers jaunes... Soudain, les particules s'agitent violemment, donnant l'impression fugitive que les rayons se courbent et se tordent : la porte vient de s'ouvrir.
- Justine ? Elodie ? Vous venez déjeuner ?
Un grognement approbateur parvient aux oreilles de Cécile. Un seul. Celui de Justine. La grande brune s'étire voluptueusement, entraînant le drap vert autour de ses formes rondes, libérant un pied, un genou, une demi-cuisse... Son bras monte vers les rayons lumineux, les traverse un instant... Le rond jaune qui se forme sur la peau de la jeune fille, éblouit Cécile qui cligne des yeux, cherche à l'éviter... Son regard tombe alors sur le corps de l'autre demoiselle : qu'est-ce que son tee-shirt est court, tout de même ! Un souvenir d'enfance, il paraît... C'est son pyjama depuis une éternité ! Et Elodie le retrouve toujours avec soulagement : un véritable doudou condamné à retourner dans le lit dès sa sortie de la machine à laver. Un doudou qui se porte, pourtant... qui caresse depuis des années, la peau de cette petite fille, devenue femme. Il en a d'ailleurs connu toutes les transformations : il a souffert lors de ses premières règles, a accompagné les premiers soupirs intimes, y a même participé, s'est finalement éclipsé (oh ! pas bien longtemps) lorsqu'une main d'homme a voulu s'emparer de ce corps si désirable, a servi de rempart aussi, tout minuscule qu'il soit, contre ces mains devenues trop présentes... Mais qu'est-ce qu'il est court ! Il a dû rétrécir, en plus... Il y a longtemps qu'il ne couvre plus les fesses d'Elodie et ses fines bretelles laissent échapper un sein, parfois... comme en ce moment. Justine se lève enfin et entoure le drap autour de sa poitrine généreuse, pour cacher sa nudité. Elle, c'est plutôt du genre à avoir abandonné tout pyjama ou chemise de nuit depuis ses premiers émois à deux. Mais ce n'est pas seulement un réflexe de pudeur qui la pousse à tirer le drap vers elle, c'est aussi une habitude qu'elle a prise pour aider sa voisine de lit à sortir du sommeil en la privant d'une source de chaleur bien agréable... Elodie a toujours eu du mal à s'éveiller ! C'est même devenu une réputation tenace dans le petit groupe des quatre filles : elles affirment volontiers que si les nains de Blanche Neige avaient été des petites bonne femmes, Elodie auraient facilement pu jouer le rôle de "Dormeuse" ! Ou une réincarnation de "La Belle au Bois Dormant"... Tout y passe ! Debout près de son lit, drapée dans sa dignité telle une matrone romaine, Justine baille et s'étire encore longuement avant de se décider à rejoindre Cécile. Mais celle-ci n'a pas bougé : elle contemple la dormeuse... Justine tourne alors la tête vers Elodie et sourit d'un air attendri, légèrement désabusé. Elle s'apprête à ouvrir la bouche pour interpeller sa compagne de lit quand Cécile l'arrête d'un geste. "Chut" fait le doigt de la petite brune, avant de s'approcher à petits pas, de la belle endormie. Que va-t-elle faire, aujourd'hui ? Hurler dans ses oreilles ? La chatouiller jusqu'à ce que mort s'ensuive ? La faire tomber du lit ? En elle-même, Justine se lance un pari... A tout hasard, elle se rassied sur le lit pour participer aux réjouissances, le regard fixé sur les gestes de Cécile. Mais Cécile est d'humeur câline, aujourd'hui : elle se contente de caresser les cheveux d'Elodie, d'un geste tendre et prévenant. Le calme avant la tempête ? Justine a du mal à croire à un réveil en douceur. Cécile l'a habituée à des réactions plus énergiques ! Pourtant, la petite brune reste fidèle à son idée de départ : câliner tendrement son amie jusqu'à ce qu'elle se réveille de bonne humeur, cette fois-ci. Histoire de changer ! Bien que surprise, Justine approuve et, imitant le geste de son amie, elle commence à lisser les longues boucles blondes d'Elodie. Du dos de la main, Cécile caresse la joue de la jeune fille, descend le long du cou, près de l'oreille, et remonte sur l'épaule... La bouche légèrement entrouverte, Elodie dort toujours. Il faut dire que la veille, elle a discuté jusqu'à quatre heures du matin, avec Justine ! Elle était venue la rejoindre dans son lit pour lui poser une question à propos de son mec du moment et, de fil en aiguille, elles en étaient venues à se raconter leur enfance. Justine avait ainsi pu comprendre les raisons de l'hyper-sensibilité de son amie, la nécessité de conserver un doudou, tout ça... Tout en caressant le bras d'Elodie dans toute sa longueur, son amie se demande combien de temps il lui faudra pour s'éveiller et ce qu'elle pensera de leur idée du jour.
