Avec plaisir tata!
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Avec plaisir tata!
Pas plus tard que le lendemain, je renouvelle une visite chez ma tante. Mais personne ne répond à mes coups de sonnette. La frustration me rend comme fou. Je n’ai qu’une issue. L’attendre, en me repassant le film de la veille. Faisant travailler pour ça mon esprit. Me remémorant le son de ses cris, de ses paroles, voire de ses odeurs. Et aussi, de sa chatte grande ouverte devant mes yeux. Et que dire du goût de son trou du cul.
Mais alors, que je me rappelle tout ça. Et cela pour mon plus grand plaisir, j’entends qu’on monte les marches. Tout de suite, je prie que ce soit ma tante. Et miracle ! mon vœu est exaucé !
Catherine m’accueille comme je l’ai quitté la veille. Elle est belle, radieuse, plus pétillante que jamais. Même en fiction, je ne l’ai jamais vue comme ça. Est-ce le sexe qui la change ainsi ?
Mais alors que je m’apprête à lui faire part de ma jubilation, elle me fait signe du doigt de garder le silence. C’est seulement une fois à l’abri entre ses quatre murs, qu’elle me lâche :
-Je n’arrête pas de mouiller en pensant à toi !
-Tu m’en vois ravie tata !
-Et toi, tu as pensé à moi ?
-Je n’ai pas cessé un instant !
Tata Catherine a mis le parfum capiteux que j’aime, et je bande déjà.
-Viens, allons nous installer au salon, me fait-elle.
-Je te suis tata. Lui fais-je, posant mon regard sur son fessier.
-Je pense que tu es venu pour me donner du plaisir, je me trompe ?
-Pas du tout, tata !
-Caresse-moi les jambes. Me dit-elle en prenant place sur le canapé.
Ma tante a les jambes gainées. Ses bas sont bizarres, faits d’une sorte de nylon translucide, proche du fil de pêche. Cela me donne le vertige ! Cette seconde peau la rend encore plus vivante.
J’effleure ses mollets, remonte aux genoux. Très vite j’atteins le sommet de ses cuisses, au-delà des bas. Le contact de sa peau nue me fait frissonner. La coquine a omis de se passer une culotte ce matin. Mon sexe s’étire plus que jamais.
-Mais tu bandes, mon neveu ? S’enquit-elle, le regard rivé à la hauteur de ma braguette.
Elle prend l’initiative de me déculotter. Elle est admirative devant ma queue bandée.
-Je n’en reviens pas que ce soit moi qui te mette dans un état pareil !
Je ne lui donne pas le temps de s’émouvoir devant mon outil de plaisir, que déjà je sens son cul sous mes doigts. Je glisse mes doigts le long de sa raie moite. Frôle son anus étroit. De son côté, elle tripote aussi le mien. Sa respiration saccadée dilate ses narines. Nos doigts s’introduisent en même temps dans l’anus de l’autre. Le sien est très actif. Elle a un rire nerveux :
-Je sens que tu aimes ça, mon neveu!
-Tu ne peux pas savoir à quel point tata !
Elle guide ma main sous son corsage. Pas sans mal, je glisse mes doigts entre sa peau et son soutien-gorge. Comme à chaque fois, les pointes de ses seins sont dures, grumeleuses. Je glisse mes doigts entre ses cuisses. Trempées de mouille et de sueur. Je plaque mes doigts sur son sexe, écrasant ses grandes lèvres. Mon index disparait dans sa fente. Elle pousse un gémissement rauque en écartant largement de compas de ses jambes.
Son clitoris se dresse comme un ergot. Au moment où je passe le gras de mon doigt, elle étrangle mon gland. Elle s’agenouille pour mieux s’exhiber en se déshabillant. Elle glisse ses mains dans le dos pour défaire l’agrafe. Les bonnets sont brutalement détendus. En retirant son soutien-gorge, elle cambre le buste pour faire ressortir ses seins. Entre ses cuisses, ses poils mouillés frisottent le long de sa fente entrouverte. Je meurs d’envie de toucher et de téter ses nichons. La gorge sèche, bandant très dur.
