Avec Marc 03
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Avec Marc 03
Avec Marc 03
Cette attention lui avait beaucoup plu. J'ai tourné le dos quelques instants et la clé avait disparu. Je ne l'ai pas encore revue depuis …
– Alors c'est moi qui commande ? Me demandait-il.
– Eh ! Attention je ne suis pas ton esclave, je suis pas à ton service !
– Tu me donnes juste le droit de cuissage alors ? Ça ira, c'est déjà bien … Je prends !
– On peut voir les choses comme ça.
On a déjeuné. On a discuté.
– Tu sais, c'est rare un cul comme le tien ou je peux rentrer entièrement.
– Tu n'en avait jamais trouvé avant ?
– Chez les fille non jamais ! Chez les mecs, j'en ai déjà trouvé plusieurs qui voulaient bien essayer mais ils avaient tous les yeux plus gros que le ventre.
– Des petites natures.
– Il y en a un en particulier qui voulait absolument de ma queue mais quand j'en suis arrivé à la partie la plus épaisse il a hurlé, il s'est dégagé et il s'est sauvé en courant.
– Des petites natures je te dis.
– Franchement tu m'as impressionné.
Moi aussi il m'avait impressionné, je l'avais senti passé et ça me faisait toujours la même sensation que je le voyais. Quand je voyais sa queue énorme je veux dire, quand je la voyais prendre du volume, plus grosse qu'une canette de caca cola, plus longue que mon bras … Enfin peut être pas par contre là.
Quand il se levait, je ne pouvais détacher mon regard de sa queue, je regardais cette grosse, très grosse molle qui se balançait lourdement. Mais c'est vrai que même au repos, il avait toujours une grosse molle.
C'était terrifiant à voir, je n'arrivais pas à croire que c'était ce truc que je m'étais pris dans le cul la veille au soir et je la sentais encore me déchire l'anus. C'était vrai en plus, je la sentais encore. Pas me déchirer le cul bien sûr, mais dans mon cul je sentait encore ce massage, comme s'il y avait encore une petite queue qui me caressait les entrailles.
C'était une sensation douce et agréable que j'ai gardé toute la journée. Il faut dire qu'il m'avait bien stimuler l'animal. Je n'avais pas vraiment envie qu'il recommence, je me sentais bien, comblé. Mais si jamais il voulait remettre ça, je savais que je le laisserais faire. Je serais pris d'une trouille incontrôlable, je gueulerais et pas que de plaisir mais surtout de plaisir …
Là, à ce moment, je ne voulais pas mais je l'aurais laissé faire.
Il est allé se douché, je l'ai rejoint un peu plus tard, le temps de faire un câlin sous la douche et il devait repartir.
J'ai pas mal réfléchi sur cette nuit et surtout sur ce matin. Je m'en étais remis à lui, je lui avait laissé mes clés. C'est vrai qu'il voulait que je garde mon dispositif de chasteté tout le temps. Et puis, si je n'en avais pas un en permanence justement, je me demande si j'aurais eu assez le feu au cul pour me prendre sa grosse matraque entre les fesses. C'est pas sûr ça.
J'ai revu Marc quelques jours plus tard à notre bar habituel. On a discuté un moment, on a bu quelques verres. Je me sentais tout frétillant avec l'envie de me faire défoncer le cul, il n'est pas resté longtemps, il travaillait, il était fatigué, il a préféré rentrer, je suis resté sur ma faim.
Pas cool, j'avais l'impression de mouiller de désir à chaque fois que je le voyais. Je vous rassure c'est une manière de parler, je ne mouille pas, je suis un mec, un vrai, un mâle … Mais je sentais déjà mes entrailles se manifester sans savoir avec précision si c'était l'envie de me faire défoncer le cul ou la peur d'y passer.
Sa queue était tellement énorme, plus large au milieu de sa longueur, bien plus large et ses vingt quatre centimètres de long. Ce soir là, j'étais frustré, j'avais le feu au cul et la cervelle en feu. Et j'étais dans cet état à chaque fois que je le voyais.
