Avec mon PDG
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-06-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Avec mon PDG
Sous ses grands airs elle est très abordable ma patronne, la PDG de la boite. Enfin
pour moi: nous étions à l’école ensembles, depuis la maternelle jusqu’en fac. Je suis
entré dans la boite bien avant elle qui poursuivait des études bien plus loin que moi.
Nous nous sommes retrouvé une dizaine d’année plus tard. Si avant je la trouvais
belle, maintenant elle était magnifique. Le jour de son arrivée, elle a organisé une
réunion générale où elle se présentait.
Aussitôt je passais pour le chouchou de la patronne d’abord parce que nous nous sommes
embrassés sur les joues et ensuite parce qu’on se tutoyait et que nous nous appelions
par nos prénoms. Pierre et Yvette.
A mes proches collègues je racontais le pourquoi, certains me croyaient d’autres pas.
A près tout, j’avais la conscience tranquille, je m’en fichait totalement.
Rarement nous sortions ensemble: elle était bien prise par son boulot. Dans ses cas là
nous étions catalogués comment amant. Un jour elle me convoque dans son donjon: elle
refuse le baiser habituel: maintenant nous allons vivre comme étrangers. Par contre
hors de la boite nous pouvons nous voir autant que nous voulons. C’est parait-il
logique: une logique féminine sans doute que je ne comprends pas. Pour me prouver la
justesse de son raisonnement, elle m’invite chez elle pour le soir même. Je suis un
peu en retard en arrivant vers 21 heures; elle m’accueille comme si de rien n’était.
- Tu es seul Pierre ?
- Oui, je n’ai pas de petite amie et toi ?
- Comme toi, je suis célibataire: c’est pesant.
- C’est vrai, j’aimerait bien avoir une femme dans mes bras pour…………
Je stoppe là. Elle peut croire ce qu’elle veut, j’ai lâché une bêtise à moi de
l’assumer.
- Tu ne vas pas me dire que tu n’as pas de rapport avec les femmes ?
- Non, ce n’est pas ça. Il n’empêche que d’avoir une belle fille dans son lit, c’est
agréable, surtout pour elle.
- Menteur.
- Passes à table au lieu de dire des bêtises grosses comme toi.
Je suis d’un naturel obéissant, je passe à table. Elle enlève le service d’une
troisième personne qu’elle pensait découvrir. Nous dinons naturellement, nous évoquons
nos jeunes années, depuis les bon souvenirs jusqu’à ce que nous devions oublier: les
bêtises de gamins: Nous allons jusqu’à notre premier baiser sur la bouche quand nous
avions 12 ou 13 ans.
Nous en gardons chacun un excellent souvenir. Nous aurions bien fait de ne pas en
parler: il éveille plus que des souvenir, il réveille ma libido et certainement celle
d‘Yvette. Je prends sa main qu’elle ne retire pas: elle me sourit au contraire. Je lui
raconte ma première aventure avec une de ses copine quand nous avion dans le 15 ans.
Cette fille dont je ne me souviens même plus du prénom avait le feu aux fesses.
J’avais su par un copain de classe qu’elle avait déjà de l’expérience, aussi je lui ai
carrément demandé de faire l’amour avec moi. Elle avait accepté: qu’elle expérience
d’un dépucelage. Je me souvient encore de l’avoir mise nue, il a fallut que je me
mette nu moi aussi. Je n’osais pas, alors elle sortait ma bite bien bandée. J’admirais
son corps de jeune femme. J’aurais bien voulu la voir debout pour comparer. Ce qu’elle
voulais simplement c’était d’avoir ma bite dans son sexe. Aussi je le mettais sur
elle, entre ses cuisses ouvertes. Je ne me souvient même pas avoir vu son entre jambe.
Par contre je me souvient encore de l’extraordinaire plaisir que j’ai eu en entrant
dans son ventre, ça n’avais rien à voir avec la masturbation. Je la sentais jouir
autour de ma bite à peine entrée. J’éjaculais pour la première fois dans le ventre
d’une fille, alors que maintenant……
- Maintenant quoi, tu voudrais que je me donne à toi, Pierre ?
- Oui. J’ai envie de toi, Yvette depuis quelques temps.
- Tu pense réellement que je vais te donner mon con.
- Oui, je te ferai bien jouir.
- Alors allons baiser dans le chambre.
