Avec ma cousine à la plage
Récit érotique écrit par Farachimbank [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Avec ma cousine à la plage
Agadir 2
La plage d'Agadir est immense, il y a peu de monde en cette saison, on a été, ce Dimanche, ma tante Miriam, mon cousin Nadir, ma cousine Sara et moi Farid. On s'est mis en tenue, moi et mon cousin en short de bains, ma tante a mis un maillot de bains de deux pièces, elle était superbe, son corps était encore ferme, une belle poitrine, un cul à faire tourner la tête, pas de ventre, c'est une femme qui n'a eu que deux enfants, à quarante ans c'est un bonbon encore belle à croquer, elle a étendu une serviette et s'est étendu dessus à l'ombre du parasol, le cousin a fait de même à côté de sa mère; ma cousine me propose alors de faire un tour sur la plage avant qu'on aille dans l'eau, donc on est parti se promener du côté du palais royal je lui dis : - Et ton frère ne vient pas ?
- elle me dit : vaut mieux qu'il reste ce fils à maman, d'ailleurs il va nous déranger.
Sara portait un maillot deux pièces assez fin, de couleur bleu méditerranée, qui fait sortir toute sa splendeur, de beaux seins, un cul assez prononcé sans être agressif, un ventre plat, elle avait tout en place, on a fait quelques dizaines de mètres je la regardais discrètement elle s'est rendu compte et a souri :- Comment tu me trouves ?
- Splendide- C'est pour ça que tu lorgnes du côté de mes seins ?
- Ils me plaisent et ce maillot de bain te va très bien !
Elle jette un regard sur mon entrecuisse et elle me dit :- c'est moi qui te mets dans cet état ?
J'avais honte et j'essaie de dissimuler, mais mon sexe a déjà installé sa tente, impossible de cacher l'érection.
- Oui, je m'excuse.
- Je suis flattée, si je te fais ça. Ce n'est pas grave. Il faudra y remédier, ça doit te faire mal !
- Oui bien sûr ça fait mal surtout ayant un beau spécimen à côté de soi !
- Et si on allait dans l'eau, peut être ça te calmera…- Rien ne pourra me calmer, sauf si…- Si, quoi?
- Si on va derrière les fourrés qui longent le palais royal là-bas pour nous reposer et en même temps nous consoler.
- Oui c'est une bonne idée, pour te souhaiter la bienvenue et affermir les liens de sang.
Derrière le fourré il n'y avait pas âme qui vive à 50 mètres à la ronde, j'ai vu que ce lieu a déjà été utilisé, il y avait des capotes usées, j'ai balayé un peu histoire de nous faire de la place, ma cousine s'est lancée la première sur moi m'embrassant avec fougue, nos corps étaient nus, ce qui fait que le plaisir était intense, elle a enlevé le haut de son maillot et m'a offert ses seins, ils pointaient déjà par l'excitation, je les massais et ensuite j'en ai pris un en bouche, pendant que je le mangeais ma cousine gémissait, on était toujours debout, j'ai continué à lui lécher le reste du corps, je suis arrivé à l'élastique de son bas de maillot, je l'ai baissé, apparut devant moi une belle chatte, rasée le matin même, elle l'a préparée pour moi je suppose, je lui ai enlevé complètement la culotte, elle a écarté les jambes me laissant butiner sa chatte, je suis allé très profond que j'ai pu avec ma langue, elle me tenait la tête, et moi je léchais et elle gémissait, et elle vient de jouir avec un grand cri m'inondant la gueule de cyprine, elle me dit laisse moi te faire plaisir, elle m'a baissé mon short et englouti toute ma bite, elle me suçait très bien on dirait qu'elle a fait ça toute sa vie, j'ai senti vite la jouissance arriver, je lui dis mais elle ne lâche pas, je lui ai envoyé toute la réserve disponible de sperme dans la bouche elle a tout avalé ,on est tombé tous les deux par terre histoire de reprendre haleine.
