Aventures au chateau
Récit érotique écrit par Patricia rousse et pulpeuse [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-10-2004 dans la catégorie Dominants et dominés
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Aventures au chateau
Patricia était arrivée dans ce château la veille. La soirée avait était charmante son hôte se montrant très courtois. Le lendemain une longue promenade dans le jardin précéda le dîner. Elle sentit un grand désir chez son amant qu’il l’avait déjà possédé plusieurs fois pendant la nuit, et a qui elle avait administré une longue fellation pendant leur promenade. Malgré tout il ne semblait pas calmé et semblait très excité. Pendant le dîner il lui parla du château et de ses mystères ainsi que de l’aile gauche qu’ils n’avaient pas visité le jour d’avant.
- Sais tu qu’il résidé un grand mystère dans cette aile. Il semble que toutes les femmes qui ont voulues la traverser ont toujours succombé aux hommes qui y habitent.
- Qui sont ces hommes
- N’importe qui, des domestiques, des sans abris ou des hommes très épris de femmes à fantasmes. Es tu ce genre de femme
- Tout dépend de que fantasme tu parles
- Oh très simplement, il s’agit d’un challenge intéressant, dans le couloir principal du château se trouve 4 hommes attachés à une corde. Chaque corde ne leur permet pas de se déplacer de plus de quelques mètres. Une grande ligne blanche est tracée le long de cette salle qui te permet de la traverser de part en part sans te faire toucher par aucun des hommes . Si tu suis scrupuleusement cette ligne il ne t’arrivera rien, sinon dès que l’un de ces hommes t’attrapes tu dois le laisser accomplir avec toi tous ses fantasmes. Une fois à l’intérieur de la salle tu ne peux plus revenir en arrière. Sachant qu’après cette salle d’autre salle suivent avec d’autres pièges. Es tu intéressée, et te sens tu de taille d’essayer
- Je ne vois pourquoi j’aurais peur. Ils sont vraiment attachées ?
- Oui mais ne les sous estimes pas ils ont beaucoup de ressources et feront tout ce qu’ils peuvent pour t’attraper.
- D’accord mais si j’arrive à tout faire qu’es ce que je gagne ?
- Tu deviens alors la châtelaine et tout t’appartiendra pour 2 mois.
- OK, J’accepte mais avant je veux que tu me garantisse qu’il n’y a aucun risque
- Le seul risque sais que tu deviennes leur objet pour un temps qui ne peut excéder 20 minutes chacun,
- OK montre moi le chemin
Ils traversèrent tous les deux le château, et se trouvèrent face à une porte immense fermée.
- Es tu sûr de vouloir y aller, une fois dedans tu ne pourra reculer
- Ouvre moi cette porte, c’est pas tes 4 petits rigolos qui vont m’inquiéter
La porte s’ouvrit, Patricia rentra pour laisser la porte derrière elle se refermer. La pénombre avait envahie la pièce elle ne bougea pas pour s’habituer à l’obscurité aux bruits et odeurs. Elle était très concentrée et repéra une ligne blanche fluorescente traversant la pièce. « Voilà facile je n’ai pas suivre cette ligne ». Elle commença à marcher et fut très vite surprise par la longueur de la pièce qui était difficile d’évaluer. Un grand silence régnait, mais elle savait ces hommes présent sûrement déchaînée de désir qui n’aurait de cesse que de l’attraper pour la posséder. Elle continua à avancée et stoppa net elle entendit un petit bruit sur sa droite. Elle s’immobilisa et tenta de scruter le fond de l’obscurité, sans chance. Elle recommença à marchée tournant la tête vers la gauche quand surgit de nulle part un homme venant de sa gauche tenta de lu sauter dessus et l’attraper. La surprise du cri poussai par l’homme et son ombre surgissant déstabilisa Patricia lui faisant perdre son équilibre reculant en arrière, heureusement elle lui avait échappée. Cependant elle avait suffisamment reculée pour être à portée d’atteinte de l’homme qui aurait dû se trouver sur sa droite. Ce fut le cas deux bras immenses l’attrapèrent la happant vers le coin de la grande salle. Elle comprit qu’elle venait de tomber dans un pièges tendue par les 2 hommes, l’un la faisant reculer pour que l’autre puisse l’attraper. Elle était maintenant la captive du premier homme et devait se conformer aux règles qu’elles avaient acceptée. L’homme l’emmenait vers son coin la tenant avec force afin qu’elle ne s’échappe. D’autorité il la poussa contre une chaise et la plaça assise. Il descendit du plafond deux lanière avec lesquelles il lui attacha les poignets. Elle pouvait bougeait les bras et les mains mais toute fuite était impossible. Elle distingua alors l’homme pour la première fois qui portait un masque sur la tête. Il lui dit simplement « Maintenant tu m’appartiens pour 20 minutes »
De ses deux mains il baissa le décolleté de son pull en shrteh orange afin de libérer l’opulente poitrine de Patricia. Ses seins apparurent maintenue par un soutien gorge qu’il baissa de la même façon. Sans aucun préliminaire il sorti son sexe et le plaqua entre de seins et la força le la pétrir afin de le masturber. Il faisait coulisser son sexe entre ses deux gros seins. Elle comprit que le piège s’était refermée sur elle et qu’elle allait être la poupée de chair de ses hommes afin d’assouvir tous leurs fantasmes. Les mouvements s’accélérer et la maintenant par les cheveux il la forçait à lécher son gland ressortant dans un va et vient incessant. Elle sentait un désir inconnu la parcourir, elle n’était qu’un objet. Le sexe de l’homme allait et venait entre ses seins et poussait le plus au fond de sa bouche son gland dégoulinent de désir.