A la veille du week-end j'étais sorti, je n'avais pas vu Marc, personne ne l'avait vu. J'étais rentré tôt en me demandant si j'allais sortir en boîte. C'était un truc de fou ça. Jusque là je gérais bien ma cage de chasteté mais depuis que j'avais rencontré Marc, enfin depuis que nous étions intimes, je ne gérais plus rien. J'étais en manque, il avait, avec sa matraque démesurée, réveillé en moi des désirs, des envies, des besoins.
C'est simple depuis que j'y avais goûté, le feu au cul. Mais un truc de fou comme ça ne m'étais jamais arrivé. Je commençais à regarder l'entre jambe des hommes que je rencontrait, tous les hommes que je rencontrais. Une bosse même légère, un repli de tissus et j'étais en manque.
Je crois que j'étais en manque en permanence depuis ce jour là.
Nous étions donc à la veille du week-end. Je venais de me coucher et j'entendais frapper à la porte, ça frappait même fort.
C'était Marc !
C'est tout content et tout frétillant du cul que j'ouvrais la porte, il me faisait un grand sourire.
– Je ne te dérange pas ?
Je faisais non de la tête.
– J'ai emmené de la bière.
Puis quand il avançait je découvrais juste derrière lui un autre mec, qui tenait dans ses bras un gros pack de bière.
– Je te présente Nic.
Et sans me demandé mon avis, il entrait et Nic le suivait. Il me saluait au passage. Je refermais. J'étais content de le revoir, bon il n'était pas venu seul, mais on terminerait certainement la nuit entre nous. Moi dans ses bras, lui dans mon cul.
J'arrivais dans le salon, ils étaient déjà installé et Nic ouvrait un troisième bière. Il était costaud le petit bonhomme. Je dis petit, il était plus petit de Marc mais il était aussi bien plus large. Le torse, les bras, les jambes étaient larges il avait une bonne tête, je le trouvais assez sexy, surtout qu'il avait une belle grosse bosse là ou il fallait.
– C'est lui le mec dont tu m'as parlé ? Demandait Nic à Marc.
– C'est lui !
Je les regardais l'un puis l'autre et prenait la bière que Nic me tendait.
– Et il a dit quoi sur moi ?
– Tout, je lui ai tout dit. Répondait Marc.
Nic rigolait à cette réponse, j'avais un peu l'ai inquiet et fronçais les sourcils.
– Alors c'est toi qui à une petite bite ? Me demandait Nic avant d'avaler une grande gorgée de bière.
– J'ai pas dit qu'il avait une petite bite, en fait je sais pas comment elle est sa bite. Rajoutait Marc.
– Je voudrais bien voir …– Vas y montre lui. Il devrait aimer et lui aussi il en a une énorme, pas comme la mienne mais énorme tout de même.
J'hésitais quelques secondes, j'avalais la moitié de ma bière, je me relevais et je baissais mon pantalon.
Nic regardait ça, il n'en revenait pas.
– C'est pas des conneries en plus !
– Si tu veux t'amuser un peu avec lui, vas y ! Ne te gène pas, je te le prête ! Déclarait Marc.
Là je tiquais.
Nic semblait amusé, il m'attrapait les couilles. Il me tirait vers lui, je suivais mais je râlais doucement … '' Éhhhh... '' . Il me tripotait généreusement les couilles et s'amusait avec ma cage, j'allais râler, pour de vrai cette fois quand il baissait son pantalon et dévoilait une bite énorme.
Décidément Marc savait choisir ses copains, et je ne râlais plus du tout, je laissais Nic faire, c'est vrai que j'avais été prêté !
Nic n'était pas constitué du tout comme Marc, il avait un gros gland, une grosse queue bien large et bien droite. Elle était bien moins longue que celle de Marc mais faisait tout de même ses vingt centimètres. Je commençais à m'habituer aux gros calibre et il n'avait pas le temps de me demander de me sucer que j'étais déjà à genoux devant lui à lui caresser le gland avec ma langue.
Au niveau contact ce gros gland semblait plus agréable que celui de Marc mais il fallait voir si sa queue marchait aussi bien. Je sentais mon cul qui se contractait, ma queue qui protestait dans sa cage. Elle devrait être habituée depuis le temps. Je n'en tenais pas compte et prenait la queue de Nic plus profond dans bouche. Avec ma langue je caressais son membre qui glissait lentement dans ma bouche, finissait par s'écraser dans ma gorge et ressortait.