- Et alors, Cécile ? Le café est prêt ! Vous...
Lise vient d'apparaître à la porte et s'arrête, interdite. Le tableau que forment les trois jeunes filles est pour le moins surprenant ! Après tout, à sa connaissance, aucune d'elle n'a de préférence sexuelle pour les filles... Que fabriquent-elles donc ? D'un geste, Cécile fait taire la quatrième fille et l'invite à les rejoindre autour du lit. Mi-amusée, mi-embarrassée, celle-ci obéit néanmoins et se place à coté de Cécile, près du pied du lit. Imitant ses consoeurs, elle commence doucement à caresser l'extérieur des jambes d'Elodie. Bientôt, quittant le bras qu'elle a parcouru jusqu'au bout des doigts, Justine fait de même et s'engage sur les cuisses. Cécile, de son coté, parcours le bord du tee-shirt, le long des bretelles... Soudain, Elodie se met à bouger ! Elle plonge ses poings dans le creux de ses jambes, puis lisse ses poils pubiens en remontant les doigts vers le nombril. D'abord recroquevillée, puis cambrée, elle laisse échapper en même temps un gémissement langoureux qui se prolonge un moment puis s'évanouit dans un souffle. Elle est à présent complètement offerte, sur le dos, une main jouxtant son triangle intime... Surprises, les trois filles ont relevé leurs mains en même temps. Elles sont encore dans cette position quand Elodie s'immobilise à nouveau. "Woaw !" semble faire la bouche de Lise... Cécile et Justine, elles, se regardent en pouffant silencieusement. Le coeur battant, elles attendent quelques instants, puis, comme Elodie ne semble décidément pas s'éveiller, elles reprennent leur petit manège... Pourtant, les choses ont changé depuis tout à l'heure : les caresses deviennent plus coquines, les intentions plus directes... Lise caresse à présent l'intérieur des jambes d'Elodie et les deux autres filles s'en prennent à sa poitrine... Le pourtour, tout d'abord, ce qui permet à Justine de dévoiler totalement le second sein, les deux bretelles étant descendues jusqu'au coude... Puis elles s'approchent progressivement des mamelons. Lise a frôlé délicatement le duvet de la belle endormie au moment de passer à la deuxième entrejambe... Toujours aucune réaction. Elle tente alors de tirailler ponctuellement les poils du triangle blond, se retenant pour ne pas plonger l'autre main dans le sien. Puis elle prend une pincée entière de poils et les lisse vers le haut, en tirant la tendre peau vers le nombril... Les trois filles retiennent leur souffle sans s'en apercevoir. Elles observent attentivement le visage de leur amie, tout en maintenant leurs caresses intimes : Elodie tourne un peu la tête mais ne se réveille toujours pas. Cécile a enfin atteint le mamelon dressé et le pince délicatement tout en tournant autour... Se rappelant des sensations qu'elle aime avoir, elle décide de compléter sa caresse mammaire par un appui plus intime : Lise, là en bas, est décidément trop sage ! Sans lâcher le mamelon, Cécile avance alors son autre main vers le Mont de Vénus d'Elodie et glisse doucement vers le fond de la petite vallée. Lise l'a laissée passer mais elle n'arrive visiblement pas à croire qu'Elodie dorme encore ! Celle-ci n'est pourtant plus totalement immobile : elle cambre légèrement les fesses à la recherche d'un contact plus profond et gémit doucement, d'une voix un peu roque. Instinctivement, les caresses des trois filles s'allongent, se précisent, s'encanaillent. Chacune ressent en elle-même les sensations qu'elle cherche à faire naître. Chacune participe en son fort intérieur à la venue du plaisir, et bien qu'aucune d'elle n'ait posé la main sur son propre corps, elles entrent dans une sorte de transe commune. Les doigts de Cécile étalent le nectar d'Elodie le long des petites lèvres, elle tournoie rapidement au-dessus du clitoris si sensible, entre à nouveau dans la vallée humide puis entame des va-et-vient de part et d'autre du petit bouton, de plus en plus vite, de plus en plus fort... Là, Elodie réagit plus vivement aux caresses. La jeune fille se tord brusquement, par saccades régulières. La bouche grande ouverte, elle halète, tout en avançant son sexe vers les doigts de Cécile. Elle se cabre enfin, et étouffe un cri en tentant de calmer avec la main la douce douleur qui secoue son bas-ventre... C'est alors qu'elle butte contre quelque chose au niveau de son sexe ! Surprise, Elodie ouvre les yeux et découvre Lise qui a ramené ses mains contre sa poitrine.