- lèche moi le gland et butine loi comme une bonne petite salope que tu es. Tu aimes çà c’est bon.
Tout en lui parlant il lui malaxait les seins les pétrissant la faisant gémir à chaque pression de ses mains.
- Je vais t’inonder la bouche et les seins.
Quand d’un dernier mouvement de rein de son sexe gicla de longue traînée de foutre qu’il dirigea vers sa bouche, lui ouvrant afin d’être qu’elle avale le plus de sperme possible ? Il s’essuya ensuite sur ses seins.
Je vais te faire un cadeau. Il lu banda les yeux et lui attacha les mains derrière le dos avant de la renvoyer vers le milieu de la pièce la saluant d’une grande claque sur sa croupe. Elle sursauta et commença à marcher, sachant qu’elle n’avait aucune chance d’échapper à l’homme suivant grâce à son handicap.
En effet, après avoir marchée à tâtons pendant quelques secondes elle sentie une présence. Elle voulut reculer mais une main puissante se posa sur ses fesses la faisant sursauter. Une autre main lui avait attrapé le bras l’empêchant de reculer ou de sauver. Elle se sentie emmener vers l’autre coté de la pièce, et assise à nouveau sur une autre chaise. Les mains liées dans le dos elle ne pouvait rien faire que d’attendre et de se soumettre. Les seins toujours découverts elle sentie alors ces deux mains calleuse se poser sur sa poitrine.
- Quelle beau nichons tu as. Je t’ai regardé branlée et sucée mon copain t’as l’aire d’avoir bien appréciée. Il semble que tu aimes le sperme. Je vais vérifier si ta jouie.
Il enfouie la main dans l’entre jambe de son pantalon descendit la braguette et passa la main sous sa culotte de soie. Il senti très vite qu’elle avait jouie et qu’elle recommençait.
- Mais tu es toute trempée cochonne, et les gars elle prend son pied la salope jamais vu une gonzesse mouillée autant . Sa culotte est inondée
- Ohhhh nonn gémit elle. Plus pour excitée l’homme que pour manifestait sa peur.
Il tira son pantalon vers la bas à mis jambe, arrachant le bouton. Il se plaça alors entre ses deux cuisses ouvertes écarta sa culotte et enfonça un engin qu’elle sentie l’envahir immédiatement. Passa ses main en dessous il lui agrippa les fesses afin d’accompagner son va et vient. Le penis gonflait de l’homme allait et venait dans son sexe pendant que ses cuisses accrochait aux hanches de son violeur, Patricia s’offrait complètement. Les doigts de l’homme lui malaxait les fesses la pétrissant. Avec sa bouche il lu léchait les seins. Les commentaires étaient dignes du plus bas des films pornos qu’elle n’avait jamais vue.
- T’aime te faire baiser les mains attachée les yeux bandées par un inconnu, t’es comme toute les bourgeoises une grosse salope chaude du cul qui rêve que de se faire sauter par le premier inconnu, pourvu qu’il est les mains sales et qu’il t’arrache tout tes vêtements , et te lime comme une pute. Ohh que t’es bonne bouge moi ton gros cul oui vas y comme ca c’est bien.
Elle obeissait bougeait ses fesses afin de l’exciter encore plus.