Une fois nue, les mains sur mes épaules, elle prend place à califourchon sur moi. Ses genoux me serrent les hanches, elle me chevauche. Sa poitrine pend tout près de mon visage, bouts sortis.
-Fais comme la dernière fois !
Je tète l’une après l’autre ses pointes gonflées. Elle halète, sa voix s’enroue méconnaissable :
-Que c’est bon, mon neveu !
Soulevant son bassin au-dessus de mon ventre, elle s’empare de ma queue, la dirige vers sa fente.
-C’est jour de fête, mon neveu !
La sensation de chaleur humide autour de mon gland est sur le point de me faire jouir. Le regard absent, Tata se laisse glisser le long de ma verge. Avec un gémissement, je me cambre pour la pénétrer au plus profond. Dès lors, elle entame une série de lents mouvements de haut en bas, sur toute la longueur de ma queue. Son regard devient flou, elle me fait peur. De temps en temps, elle se retire presque complètement, ne laissant que l’extrémité de mon gland entre ses petites lèvres grasses.
Puis elle se laisse tomber sur moi, de tout son poids. Elle émet une plainte animale quand je touche le fond. Puis, elle creuse les reins et donne des coups de pubis pour bien me branler au fond de son vagin.
-Tu ne peux pas… pas savoir… comme…comme… cela me manquer !
Sa voix est saccadée. Se coupe même, en prenant des accents rauques. Par expérience, je la sens au bord de l’orgasme. Entre deux râles, elle articule d’une drôle de voix chargée de reproche.
-C’est tout de même ta faute, neveu …tu n’arrêtes pas de m’échauffer !
Elle remue son cul. Ses mamelles moites s’écrasant sur mon torse, son vagin continuant à masturber ma queue. La sonnette qui retentit du côté de l’entrée fait que ma tante est prise de panique.
-Qui c’est ? Me fait-elle.
-Qu’est-ce que j’en sais, tata ?
-Vite, planque-toi !
-Où ?
-Dans ma chambre… oui… dans ma chambre !
Je profite d’être dans sa chambre pour m’occuper pour avoir un morceau d’elle. C’est un slip en nylon tout ce qu’il y a de plus banal. Mais qui a vécu dans la vie d’une femme. J’examine le nylon sous toutes les coutures. Conscient de posséder là un trésor. Je l’imagine sans mal s’enfonçant dans la raie du cul ou entre les lèvres du sexe. Comme j'aurais aimé être transformé en culotte pour tata !
Malgré d’être planqué dans la chambre, je me sens merveilleusement bien, à faire un examen de technicien de laboratoire.
A l’intérieur, il n’y a pas de traces particulières. Je hume le nylon. La première odeur qui me frappe est celle de l’urine. Qui me fait tourner la tête.
Mais très vite je détecte quelque chose d’autre. Une senteur de mouille. Son intensité laisse deviner un fort état d’excitation qui a dû se répéter.
Elle pue l’excitation. Dans ma tête, et alors que je hume le nylon, mille scénarios se dessinent. Tout en écoutant Catherine parlait avec sa visiteuse, je garde la culotte contre mon visage. Me remplissant de son odeur et des visions qui se multiplient dans mon esprit. J’ai dû patienter une demi-heure avant qu’elle vienne me rechercher dans la chambre.
-C’était la voisine du bas. Une vraie pipelette celle-là !
-Je veux bien te croire…
-Ça n’a pas été trop long ?
-Non… j’étais en très bonne compagnie, lui fais-je en lui exhibant la culotte.
-Tu es vraiment un sacré cochon… mon neveu !
-C’est bien pour ça que je suis là, non… ? Tata ?
Pour toute réponse, elle se fait admirer, me tourne le dos, se penche, me montre ses fesses écartées. On distingue une tache humide dans le fond de sa culotte.
-Regarde ce que tu me fais faire, cochon...
Je me garde bien de l'interpeller pour le retour de sa culotte !
Qu’elle baisse, jusqu’aux genoux, pour me montrer la large flaque luisante à l’empiècement.