- Mais qu'est-ce que tu... qu'est-ce que vous faites là !
Un grand éclat de rire répond à sa question. Elodie, rouge de honte, se recroqueville alors comme un escargot et rougit comme une écrevisse. Ses trois amies étaient là, autour d'elle, au moment où elle venait de se payer un orgasme nocturne des plus violents ! Ce n'est pas la première fois qu'une telle chose lui arrive, mais jamais en public ! Et ce n'est qu'une seconde plus tard qu'elle comprendra l'horrible vérité : ce sont ses trois copines qui ont tout fait pour qu'une telle chose lui arrive à son réveil. Quelle honte ! Elle leur fera d'ailleurs la gueule pendant au moins... deux jours ! Après tout, qui peut se targuer d'avoir des amies aussi prévenantes ?
"Avec l'UNE d'elles, NOUS sommes allées assez loin..." Oui. Ce récit semble correspondre assez bien à la phrase mystérieuse de ma correspondante. Que va t-elle me répondre ? Au courrier suivant, je n'ai pas eu le fin mot de l'histoire, non, mais Cécile me fit comprendre que j'étais dans l'erreur en me donnant un nouvel indice. Indice qui me permit de proposer une seconde histoire... La suite au prochain épisode, donc ! ;-)
"On a chacune une chambre, mais il arrive que nous dormions les unes avec les autres", m'avait-elle dit...
Vous vous en doutez, ce dernier point ne manqua pas de m'intriguer. Cécile était décidément bien plus coquine que ce que j'avais cru de prime abord. Lors du courrier suivant, je l’interrogeais à ce propos, lui demandant jusqu'où elles étaient allées ensemble. Elle me répondit brièvement, d'une phrase qui est restée gravée dans ma mémoire :
"Avec l'une d'elle, nous sommes allées assez loin."
Avec l'UNE d'elles, NOUS sommes allées assez loin... "une"... "nous"... Qu'est-ce que ça pourrait bien vouloir dire ? Hélas, Cécile a un petit défaut : elle adore me faire mariner dans mon jus sans donner tous les détails que mon imagination réclame. J'en suis donc réduit, généralement, à l'interroger sans cesse ou à essayer de deviner de quoi il retourne. Pris par le jeu, je décidais alors de lui montrer de quelle façon ses mystères étaient traduits par mon cerveau torturé. Et ceci, à travers un petit récit érotique... Avec l'UNE d'elles, NOUS sommes allées assez loin... Le soleil d'été filtre par les persiennes de l'appartement, jouant avec les volumes de la chambre, agressant les yeux des dormeuses qui se tournent en grommelant. La poussière devient alors visible à travers les rayons lumineux. Elle emplit la lueur de ses grains légers en la rendant presque palpable : minuscules papillons malmenés par le moindre courant d'air, disparaissant à la lisière des lasers jaunes... Soudain, les particules s'agitent violemment, donnant l'impression fugitive que les rayons se courbent et se tordent : la porte vient de s'ouvrir.
- Justine ? Elodie ? Vous venez déjeuner ?