Je me trouve avec une ancienne copine prête à baiser avec. Tout ce que j’ai dit est
vrai, j’ai envie d’elle;
Elle est parfaite, elle me déshabille rapidement, elle me laisse me débrouiller aves
ses frusques. Il ne lui reste qu’un tout petit string. Si les employés de notre boite
nous voyaient……6
Ce n’est, certes plus la patronne, c’est toujours ma copine. C’est plus que ma copine
c’est tout simplement une femme chaude. Nos bouches qui ne se connaissaient plus font
largement connaissance.
Je suis debout contre elle: je bande, ma bite est contre son ventre qu’elle remue
lentement pour mieux me sentir. Aujourd’hui c’est vrai il me semble que ma bite est
plus grosse que d’habitude. Mes mains descendent le long de son dos jusqu’aux fesses.
Je ne me posse aucun question, elle a accepté de coucher avec moi, alors je ne fais
pas le difficile: je passe deux doigts entre ses globes. Elle écarte un peu les
fesses. J’arrive en bas du dos sur son anus. Je le frôle à peine avant de caresser sa
fente par derrière. Elle me laisse faire quand je trouve le clitoris: de son coté elle
aussi en fait autant. Sauf qu’une main s’empare de ma bite sans me branler et que
l’autre main est sur mon cul. A croire qu’elle connait mes points sensibles.
Nous tombons sur le lit, comme nous sommes, sauf que je suis sous elle. Sans rien
demander elle se tourne, m’offre son sexe sur la bouche, en étant à cheval sur ma
tête. Je sens son odeur intime, une odeur que je ne connaissais pas du tout, c’est
bon. Je lui mets ma langue sur l’entier sexe. Elle me plait tant que je ne sais pas du
tout à aller pour la faire jouir. Elle me dirige avec une seule main. J’atterri sur
son clitoris. Je le lèche à peine avant de le prendre dans la bouche. Son gout à un
effet bien supérieur à l’alcool. C’est une aphrodisiaque puissant. Je me sens bander
encore plus. Par une manœuvre savante elle prend ma bite entre ses lèvres.
J’ai son jus quand elle jouit entre mes lèvres. Son premier orgasme. J’ai dégelé un
iceberg, qui finalement ne l’était certainement pas. Par contre elle s’acharne sur ma
queue, à croire que je suis le premier à aller dans sa bouche, et pourtant elle suce
sacrément bien, de mieux en mieux. Je l’avertis de ma prochaine éruption, sans qu’elle
procède à l’évacuation. Elle me garde en bouche, doucement elle avale le sperme. Quand
elle se relève vers moi il ne lui reste aucune trace dans la bouche.
Nous nous embrassons comme des dingues pour retrouver nos gout dans la bouche de
l’autre.
Elle me raconte sa première fois: à 16 ans, un cousin à elle lui a gentiment demander
de la baiser. Lasse des masturbations elle accepte. Ils se sont aimés un soir au clair
de lune, sur un coussin d’herbe. Il lui a fait mal la première fois. Il a recommencé
aussitôt après et là elle a eu son premier orgasme avec un garçon.
Depuis sa première fois elle a presque tout fait sauf ce que j’ai a découvrir. Je me
doute bien de la façon qu’elle a du refuser plusieurs fois. Je la tourne sur le
ventre, lui fait écarter les jambes. Je suis assez dur et gros pour satisfaire mon
désir et le sien, bien qu’elle ne veuille pas me dire de quoi il s’agit.
Je prends de sa mouille sur son sexe, il y en a assez pour plusieurs culs. Sa cyprine
est assez fluide et huileuse pour que j’en profite. Je la baise ainsi juste un aller
et retour dans la chatte. Je pose ma bite sur l’objet de ma convoitise. Elle a beau me
dire non, elle ne veut pas. Tout ce qu’elle dit est nul pour moi: je ne l’écoute lus,
il faut qu’elle se plie au désir du mâle;
Je suis sur son anus, Yvette me répète encore qu’elle ne veut pas. Tans pis pour elle
je suis sur qu’elle va jouir. Aussi j’entre très lentement dans son ventre. Mon gland
doit mettre deux minutes à entrer et traverser le sphincter. Je sens le bien que ma
bite reçoit en traversant son anus. Elle cesse de se plaindre pour gémir un instant
après et crier qu’elle jouit au final. Je vais et viens dans ce cul vierge: elle
commence à aimer se faire enculer. Je la sens jouir plusieurs fois: elle adore ma pine
dans son cul.
Nous reprenons à zéro. Si je jouis plus lentement, elle jouit plus vite. Elle cri
maintenant à chaque orgasme. D’elle-même elle demande « sa ration » dans le cul. Elle
refuse de faire ce que d’autres font, elle ne me suce jamais après que je sois sorti
de son cul.
