Avec Marc 01

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Avec Marc 01 Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Avec Marc 01
Avec Marc 01

C'était une soirée normale, banale, j'étais sorti prendre un verre. Un bar que je connaissais, pas loin de chez moi. Il y avait un peu de bruit, un peu d'animation, ça me détendait, la bière aussi me détendait. Mais la bière avec moi a toujours le même effet, ça me donne envie de faire pipi. Arrivé à deux bières l'envie de prenait.

Je me retrouvais tout naturellement dans les WC, il n'y avait personne, ça m'arrangeait, vous savez avec mon dispositif de chasteté, j'essaye de me faire discret. Enfin dans ce genre d'endroit. Ça évite des questions et des explications. Surtout que dans ce bar, tout le monde se connaissait plus ou moins.

Bien concentré, j'avais réussi à prendre la bonne position pour pisser entre les barreaux de ma cage. Je me laissait aller. Concentré comme j'étais, je ne l'avais pas entendu venir et quand je l'ai remarqué il était lui aussi en position, il ne pissait pas, il avait sorti sa queue et devant la pissotière. Il semblait comme bloqué, il me regardait.

Je levais la tête dans sa direction et c'est là que j'ai vu qu'il me regardait. En fait il regardait dans la direction de ma bite. C'est sans doute le dispositif que je portais qui le bloquait. Enfin je suppose. Il avait l'air figé. Mon regard descendait vers sa queue et là c'est moi qui était figé.

J'en avais jamais vu une pareil., longue, très longue, elle dépassait les vingt centimètre, ça se voyait au premier coup d’œil. Et au niveau largeur, je ne vous dis pas … Son gland semblait petit en taille, autant en largeur qu'en longueur. Il faut dire que le reste de sa bite n'était pas à la taille normale, donc ce n'était peut être qu'une impression.

Sa queue devenait plus large au milieu de sa longueur et redevenait plus étroite à sa base. Je vous jure ça faisait peur.

– C'est quoi ça ? Me demandait-il.
– Oui tu as raison, c'est quoi ça.

Moi c'est de sa queue que je parlais.

– C'est quoi le truc que tu portes là ?
– Oh c'est rien, c'est un truc, une nouvelle mode. C'est pour rester sage.

En même temps je voyais sa queue gonfler, prendre du volume ses dimensions devenait vraiment infernale, à faire peur. Son gland était moins large que le reste de son membre qui en son milieu devait dépasser les six centimètres de large et autant en épaisseur. Je ne voyais pas distinctement sa base mais je devinais que sa queue était plus large à son milieu.

J'avais moi aussi le regard figé.

– On dirait que ça te plaît. Me demandait-il.
– Tu as raison, on dirait que ça te plaît. Lui répondais-je.

Quelqu'un entrait, on se reprenait, et l'air de rien je refermais mon pantalon, passais aux lavabos et quand je sortait je le regardait et lui faisais un clin d’œil. Il avait tourné la tête et me suivait du regard.

Il faisait partie des habitués, je le connaissais de fait. Il était grand, mince, musclé normalement, bonne tête. Il était assez ordinaire et je n'aurais jamais imaginé qu'il était aussi bien fourni par la nature. L'image de cette queue hors norme restait comme imprimée devant mes yeux. Je reprenais ma place.

Il revenait dans la salle du bar quelques minutes plus tard, j'étais dans un coin tranquille, pénard. Il me rejoignait mais pas les mains vides, il apportait à boire, et on discutait.

– Alors c'est quoi ce truc que tu portes ?
– Comme je t'ai dit, tu évites de le répéter à tout le monde, c'est pour découvrir de nouvelles sensations.
– Et ça marche ?
– Ça marche, et toi aussi tu as un truc qui doit donner de drôles de sensations !
– Plus d'un et plus d'une me l'ont déjà dit.
– Plus d'un ?
– Oui ! Aussi .

Il rigolait, il me regardait avec des yeux un peu vicieux. Vicieux mais pas pervers.

– Tu crois que tu pourrais te la prendre dans le cul ?

Il y allait directe, là c'est moi qui rigolait.

– On doit la sentir passer ! Je ne sais pas, c'est pas ordinaire ce que tu me proposes là.
– Excuse moi, si tu trouves la proposition indécente … J'avais cru.
– C'est pas la proposition qui est indécente, c'est …

– C'est juste que ça fait peur !

On rigolait tous les deux maintenant.

