Avec Marc 04

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Avec Marc 04 Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Avec Marc 04
Avec Marc 04

C'est Nic qui était réveillé en premier et c'est lui qui me réveillait. Je sentais ses caresses sur tout mon corps. Il insistait lourdement sur mes couilles. Il s'amusait avec mon dispositif de chasteté. Et quand il a vu que je réagissais, que je me réveillais il me serrait dans ses bras et m'embrassait dans le cou.

Je passais mon bras dans son dos et le caressais. Je sentais sa queue qui se redressait contre mon dos, il prenait position sans me demander mon avis, il me lubrifiait le cul et lentement, avec autant de douceur que de force il tentait de la glisser dans mon cul. Ça ne résistait pas bien longtemps et je sentais mon anus se dilater, c'est à peine s'il s'était totalement refermé depuis la veille. En tout cas c'était mon ressenti.

Ça passait presque tout seul et un immense plaisir m'envahissait. Et là je ne parle pas de sa bite, c'était un vrai plaisir qui n'était pas loin de l'orgasme. Je m'était endormi, il avait à peine retiré sa queue de mon cul, je me réveillais et je le sentais remettre ça. C'était bon, terriblement bon.

Je sentais sa queue glisser et je sentais son ventre s'écraser sur mes fesses et là, j'ai crié. C'était un cri de plaisir, et je respirais fort. A cet instant je ne ressentais pas ma queue, elle n'était pas encore réveillée. Et de toutes façons que pouvait-elle faire ?

Il se retirait et commençait à me limer avec conviction, il accélérait rapidement le mouvement et il poussait sa queue bien à fond de mon cul. J'étais allongé sur le côté, il était derrière moi. Il serrait dans ses bras et s'agitait, sa queue glissait avec force dans mon cul me dilatant mon anus.

Je râlais de plaisir, c'était bon tellement bon et je ne me souvenais pas avoir eu un tel réveil. Je tremblais de plaisir. Je passais ma main dans mon dos et le caressais en tentant de le retenir comme je pouvais. Ça l'encourageait à continuer. Il y allait avec un peu plus de violence, c'était intense. Je ne contrôlais plus rien.

On était dans un cocon douillet, dans mon lit, je serrait fort mon oreiller dans mes bras et son ventre frappais contre mes fesses avec régularité. Il devenait violent et il râlait lui aussi, je devinais qu'il jouissait, qu'il éjaculait dans mon cul.

Brusquement il se calmais et redevait très câlin. Il recommençait à me caresser et à me tripoter les couilles.

– Ça m'excite ton truc, tu ne peux pas t'imaginer. Me disait-il.

Je répondais par quelques gémissements. Il me répondait par un baiser fougueux. C'est à ce moment que Marc nous tombait dessus littéralement. Depuis un moment il était là à nous regarder depuis l'ouverture de la porte. Et nous sautait dessus dès qu'il a vu Nic se retirer.

J'ai poussé un cri mais c'était uniquement la surprise. Marc bandait comme un fou.

– Vous m'avez bien fait chauffé le cervelle tous les deux.
– Ça fait longtemps que tu es là ? Demandait Nic.
– Ça fait un moment oui. Répondait-il en remuant sa grosse queue bien gonflée.

Moi je ne disais rien, je préférait laisser faire. Marc m'avait déjà retourné sur le dos, il relevait mes jambes et les écartait, il me tirait vers lui et c'est sans me demander mon avis qu'il prenait position, remarquez si j'avais pas été d'accord je pouvais encore protester mais, oulala non, là je préférais le laisser faire.

Dans mon corps je sentais encore la présence de Nic, je me sentais encore très dilaté, très accueillant. Je paniquais encore un peu, Marc était plus large que Nic. En son milieu, sa queue était même plus large. Ça devait passer, ça allait passer, je savais que ça passait mais j'avais toujours une certaine trouille.

Je venait de me faire limer généreusement par un mer super bien monté, j'allais me faire défoncer par un mec encore plus gros.

