Avec Sophie (1)
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-03-2014 dans la catégorie Plus on est
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Avec Sophie (1)
L’appartement était vide. Nina était partie avec Nadège pour participer à une nouvelle soirée. Erwann travaillait et Félix était chez lui. Émilie fit visiter Sophie qui n’en revenait pas de nous voir vivre dans un tel appartement. La terrasse en particulier lui plut. Émilie ouvrit en grand la baie vitrée faisant entrer l’air frais de la nuit d’avril. Sophie s’avança, se pencha pour voir la vue.
Émilie s’approcha d’elle, se pencha avec elle par-dessus le garde-corps et l’embrassa. Elles s’enlacèrent, s’embrassèrent, se caressèrent.
— J’ai envie de toi, dit Émilie, très envie, d’autant plus envie que je te cherche depuis des semaines. J’ai envie de connaitre ton corps contre le mien, sentir tes seins sur les miens et ta queue en moi. Je veux gouter ta singularité, m’en délecter. Je veux t’offrir mon corps, ma chatte, mon cul. Je veux jouir de toi, par toi. Je veux boire ton foutre.
Émilie dégrafa le chemisier de Sophie, posa ses mains sur son soutien gorge, palpant ses seins au travers de la fine lingerie.
— J’aime tes seins, j’aime qu’ils ne soient pas trop gros, comme les miens.
Émilie ôta son chemisier et fit voler son soutien-gorge pour exposer sa poitrine. Elle se pencha et suça les tétons de Sophie, provoquant des petits râles de plaisir à celle-ci.
— Viens, rentrons, mettons-nous à l’aise.
Elles me rejoignirent dans le salon. S’installant de chaque côté de moi sur le canapé. Je pouvais admirer leurs seins aux tétons tendus, les prendre dans mes mains, les caresser, les embrasser à tour de rôle. J’allais aussi d’une autre. De Sophie à Émilie. D’Émilie à Sophie.
— Tu veux sa bite ou ma chatte, demanda Émilie à Sophie ?
— Et si vous commenciez par me sucer tous les deux.
Émilie se mit à genou, fit glisser la fermeture de la jupe de Sophie. Sa culotte était tendue par son sexe en érection. Émilie le libéra, le tint dans la main, le regarda, l’admira. Elle l’embrassa, le lécha, et l’engloutit dans sa bouche gourmande.
— Va avec elle, me dit Sophie, je veux que vous vous partagiez ma bite.
J’obéis, faisant glisser ma langue sur le sexe tendu de Sophie, gourmande ne voulait pas me laisser la sucer, la gardant dans sa bouche pour en recueillir les sucs. Je du insister pour avoir moi aussi le droit de l’avaler, et de sentir ce sexe pulser sous mes lèvres.
— Suce le, dit Sophie à Émilie, prend sa belle bite dans ta bouche pendant qu’il s’occupe de moi.
Je sentis Émilie retirer mon jean, faire glisser mon caleçon et refermer ses lèvres sur ma queue bien dure. Je tentais de me concentrer sur la bite de Sophie, mais Émilie en experte me tirait des soupirs de plaisir, me faisant lâcher mon travail buccal.
Sophie se leva, j’admirais ce corps ambigu, ses seins fiers, cette queue gorgée de désir. J’avais envie de la prendre en moi, de la sentir me fourrer, fouiller mes entrailles et me faire jouir.
— Baise-moi, lui dis-je, prends-moi.
— Pas tout de suite mon cœur, laisse Émilie te sucer pendant que je m’occupe de son petit con. Regarde comme elle mouille en pensant à ma bite. Regarde comme elle se tortille en espérant que je la prenne. Elle est chaude comme la braise à l’idée de se faire mettre par une femme à bite.
Émilie se cambra, offrant sa croupe à Sophie qui ne se fit pas prier et enfonça sa belle queue dans la chatte d’Émilie. Sophie posa ses mains sur les hanches d’Émilie et la baisa doucement, tendrement, prenant son temps pour faire monter le plaisir. Émilie ne lâchait pas ma bite, me suçait avec gourmandise, espérant me faire jouir dans sa bouche. Je voyais les seins de Sophie balloter en rythme alors qu’elle prenait Émilie. Je me retenais au maximum, voulant faire durer ce moment quasi parfait entre nous trois.
J’éjaculais dans la bouche d’Émilie. Sophie n’attendait que ça pour elle aussi jouir. Émilie reçut nos deux flots de sperme chaud en elle et cria de plaisir.
— C’était encore mieux que ce que j’espérais, dit-elle en s’essuyant la bouche et en s’installant entre Sophie et moi.