Un grognement approbateur parvient aux oreilles de Cécile. Un seul. Celui de Justine. La grande brune s'étire voluptueusement, entraînant le drap vert autour de ses formes rondes, libérant un pied, un genou, une demi-cuisse... Son bras monte vers les rayons lumineux, les traverse un instant... Le rond jaune qui se forme sur la peau de la jeune fille, éblouit Cécile qui cligne des yeux, cherche à l'éviter... Son regard tombe alors sur le corps de l'autre demoiselle : qu'est-ce que son tee-shirt est court, tout de même ! Un souvenir d'enfance, il paraît... C'est son pyjama depuis une éternité ! Et Elodie le retrouve toujours avec soulagement : un véritable doudou condamné à retourner dans le lit dès sa sortie de la machine à laver. Un doudou qui se porte, pourtant... qui caresse depuis des années, la peau de cette petite fille, devenue femme. Il en a d'ailleurs connu toutes les transformations : il a souffert lors de ses premières règles, a accompagné les premiers soupirs intimes, y a même participé, s'est finalement éclipsé (oh ! pas bien longtemps) lorsqu'une main d'homme a voulu s'emparer de ce corps si désirable, a servi de rempart aussi, tout minuscule qu'il soit, contre ces mains devenues trop présentes... Mais qu'est-ce qu'il est court ! Il a dû rétrécir, en plus... Il y a longtemps qu'il ne couvre plus les fesses d'Elodie et ses fines bretelles laissent échapper un sein, parfois... comme en ce moment. Justine se lève enfin et entoure le drap autour de sa poitrine généreuse, pour cacher sa nudité. Elle, c'est plutôt du genre à avoir abandonné tout pyjama ou chemise de nuit depuis ses premiers émois à deux. Mais ce n'est pas seulement un réflexe de pudeur qui la pousse à tirer le drap vers elle, c'est aussi une habitude qu'elle a prise pour aider sa voisine de lit à sortir du sommeil en la privant d'une source de chaleur bien agréable... Elodie a toujours eu du mal à s'éveiller ! C'est même devenu une réputation tenace dans le petit groupe des quatre filles : elles affirment volontiers que si les nains de Blanche Neige avaient été des petites bonne femmes, Elodie auraient facilement pu jouer le rôle de "Dormeuse" ! Ou une réincarnation de "La Belle au Bois Dormant"... Tout y passe ! Debout près de son lit, drapée dans sa dignité telle une matrone romaine, Justine baille et s'étire encore longuement avant de se décider à rejoindre Cécile. Mais celle-ci n'a pas bougé : elle contemple la dormeuse... Justine tourne alors la tête vers Elodie et sourit d'un air attendri, légèrement désabusé. Elle s'apprête à ouvrir la bouche pour interpeller sa compagne de lit quand Cécile l'arrête d'un geste. "Chut" fait le doigt de la petite brune, avant de s'approcher à petits pas, de la belle endormie. Que va-t-elle faire, aujourd'hui ? Hurler dans ses oreilles ? La chatouiller jusqu'à ce que mort s'ensuive ? La faire tomber du lit ? En elle-même, Justine se lance un pari... A tout hasard, elle se rassied sur le lit pour participer aux réjouissances, le regard fixé sur les gestes de Cécile. Mais Cécile est d'humeur câline, aujourd'hui : elle se contente de caresser les cheveux d'Elodie, d'un geste tendre et prévenant. Le calme avant la tempête ? Justine a du mal à croire à un réveil en douceur. Cécile l'a habituée à des réactions plus énergiques ! Pourtant, la petite brune reste fidèle à son idée de départ : câliner tendrement son amie jusqu'à ce qu'elle se réveille de bonne humeur, cette fois-ci. Histoire de changer ! Bien que surprise, Justine approuve et, imitant le geste de son amie, elle commence à lisser les longues boucles blondes d'Elodie. Du dos de la main, Cécile caresse la joue de la jeune fille, descend le long du cou, près de l'oreille, et remonte sur l'épaule... La bouche légèrement entrouverte, Elodie dort toujours. Il faut dire que la veille, elle a discuté jusqu'à quatre heures du matin, avec Justine ! Elle était venue la rejoindre dans son lit pour lui poser une question à propos de son mec du moment et, de fil en aiguille, elles en étaient venues à se raconter leur enfance. Justine avait ainsi pu comprendre les raisons de l'hyper-sensibilité de son amie, la nécessité de conserver un doudou, tout ça... Tout en caressant le bras d'Elodie dans toute sa longueur, son amie se demande combien de temps il lui faudra pour s'éveiller et ce qu'elle pensera de leur idée du jour.
- Et alors, Cécile ? Le café est prêt ! Vous...