Il appuyait sur ma tête, ça Marc ne me le faisait pas mais c'est vrai qu'avec lui c'était sans espoir. Avec Nic, ça passait. J'ai pas dit que ça passait facilement mais passait. Plus gros il n'y avait aucune chance mais là ça passait encore. Je ne pouvais plus respirer quand je l'avais à fond et il s'amusait à me retenir la tête, il ne me lâchait que quand il sentait que je paniquais. Là je trouve qu'il abusait mais bon, je ne vais tout de même pas passer mon temps à râler.
Il y en a je vous jure qui s'amusent vraiment avec pas grand chose. Là quand je retirait mon visage je râlait pour la forme. Il m'a fait le coup deux ou trois fois puis pour me faire taire il me lançait.
– Retourne toi je vais t'enculer …
Ça marche à tous les coups ! Je ne râlais plus du tout et je prenais position. Il avait une queue plus petite que Marc, mais ça restait dans les gros calibres et je savais que j'allais le sentir passer, je savais que ça passerait et là je frissonnait de désir.
Avec Nic, je me sentais tour drôle, avec Marc c'était terrible mais j'étais accro, j'avais comme l'impression qu'avec Nic ce serait pareil.
Il prenait position, l'angoisse me prenait à la gorge et pas que. Ma queue se réfugiait dans un petit recoin de la cage pour se faire oublier et mon ventre s'affolait. Il se lubrifiait généreusement et sans prévenir poussait. J'ai hurlé, j'ai voulu me dégager mais il me retenait.
Il s'enfonçait jusqu'au fond son ventre frappait mes fesses, et là je me sentais rempli, il m'avait fait mal mais j'en redemandais. Ça passait plus facilement qu'avec Marc, mais c'est vrai qu'il était moins large. Pour ce qui est de la longueur je ne sentais pas vraiment la différence. C'était énorme dans les deux cas.
Nic me retenait contre lui, il me relevait et passait un bras autour de mon cou, par dessus mon épaule. Il m'embrassait avec tendresse et commençait à me limer le cul avec force. Je gémissais mais de plaisir à ce moment.
C'était un plaisir intense, lui aussi il me remplissait bien, lui aussi il me dilatait bien le cul, la forme était plus régulière c'est tout. Il y allait avec force, lentement au début puis plus vite et encore plus vite. Par moment il poussait de toutes ses force contre mes fesses, il me soulevait presque. Là c'était violent.
À d'autres moments il se retirait presque complètement, me donnait un baiser puis s'enfonçait d'un coup jusqu'à la garde, je vous jure que là aussi c'était violent, il poussait fort contre mes fesses puis recommençait.
Je gémissait, je râlais, je faisais des grimaces. Il avait le visage juste à côté du mien, son menton appuyait sur mon épaule, il semblait apprécier.
Puis il changeait de position, il appuyait sur mon dos et recommençait à me limer le cul. Il se donnait, je sentais les efforts qu'il faisait, il me tirait vers lui quand il s'enfonçait, il y mettait de la violence. Le plaisir me submergeait. Il était apparu au milieu de mon ventre, puis au niveau de mon anus et se répandait dans tout mon corps.
Là ce n'était pas de simples gémissements que je poussais, c'était des cris, des râles étouffés, je manquais d'air.
Les derniers coups avant de jouir devenaient très violent. Puis il s'est détendu, il avait éjaculé, je ne disais plus rien, c'est lui qui râlait de plaisir.
– Marc avait raison. Tu encaisses bien toi.
Il se retirait, je jutais abondamment, je ne jouissais pas, ça c'était déjà fait. Il me gardait dans ses bras et on partageait alors un peu de tendresse. Puis on se dirigeait vers la salle de bain.
On n'avait oublié Marc dans cette histoire, il était à poil profondément endormi sur le canapé. Je jetais sur lui, un sorte de couverture très douce et c'est avec Nic que je me retrouvais au lit. J'ai bien dormi, je vous jure, j'ai vraiment bien dormi.
Il s'est amusé un moment à me tripoter les couilles, ça semblait l'amuser ce truc.
– Et ça te fait quoi exactement ce truc.
– Ça me donne le feu au cul, tu devrais essayer.