-Le nombre de culottes que tu m’as fait souiller depuis trois semaines, petit salaud ! Va falloir me nettoyer ça !
Soumis, je respire son ventre, son sexe, puis tombe à genoux devant sa culotte. Je me prends pour un chien, prêt à tout pour son plaisir. Cela décuple mon excitation. Je passe ma langue sur le liquide visqueux, le goûte.
Le visage tout barbouillé, je lape le jus de sa chatte jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus. Ma langue râpe le fond rugueux de la culotte, tout en continuant de la lécher. Savoir la chatte de ma tante à bout de langue m’excite.
Puis elle me fait remonter vers elle pour que je lui tète les seins. Puis elle passe sa langue sur ma bouche, mon visage, mes yeux.
-Je vais nettoyer ta queue aussi. Je n’ai pas eu le temps avec la voisine…
A quatre pattes, elle me suce. Elle aspire le liquide translucide qui s’écoule de mon gland. Elle pompe fort, comme si elle voulait qu’il n’en reste plus à l’intérieur.
Sa croupe est superbe. J’ai envie d’y enfoncer les doigts. Elle me lance:
-Mets-toi sur le dos.
Penchée en avant, elle fait passer sa langue de mes reins à mes couilles. Elle frotte sa langue en rond autour de mon trou du cul, le réveille le chauffe. Je ressemble à un contorsionniste le cul en l’air, les bras coincés sur les cuisses. Ma queue coule de plus belle. Je l’aurais léchée si ma souplesse me l’avait permis.
-Ton cul m’excite, neveu !
Cela me plaint d’être à sa merci. Sa langue glisse de mes couilles à mon cul. Elle me lèche l’anus pour de bon, comme une vraie chienne.
Ma queue tressaute en répandant des filaments visqueux. Je reste les fesses écartées au maximum pour lui offrir le meilleur accès à mon cul.
-Ecarte bien, laisse entrer ma langue.
À force de coups de langue, mon petit trou s’ouvre. La langue pointée à l’entrée me chauffe l’anus en profondeur. Je me tortille, gémis sous cette caresse particulière.
Ça a l’air de te plaire, mon neveu ? Alors, ouvre-le davantage.
L’instant d’après, je me retrouve avec son index planté à l’intérieur du fion. Je le sens tourner, s’enfoncer en moi.
-Ton trou est propre, mon chéri. Il n’y a pas toujours de la merde à cet endroit !
Elle se remet à me lécher. Je lui ouvre mon cul. Sa langue me force, me pénètre. Mon anus se resserre, puis s’ouvre.
-Pousse, n’aie pas peur.
Mais au lieu de sentir ma merde sortir, c’est sa langue qui entre, toujours plus profond.
-Ton petit trou n'est pas à sa première pénétration…
Elle continue avec des mots crus. Elle semble tellement excitée que je ne peux que m’ouvrir comme le petit cochon que je suis à ses yeux. Ma queue sursaute.
Une fois encore, je vais jouir sans même me toucher. Je sens sa langue entrer et sortir facilement de mon orifice. Je me branle, je vais jouir.
-Non ! Attends ! Pas tout de suite !
Elle pointe une fois encore un doigt à l’entrée de mon anus.
Elle va et vient, continuant de m‘exciter à l’intérieur. Elle ajoute même un autre doigt. Ça glisse tout seul. Le rien de douleur que je ressens ajoute à mon plaisir, me fait jouir.
Quand elle ajoute un troisième doigt, je perds la tête. Je nage dans une nébuleuse de plaisir. Je ne sais plus si ce que je vis est réel. Il y a cette chaleur dans mon cul, dans ma tête, mon corps.
Je suis conscient et inconscient, présent et absent. Une force supérieure prend possession de moi. Chaque cellule de mon corps, chaque parcelle de ma peau jouisse.
L’orgasme est permanent.
Elle a toujours ses doigts enfoncés dans mon cul quand je reviens à la vie. Elle lèche mon sperme sur mon ventre. Je lui caresse les cheveux.