- Ouiii c’est bon plus fort ohh caresse moi les fesses prends moi baise moi je suis à toi. Ouiiii je suis une grosse cochonne une sale pute qui aime se faire baiser
Il sorti son sexe et se branla au dessus de ses seins lui caressant les tétons avec son gland et lui joui dessus. Ils prirent quelques instant pour reprendre leur esprit l’embrassant fougueusement. Enfin il l’a releva lui enleva le bandeau des yeux. Tu vas aller au suivant maintenant, pour çà il va falloir essayer de marcher avec ton pantalon coincé entre les jambes et ton slip aussi. Il baissa son slip à mi cuisse, l’empêcha alors de marches correctement. Les mains toujours attachées la poitrine découverte le pantalon aux jambes et le slip à mi cuisse elle reprit sa marche, suivant la ligne s’attendant à un nouveau piège. Une corde était tendue à travers la pièce pas très haute mais très difficile çà franchir vu sa situation. Elle essaya tout de même mais perdit l’équilibre et se retrouva à terre. Elle fut à nouveau capturer sentant de nouvelles mains se poser sur elle. Mais ce coup il s’agissait de 4 mains.
Ils l’a traînèrent à travers la pièce et l’amenèrent au coin de la pièce lui enlevant son pantalon son slip et détachèrent ses mains.
- Un devant un derrière tu vas adorer. Mets toi à quatre patte.
Elle obéit ils se placèrent alors devant et derrière et la possédèrent. L’homme de derrière entra dans son sexe et lui laboura les reins rapidement pendant que l’autre lui força l’entrée de sa bouche. De forte claque lui était appliquée sur la croupe comme une jument. Au bout d’un certain temps ils décidèrent de la prendre à deux. L’un s’allongea. Elle se coucha sur lui pendant que l’autre tentait de la chevaucher par derrière. Le premier lui enfoui son sexe dans sa chatte alors que l’autre lui forçait l’entrée de son anus. Les deux s’acharnèrent alors sur son corps comme des hommes qui n’avait pas assouvie leur désir de plusieurs années. Elle était secouée et ne se sentait plus son corps qui ne répondait qu’aux secousses violentes des hommes. Leur mains lui parcourrait le corps la fessant lui pétrissant les seins lui tirant les cheveux. Les secousses s’accélérer le désir montant. Ils se relevèrent l’assise.
- Branle nous qu’on te gicle dessus
Elle prit dans ses mains les deux membres et branla les deux hommes rapidement afin de les faire jouir. Ils giclèrent en même temps dirigeant vers sa bouche afin qu’elle avalent le tout. Ils l’a levèrent et la poussèrent dehors de la pièce en jetant aussi ses vêtement en dehors de la pièce
- Sais tu qu’il résidé un grand mystère dans cette aile. Il semble que toutes les femmes qui ont voulues la traverser ont toujours succombé aux hommes qui y habitent.
- Qui sont ces hommes
- N’importe qui, des domestiques, des sans abris ou des hommes très épris de femmes à fantasmes. Es tu ce genre de femme
- Tout dépend de que fantasme tu parles
- Oh très simplement, il s’agit d’un challenge intéressant, dans le couloir principal du château se trouve 4 hommes attachés à une corde. Chaque corde ne leur permet pas de se déplacer de plus de quelques mètres. Une grande ligne blanche est tracée le long de cette salle qui te permet de la traverser de part en part sans te faire toucher par aucun des hommes . Si tu suis scrupuleusement cette ligne il ne t’arrivera rien, sinon dès que l’un de ces hommes t’attrapes tu dois le laisser accomplir avec toi tous ses fantasmes. Une fois à l’intérieur de la salle tu ne peux plus revenir en arrière. Sachant qu’après cette salle d’autre salle suivent avec d’autres pièges. Es tu intéressée, et te sens tu de taille d’essayer
- Je ne vois pourquoi j’aurais peur. Ils sont vraiment attachées ?
- Oui mais ne les sous estimes pas ils ont beaucoup de ressources et feront tout ce qu’ils peuvent pour t’attraper.
- D’accord mais si j’arrive à tout faire qu’es ce que je gagne ?
- Tu deviens alors la châtelaine et tout t’appartiendra pour 2 mois.
- OK, J’accepte mais avant je veux que tu me garantisse qu’il n’y a aucun risque
- Le seul risque sais que tu deviennes leur objet pour un temps qui ne peut excéder 20 minutes chacun,
- OK montre moi le chemin
Ils traversèrent tous les deux le château, et se trouvèrent face à une porte immense fermée.
