Aventures au travail, avec Antoine, l'ouvrier de chantier. 2.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Aventures au travail, avec Antoine, l'ouvrier de chantier. 2.
N'ayant pas eu le temps de faire des courses, nous trouvons une baraque à sandwichs pour nous nourrir.
On se promène un peu, puis on rentre se coucher.
On se couvre seulement du drap, nous sommes nus dessous.
Il m'attire vers son sexe, pour que je le suce longuement encore.
Il fouille mon anus avec ses doigts et me lubrifie avec sa salive.
Je décide de me placer face à lui et je m'empale analement sur sa grosse queue.
"Oh, c'est trop bon ! J'adore ton cul ! Pascal ! Cette fois, je vais aller jusqu'au bout, je vais tout te mettre ! T'aimes ça ?".
"Oui, j'adore !".
Je me tiens sur mes pieds, pose mes mains sur son torse et fais coulisser mon anus sur son gros sexe, de bas en haut.
Il gémit de bonheur à chaque enfoncement qui claque sur son ventre.
"Putain, c'est bon ! Tu me baises bien la bite ! T'es génial !".
Je m'acharne sur lui, en me procurant plusieurs orgasmes anaux.
Il m'arrête, puis me couche sur le ventre et me pilonne par derrière avec fougue.
"Putain, ça rentre comme dans du beurre, je t'éclate le cul ! J'adore ça !".
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh !".
Au bout de, presque, trente minutes de ce délicieux traitement, il se cabre et se déverse en moi.
Je joui en même temps que lui, nos râles s'entremêlent.
Quand il a terminé de se vider, il se tourne en soufflant.
"Ouffff ! C'était trop bon encore ! Je suis vidé ! Merci Pascal, je pense que je vais passer une bonne semaine avec toi !".
"Je pense aussi !".
Je le laisse me caresser le dos, et ne me rend pas compte que je sombre, peu de temps après.
Je ne le sens pas se coller à mon cul, pour m'accompagner dans mon sommeil.
C'est lui qui me réveille, je vois qu'il a encore envie de baiser.
Il me touche souvent les fesses, pendant que nous nous préparons à partir.
"Antoine ! On va pas pouvoir bosser, si tu continues comme ça !".
"Je sais, mais c'étais trop bon, hier ! J'y repense et ça m'excite !".
Je décide de prendre les choses en mains et le plaque au mur pour le sucer, jusqu'à ce qu'il éjacule tout son foutre, dans ma bouche.
"Ahhh ! Ca va mieux, on va pouvoir y aller ! Merci Pascal !".
Mais on ne change pas un homme ! Le souvenir de nos ébats revenait sans cesse, dans ces plaisanteries.
Il me taquinait dès que nous étions seuls, j'ai eu tout le mal du monde pour le faire attendre jusqu'au soir !
Durant la semaine, il m'enculait une à deux fois, chaque soir, et je le suçais presque tous les matins.
A deux reprises, avant de reprendre le travail, vers 14 h, il m'a possédé discrètement, sur le chantier.
Une nuit, il m'a défoncé comme un fou, excité par son érection nocturne.
C'est en enfonçant sa grosse bite en moi, qu'il m'a sorti du sommeil.
Plus les jours passaient, plus il devenait endurant et vicieux.
On prenait nos repas du midi dans un petit routier.
Un jour, le jeudi, je crois ! Il reconnait un type de son âge.
Il se lève pour aller lui dire bonjour et lui parler.
Je vois qu'ils ont l'air de parler de moi, vu leurs yeux qui me fixent en discutant.
Il revient vers moi, et me dit discrètement qu'ils se sont rencontrés sur une aire d'autoroute, qui sert de lieu de rencontre entre hommes.
Ils ont baisé, ensemble, un homme quelconque, d'après lui.
Il me demande alors:
"Et toi, t'as déjà baisé avec deux mecs ?".
"Bien sûr ! Plus que ça et très souvent même !".
Il se lève d'un coup et va reparler au routier, qui me fait un grand sourire, aussitôt après.
Antoine revient et m'annonce que je vais avoir droit à un trio, le soir même.