— Et ce n’est pas fini, lui répondit Sophie en retirant sa capote et en la jetant sur la table basse, la nuit est longue et j’ai envie de plein d’autres choses.
Émilie l’embrassa, m’embrassa aussi. Sa bouche avait le gout de mon foutre, ce qui n’était pas pour me déplaire. Je sentis l’excitation remonter.
— Tu préfères les filles ou les mecs, demanda Émilie à Sophie ?
— Ah, la question piège. Quand j’étais jeune, avant de m’accepter en femme, et de faire tout pour en être une aux yeux du monde, j’étais attirée par les mecs. Mais je dois reconnaitre que maintenant j’aime autant les uns que les autres. Les plaisirs sont différents, mais complémentaires. CE serait trop difficile de choisir.
— Tu vois, moi, j’aime les nanas, bouffer des chattes, sucer des seins, la douceur de leur corps et la violence du sexe avec elle. J’aime me faire lécher par une bouche de femme, me faire fister, me faire doigter le cul. Mais si tu me demandais de choisir, je choisirais les mecs. J’aime les bites. J’aime les sentir en moi, me pénétrer, me fouiller, me prendre par la chatte, par le cul. J’adore me faire enculer, être soumise par une belle bite qui me déchire les entrailles, me défonce, et me fait jouir. J’adore prendre une queue bien dure dans ma bouche, la sucer, la lécher, la tenir à la merci de mes lèvres, de ma langue, la sentir vibrer, pulser, se durcir, se tendre vers la jouissance et exploser dans ma bouche. J’adore la douce brulure du foutre dans ma gorge. Avaler le sperme en regardant l’homme que je viens de sucer droit dans les yeux. C’est pour ça que j’ai fantasmé sur toi, enfin par sur toi en particulier, mais sur les femmes à bite. L’idée d’avoir un corps de femme, et une bite d’homme. ET en plus toi, Sophie, tu es femme jusqu’au bout des ongles. Je savais que tu étais belle, féminine, mais je n’aurais jamais imaginé à quel point. Tu es plus belle que moi, plus féminine, et ta bite, mon Dieu cette bite, si belle, si longue, si douce. Une vraie bite d’homme sur un corps de femme. J’aime avec mes amantes jouer avec des godes, mais là c’est le bonheur, tu n’as pas besoin d’accessoire. Je n’attends qu’une chose maintenant que tu me prennes et que je puisse admirer tes seins se balançant en même temps que tu me fais jouir.
— Qu’est-ce qu’on attend pour s’y mettre ?
Émilie s’approcha d’elle, se pencha avec elle par-dessus le garde-corps et l’embrassa. Elles s’enlacèrent, s’embrassèrent, se caressèrent.
— J’ai envie de toi, dit Émilie, très envie, d’autant plus envie que je te cherche depuis des semaines. J’ai envie de connaitre ton corps contre le mien, sentir tes seins sur les miens et ta queue en moi. Je veux gouter ta singularité, m’en délecter. Je veux t’offrir mon corps, ma chatte, mon cul. Je veux jouir de toi, par toi. Je veux boire ton foutre.
Émilie dégrafa le chemisier de Sophie, posa ses mains sur son soutien gorge, palpant ses seins au travers de la fine lingerie.
— J’aime tes seins, j’aime qu’ils ne soient pas trop gros, comme les miens.
Émilie ôta son chemisier et fit voler son soutien-gorge pour exposer sa poitrine. Elle se pencha et suça les tétons de Sophie, provoquant des petits râles de plaisir à celle-ci.
— Viens, rentrons, mettons-nous à l’aise.
Elles me rejoignirent dans le salon. S’installant de chaque côté de moi sur le canapé. Je pouvais admirer leurs seins aux tétons tendus, les prendre dans mes mains, les caresser, les embrasser à tour de rôle. J’allais aussi d’une autre. De Sophie à Émilie. D’Émilie à Sophie.
— Tu veux sa bite ou ma chatte, demanda Émilie à Sophie ?
— Et si vous commenciez par me sucer tous les deux.
Émilie se mit à genou, fit glisser la fermeture de la jupe de Sophie. Sa culotte était tendue par son sexe en érection. Émilie le libéra, le tint dans la main, le regarda, l’admira. Elle l’embrassa, le lécha, et l’engloutit dans sa bouche gourmande.
— Va avec elle, me dit Sophie, je veux que vous vous partagiez ma bite.