– Et elle mesure combien ta '' proposition '' ?
– Vingt quatre centimètres .
– Haou ! Là ça doit faire mal ?
– Ça peut faire mal, mais je sais y aller avec douceur. Remarque il y en a qui se sont sauvé en courant.
– Je les comprends les pauvre petits gars.
– Il y a aussi des filles .


– Et en largeur ? Elle fait combien ?
– Sept de large sur six d'épaisseur.
– Oula ! C'est pas humain ça !
– Normal je suis un alien.

On rigolait de bon cœur. Je commandais à boire.

On continuait à discuter encore un bon moment, puis c'est moi qui faisais une proposition.

– Je te paye un verre chez moi ?

Il se penchait vers mon oreiller et discrètement me glissait.

– Je vais te faire couiner.

Déjà je regrettais cette invitation. J'avais comme … déjà mal au cul.

Je vous l'avais dit plus tôt, je n'habitais pas très loin, on y allait à pied. Il rigolait et me faisait des commentaires plus ou moins scabreux.

– Je vais te faire couiner, tu vas voir, après on pourra y passer la main …
On entrait dans mon appartement. Là il n'attendait pas, à peine la porte fermée il ouvrait son pantalon et en ressortait sa queue. Il la laissait pendre devant lui, il bougeait et elle se balançait librement. Je regardait ça, j'étais impressionné.

– Alors, ça fait réfléchir ?
– Éh … C'est tout ce que j'arrivais à dire …– Là elle est molle, ou presque, mais ne t'inquiète pas elle grandit moins en longueur quand je bande, elle grossi un peu mais surtout elle durcit et se relève.

Il se voulait rassurant, en fait si, elle grandit un peu en longueur. Mais pas tellement, c'est vrai. Elle faisait déjà, au repos, ses vingt bons centimètres.

J'étais déjà, à genoux devant lui, je prenais sa queue dans la bouche, je n'en rentrais pas la moitié. Je vous jure, il n'y avait pas moyen de faire plus. Son gland, pas très large rentrait tout seul, juste après sa queue grossissait vite, et au milieu de la longueur il fallait les avaler ses sept centimètres sur six. Si lui il avait une queue hors normes, moi j'ai une bouche normal.

Il s'amusait bien avec moi, il me prenait la tête, il m'appuyait sur la tête mais rapidement je réagissais. Il me retenait et me donnait des coups de bassin, là aussi je réagissais. Il abusait un peu.

On continuait dans l'appartement, jusque là nous étions toujours dans l'entrée, on laissait derrière nous nos vêtements, il était à poil quand il arrivait dans mon salon et moi j'essayais de retirer le plus vite possible mon pantalon. On pouvait nous suivre à la trace, on avait semé nos vêtements sur le chemin.

On se prenait dans les bras, j'avais toujours pensé que ce mec ne s'intéressait qu'aux fille. Il était doux et câlin, ça c'était bien mais il y avait sa queue, elle avait grossi, un peu, comme il l'avait dit. Mais ,un peu, à la fin ça faisait tout de même beaucoup. C'est vrai que même au repos elle était grosse, alors même si elle ne grossissait que , un peu, ça faisait vite beaucoup.

En son milieu je n'arrivais pas à faire le tour avec mes doigts, à sa base oui, sans difficultés mais pas à son milieu. Elle était bien lourde et bien dure mais ne se relevait qu'à l'horizontal. Je commençais vraiment à avoir la trouille.

En fait à ce moment j'étais mort de trouille, j'avais envie de me la prendre bien à fond dans le cul mais, j'avais la trouille, j'étais mort de peur. Il me retournait.

– Penche toi en avant et écarte les jambes … Et surtout ne résiste pas ou je serai obligé de forcer.

C'est en état second que je m'exécutais. Je m'appuyais sur le dossier d'un fauteuil. Il me lubrifiait, j'ai toujours ce qu'il faut sous la main, il me lubrifiait longuement puis plaçait sa queue contre mon cul. Sans plus attendre il poussait, son gland rentrait avec facilité, c'était bon. Jusque là tout allait bien.

Il avançait et reculait, il ne poussait pas trop, mais il s'enfonçait un peu plus à chaque fois. Et à chaque fois c'était un peu plus dur. À chaque fois je sentais mon anus se détendre, se dilater un peu plus.