- Es tu sûr de vouloir y aller, une fois dedans tu ne pourra reculer
- Ouvre moi cette porte, c’est pas tes 4 petits rigolos qui vont m’inquiéter
La porte s’ouvrit, Patricia rentra pour laisser la porte derrière elle se refermer. La pénombre avait envahie la pièce elle ne bougea pas pour s’habituer à l’obscurité aux bruits et odeurs. Elle était très concentrée et repéra une ligne blanche fluorescente traversant la pièce. « Voilà facile je n’ai pas suivre cette ligne ». Elle commença à marcher et fut très vite surprise par la longueur de la pièce qui était difficile d’évaluer. Un grand silence régnait, mais elle savait ces hommes présent sûrement déchaînée de désir qui n’aurait de cesse que de l’attraper pour la posséder. Elle continua à avancée et stoppa net elle entendit un petit bruit sur sa droite. Elle s’immobilisa et tenta de scruter le fond de l’obscurité, sans chance. Elle recommença à marchée tournant la tête vers la gauche quand surgit de nulle part un homme venant de sa gauche tenta de lu sauter dessus et l’attraper. La surprise du cri poussai par l’homme et son ombre surgissant déstabilisa Patricia lui faisant perdre son équilibre reculant en arrière, heureusement elle lui avait échappée. Cependant elle avait suffisamment reculée pour être à portée d’atteinte de l’homme qui aurait dû se trouver sur sa droite. Ce fut le cas deux bras immenses l’attrapèrent la happant vers le coin de la grande salle. Elle comprit qu’elle venait de tomber dans un pièges tendue par les 2 hommes, l’un la faisant reculer pour que l’autre puisse l’attraper. Elle était maintenant la captive du premier homme et devait se conformer aux règles qu’elles avaient acceptée. L’homme l’emmenait vers son coin la tenant avec force afin qu’elle ne s’échappe. D’autorité il la poussa contre une chaise et la plaça assise. Il descendit du plafond deux lanière avec lesquelles il lui attacha les poignets. Elle pouvait bougeait les bras et les mains mais toute fuite était impossible. Elle distingua alors l’homme pour la première fois qui portait un masque sur la tête. Il lui dit simplement « Maintenant tu m’appartiens pour 20 minutes »
De ses deux mains il baissa le décolleté de son pull en shrteh orange afin de libérer l’opulente poitrine de Patricia. Ses seins apparurent maintenue par un soutien gorge qu’il baissa de la même façon. Sans aucun préliminaire il sorti son sexe et le plaqua entre de seins et la força le la pétrir afin de le masturber. Il faisait coulisser son sexe entre ses deux gros seins. Elle comprit que le piège s’était refermée sur elle et qu’elle allait être la poupée de chair de ses hommes afin d’assouvir tous leurs fantasmes. Les mouvements s’accélérer et la maintenant par les cheveux il la forçait à lécher son gland ressortant dans un va et vient incessant. Elle sentait un désir inconnu la parcourir, elle n’était qu’un objet. Le sexe de l’homme allait et venait entre ses seins et poussait le plus au fond de sa bouche son gland dégoulinent de désir.
- lèche moi le gland et butine loi comme une bonne petite salope que tu es. Tu aimes çà c’est bon.
Tout en lui parlant il lui malaxait les seins les pétrissant la faisant gémir à chaque pression de ses mains.
- Je vais t’inonder la bouche et les seins.
Quand d’un dernier mouvement de rein de son sexe gicla de longue traînée de foutre qu’il dirigea vers sa bouche, lui ouvrant afin d’être qu’elle avale le plus de sperme possible ? Il s’essuya ensuite sur ses seins.
Je vais te faire un cadeau. Il lu banda les yeux et lui attacha les mains derrière le dos avant de la renvoyer vers le milieu de la pièce la saluant d’une grande claque sur sa croupe. Elle sursauta et commença à marcher, sachant qu’elle n’avait aucune chance d’échapper à l’homme suivant grâce à son handicap.
En effet, après avoir marchée à tâtons pendant quelques secondes elle sentie une présence. Elle voulut reculer mais une main puissante se posa sur ses fesses la faisant sursauter. Une autre main lui avait attrapé le bras l’empêchant de reculer ou de sauver. Elle se sentie emmener vers l’autre coté de la pièce, et assise à nouveau sur une autre chaise. Les mains liées dans le dos elle ne pouvait rien faire que d’attendre et de se soumettre. Les seins toujours découverts elle sentie alors ces deux mains calleuse se poser sur sa poitrine.