La suite sera plus chaude, si vous la demandez
pour moi: nous étions à l’école ensembles, depuis la maternelle jusqu’en fac. Je suis
entré dans la boite bien avant elle qui poursuivait des études bien plus loin que moi.
Nous nous sommes retrouvé une dizaine d’année plus tard. Si avant je la trouvais
belle, maintenant elle était magnifique. Le jour de son arrivée, elle a organisé une
réunion générale où elle se présentait.
Aussitôt je passais pour le chouchou de la patronne d’abord parce que nous nous sommes
embrassés sur les joues et ensuite parce qu’on se tutoyait et que nous nous appelions
par nos prénoms. Pierre et Yvette.
A mes proches collègues je racontais le pourquoi, certains me croyaient d’autres pas.
A près tout, j’avais la conscience tranquille, je m’en fichait totalement.
Rarement nous sortions ensemble: elle était bien prise par son boulot. Dans ses cas là
nous étions catalogués comment amant. Un jour elle me convoque dans son donjon: elle
refuse le baiser habituel: maintenant nous allons vivre comme étrangers. Par contre
hors de la boite nous pouvons nous voir autant que nous voulons. C’est parait-il
logique: une logique féminine sans doute que je ne comprends pas. Pour me prouver la
justesse de son raisonnement, elle m’invite chez elle pour le soir même. Je suis un
peu en retard en arrivant vers 21 heures; elle m’accueille comme si de rien n’était.
- Tu es seul Pierre ?
- Oui, je n’ai pas de petite amie et toi ?
- Comme toi, je suis célibataire: c’est pesant.
- C’est vrai, j’aimerait bien avoir une femme dans mes bras pour…………
Je stoppe là. Elle peut croire ce qu’elle veut, j’ai lâché une bêtise à moi de
l’assumer.
- Tu ne vas pas me dire que tu n’as pas de rapport avec les femmes ?
- Non, ce n’est pas ça. Il n’empêche que d’avoir une belle fille dans son lit, c’est
agréable, surtout pour elle.
- Menteur.
- Passes à table au lieu de dire des bêtises grosses comme toi.
Je suis d’un naturel obéissant, je passe à table. Elle enlève le service d’une
troisième personne qu’elle pensait découvrir. Nous dinons naturellement, nous évoquons
nos jeunes années, depuis les bon souvenirs jusqu’à ce que nous devions oublier: les
bêtises de gamins: Nous allons jusqu’à notre premier baiser sur la bouche quand nous
avions 12 ou 13 ans.
Nous en gardons chacun un excellent souvenir. Nous aurions bien fait de ne pas en
parler: il éveille plus que des souvenir, il réveille ma libido et certainement celle
d‘Yvette. Je prends sa main qu’elle ne retire pas: elle me sourit au contraire. Je lui
raconte ma première aventure avec une de ses copine quand nous avion dans le 15 ans.
Cette fille dont je ne me souviens même plus du prénom avait le feu aux fesses.
J’avais su par un copain de classe qu’elle avait déjà de l’expérience, aussi je lui ai
carrément demandé de faire l’amour avec moi. Elle avait accepté: qu’elle expérience
d’un dépucelage. Je me souvient encore de l’avoir mise nue, il a fallut que je me
mette nu moi aussi. Je n’osais pas, alors elle sortait ma bite bien bandée. J’admirais
son corps de jeune femme. J’aurais bien voulu la voir debout pour comparer. Ce qu’elle
voulais simplement c’était d’avoir ma bite dans son sexe. Aussi je le mettais sur
elle, entre ses cuisses ouvertes. Je ne me souvient même pas avoir vu son entre jambe.
Par contre je me souvient encore de l’extraordinaire plaisir que j’ai eu en entrant
dans son ventre, ça n’avais rien à voir avec la masturbation. Je la sentais jouir
autour de ma bite à peine entrée. J’éjaculais pour la première fois dans le ventre
d’une fille, alors que maintenant……
- Maintenant quoi, tu voudrais que je me donne à toi, Pierre ?
- Oui. J’ai envie de toi, Yvette depuis quelques temps.
- Tu pense réellement que je vais te donner mon con.
- Oui, je te ferai bien jouir.
- Alors allons baiser dans le chambre.