Après nous être reposés elle est venue toute nue sur moi et m'a embrassé, moi je lui caressais le dos, ses seins étaient sur mon torse, je sentais leur pointe, elle était excitée, elle s'attaqua à mon membre qui était encore en état de léthargie et elle l'a fourré dans la bouche et commença à le sucer, il commence à prendre vie, et vite il était raide. Elle l'a lâché et est venue sur moi frottant son clitoris sur mon sexe sans se faire pénétrer, elle tremblait de plaisir, au bout de quelques mouvements elle a eu un orgasme et elle s'est affaissée sur moi, je l'ai laissé se reposer. Je me suis mis sur elle et j'ai voulu la pénétrer elle m'a dit qu'elle était vierge, je l'ai mise à plat ventre, elle a compris ce que je voulais, elle m'a dit doucement par là aussi je suis vierge, je n'ai fais que sucer, je n'ai jamais été pénétrée, je lui ai écarté les lobes des fesses, et j'ai regardé sa rosette, elle était encore intacte, elle me paraissait petite pour ma tige, je lui ai craché dessus et j'ai introduit un doigt, elle a poussé un petit cri, oh ça fait mal, j'ai continué avec mon doigt, ensuite j'ai rajouté un doigt, la douleur devient plaisir, elle a commencé à couiner, et moi je continuais à lui travailler le trou avec mes deux doigt. J'ai mouillé mes doigts avec de la salive et j'ai ajouté un troisième, j'ai vu que le trou s'est élargi un peu et je me suis dit c'est le moment, je lui ai demandé d'écarter les fesses, elle s'est exécuté, elle m'a dit vas doucement, ne vas pas me déchirer. je lui dis ne t'en fais pas, tu m'arrêteras si tu as mal, j'ai engagé le gland tout doucement, elle a poussé un cri en sentant ce morceau de chair s'engager dans son trou du cul, je me suis arrêté lui laissant le temps de s'habituer à cet intrus, j'ai poussé un peu, elle a crié, je lui ai dis : fais comme si tu es aux toilettes, pousses un peu. Elle a fait et son trou s'est ouvert un peu et j'ai poussé cette fois ci sans m'arrêter, je suis arrivé jusqu'aux couilles, elle pleurait tout en battant le sable avec les mains, elle me disait sors le tu me fais mal… je l'ai calmée et je n'ai pas bougé, finalement elle ne criait plus, le masque de plaisir a fait place à celui de la douleur, j'ai commencé mes va et viens sa douleur s'est transformée en plaisir elle a commencé à s'habituer à ma tige, elle poussait des AH,QUE C'EST BON, elle s'est bien cambrée pour me recevoir, elle bougeait ses fesses elle trouvait son plaisir, je lui ai demandé de se mettre à quatre pattes, elle s'est exécutée, j'ai mouillé encore ma verge et je l'ai pénétrée. C'était mieux ainsi, mes bourses touchaient son clitoris ce qui rajoutait à son plaisir, je la ramonais on n'entendait que le clapotis des vagues et les gémissements de Sara, AAAAAAHHH OUIIIIIIIIIIIII,CONTINUUUUUUUUU, elle me demanda d'aller plus vite, ce que j'ai fait, elle venait d'avoir un orgasme, AHHHHHHGGGGGGGGHHHHHH, moi aussi j'ai joui, je lui ai lâché de bonne giclées de sperme dans les entrailles et je me suis affaissé sur elle, je suis resté fiché en elle le temps de reprendre notre haleine, on s'est rhabillé, elle a couru à l'eau et s'est assise en me disant " ça me brûle le cul", on s'est baigné pour enlever toute odeur de sexe et on est parti vers sa mère et son frère. Au retour elle marchait de travers, elle avait mal au cul, et je la comprends, la première fois ça fait très mal et ça laisse des séquelles.
De retour on a trouvé la tante Mariam encore sous le parasol, étendue, elle a demandé à sa fille pourquoi elle boitait elle lui a dit qu'elle a eu un petit accident en courant sur la plage, mais ce n'est rien ça passera.
La tante a demandé à sa fille d'aller à la maison nous chercher quelque chose à boire et lui a demandé en même temps de nous apporter quelque chose à manger, Nadir est parti avec sa sœur pour l'aider, je suis resté seul avec la tante Mariam.
-Comment tu as trouvé la plage ?
-Magnifique et en plus ce n'est pas bondé.