Marc n'avait pas envie de rigoler, déjà son visage devenait sérieux. Mois je crois bien que j'exprimais de la panique mais c'est vrai que j'adore, c'est vrai que je l'ai dans la peau maintenant. Il glissait la moitié de sa queue dans mon cul, il s'arrêtait juste avant que la largeur ne devienne énorme.

Je poussais un grand soupir et gémissait très fort … '' Oui vas y, défonce moi le cul ! ''.

Il poussait un peu plus fort, je criais. Il se retirait je me détendais. Il revenait, de nouveau s'arrêtait au même endroit, se penchait sur moi, m'embrassait et poussait plus fort, bien plus fort. J'ai cru que mon cul allait déchirer. Je m'y habitue mais doucement, lentement, il y a encore du travail.

Le plus large passait, non sans me donner quelques sueurs froides et quelques sensation très chaudes. Ensuite ça allait mieux, ensuite je sentais sa queue s'enfoncer encore plus profond que Nic n'était allé. Marc fait bien ses quatre centimètres de plus. Et vous pouvez me croire, à ce niveau, quatre centimètres c'est beaucoup. Et puis il y avait cette forme, sa queue était plus large, bien plus large en son centre. Ça aussi je le sentais, même après le passage de l'anus, je le sentais toujours.

Marc se penchait sur moi, me prenait dans ses bras et m'embrassait. Les mains qui se promenaient sur mes fesses n'étaient pas les siennes. Nic me caressait avec curiosité. Il voulait sentir avec les doigts ce qu'il voyait avec les yeux.

Marc s'enfonçait bien à fond, et poussait de toutes ses force. C'était terrible juste entre l'orgasme et l'horreur, juste à la limite. C'était le pied, le plaisir était total et la douleur n'était plus de la douleur mais une sensation étrange qui faisait peur, qui me faisait paniquer mais que je réclamais maintenant.

Marc m'embrassait avec passion, il me caressait, je refermais mes jambes dans son dos et le retenais contre moi. Et il y avait toujours les deux mains de Nic qui se promenaient sur mes fesses, sur mon torse et sur passaient aussi sur le corps de Marc.

Par moment quand la position le permettait Nic glissait une main entre Marc et moi, il en profitait pour me tripoter les couilles et s'amuser ou s'assurer que ma cage était bien là. C'était intense, très chaud. Marc se retirait de mon cul sans prévenir.

J'ai hurlé, j'ai refermé mes jambes et je l'ai retenu comme je pouvais.

Il est revenu à la charge, de nouveau je l'ai senti passer puis jugeant que j'étais chaud, il a commencer à me limer le cul avec régularité. Il s'enfonçait, se retirait puis recommençait.

Nic explorait nos deux corps au niveau de mon cul et la queue de Marc mais aussi au niveau de mes couilles et de ma cage. Ensuite il passait aux fesses de Marc.

D'une main je caressait le corps de Nic qui était toujours à moitié allongé à côté de moi. Rapidement je remarquais qu'il bandait. Marc s'énervait et accélérait le mouvement. J'étais secoué comme dans une machine à laver. Je râlais de plaisir. Mon anus super-dilaté à chaque fois que Marc entrait ou sortait me lançait des éclairs de plaisir. Je jouissais comme un fou mais je restais sec.

Je ne sais pas si ça vous le fait aussi mais je n'arrive pas juter quand mon cul est trop dilaté, je joui mais je ne jute pas, il y a comme un blocage.

C'était trop pour moi, je ne pouvais plus suivre, je laissais tomber, je laissais mes bras retomber, mes jambes lâchaient aussi et Marc s'acharnait encore plus sur mon cul. Il me posait mes chevilles sur les épaules et s'accrochait à mes cuisses. Il les tirait vers lui quand il me donnait des coups de bassin, je n'avais plus que le choix d'encaisser, et j'encaissais.

Sans rien dire à personne Nic se relevait. Il disparaissait quelques instants dans la salle de bain puis revenait. Il bandait toujours, il se glissait derrière Marc et sans prévenir tentait de se glisser en Marc.