– Non ça c'est pas pour moi. Me répondait-il, puis il ne disait plus rien.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Cette attention lui avait beaucoup plu. J'ai tourné le dos quelques instants et la clé avait disparu. Je ne l'ai pas encore revue depuis …
– Alors c'est moi qui commande ? Me demandait-il.
– Eh ! Attention je ne suis pas ton esclave, je suis pas à ton service !
– Tu me donnes juste le droit de cuissage alors ? Ça ira, c'est déjà bien … Je prends !
– On peut voir les choses comme ça.
On a déjeuné. On a discuté.
– Tu sais, c'est rare un cul comme le tien ou je peux rentrer entièrement.
– Tu n'en avait jamais trouvé avant ?
– Chez les fille non jamais ! Chez les mecs, j'en ai déjà trouvé plusieurs qui voulaient bien essayer mais ils avaient tous les yeux plus gros que le ventre.
– Des petites natures.
– Il y en a un en particulier qui voulait absolument de ma queue mais quand j'en suis arrivé à la partie la plus épaisse il a hurlé, il s'est dégagé et il s'est sauvé en courant.
– Des petites natures je te dis.
– Franchement tu m'as impressionné.
Moi aussi il m'avait impressionné, je l'avais senti passé et ça me faisait toujours la même sensation que je le voyais. Quand je voyais sa queue énorme je veux dire, quand je la voyais prendre du volume, plus grosse qu'une canette de caca cola, plus longue que mon bras … Enfin peut être pas par contre là.
Quand il se levait, je ne pouvais détacher mon regard de sa queue, je regardais cette grosse, très grosse molle qui se balançait lourdement. Mais c'est vrai que même au repos, il avait toujours une grosse molle.
C'était terrifiant à voir, je n'arrivais pas à croire que c'était ce truc que je m'étais pris dans le cul la veille au soir et je la sentais encore me déchire l'anus. C'était vrai en plus, je la sentais encore. Pas me déchirer le cul bien sûr, mais dans mon cul je sentait encore ce massage, comme s'il y avait encore une petite queue qui me caressait les entrailles.
C'était une sensation douce et agréable que j'ai gardé toute la journée. Il faut dire qu'il m'avait bien stimuler l'animal. Je n'avais pas vraiment envie qu'il recommence, je me sentais bien, comblé. Mais si jamais il voulait remettre ça, je savais que je le laisserais faire. Je serais pris d'une trouille incontrôlable, je gueulerais et pas que de plaisir mais surtout de plaisir …
Là, à ce moment, je ne voulais pas mais je l'aurais laissé faire.
Il est allé se douché, je l'ai rejoint un peu plus tard, le temps de faire un câlin sous la douche et il devait repartir.
J'ai pas mal réfléchi sur cette nuit et surtout sur ce matin. Je m'en étais remis à lui, je lui avait laissé mes clés. C'est vrai qu'il voulait que je garde mon dispositif de chasteté tout le temps. Et puis, si je n'en avais pas un en permanence justement, je me demande si j'aurais eu assez le feu au cul pour me prendre sa grosse matraque entre les fesses. C'est pas sûr ça.
J'ai revu Marc quelques jours plus tard à notre bar habituel. On a discuté un moment, on a bu quelques verres. Je me sentais tout frétillant avec l'envie de me faire défoncer le cul, il n'est pas resté longtemps, il travaillait, il était fatigué, il a préféré rentrer, je suis resté sur ma faim.
Pas cool, j'avais l'impression de mouiller de désir à chaque fois que je le voyais. Je vous rassure c'est une manière de parler, je ne mouille pas, je suis un mec, un vrai, un mâle … Mais je sentais déjà mes entrailles se manifester sans savoir avec précision si c'était l'envie de me faire défoncer le cul ou la peur d'y passer.
Sa queue était tellement énorme, plus large au milieu de sa longueur, bien plus large et ses vingt quatre centimètres de long. Ce soir là, j'étais frustré, j'avais le feu au cul et la cervelle en feu. Et j'étais dans cet état à chaque fois que je le voyais.
A la veille du week-end j'étais sorti, je n'avais pas vu Marc, personne ne l'avait vu. J'étais rentré tôt en me demandant si j'allais sortir en boîte. C'était un truc de fou ça. Jusque là je gérais bien ma cage de chasteté mais depuis que j'avais rencontré Marc, enfin depuis que nous étions intimes, je ne gérais plus rien. J'étais en manque, il avait, avec sa matraque démesurée, réveillé en moi des désirs, des envies, des besoins.
