aventures anglaises (suite) - histoire érotique

Voici la suite de mes aventures anglaises.

Je me trouvais dans une autre petite ville du sud de l’Angleterre pour le travail et logeait dans un petit motel sans grand charme.
Après une longue journée, je me couchais vers 23h fatigué. Quelques minutes plus tard, j’entendis la porte de la chambre voisine se refermer bruyamment puis rapidement les grincements du lit. Je me dis que le couple d’à côté était en train de faire un petit câlin et que je pourrais vite m’en dormir. Grossière erreur : la femme émettait des gémissements dignes d’un film X et ça durait et durait encore.

Il était passé minuit et j’étais très énervé. Je sortis de ma chambre en caleçon et t-shirt et frappait à la porte de mes voisins. Un homme pas très grand mais plutôt baraqué avec plusieurs tatouages sur les deux bras ouvrit la porte. Il bandait à moitié et tenait sa queue dans sa main gauche. Charmant spectacle. Je lui fis remarquer gentiment l’heure tardive et que leur bruit m’empêchait de dormir. Je luis demandais si sa femme ne pouvait pas faire moins de bruit. Il me regarda attentivement et me répondit que ce n’était pas sa femme et qu’elle ne pouvait pas s’empêcher de pousser des cris lorsqu’elle jouissait !

Je ne voulais pas fâcher le type afin d’éviter de prendre un coup. Je ne savais pas quoi lui répondre. Alors je lui demandais si je pouvais assister à leurs ébats puisque je ne pouvais pas dormir. Le gars parut surpris, il se gratta les boules et se retourna vers le lit puis me répondit avec un petit sourire narquois pourquoi pas.

J’entrais dans la chambre et vit une petite blonde couchée nue sur le lit. Elle avait une forte poitrine, un joli petit ventre rebondi. Elle avait impudiquement les jambes écartées et des gouttes de sperme sur sa fine toison pubienne. Je m’assis sur le fauteuil qui faisait face au lit et l’homme me dit :

« Mets toi à poil et profite du spectacle. J’allais m’occuper de son petit cul ».

Il s’astiqua sa bite pendant que la femme se mit à genou pour lui montrer ses fesses. Sans aucune caresse, il présenta sa queue à l’entrée de son petit trou et d’un coup la pénétra. Elle fit une grimace de douleur et me fixa avec un air vicieux. Il commença à la limer doucement puis ses coups de boutoir devinrent plus rapides et profonds. J’étais toujours assis sur le fauteuil et ça commençait à me chauffer. Ma queue s’était redressée et je me mis à me masturber. La fille se caressait le clitoris pendant qu’elle se faisait prendre. Elle me fit un signe pour que je m’approche. Elle prit mon sexe,le branla puis le mit en bouche. Je pris sa tête entre mes mains et lui caressa les cheveux. Je croisais le regard du mec qui avait un petit rictus. Il était proche de la jouissance, tenait sa compagne fermement par les fesses et eut un dernier coup de rein avant de décharger dans son cul. Il sortit sa bite et envoya encore deux giclées sur le dos de sa partenaire. Ensuite il se baissa et lui lécha longuement la chatte.

Après quelques minutes, il se releva et alla s’asseoir dans le fauteuil. Il me dit :
« Elle suce bien, hein ? Sors ta queue de sa bouche sinon tu vas décharger. » Il avait raison, je ne pourrais plus longtemps me retenir. Il regarda mon sexe et fit cette remarque :
« Tu en as une plus grosse que moi. Tu pourras peut-être la faire jouir par devant. Moi, elle me dit que je ne la remplis pas ».

La situation prenait une nouvelle tournure. Il y a une petite heure j’étais tranquillement dans ma chambre à essayer de dormir puis j’avais atterri dans cette pièce à mater comme un voyeur un couple sans tabou. Puis il y avait eu la petite pipe et maintenant il me proposait de me taper sa copine. J’hésitais et me demandais s’il n’était pas temps de regagner ma chambre. Mais j’avais aussi envie de prendre mon pied et la fille semblait un bon coup. Je demandais s’ils avaient des préservatifs. Il me répondit :

« T’en fais pas, tu ne la mettras pas enceinte, c’est déjà fait. Et on est clean, pas de soucis ! »

Le petit ventre que j’avais remarqué en entrant était dû à une grossesse et pas à des rondeurs naturelles. Le « on est clean » signifiait qu’ils n’avaient pas le sida ou d’autres maladies. Je ne savais si je devais les croire mais j’avais vraiment envie de tirer un coup. Cela faisait plusieurs jours que j’étais loin de chez moi et j’étais en manque de sexe. La fille était allongée sur le dos. Je la tirais au bord du lit, lui relevais les jambes. Sa chatte était collante d’un mélange de cyprine et de sperme. Je pris ma bite et d’un coup la pénétrai. Sa chatte était effectivement très large. Je me demandais si elle n’avait pas accouchée récemment. Elle tentait de jouer avec ses muscles pour que je ressente plus de plaisir. On changea de position et je me retrouvai allongé sur le dos et elle me chevauchait. Ses seins balançaient érotiquement. A ce moment, le type s’approcha et me dit qu’il était temps de combler sa chatte. Elle se coucha sur moi et je sentis que le mec était en train d’enfiler sa queue dans son vagin. J’étais surpris, c’était la première fois que je vivais une double pénétration vaginale. Je ne pouvais presque pas bouger, mais je sentais sa bite frotter la mienne. C’était très étrange cette sensation mais la situation m’excitait de plus en plus. Lentement, je donnais quelques coups de rein et il en faisait de même. La fille semblait apprécier, car elle gémissait de plus en plus fort. Sa chatte était cette fois bien remplie. On prenait tous les trois notre pied. Il éjacula le premier et je sentis son sperme couler sur ma queue. J’envoyai à mon tour plusieurs giclées et elle cria son plaisir. On resta ainsi quelques minutes enchevêtrer. Mais cette position étant assez douloureuse, je me retirai, essuya mon sexe avec un mouchoir et enfilai mon caleçon et t-shirt et sortit de la chambre sans rien dire pour regagner la mienne. Je ne les ai plus entendu tout le reste de la nuit….