-Nous on profite beaucoup de cette plage, elle est toute près de la maison.
- Vous avez de la chanceTante Mariam a sorti de son couffin de la crème de bronzage et m'a demandé de la lui passer, elle était étendue sur le dos, j'ai commencé a lui passer la crème sur le ventre, je lui ai mis sur les épaules et je suis descendu vers sa poitrine, j'ai effleuré la base de son sein, je l'ai regardé, elle avait les yeux fermés, j'ai continué mon manège autour des seins, elle a soupiré, après le ventre je lui ai mis sur les jambes en suite les genoux, je suis arrivé aux cuisses, j'ai mis a l'extérieur des cuisses et je lui ai passé ma main avec de la crème entre les cuisses, je suis arrivé presque à sa foufoune, j'ai juste effleuré son slip et elle a émis un léger gémissement; je lui ai demandé de se mettre a plat ventre , je lui ai passé de la crème sur les épaules ,le dos ,quand je suis arrivé à la base dus dos, j'ai glissé deux doigts sous l'élastique de son maillot, elle n'a rien dit, j'ai continué, j'ai ma main toute entière dans ses fesses, elle n'a rien dit, elle a juste gémi, j'avais une érection que je ne pouvais nullement cacher, en lui passant la crème mon chibre la touchait de temps en temps, je suis arrivé aux cuisses je lui ai demandé aussi les cuisses elle m'a dit oui, j'ai passé ma main avec de la crème entre les cuisses, elle a écarté les jambes, il y avait quelques poils qui sortaient du côté de sa chatte, je lui ai touché la chatte par-dessus son string, elle a gémi, elle m'a dit merci, ça suffit les enfants risquent d'arriver d'un moment à l'autre, elle lorgne toujours du côté de mon érection, je ne savais pas quoi faire, elle me dit c'est moi qui te mets dans cet état, je lui dis que oui, tu as un corps splendide, moi aussi je suis excitée mais comment faire, je ne peux pas me satisfaire, je lui dis je vais aller dans l'eau sinon les enfants vont voir mon état.
Je me suis baigné un peu, je suis revenu, les cousins étaient déjà là, on a mangé un casse-croûte, on a bu et on s'est mis à bronzer.
Vers seize heures on est rentré, on a pris une douche, mon cousin est allé faire sa sieste, je l'ai rejoint, il était sous les draps, mais encore une fois nu.
Je me suis mis avec lui sous les draps, et j'ai commencé à lui caresser le derrière, il ne dormait pas, il s'est tourné vers moi et m'a embrassé, j'ai profité pour lui glisser un doigt dans l'anus, il a bougé son derrière, j'ai continué à lui travailler l'anus pendant qu'il m'embrassait, il s'est retiré et s'est mis à plat ventre, je suis monté sur lui et je lui ai craché sur l'anus et je lui ai glissé mon chibre jusqu'aux couilles lui arrachant un OH que c'est bon, j'ai continué à le ramoner, il s'est redressé et s'est mis à quatre pattes en cambrant bien le derrière, j'ai continué à le besogner tout en le masturbant, j'ai senti la sève monter en moi et j'ai joui en même temps que lui, je lui ai lâché mon foutre dans les intestins, on est resté collé cinq bonne minutes le temps de terminer et je me suis retiré de lui, il s'est tourné vers moi et m'a embrassé en me disant qu'il serait ma femelle le temps qu'il faudra, et qu'il me trouvait l'homme qui lui fallait.