- Quelle beau nichons tu as. Je t’ai regardé branlée et sucée mon copain t’as l’aire d’avoir bien appréciée. Il semble que tu aimes le sperme. Je vais vérifier si ta jouie.
Il enfouie la main dans l’entre jambe de son pantalon descendit la braguette et passa la main sous sa culotte de soie. Il senti très vite qu’elle avait jouie et qu’elle recommençait.
- Mais tu es toute trempée cochonne, et les gars elle prend son pied la salope jamais vu une gonzesse mouillée autant . Sa culotte est inondée
- Ohhhh nonn gémit elle. Plus pour excitée l’homme que pour manifestait sa peur.
Il tira son pantalon vers la bas à mis jambe, arrachant le bouton. Il se plaça alors entre ses deux cuisses ouvertes écarta sa culotte et enfonça un engin qu’elle sentie l’envahir immédiatement. Passa ses main en dessous il lui agrippa les fesses afin d’accompagner son va et vient. Le penis gonflait de l’homme allait et venait dans son sexe pendant que ses cuisses accrochait aux hanches de son violeur, Patricia s’offrait complètement. Les doigts de l’homme lui malaxait les fesses la pétrissant. Avec sa bouche il lu léchait les seins. Les commentaires étaient dignes du plus bas des films pornos qu’elle n’avait jamais vue.
- T’aime te faire baiser les mains attachée les yeux bandées par un inconnu, t’es comme toute les bourgeoises une grosse salope chaude du cul qui rêve que de se faire sauter par le premier inconnu, pourvu qu’il est les mains sales et qu’il t’arrache tout tes vêtements , et te lime comme une pute. Ohh que t’es bonne bouge moi ton gros cul oui vas y comme ca c’est bien.
Elle obeissait bougeait ses fesses afin de l’exciter encore plus.
- Ouiii c’est bon plus fort ohh caresse moi les fesses prends moi baise moi je suis à toi. Ouiiii je suis une grosse cochonne une sale pute qui aime se faire baiser
Il sorti son sexe et se branla au dessus de ses seins lui caressant les tétons avec son gland et lui joui dessus. Ils prirent quelques instant pour reprendre leur esprit l’embrassant fougueusement. Enfin il l’a releva lui enleva le bandeau des yeux. Tu vas aller au suivant maintenant, pour çà il va falloir essayer de marcher avec ton pantalon coincé entre les jambes et ton slip aussi. Il baissa son slip à mi cuisse, l’empêcha alors de marches correctement. Les mains toujours attachées la poitrine découverte le pantalon aux jambes et le slip à mi cuisse elle reprit sa marche, suivant la ligne s’attendant à un nouveau piège. Une corde était tendue à travers la pièce pas très haute mais très difficile çà franchir vu sa situation. Elle essaya tout de même mais perdit l’équilibre et se retrouva à terre. Elle fut à nouveau capturer sentant de nouvelles mains se poser sur elle. Mais ce coup il s’agissait de 4 mains.
Ils l’a traînèrent à travers la pièce et l’amenèrent au coin de la pièce lui enlevant son pantalon son slip et détachèrent ses mains.
- Un devant un derrière tu vas adorer. Mets toi à quatre patte.
Elle obéit ils se placèrent alors devant et derrière et la possédèrent. L’homme de derrière entra dans son sexe et lui laboura les reins rapidement pendant que l’autre lui força l’entrée de sa bouche. De forte claque lui était appliquée sur la croupe comme une jument. Au bout d’un certain temps ils décidèrent de la prendre à deux. L’un s’allongea. Elle se coucha sur lui pendant que l’autre tentait de la chevaucher par derrière. Le premier lui enfoui son sexe dans sa chatte alors que l’autre lui forçait l’entrée de son anus. Les deux s’acharnèrent alors sur son corps comme des hommes qui n’avait pas assouvie leur désir de plusieurs années. Elle était secouée et ne se sentait plus son corps qui ne répondait qu’aux secousses violentes des hommes. Leur mains lui parcourrait le corps la fessant lui pétrissant les seins lui tirant les cheveux. Les secousses s’accélérer le désir montant. Ils se relevèrent l’assise.
- Branle nous qu’on te gicle dessus
Elle prit dans ses mains les deux membres et branla les deux hommes rapidement afin de les faire jouir. Ils giclèrent en même temps dirigeant vers sa bouche afin qu’elle avalent le tout. Ils l’a levèrent et la poussèrent dehors de la pièce en jetant aussi ses vêtement en dehors de la pièce
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