L'inconnu qui s'appelle Roberto tient à nous offrir le repas du soir avant de venir à l'appart.
Au resto, Roberto ne me lâche pas des yeux, plus particulièrement, les lèvres quand je parle.
Il me caresse les cuisses, dès qu'il peut.
J'ai la désagréable impression de payer le diner avec mon corps.
Il est très excité, et en milieu de repas, il demande doucement à Antoine:
"Ca t'ennuie, si j'en profite un peu maintenant ?".
"C'est à dire ?".
"J'aimerai bien gouter à sa bouche ! Elle me fait envie !".
Antoine me regarde d'un air qui cherche mon approbation.
Je réponds:
"Bon, Ok, mais je fini mon plat avant !".
Roberto me fait un grand sourire.
Dès que j'avale ma dernière bouchée, il se lève pour aller "prendre l'air" officieusement et donne la consigne au patron d'attendre avant d'apporter les desserts.
Je sors dehors, et après un regard inquisiteur, je le vois qui me fait un signe de la main pour que je le rejoigne dans son camion.
Sa cabine est collée contre une allée de cyprès.
En ouvrant la portière, je constate qu'il a le pantalon sur les pieds, arborant une longue queue de largeur moyenne.
"Allez viens ! Montres moi ce que tu sais faire !".
"Pas trop longtemps ! S'il te plait ! On pourra faire tout ce que tu veux, à l'appart !".
"Je sais, mais je veux gouter à ta bouche ! Tes lèvres m'excitent !".
Ce compliment me conditionne, je lui dépose, très sensuellement, mes lèvres sur le gland.
Ma langue lèche soigneusement son gland gonflé d'envie.
Ma salive lubrifie sa queue, à mesure qu'elle coulisse dans ma gorge, humide et chaude.
Il gémit de plaisir en m'enfonçant sur sa bite avec ses mains puissantes.
"Oh, tu suces super bien ! Il a de la chance Antoine ! Il te baise souvent ?".
"Mmmmm ! Deux à trois fois par jour ! Et je le suce tous les matins ! Mmmmmmm !".
"Putain ! Tu m'excites !".
Il me tient par les cheveux et me défonce la gorge comme un forcené.
Après moins de cinq minutes, il me laisse prendre la direction de la fellation, en laissant tomber ses bras de chaque coté de son corps.
Je sens qu'il s'abandonne à mes talents buccaux.
C'est à ses secousses d'éjection et au gout dans ma gorge, que je comprend qu'il éjacule.
Je suis surpris par ce déversement, Il arrive assez tôt.
"Arhhhhhhhhh ! Désolé, tu suces trop bien ! Arhhhhhhhhhh !".
Le sperme très chaud, épais et salé, me comble le palais et continue de se déverser.
Les spasmes se font ressentir sous mes doigts, dans son canal urinaire.
J'avale au fur et à mesure qu'il m'inonde en râlant son plaisir.
Je recule mon visage, pensant qu'il a terminé son éjaculation, mais un nouveau spasme fait couler encore du sperme.
Je reprend sa queue en bouche et le laisse coulisser en moi jusqu'à la fin.
Ce sont ses caresses qui me donnent le feu vert pour me relever.
"Euh, du coup, tu ne viens pas avec nous ?".
"Bien sûr que si, j'ai trop envie de te baiser ! Ce sera mieux d'ailleurs ! Je vais t'enculer plus longtemps !".
On se remet à table, Antoine est déjà entrain de manger son dessert.
Les deux nôtres viennent d'être déposés.
"Alors, tu as eu une mise en bouche ?". Demande Antoine, à son pote.
"Ouais, c'était génial ! Et Pascal a eu droit à une petite crème dessert, du coup !".
"Ah bon, déjà ?".
"J'ai pas pu résister ! Ahhh ! Ca va mieux, moi !".
Je les laisse à leur partage de commentaires vicieux à mon égard, et je couvre le gout du sperme salé, par celui de trois boules de glace sucrées.
"Bon, dépêchez-vous, moi aussi, j'ai envie ! Je demande la note ! Tu paies et on y va !". Ajoute Antoine.