C'est simple depuis que j'y avais goûté, le feu au cul. Mais un truc de fou comme ça ne m'étais jamais arrivé. Je commençais à regarder l'entre jambe des hommes que je rencontrait, tous les hommes que je rencontrais. Une bosse même légère, un repli de tissus et j'étais en manque.
Je crois que j'étais en manque en permanence depuis ce jour là.
Nous étions donc à la veille du week-end. Je venais de me coucher et j'entendais frapper à la porte, ça frappait même fort.
C'était Marc !
C'est tout content et tout frétillant du cul que j'ouvrais la porte, il me faisait un grand sourire.
– Je ne te dérange pas ?
Je faisais non de la tête.
– J'ai emmené de la bière.
Puis quand il avançait je découvrais juste derrière lui un autre mec, qui tenait dans ses bras un gros pack de bière.
– Je te présente Nic.
Et sans me demandé mon avis, il entrait et Nic le suivait. Il me saluait au passage. Je refermais. J'étais content de le revoir, bon il n'était pas venu seul, mais on terminerait certainement la nuit entre nous. Moi dans ses bras, lui dans mon cul.
J'arrivais dans le salon, ils étaient déjà installé et Nic ouvrait un troisième bière. Il était costaud le petit bonhomme. Je dis petit, il était plus petit de Marc mais il était aussi bien plus large. Le torse, les bras, les jambes étaient larges il avait une bonne tête, je le trouvais assez sexy, surtout qu'il avait une belle grosse bosse là ou il fallait.
– C'est lui le mec dont tu m'as parlé ? Demandait Nic à Marc.
– C'est lui !
Je les regardais l'un puis l'autre et prenait la bière que Nic me tendait.
– Et il a dit quoi sur moi ?
– Tout, je lui ai tout dit. Répondait Marc.
Nic rigolait à cette réponse, j'avais un peu l'ai inquiet et fronçais les sourcils.
– Alors c'est toi qui à une petite bite ? Me demandait Nic avant d'avaler une grande gorgée de bière.
– J'ai pas dit qu'il avait une petite bite, en fait je sais pas comment elle est sa bite. Rajoutait Marc.
– Je voudrais bien voir …– Vas y montre lui. Il devrait aimer et lui aussi il en a une énorme, pas comme la mienne mais énorme tout de même.
J'hésitais quelques secondes, j'avalais la moitié de ma bière, je me relevais et je baissais mon pantalon.
Nic regardait ça, il n'en revenait pas.
– C'est pas des conneries en plus !
– Si tu veux t'amuser un peu avec lui, vas y ! Ne te gène pas, je te le prête ! Déclarait Marc.
Là je tiquais.
Nic semblait amusé, il m'attrapait les couilles. Il me tirait vers lui, je suivais mais je râlais doucement … '' Éhhhh... '' . Il me tripotait généreusement les couilles et s'amusait avec ma cage, j'allais râler, pour de vrai cette fois quand il baissait son pantalon et dévoilait une bite énorme.
Décidément Marc savait choisir ses copains, et je ne râlais plus du tout, je laissais Nic faire, c'est vrai que j'avais été prêté !
Nic n'était pas constitué du tout comme Marc, il avait un gros gland, une grosse queue bien large et bien droite. Elle était bien moins longue que celle de Marc mais faisait tout de même ses vingt centimètres. Je commençais à m'habituer aux gros calibre et il n'avait pas le temps de me demander de me sucer que j'étais déjà à genoux devant lui à lui caresser le gland avec ma langue.
Au niveau contact ce gros gland semblait plus agréable que celui de Marc mais il fallait voir si sa queue marchait aussi bien. Je sentais mon cul qui se contractait, ma queue qui protestait dans sa cage. Elle devrait être habituée depuis le temps. Je n'en tenais pas compte et prenait la queue de Nic plus profond dans bouche. Avec ma langue je caressais son membre qui glissait lentement dans ma bouche, finissait par s'écraser dans ma gorge et ressortait.