J'ai senti Marc réagir au moment ou Nic tentait doucement de l'enculer. Il s'est enfoncé en moi avec violence. J'ai gueulé. Ensuite il a gardé la position et c'est lui qui a gueulé. Nic s'introduisait, je le devinais et je sentait moi aussi le coup de bassin qu'il donnait à Marc au moment ou sa queue se calait entièrement dans l'anus de Marc.

Marc s'allongeait sur moi, il gémissait à mon oreille, il râlait de plaisir pendant que Nic lui limait le cul. Il m'avait bien caché qu'il aimait aussi ça dans ce sens.

J'en prenait plein le cul. Et ça durait, ça durait. Si Marc n'arrive pas à juter avec une grosse matraque dans le cul ça pouvait durer. Surtout qu'on pouvait bander tant qu'on avait la grosse matraque dans le cul. Il faudrait attendre que Nic arrive à conclure, et il venait de jouir et de juter dans mon cul. Ça ne serait que plus long.

J'avais l'impression de mourir mais le plaisir était toujours là, un plaisir intense, un plaisir qui ne finissait pas et même si en fait j'étais bien rempli, je me sentais vidé.

Ça a duré encore un moment, les secondes étaient longues. Les minutes duraient des heures et les heures. Je ne savais plus depuis combien de temps je me faisais défoncer le cul, j'étais tout mou, presque mort quand Nic à fini par réagir en premier. Je l'ai entendu crier de plaisir, il jouissait, je me cramponnais un peu plus à Marc qui me balançait encore un coup violent dans le cul. Je criais à mon tour.

Nic se retirait et se laissait tomber sur le dos, juste à côté de nous. Marc ne réagissait pas tout de suite, je l'ai vu faire une grimace et il a poussé un gémissement. Il a joui et il à juté dans mon cul, il se laissait retombé sur moi au moment ou il se retirait je jutais à mon tour.

Je me sentais soulagé, mais je sentais encore quelque chose, un peu comme si j'avais encore une grosse queue bien molle en moi. Mais là c'était surtout très doux, très agréable, je me sentais bien, terriblement bien à ce moment. Il n'y avait plus que les caresses que me prodiguaient mes deux partenaires.

À ce moment, sans rien ressentir je jutais généreusement. Un flot de sperme coulait sans fin de ma cage de chasteté.

On restait là sans bouger pendant encore un long moment. Je finissais par me lever et annonçais victorieusement …
– Et si on se faisait un petit déjeuner ?

Ils répondaient par un '' Woué '' sans enthousiasme. Je me levais m'étirais, récupérais un peu avant de partir vers la cuisine. Je me sentais bien, un peu retourné mais bien. J'avais encore l'impression de sentir quelque chose dans mon cul. Ils m'avaient tellement bien dilaté ces deux là, mais j'encaisse de mieux en mieux.

Il y a seulement quelques jours j'avais un mal fou à me prendre la queue de Marc dans le cul, là je venais de la prendre et c'était bon, pas facile mais terriblement bon. Nic m'avait comme préparé et comme il en avait un grosse lui aussi, vous pouvez me croire j'étais bien préparé. À chaque pas je sentais encore cette masse volumineuse qui me remplissait quelques minutes plus tôt, ça m'a duré toute la journée, et toute la journée je me suis régalé.

Le lendemain matin je ressentais encore quelque chose.

On a pris notre petit déjeuner, on a discuté, j'ai fait plus ample connaissance avec Nic, même si nous étions désormais intimes et si nous nous connaissions au sens biblique du terme … Je ne le connaissais jamais que depuis la veille.

Je lui au aussi donné le droit de cuissage ou alors c'est lui qui s'en ait emparé, je ne sais plus trop. Enfin c'est pareil, comme Marc, il peut venir me voir quand il veut pour m'enculer.

Je me souviens lui avoir demandé …
Au fait ton surnom ' Nic ' c'est parce que ' Nique ' ? Ça te va bien en tout cas.

En rigolant il me répondait …
Non, pas du tout ! C'est parce que mon prénom complet c'est ' Nicéphore ' …

Fin



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