Comme prévu, Roberto paie et nous suit avec son camion jusqu'à l'appartement.
Il met du temps pour se garer, à cause de la taille de son semi remorque.
Lorsqu'il nous rejoint, je suis sous la douche.
Antoine se déshabille pour me retrouver.
Il ouvre la porte à son copain, qui le voit aussitôt après, me baisser sur sa grosse bite, afin que je le suce enfin.
Roberto quitte ses vêtements à la hâte.
Antoine me redresse et m'offre son premier baiser de la semaine.
Roberto se couvre les mains de savon liquide et me caresse le haut du corps avec, en insistant sur mon cul.
Je suis submergé de sensations plus agréables les unes que les autres.
Je suis coincé entre ces deux hommes qui aiment jouer avec mon corps en le caressant, et j'adore ça !
Je leur rend leur plaisir, en faisant coulisser mes doigts sur leurs bites et en massant leurs couilles.
Ils me tournent souvent pour m'embrasser à tour de rôle, me masturber la bite et l'anus en se servant du pouvoir glissant de la mousse du savon, pour m'y insérer leurs doigts.
Antoine me colle les lèvres aux siennes, nos langues se lèchent vicieusement.
Il m'écarte les fesses de ses larges mains puissantes.
'Mmuuuuummmmmmmmmmmmmm !".
Il ressent dans notre baiser que je subis un effet de plaisir soudain.
La longue queue de Roberto vient de me remplir le cul.
Il cogne déjà contre mon tréfond, de plus en plus fort et rapidement.
Antoine me laisse respirer, je me tiens à lui pour encaisser la possession de son copain.
"Elle est bonne, la bite à Roberto ?".
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Oui ! Il me baise bien !".
"Si tu savais, tout ce que je lui ai craché dans la bouche, tout à l'heure !". Ajoute Roberto.
"Ah bon, t'as eu deux desserts, alors ?".
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Oui ! C'est vrai ! C'était excitant !".
Antoine me remplit la gorge et la baise pendant que Roberto m'encule énergiquement.
Peu de temps après, Antoine fait une remarque.
"Venez, on va baiser dans la chambre, ce sera plus pratique !".
Roberto s'allonge sur le lit, et attire mon visage pour que je le suce.
Antoine entreprend donc de prendre sa place dans mon anus.
Son gros gland se sert de la présence de mes sécrétions anales, pour m'écarteler l'œillet, plus largement encore que Roberto.
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Vous allez me rendre dingue, tous les deux ! Elles sont trop bonnes, vos queues !".
"T'aimes te faire enculer par plusieurs mecs, je suis sûr !".
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Oui, j'adore ça !".
Roberto s'excite et demande à Antoine de me défoncer encore plus fort.
Je joui à répétition, empalé, en bouffant sa queue.
Roberto réclame son tour et je monte sur lui pour m'enculer pendant qu'Antoine se fait pomper la bite entre deux baisers vicieux.
Antoine passe derrière moi et insère deux doigts dans mon anus, avec la bite de Roberto encore présente en moi.
Mon cul est lubrifié au maximum par mon jus anal qui couvre la bite de Roberto.
Antoine se décide alors de tenter sa chance et commence à inserer sa bite en moi, en utilisant celle de son ami comme appui.
Il pousse patiemment, mes premiers râles excitent les deux hommes.
Antoine adore m'entendre gémir, et s'étonne de la réaction de mon anus.
"Putain ! Ca va rentrer tout seul ! Oh ! Oh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Ca y est !".
"Arhhhhhhhhhhhhh ! J'adore ça ! "Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !".
"Ouhhhh là ! Là, tu m'écrases la queue, Antoine ! C'est serré ! C'est trop bon !".
Je constate que c'est leur première double anale, ils mettent un certain temps à trouver le rythme idéal.
Mais je joui quand même, d'un orgasme continu.
Roberto ne bouges plus, Antoine en profites pour s'agiter plus rapidement et m'annonce qu'il va "exploser".
"Prépares toi ! Pascal ! Tu vas avoir encore du dessert !".
Il sort d'un coup et me comble la gorge de son gros membre, qui explose son foutre gluant et chaud.