J’obéis, faisant glisser ma langue sur le sexe tendu de Sophie, gourmande ne voulait pas me laisser la sucer, la gardant dans sa bouche pour en recueillir les sucs. Je du insister pour avoir moi aussi le droit de l’avaler, et de sentir ce sexe pulser sous mes lèvres.
— Suce le, dit Sophie à Émilie, prend sa belle bite dans ta bouche pendant qu’il s’occupe de moi.
Je sentis Émilie retirer mon jean, faire glisser mon caleçon et refermer ses lèvres sur ma queue bien dure. Je tentais de me concentrer sur la bite de Sophie, mais Émilie en experte me tirait des soupirs de plaisir, me faisant lâcher mon travail buccal.
Sophie se leva, j’admirais ce corps ambigu, ses seins fiers, cette queue gorgée de désir. J’avais envie de la prendre en moi, de la sentir me fourrer, fouiller mes entrailles et me faire jouir.
— Baise-moi, lui dis-je, prends-moi.
— Pas tout de suite mon cœur, laisse Émilie te sucer pendant que je m’occupe de son petit con. Regarde comme elle mouille en pensant à ma bite. Regarde comme elle se tortille en espérant que je la prenne. Elle est chaude comme la braise à l’idée de se faire mettre par une femme à bite.
Émilie se cambra, offrant sa croupe à Sophie qui ne se fit pas prier et enfonça sa belle queue dans la chatte d’Émilie. Sophie posa ses mains sur les hanches d’Émilie et la baisa doucement, tendrement, prenant son temps pour faire monter le plaisir. Émilie ne lâchait pas ma bite, me suçait avec gourmandise, espérant me faire jouir dans sa bouche. Je voyais les seins de Sophie balloter en rythme alors qu’elle prenait Émilie. Je me retenais au maximum, voulant faire durer ce moment quasi parfait entre nous trois.
J’éjaculais dans la bouche d’Émilie. Sophie n’attendait que ça pour elle aussi jouir. Émilie reçut nos deux flots de sperme chaud en elle et cria de plaisir.
— C’était encore mieux que ce que j’espérais, dit-elle en s’essuyant la bouche et en s’installant entre Sophie et moi.
— Et ce n’est pas fini, lui répondit Sophie en retirant sa capote et en la jetant sur la table basse, la nuit est longue et j’ai envie de plein d’autres choses.
Émilie l’embrassa, m’embrassa aussi. Sa bouche avait le gout de mon foutre, ce qui n’était pas pour me déplaire. Je sentis l’excitation remonter.
— Tu préfères les filles ou les mecs, demanda Émilie à Sophie ?
— Ah, la question piège. Quand j’étais jeune, avant de m’accepter en femme, et de faire tout pour en être une aux yeux du monde, j’étais attirée par les mecs. Mais je dois reconnaitre que maintenant j’aime autant les uns que les autres. Les plaisirs sont différents, mais complémentaires. CE serait trop difficile de choisir.
— Tu vois, moi, j’aime les nanas, bouffer des chattes, sucer des seins, la douceur de leur corps et la violence du sexe avec elle. J’aime me faire lécher par une bouche de femme, me faire fister, me faire doigter le cul. Mais si tu me demandais de choisir, je choisirais les mecs. J’aime les bites. J’aime les sentir en moi, me pénétrer, me fouiller, me prendre par la chatte, par le cul. J’adore me faire enculer, être soumise par une belle bite qui me déchire les entrailles, me défonce, et me fait jouir. J’adore prendre une queue bien dure dans ma bouche, la sucer, la lécher, la tenir à la merci de mes lèvres, de ma langue, la sentir vibrer, pulser, se durcir, se tendre vers la jouissance et exploser dans ma bouche. J’adore la douce brulure du foutre dans ma gorge. Avaler le sperme en regardant l’homme que je viens de sucer droit dans les yeux. C’est pour ça que j’ai fantasmé sur toi, enfin par sur toi en particulier, mais sur les femmes à bite. L’idée d’avoir un corps de femme, et une bite d’homme. ET en plus toi, Sophie, tu es femme jusqu’au bout des ongles. Je savais que tu étais belle, féminine, mais je n’aurais jamais imaginé à quel point. Tu es plus belle que moi, plus féminine, et ta bite, mon Dieu cette bite, si belle, si longue, si douce. Une vraie bite d’homme sur un corps de femme. J’aime avec mes amantes jouer avec des godes, mais là c’est le bonheur, tu n’as pas besoin d’accessoire. Je n’attends qu’une chose maintenant que tu me prennes et que je puisse admirer tes seins se balançant en même temps que tu me fais jouir.
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