Il appuyait sur ma tête, ça Marc ne me le faisait pas mais c'est vrai qu'avec lui c'était sans espoir. Avec Nic, ça passait. J'ai pas dit que ça passait facilement mais passait. Plus gros il n'y avait aucune chance mais là ça passait encore. Je ne pouvais plus respirer quand je l'avais à fond et il s'amusait à me retenir la tête, il ne me lâchait que quand il sentait que je paniquais. Là je trouve qu'il abusait mais bon, je ne vais tout de même pas passer mon temps à râler.
Il y en a je vous jure qui s'amusent vraiment avec pas grand chose. Là quand je retirait mon visage je râlait pour la forme. Il m'a fait le coup deux ou trois fois puis pour me faire taire il me lançait.
– Retourne toi je vais t'enculer …
Ça marche à tous les coups ! Je ne râlais plus du tout et je prenais position. Il avait une queue plus petite que Marc, mais ça restait dans les gros calibres et je savais que j'allais le sentir passer, je savais que ça passerait et là je frissonnait de désir.
Avec Nic, je me sentais tour drôle, avec Marc c'était terrible mais j'étais accro, j'avais comme l'impression qu'avec Nic ce serait pareil.
Il prenait position, l'angoisse me prenait à la gorge et pas que. Ma queue se réfugiait dans un petit recoin de la cage pour se faire oublier et mon ventre s'affolait. Il se lubrifiait généreusement et sans prévenir poussait. J'ai hurlé, j'ai voulu me dégager mais il me retenait.
Il s'enfonçait jusqu'au fond son ventre frappait mes fesses, et là je me sentais rempli, il m'avait fait mal mais j'en redemandais. Ça passait plus facilement qu'avec Marc, mais c'est vrai qu'il était moins large. Pour ce qui est de la longueur je ne sentais pas vraiment la différence. C'était énorme dans les deux cas.
Nic me retenait contre lui, il me relevait et passait un bras autour de mon cou, par dessus mon épaule. Il m'embrassait avec tendresse et commençait à me limer le cul avec force. Je gémissais mais de plaisir à ce moment.
C'était un plaisir intense, lui aussi il me remplissait bien, lui aussi il me dilatait bien le cul, la forme était plus régulière c'est tout. Il y allait avec force, lentement au début puis plus vite et encore plus vite. Par moment il poussait de toutes ses force contre mes fesses, il me soulevait presque. Là c'était violent.
À d'autres moments il se retirait presque complètement, me donnait un baiser puis s'enfonçait d'un coup jusqu'à la garde, je vous jure que là aussi c'était violent, il poussait fort contre mes fesses puis recommençait.
Je gémissait, je râlais, je faisais des grimaces. Il avait le visage juste à côté du mien, son menton appuyait sur mon épaule, il semblait apprécier.
Puis il changeait de position, il appuyait sur mon dos et recommençait à me limer le cul. Il se donnait, je sentais les efforts qu'il faisait, il me tirait vers lui quand il s'enfonçait, il y mettait de la violence. Le plaisir me submergeait. Il était apparu au milieu de mon ventre, puis au niveau de mon anus et se répandait dans tout mon corps.
Là ce n'était pas de simples gémissements que je poussais, c'était des cris, des râles étouffés, je manquais d'air.
Les derniers coups avant de jouir devenaient très violent. Puis il s'est détendu, il avait éjaculé, je ne disais plus rien, c'est lui qui râlait de plaisir.
– Marc avait raison. Tu encaisses bien toi.
Il se retirait, je jutais abondamment, je ne jouissais pas, ça c'était déjà fait. Il me gardait dans ses bras et on partageait alors un peu de tendresse. Puis on se dirigeait vers la salle de bain.
On n'avait oublié Marc dans cette histoire, il était à poil profondément endormi sur le canapé. Je jetais sur lui, un sorte de couverture très douce et c'est avec Nic que je me retrouvais au lit. J'ai bien dormi, je vous jure, j'ai vraiment bien dormi.
Il s'est amusé un moment à me tripoter les couilles, ça semblait l'amuser ce truc.
– Et ça te fait quoi exactement ce truc.
– Ça me donne le feu au cul, tu devrais essayer.
– Non ça c'est pas pour moi. Me répondait-il, puis il ne disait plus rien.
A suivre
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