-Il va falloir que tu partes, maintenant !
-Tu n’as plus besoin de moi ?
-Pas dans l’immédiat, mais je te propose de revenir vers 18H00 ! C’est bon pour toi ?
-Avec plaisir, tata !
Mais alors, que je me rappelle tout ça. Et cela pour mon plus grand plaisir, j’entends qu’on monte les marches. Tout de suite, je prie que ce soit ma tante. Et miracle ! mon vœu est exaucé !
Catherine m’accueille comme je l’ai quitté la veille. Elle est belle, radieuse, plus pétillante que jamais. Même en fiction, je ne l’ai jamais vue comme ça. Est-ce le sexe qui la change ainsi ?
Mais alors que je m’apprête à lui faire part de ma jubilation, elle me fait signe du doigt de garder le silence. C’est seulement une fois à l’abri entre ses quatre murs, qu’elle me lâche :
-Je n’arrête pas de mouiller en pensant à toi !
-Tu m’en vois ravie tata !
-Et toi, tu as pensé à moi ?
-Je n’ai pas cessé un instant !
Tata Catherine a mis le parfum capiteux que j’aime, et je bande déjà.
-Viens, allons nous installer au salon, me fait-elle.
-Je te suis tata. Lui fais-je, posant mon regard sur son fessier.
-Je pense que tu es venu pour me donner du plaisir, je me trompe ?
-Pas du tout, tata !
-Caresse-moi les jambes. Me dit-elle en prenant place sur le canapé.
Ma tante a les jambes gainées. Ses bas sont bizarres, faits d’une sorte de nylon translucide, proche du fil de pêche. Cela me donne le vertige ! Cette seconde peau la rend encore plus vivante.
J’effleure ses mollets, remonte aux genoux. Très vite j’atteins le sommet de ses cuisses, au-delà des bas. Le contact de sa peau nue me fait frissonner. La coquine a omis de se passer une culotte ce matin. Mon sexe s’étire plus que jamais.
-Mais tu bandes, mon neveu ? S’enquit-elle, le regard rivé à la hauteur de ma braguette.
Elle prend l’initiative de me déculotter. Elle est admirative devant ma queue bandée.
-Je n’en reviens pas que ce soit moi qui te mette dans un état pareil !
Je ne lui donne pas le temps de s’émouvoir devant mon outil de plaisir, que déjà je sens son cul sous mes doigts. Je glisse mes doigts le long de sa raie moite. Frôle son anus étroit. De son côté, elle tripote aussi le mien. Sa respiration saccadée dilate ses narines. Nos doigts s’introduisent en même temps dans l’anus de l’autre. Le sien est très actif. Elle a un rire nerveux :
-Je sens que tu aimes ça, mon neveu!
-Tu ne peux pas savoir à quel point tata !
Elle guide ma main sous son corsage. Pas sans mal, je glisse mes doigts entre sa peau et son soutien-gorge. Comme à chaque fois, les pointes de ses seins sont dures, grumeleuses. Je glisse mes doigts entre ses cuisses. Trempées de mouille et de sueur. Je plaque mes doigts sur son sexe, écrasant ses grandes lèvres. Mon index disparait dans sa fente. Elle pousse un gémissement rauque en écartant largement de compas de ses jambes.
Son clitoris se dresse comme un ergot. Au moment où je passe le gras de mon doigt, elle étrangle mon gland. Elle s’agenouille pour mieux s’exhiber en se déshabillant. Elle glisse ses mains dans le dos pour défaire l’agrafe. Les bonnets sont brutalement détendus. En retirant son soutien-gorge, elle cambre le buste pour faire ressortir ses seins. Entre ses cuisses, ses poils mouillés frisottent le long de sa fente entrouverte. Je meurs d’envie de toucher et de téter ses nichons. La gorge sèche, bandant très dur.
Une fois nue, les mains sur mes épaules, elle prend place à califourchon sur moi. Ses genoux me serrent les hanches, elle me chevauche. Sa poitrine pend tout près de mon visage, bouts sortis.
-Fais comme la dernière fois !