Après la sieste on est descendu au salon, il était déjà 19 heures, je devais rentrer; tante Mariam s'est portée volontaire pour me ramener, elle a sorti la voiture et m'a ramené chez moi, en cours de route elle m'a demandé si j'étais seul, je lui ai dit presque, il y a un collègue mais il rentre toujours chez lui, il n'habite pas loin et elle me demande ce que je fais pendant le stage je lui dis que les matinées on les passe dans les fermes on rentre à midi à l'institut, on mange on se repose on fait le rapport et on quitte vers seize heures. Elle m'a demandé mon numéro de téléphone au cas où ça lui prend de me rendre visite un jour elle l'a noté elle m'a fait la bise avant de partir en me disant qu'ils m'attendent pour le vendredi…
La plage d'Agadir est immense, il y a peu de monde en cette saison, on a été, ce Dimanche, ma tante Miriam, mon cousin Nadir, ma cousine Sara et moi Farid. On s'est mis en tenue, moi et mon cousin en short de bains, ma tante a mis un maillot de bains de deux pièces, elle était superbe, son corps était encore ferme, une belle poitrine, un cul à faire tourner la tête, pas de ventre, c'est une femme qui n'a eu que deux enfants, à quarante ans c'est un bonbon encore belle à croquer, elle a étendu une serviette et s'est étendu dessus à l'ombre du parasol, le cousin a fait de même à côté de sa mère; ma cousine me propose alors de faire un tour sur la plage avant qu'on aille dans l'eau, donc on est parti se promener du côté du palais royal je lui dis : - Et ton frère ne vient pas ?
- elle me dit : vaut mieux qu'il reste ce fils à maman, d'ailleurs il va nous déranger.
Sara portait un maillot deux pièces assez fin, de couleur bleu méditerranée, qui fait sortir toute sa splendeur, de beaux seins, un cul assez prononcé sans être agressif, un ventre plat, elle avait tout en place, on a fait quelques dizaines de mètres je la regardais discrètement elle s'est rendu compte et a souri :- Comment tu me trouves ?
- Splendide- C'est pour ça que tu lorgnes du côté de mes seins ?
- Ils me plaisent et ce maillot de bain te va très bien !
Elle jette un regard sur mon entrecuisse et elle me dit :- c'est moi qui te mets dans cet état ?
J'avais honte et j'essaie de dissimuler, mais mon sexe a déjà installé sa tente, impossible de cacher l'érection.
- Oui, je m'excuse.
- Je suis flattée, si je te fais ça. Ce n'est pas grave. Il faudra y remédier, ça doit te faire mal !
- Oui bien sûr ça fait mal surtout ayant un beau spécimen à côté de soi !
- Et si on allait dans l'eau, peut être ça te calmera…- Rien ne pourra me calmer, sauf si…- Si, quoi?
- Si on va derrière les fourrés qui longent le palais royal là-bas pour nous reposer et en même temps nous consoler.
- Oui c'est une bonne idée, pour te souhaiter la bienvenue et affermir les liens de sang.
Derrière le fourré il n'y avait pas âme qui vive à 50 mètres à la ronde, j'ai vu que ce lieu a déjà été utilisé, il y avait des capotes usées, j'ai balayé un peu histoire de nous faire de la place, ma cousine s'est lancée la première sur moi m'embrassant avec fougue, nos corps étaient nus, ce qui fait que le plaisir était intense, elle a enlevé le haut de son maillot et m'a offert ses seins, ils pointaient déjà par l'excitation, je les massais et ensuite j'en ai pris un en bouche, pendant que je le mangeais ma cousine gémissait, on était toujours debout, j'ai continué à lui lécher le reste du corps, je suis arrivé à l'élastique de son bas de maillot, je l'ai baissé, apparut devant moi une belle chatte, rasée le matin même, elle l'a préparée pour moi je suppose, je lui ai enlevé complètement la culotte, elle a écarté les jambes me laissant butiner sa chatte, je suis allé très profond que j'ai pu avec ma langue, elle me tenait la tête, et moi je léchais et elle gémissait, et elle vient de jouir avec un grand cri m'inondant la gueule de cyprine, elle me dit laisse moi te faire plaisir, elle m'a baissé mon short et englouti toute ma bite, elle me suçait très bien on dirait qu'elle a fait ça toute sa vie, j'ai senti vite la jouissance arriver, je lui dis mais elle ne lâche pas, je lui ai envoyé toute la réserve disponible de sperme dans la bouche elle a tout avalé ,on est tombé tous les deux par terre histoire de reprendre haleine.