Je me trouve avec une ancienne copine prête à baiser avec. Tout ce que j’ai dit est
vrai, j’ai envie d’elle;
Elle est parfaite, elle me déshabille rapidement, elle me laisse me débrouiller aves
ses frusques. Il ne lui reste qu’un tout petit string. Si les employés de notre boite
nous voyaient……6
Ce n’est, certes plus la patronne, c’est toujours ma copine. C’est plus que ma copine
c’est tout simplement une femme chaude. Nos bouches qui ne se connaissaient plus font
largement connaissance.
Je suis debout contre elle: je bande, ma bite est contre son ventre qu’elle remue
lentement pour mieux me sentir. Aujourd’hui c’est vrai il me semble que ma bite est
plus grosse que d’habitude. Mes mains descendent le long de son dos jusqu’aux fesses.
Je ne me posse aucun question, elle a accepté de coucher avec moi, alors je ne fais
pas le difficile: je passe deux doigts entre ses globes. Elle écarte un peu les
fesses. J’arrive en bas du dos sur son anus. Je le frôle à peine avant de caresser sa
fente par derrière. Elle me laisse faire quand je trouve le clitoris: de son coté elle
aussi en fait autant. Sauf qu’une main s’empare de ma bite sans me branler et que
l’autre main est sur mon cul. A croire qu’elle connait mes points sensibles.
Nous tombons sur le lit, comme nous sommes, sauf que je suis sous elle. Sans rien
demander elle se tourne, m’offre son sexe sur la bouche, en étant à cheval sur ma
tête. Je sens son odeur intime, une odeur que je ne connaissais pas du tout, c’est
bon. Je lui mets ma langue sur l’entier sexe. Elle me plait tant que je ne sais pas du
tout à aller pour la faire jouir. Elle me dirige avec une seule main. J’atterri sur
son clitoris. Je le lèche à peine avant de le prendre dans la bouche. Son gout à un
effet bien supérieur à l’alcool. C’est une aphrodisiaque puissant. Je me sens bander
encore plus. Par une manœuvre savante elle prend ma bite entre ses lèvres.
J’ai son jus quand elle jouit entre mes lèvres. Son premier orgasme. J’ai dégelé un
iceberg, qui finalement ne l’était certainement pas. Par contre elle s’acharne sur ma
queue, à croire que je suis le premier à aller dans sa bouche, et pourtant elle suce
sacrément bien, de mieux en mieux. Je l’avertis de ma prochaine éruption, sans qu’elle
procède à l’évacuation. Elle me garde en bouche, doucement elle avale le sperme. Quand
elle se relève vers moi il ne lui reste aucune trace dans la bouche.
Nous nous embrassons comme des dingues pour retrouver nos gout dans la bouche de
l’autre.
Elle me raconte sa première fois: à 16 ans, un cousin à elle lui a gentiment demander
de la baiser. Lasse des masturbations elle accepte. Ils se sont aimés un soir au clair
de lune, sur un coussin d’herbe. Il lui a fait mal la première fois. Il a recommencé
aussitôt après et là elle a eu son premier orgasme avec un garçon.
Depuis sa première fois elle a presque tout fait sauf ce que j’ai a découvrir. Je me
doute bien de la façon qu’elle a du refuser plusieurs fois. Je la tourne sur le
ventre, lui fait écarter les jambes. Je suis assez dur et gros pour satisfaire mon
désir et le sien, bien qu’elle ne veuille pas me dire de quoi il s’agit.
Je prends de sa mouille sur son sexe, il y en a assez pour plusieurs culs. Sa cyprine
est assez fluide et huileuse pour que j’en profite. Je la baise ainsi juste un aller
et retour dans la chatte. Je pose ma bite sur l’objet de ma convoitise. Elle a beau me
dire non, elle ne veut pas. Tout ce qu’elle dit est nul pour moi: je ne l’écoute lus,
il faut qu’elle se plie au désir du mâle;
Je suis sur son anus, Yvette me répète encore qu’elle ne veut pas. Tans pis pour elle
je suis sur qu’elle va jouir. Aussi j’entre très lentement dans son ventre. Mon gland
doit mettre deux minutes à entrer et traverser le sphincter. Je sens le bien que ma
bite reçoit en traversant son anus. Elle cesse de se plaindre pour gémir un instant
après et crier qu’elle jouit au final. Je vais et viens dans ce cul vierge: elle
commence à aimer se faire enculer. Je la sens jouir plusieurs fois: elle adore ma pine
dans son cul.
Nous reprenons à zéro. Si je jouis plus lentement, elle jouit plus vite. Elle cri
maintenant à chaque orgasme. D’elle-même elle demande « sa ration » dans le cul. Elle
refuse de faire ce que d’autres font, elle ne me suce jamais après que je sois sorti
de son cul.
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