Je tète l’une après l’autre ses pointes gonflées. Elle halète, sa voix s’enroue méconnaissable :
-Que c’est bon, mon neveu !
Soulevant son bassin au-dessus de mon ventre, elle s’empare de ma queue, la dirige vers sa fente.
-C’est jour de fête, mon neveu !
La sensation de chaleur humide autour de mon gland est sur le point de me faire jouir. Le regard absent, Tata se laisse glisser le long de ma verge. Avec un gémissement, je me cambre pour la pénétrer au plus profond. Dès lors, elle entame une série de lents mouvements de haut en bas, sur toute la longueur de ma queue. Son regard devient flou, elle me fait peur. De temps en temps, elle se retire presque complètement, ne laissant que l’extrémité de mon gland entre ses petites lèvres grasses.
Puis elle se laisse tomber sur moi, de tout son poids. Elle émet une plainte animale quand je touche le fond. Puis, elle creuse les reins et donne des coups de pubis pour bien me branler au fond de son vagin.
-Tu ne peux pas… pas savoir… comme…comme… cela me manquer !
Sa voix est saccadée. Se coupe même, en prenant des accents rauques. Par expérience, je la sens au bord de l’orgasme. Entre deux râles, elle articule d’une drôle de voix chargée de reproche.
-C’est tout de même ta faute, neveu …tu n’arrêtes pas de m’échauffer !
Elle remue son cul. Ses mamelles moites s’écrasant sur mon torse, son vagin continuant à masturber ma queue. La sonnette qui retentit du côté de l’entrée fait que ma tante est prise de panique.
-Qui c’est ? Me fait-elle.
-Qu’est-ce que j’en sais, tata ?
-Vite, planque-toi !
-Où ?
-Dans ma chambre… oui… dans ma chambre !
Je profite d’être dans sa chambre pour m’occuper pour avoir un morceau d’elle. C’est un slip en nylon tout ce qu’il y a de plus banal. Mais qui a vécu dans la vie d’une femme. J’examine le nylon sous toutes les coutures. Conscient de posséder là un trésor. Je l’imagine sans mal s’enfonçant dans la raie du cul ou entre les lèvres du sexe. Comme j'aurais aimé être transformé en culotte pour tata !
Malgré d’être planqué dans la chambre, je me sens merveilleusement bien, à faire un examen de technicien de laboratoire.
A l’intérieur, il n’y a pas de traces particulières. Je hume le nylon. La première odeur qui me frappe est celle de l’urine. Qui me fait tourner la tête.
Mais très vite je détecte quelque chose d’autre. Une senteur de mouille. Son intensité laisse deviner un fort état d’excitation qui a dû se répéter.
Elle pue l’excitation. Dans ma tête, et alors que je hume le nylon, mille scénarios se dessinent. Tout en écoutant Catherine parlait avec sa visiteuse, je garde la culotte contre mon visage. Me remplissant de son odeur et des visions qui se multiplient dans mon esprit. J’ai dû patienter une demi-heure avant qu’elle vienne me rechercher dans la chambre.
-C’était la voisine du bas. Une vraie pipelette celle-là !
-Je veux bien te croire…
-Ça n’a pas été trop long ?
-Non… j’étais en très bonne compagnie, lui fais-je en lui exhibant la culotte.
-Tu es vraiment un sacré cochon… mon neveu !
-C’est bien pour ça que je suis là, non… ? Tata ?
Pour toute réponse, elle se fait admirer, me tourne le dos, se penche, me montre ses fesses écartées. On distingue une tache humide dans le fond de sa culotte.
-Regarde ce que tu me fais faire, cochon...
Je me garde bien de l'interpeller pour le retour de sa culotte !
Qu’elle baisse, jusqu’aux genoux, pour me montrer la large flaque luisante à l’empiècement.
-Le nombre de culottes que tu m’as fait souiller depuis trois semaines, petit salaud ! Va falloir me nettoyer ça !
Soumis, je respire son ventre, son sexe, puis tombe à genoux devant sa culotte. Je me prends pour un chien, prêt à tout pour son plaisir. Cela décuple mon excitation. Je passe ma langue sur le liquide visqueux, le goûte.