Après nous être reposés elle est venue toute nue sur moi et m'a embrassé, moi je lui caressais le dos, ses seins étaient sur mon torse, je sentais leur pointe, elle était excitée, elle s'attaqua à mon membre qui était encore en état de léthargie et elle l'a fourré dans la bouche et commença à le sucer, il commence à prendre vie, et vite il était raide. Elle l'a lâché et est venue sur moi frottant son clitoris sur mon sexe sans se faire pénétrer, elle tremblait de plaisir, au bout de quelques mouvements elle a eu un orgasme et elle s'est affaissée sur moi, je l'ai laissé se reposer. Je me suis mis sur elle et j'ai voulu la pénétrer elle m'a dit qu'elle était vierge, je l'ai mise à plat ventre, elle a compris ce que je voulais, elle m'a dit doucement par là aussi je suis vierge, je n'ai fais que sucer, je n'ai jamais été pénétrée, je lui ai écarté les lobes des fesses, et j'ai regardé sa rosette, elle était encore intacte, elle me paraissait petite pour ma tige, je lui ai craché dessus et j'ai introduit un doigt, elle a poussé un petit cri, oh ça fait mal, j'ai continué avec mon doigt, ensuite j'ai rajouté un doigt, la douleur devient plaisir, elle a commencé à couiner, et moi je continuais à lui travailler le trou avec mes deux doigt. J'ai mouillé mes doigts avec de la salive et j'ai ajouté un troisième, j'ai vu que le trou s'est élargi un peu et je me suis dit c'est le moment, je lui ai demandé d'écarter les fesses, elle s'est exécuté, elle m'a dit vas doucement, ne vas pas me déchirer. je lui dis ne t'en fais pas, tu m'arrêteras si tu as mal, j'ai engagé le gland tout doucement, elle a poussé un cri en sentant ce morceau de chair s'engager dans son trou du cul, je me suis arrêté lui laissant le temps de s'habituer à cet intrus, j'ai poussé un peu, elle a crié, je lui ai dis : fais comme si tu es aux toilettes, pousses un peu. Elle a fait et son trou s'est ouvert un peu et j'ai poussé cette fois ci sans m'arrêter, je suis arrivé jusqu'aux couilles, elle pleurait tout en battant le sable avec les mains, elle me disait sors le tu me fais mal… je l'ai calmée et je n'ai pas bougé, finalement elle ne criait plus, le masque de plaisir a fait place à celui de la douleur, j'ai commencé mes va et viens sa douleur s'est transformée en plaisir elle a commencé à s'habituer à ma tige, elle poussait des AH,QUE C'EST BON, elle s'est bien cambrée pour me recevoir, elle bougeait ses fesses elle trouvait son plaisir, je lui ai demandé de se mettre à quatre pattes, elle s'est exécutée, j'ai mouillé encore ma verge et je l'ai pénétrée. C'était mieux ainsi, mes bourses touchaient son clitoris ce qui rajoutait à son plaisir, je la ramonais on n'entendait que le clapotis des vagues et les gémissements de Sara, AAAAAAHHH OUIIIIIIIIIIIII,CONTINUUUUUUUUU, elle me demanda d'aller plus vite, ce que j'ai fait, elle venait d'avoir un orgasme, AHHHHHHGGGGGGGGHHHHHH, moi aussi j'ai joui, je lui ai lâché de bonne giclées de sperme dans les entrailles et je me suis affaissé sur elle, je suis resté fiché en elle le temps de reprendre notre haleine, on s'est rhabillé, elle a couru à l'eau et s'est assise en me disant " ça me brûle le cul", on s'est baigné pour enlever toute odeur de sexe et on est parti vers sa mère et son frère. Au retour elle marchait de travers, elle avait mal au cul, et je la comprends, la première fois ça fait très mal et ça laisse des séquelles.
De retour on a trouvé la tante Mariam encore sous le parasol, étendue, elle a demandé à sa fille pourquoi elle boitait elle lui a dit qu'elle a eu un petit accident en courant sur la plage, mais ce n'est rien ça passera.
La tante a demandé à sa fille d'aller à la maison nous chercher quelque chose à boire et lui a demandé en même temps de nous apporter quelque chose à manger, Nadir est parti avec sa sœur pour l'aider, je suis resté seul avec la tante Mariam.
-Comment tu as trouvé la plage ?
-Magnifique et en plus ce n'est pas bondé.
-Nous on profite beaucoup de cette plage, elle est toute près de la maison.