Il ne prévenait pas quand il décidait d'y aller. Il poussait s'enfonçait, rentrait bien, je sentais mon anus se dilater et là je manquais d'air. Il ne ressortait pas et continuait à pousser. Il s'était coincé, juste un peu avant la partie la plus large. A cet instant j'ai paniqué.

Il continuait à pousser et je le sentais sa queue continuait à s'enfoncer, et millimètres après millimètres il entrait en moi et millimètres après millimètres mon anus se distendait, là il ne se détendait plus, il se distendait et ça ne marchais pas, ça ne marchait plus.

J'ai hurlé au moment ou j'ai bien cru déchirer. J'ai hurlé, ça m'a soulagé mais j'avais toujours peur. Ça coinçait, je lui criais d'arrêter mais il ne m'écoutait pas. Il me serrait fort contre lui. Il continuait à pousser et brusquement ça a passé.

Il avait passé la partie la plus large de sa queue et continuait à s'enfoncer lentement mais sûrement. C'est dans mon ventre au plus profond de mes entrailles que tout se passait ensuite. Au niveau de l'anus, mon petit muscle se détendait. Tout s'était bien passé. Je l'avais senti passer mais tout allait bien.

Sinon qu'il faudrait bien ressortir à un moment ou à un autre.

C'est au milieu de mon ventre que je sentais une masse glisser, au début c'était plutôt agréable, mais cette masse entrait de plus en plus profond. Et là c'était un truc de fou.

– J'en suis au deux tiers. Me disait-il.

Ma respiration s'accélérait alors, il en restait à rentrer et il en restait beaucoup. Maintenant c'est dans mon ventre, bien profond dans mon ventre que cette masse me dilatait les entrailles. De nouveau je paniquait, ce n'était pas vraiment douloureux mais c'était loin d'être agréable. Pourtant je voulais continuer.

Dans ma tête c'était la folie, je me constituait une image de ce que je ressentais, je voulais qu'il aille jusqu'au bout jusqu'au fond mais j'avais la trouille. Par moment ça devenait douloureux mais même là je voulait la prendre dans mon cul jusqu'au bout sa queue.

Il touchait le fond, il en restait encore à rentrer mais il touchait le fond. Je criais, il continuait à pousser, il poussait doucement mais il poussait et finalement ça passait. Finalement il glissait encore plus profond. Je ne pouvais plus respirer, je râlais sous l'effet de la panique, de l'angoisse et de cette violence qu'il me faisait subir.

C'est vrai il y allait tout en douceur mais la violence c'était la taille, juste la taille, il avait une queue énorme et je ne m'étais jamais pris un truc pareil dans le cul.

Il marquait enfin un pause. J'avais du mal à respirer mais j'ai crié de douleur au moment ou il s'est retiré. Je gémissais, j'avais vraiment mal, il ressortait, ça passait mieux qu'à l'allée mais c'était pas facile, je vous jure qu'à ce moment je l'ai senti passer, de nouveau. Puis je l'ai senti passer encore, et encore il entrait ressortait, ses mouvements étaient lents et décidés. Ils étaient amples et je finissais par éprouver un certain plaisir, un plaisir qui me déchirait les entrailles ou me les faisait exploser.

Au moins j'étais rassuré, je savais que ça passait. Il lubrifiait régulièrement, il me tirait vers lui et avançait son bassin. Et ça a duré, et il me limait le cul, et il appréciait l'animal. Il appréciait il était actif et il aimait ça. Je le sentais il se régalait pendant que moi je dégustais.

J'ai senti sa respiration accélérer au moment ou il a joui, et là il m'a fait mal, un coup de bassin lui a échappé et son ventre s'est écrasé sur mes fesse. Je me tordais de douleur et à cet instant je voulais qu'il arrête, qu'il se retire, qu'il me lâche …
C'est ce qu'il a fini par faire, il me lâchait, mes jambes me lâchaient également, juste avant je jouissais et à ce moment j'éjaculais. Je me retrouvais sur le sol. Je ne me sentais pas vraiment bien. Dans ma tête c'était la folie, j'avais la cervelle en feu. Dans mon cul c'était en vrac, je me sentais comme un poulet qu'on vient de vider juste avant de le passer au four.

Lui il était contant.

– On recommence ça quand tu veux bonhomme. Tu es un bon coup toi. Génial !

Je ne pouvais plus bouger mais je n'avais plus qu'une seule envie …
M'en prendre une autre du même genre dans le cul, pas tout de suite ce ne serait pas raisonnable, mais un autre jour, oui, un autre jours.


A suivre

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