Le visage tout barbouillé, je lape le jus de sa chatte jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus. Ma langue râpe le fond rugueux de la culotte, tout en continuant de la lécher. Savoir la chatte de ma tante à bout de langue m’excite.
Puis elle me fait remonter vers elle pour que je lui tète les seins. Puis elle passe sa langue sur ma bouche, mon visage, mes yeux.
-Je vais nettoyer ta queue aussi. Je n’ai pas eu le temps avec la voisine…
A quatre pattes, elle me suce. Elle aspire le liquide translucide qui s’écoule de mon gland. Elle pompe fort, comme si elle voulait qu’il n’en reste plus à l’intérieur.
Sa croupe est superbe. J’ai envie d’y enfoncer les doigts. Elle me lance:
-Mets-toi sur le dos.
Penchée en avant, elle fait passer sa langue de mes reins à mes couilles. Elle frotte sa langue en rond autour de mon trou du cul, le réveille le chauffe. Je ressemble à un contorsionniste le cul en l’air, les bras coincés sur les cuisses. Ma queue coule de plus belle. Je l’aurais léchée si ma souplesse me l’avait permis.
-Ton cul m’excite, neveu !
Cela me plaint d’être à sa merci. Sa langue glisse de mes couilles à mon cul. Elle me lèche l’anus pour de bon, comme une vraie chienne.
Ma queue tressaute en répandant des filaments visqueux. Je reste les fesses écartées au maximum pour lui offrir le meilleur accès à mon cul.
-Ecarte bien, laisse entrer ma langue.
À force de coups de langue, mon petit trou s’ouvre. La langue pointée à l’entrée me chauffe l’anus en profondeur. Je me tortille, gémis sous cette caresse particulière.
Ça a l’air de te plaire, mon neveu ? Alors, ouvre-le davantage.
L’instant d’après, je me retrouve avec son index planté à l’intérieur du fion. Je le sens tourner, s’enfoncer en moi.
-Ton trou est propre, mon chéri. Il n’y a pas toujours de la merde à cet endroit !
Elle se remet à me lécher. Je lui ouvre mon cul. Sa langue me force, me pénètre. Mon anus se resserre, puis s’ouvre.
-Pousse, n’aie pas peur.
Mais au lieu de sentir ma merde sortir, c’est sa langue qui entre, toujours plus profond.
-Ton petit trou n'est pas à sa première pénétration…
Elle continue avec des mots crus. Elle semble tellement excitée que je ne peux que m’ouvrir comme le petit cochon que je suis à ses yeux. Ma queue sursaute.
Une fois encore, je vais jouir sans même me toucher. Je sens sa langue entrer et sortir facilement de mon orifice. Je me branle, je vais jouir.
-Non ! Attends ! Pas tout de suite !
Elle pointe une fois encore un doigt à l’entrée de mon anus.
Elle va et vient, continuant de m‘exciter à l’intérieur. Elle ajoute même un autre doigt. Ça glisse tout seul. Le rien de douleur que je ressens ajoute à mon plaisir, me fait jouir.
Quand elle ajoute un troisième doigt, je perds la tête. Je nage dans une nébuleuse de plaisir. Je ne sais plus si ce que je vis est réel. Il y a cette chaleur dans mon cul, dans ma tête, mon corps.
Je suis conscient et inconscient, présent et absent. Une force supérieure prend possession de moi. Chaque cellule de mon corps, chaque parcelle de ma peau jouisse.
L’orgasme est permanent.
Elle a toujours ses doigts enfoncés dans mon cul quand je reviens à la vie. Elle lèche mon sperme sur mon ventre. Je lui caresse les cheveux.
-Il va falloir que tu partes, maintenant !
-Tu n’as plus besoin de moi ?
-Pas dans l’immédiat, mais je te propose de revenir vers 18H00 ! C’est bon pour toi ?
-Avec plaisir, tata !
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Les avis des lecteurs
Très cool la tata je ferais bien le neveu