- Vous avez de la chanceTante Mariam a sorti de son couffin de la crème de bronzage et m'a demandé de la lui passer, elle était étendue sur le dos, j'ai commencé a lui passer la crème sur le ventre, je lui ai mis sur les épaules et je suis descendu vers sa poitrine, j'ai effleuré la base de son sein, je l'ai regardé, elle avait les yeux fermés, j'ai continué mon manège autour des seins, elle a soupiré, après le ventre je lui ai mis sur les jambes en suite les genoux, je suis arrivé aux cuisses, j'ai mis a l'extérieur des cuisses et je lui ai passé ma main avec de la crème entre les cuisses, je suis arrivé presque à sa foufoune, j'ai juste effleuré son slip et elle a émis un léger gémissement; je lui ai demandé de se mettre a plat ventre , je lui ai passé de la crème sur les épaules ,le dos ,quand je suis arrivé à la base dus dos, j'ai glissé deux doigts sous l'élastique de son maillot, elle n'a rien dit, j'ai continué, j'ai ma main toute entière dans ses fesses, elle n'a rien dit, elle a juste gémi, j'avais une érection que je ne pouvais nullement cacher, en lui passant la crème mon chibre la touchait de temps en temps, je suis arrivé aux cuisses je lui ai demandé aussi les cuisses elle m'a dit oui, j'ai passé ma main avec de la crème entre les cuisses, elle a écarté les jambes, il y avait quelques poils qui sortaient du côté de sa chatte, je lui ai touché la chatte par-dessus son string, elle a gémi, elle m'a dit merci, ça suffit les enfants risquent d'arriver d'un moment à l'autre, elle lorgne toujours du côté de mon érection, je ne savais pas quoi faire, elle me dit c'est moi qui te mets dans cet état, je lui dis que oui, tu as un corps splendide, moi aussi je suis excitée mais comment faire, je ne peux pas me satisfaire, je lui dis je vais aller dans l'eau sinon les enfants vont voir mon état.
Je me suis baigné un peu, je suis revenu, les cousins étaient déjà là, on a mangé un casse-croûte, on a bu et on s'est mis à bronzer.
Vers seize heures on est rentré, on a pris une douche, mon cousin est allé faire sa sieste, je l'ai rejoint, il était sous les draps, mais encore une fois nu.
Je me suis mis avec lui sous les draps, et j'ai commencé à lui caresser le derrière, il ne dormait pas, il s'est tourné vers moi et m'a embrassé, j'ai profité pour lui glisser un doigt dans l'anus, il a bougé son derrière, j'ai continué à lui travailler l'anus pendant qu'il m'embrassait, il s'est retiré et s'est mis à plat ventre, je suis monté sur lui et je lui ai craché sur l'anus et je lui ai glissé mon chibre jusqu'aux couilles lui arrachant un OH que c'est bon, j'ai continué à le ramoner, il s'est redressé et s'est mis à quatre pattes en cambrant bien le derrière, j'ai continué à le besogner tout en le masturbant, j'ai senti la sève monter en moi et j'ai joui en même temps que lui, je lui ai lâché mon foutre dans les intestins, on est resté collé cinq bonne minutes le temps de terminer et je me suis retiré de lui, il s'est tourné vers moi et m'a embrassé en me disant qu'il serait ma femelle le temps qu'il faudra, et qu'il me trouvait l'homme qui lui fallait.
Après la sieste on est descendu au salon, il était déjà 19 heures, je devais rentrer; tante Mariam s'est portée volontaire pour me ramener, elle a sorti la voiture et m'a ramené chez moi, en cours de route elle m'a demandé si j'étais seul, je lui ai dit presque, il y a un collègue mais il rentre toujours chez lui, il n'habite pas loin et elle me demande ce que je fais pendant le stage je lui dis que les matinées on les passe dans les fermes on rentre à midi à l'institut, on mange on se repose on fait le rapport et on quitte vers seize heures. Elle m'a demandé mon numéro de téléphone au cas où ça lui prend de me rendre visite un jour elle l'a noté elle m'a fait la bise avant de partir en me disant qu'ils m'attendent pour le vendredi…
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