Lise vient d'apparaître à la porte et s'arrête, interdite. Le tableau que forment les trois jeunes filles est pour le moins surprenant ! Après tout, à sa connaissance, aucune d'elle n'a de préférence sexuelle pour les filles... Que fabriquent-elles donc ? D'un geste, Cécile fait taire la quatrième fille et l'invite à les rejoindre autour du lit. Mi-amusée, mi-embarrassée, celle-ci obéit néanmoins et se place à coté de Cécile, près du pied du lit. Imitant ses consoeurs, elle commence doucement à caresser l'extérieur des jambes d'Elodie. Bientôt, quittant le bras qu'elle a parcouru jusqu'au bout des doigts, Justine fait de même et s'engage sur les cuisses. Cécile, de son coté, parcours le bord du tee-shirt, le long des bretelles... Soudain, Elodie se met à bouger ! Elle plonge ses poings dans le creux de ses jambes, puis lisse ses poils pubiens en remontant les doigts vers le nombril. D'abord recroquevillée, puis cambrée, elle laisse échapper en même temps un gémissement langoureux qui se prolonge un moment puis s'évanouit dans un souffle. Elle est à présent complètement offerte, sur le dos, une main jouxtant son triangle intime... Surprises, les trois filles ont relevé leurs mains en même temps. Elles sont encore dans cette position quand Elodie s'immobilise à nouveau. "Woaw !" semble faire la bouche de Lise... Cécile et Justine, elles, se regardent en pouffant silencieusement. Le coeur battant, elles attendent quelques instants, puis, comme Elodie ne semble décidément pas s'éveiller, elles reprennent leur petit manège... Pourtant, les choses ont changé depuis tout à l'heure : les caresses deviennent plus coquines, les intentions plus directes... Lise caresse à présent l'intérieur des jambes d'Elodie et les deux autres filles s'en prennent à sa poitrine... Le pourtour, tout d'abord, ce qui permet à Justine de dévoiler totalement le second sein, les deux bretelles étant descendues jusqu'au coude... Puis elles s'approchent progressivement des mamelons. Lise a frôlé délicatement le duvet de la belle endormie au moment de passer à la deuxième entrejambe... Toujours aucune réaction. Elle tente alors de tirailler ponctuellement les poils du triangle blond, se retenant pour ne pas plonger l'autre main dans le sien. Puis elle prend une pincée entière de poils et les lisse vers le haut, en tirant la tendre peau vers le nombril... Les trois filles retiennent leur souffle sans s'en apercevoir. Elles observent attentivement le visage de leur amie, tout en maintenant leurs caresses intimes : Elodie tourne un peu la tête mais ne se réveille toujours pas. Cécile a enfin atteint le mamelon dressé et le pince délicatement tout en tournant autour... Se rappelant des sensations qu'elle aime avoir, elle décide de compléter sa caresse mammaire par un appui plus intime : Lise, là en bas, est décidément trop sage ! Sans lâcher le mamelon, Cécile avance alors son autre main vers le Mont de Vénus d'Elodie et glisse doucement vers le fond de la petite vallée. Lise l'a laissée passer mais elle n'arrive visiblement pas à croire qu'Elodie dorme encore ! Celle-ci n'est pourtant plus totalement immobile : elle cambre légèrement les fesses à la recherche d'un contact plus profond et gémit doucement, d'une voix un peu roque. Instinctivement, les caresses des trois filles s'allongent, se précisent, s'encanaillent. Chacune ressent en elle-même les sensations qu'elle cherche à faire naître. Chacune participe en son fort intérieur à la venue du plaisir, et bien qu'aucune d'elle n'ait posé la main sur son propre corps, elles entrent dans une sorte de transe commune. Les doigts de Cécile étalent le nectar d'Elodie le long des petites lèvres, elle tournoie rapidement au-dessus du clitoris si sensible, entre à nouveau dans la vallée humide puis entame des va-et-vient de part et d'autre du petit bouton, de plus en plus vite, de plus en plus fort... Là, Elodie réagit plus vivement aux caresses. La jeune fille se tord brusquement, par saccades régulières. La bouche grande ouverte, elle halète, tout en avançant son sexe vers les doigts de Cécile. Elle se cabre enfin, et étouffe un cri en tentant de calmer avec la main la douce douleur qui secoue son bas-ventre... C'est alors qu'elle butte contre quelque chose au niveau de son sexe ! Surprise, Elodie ouvre les yeux et découvre Lise qui a ramené ses mains contre sa poitrine.
- Mais qu'est-ce que tu... qu'est-ce que vous faites là !
Un grand éclat de rire répond à sa question. Elodie, rouge de honte, se recroqueville alors comme un escargot et rougit comme une écrevisse. Ses trois amies étaient là, autour d'elle, au moment où elle venait de se payer un orgasme nocturne des plus violents ! Ce n'est pas la première fois qu'une telle chose lui arrive, mais jamais en public ! Et ce n'est qu'une seconde plus tard qu'elle comprendra l'horrible vérité : ce sont ses trois copines qui ont tout fait pour qu'une telle chose lui arrive à son réveil. Quelle honte ! Elle leur fera d'ailleurs la gueule pendant au moins... deux jours ! Après tout, qui peut se targuer d'avoir des amies aussi prévenantes ?
"Avec l'UNE d'elles, NOUS sommes allées assez loin..." Oui. Ce récit semble correspondre assez bien à la phrase mystérieuse de ma correspondante. Que va t-elle me répondre ? Au courrier suivant, je n'ai pas eu le fin mot de l'histoire, non, mais Cécile me fit comprendre que j'étais dans l'erreur en me donnant un nouvel indice. Indice qui me permit de proposer une seconde histoire... La suite au prochain épisode, donc ! ;-)
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