J'avale goulument, excité en petite salope que je suis.
Roberto me soulève les fesses et se défoule dans mon cul en me regardant avaler longuement le jus de son ami.
"Putain Antoine, il faut pas le lâcher celui-là ! Il est trop bon à baiser !".
"Arhhhhhh ! T'as raison, je me régales depuis Lundi ! Si j'avais su j'aurais demandé de l'aide depuis longtemps ! Ouhhhhhhhhh !".
Je gémis pendant que j'ingurgite son jus, tout en jouissant analement.
Antoine se dégage de ma bouche puis s'allonge à nos cotés, repu de plaisir.
Roberto me soulève et vient derrière moi pour m'enculer à quatre pattes, en me claquant le cul.
Antoine en profite pour se faire lêcher la queue et les testicules.
Il aime ce spectacle et fait une remarque, encore:
"Putain ! Du coup, j'ai plus besoin de mes bouquins de cul ! C'est beaucoup mieux !".
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Salauds ! Vous me cassez le cul, à vous deux !".
Antoine regarde son ami me défoncer plus d'une demi-heure encore, dans plusieurs positions.
Il l'aide en me tenant les cuisses relevées, parfois, et l'encourage à me défoncer plus fort.
La bite de Roberto a passé depuis longtemps mon virage anal pour faire écraser ses couilles contre mon œillet.
Antoine me caresse la queue quand il constate que je commence à bander, sans me toucher.
Je gueule comme une chienne, puis mon gland éjecte mon sperme au rythme des assauts de Roberto.
Roberto ne tient plus en voyant mon plaisir et se déverse au fond de moi, secoué par de nombreux spasmes de jouissance.
Comme dans le camion, son éjaculation est interminable.
J'y prend énormément de plaisir.
Il s'écrase sur moi et m'embrasse en soufflant entre chaque baiser.
"Putain ! Jeune ! C'est trop bon de te baiser !".
"Merci ! Mais j'ai bien aimé aussi !".
On se détend, puis ils me posent des questions sur ma vie d'homo caché.
Ils apprennent que je baise en backroom, cinéma porno et lieux chauds.
"Mais ton maximum, c'est combien de mecs alors ? 6, 7 ?".
"Oh, non, beaucoup plus, les lieux ou je vais, sont très fréquentés !".
"Alors ! Combien ?".
"Je sais pas ! 25 à 30 ! Mais ça n'arrive pas souvent ! Et je préfère moins d'hommes qui me baisent bien comme vous, que plus qui n'assurent pas !".
Roberto en profite pour me demander:
"Mais, ça te dirai alors, que je te présente à des potes routiers ?".
"Ca va pas être possible, je dois rentrer chez moi, demain soir !".
Antoine sourit et change de sujet.
Le temps fait son affaire et les deux hommes reprennent de la vigueur.
Je joui encore de nombreuses fois, enculé à tour de rôle, en double anale ensuite, jusqu'à leurs éjaculations quasi simultanées.
J'ai dormi comme un bébé, cette nuit là !
Le lendemain matin, Antoine m'a laissé tranquille ! Pas de fellation !
On a réussi à tenir nos délais, si bien, que l'on a pu rentrer plus tôt à l'appart, à sa demande.
Il voulait profiter de ma présence pour prendre encore du plaisir, avant de retrouver sa solitude de divorcé.
On se promène un peu, puis on rentre se coucher.
On se couvre seulement du drap, nous sommes nus dessous.
Il m'attire vers son sexe, pour que je le suce longuement encore.
Il fouille mon anus avec ses doigts et me lubrifie avec sa salive.
Je décide de me placer face à lui et je m'empale analement sur sa grosse queue.
"Oh, c'est trop bon ! J'adore ton cul ! Pascal ! Cette fois, je vais aller jusqu'au bout, je vais tout te mettre ! T'aimes ça ?".
"Oui, j'adore !".
Je me tiens sur mes pieds, pose mes mains sur son torse et fais coulisser mon anus sur son gros sexe, de bas en haut.
Il gémit de bonheur à chaque enfoncement qui claque sur son ventre.
"Putain, c'est bon ! Tu me baises bien la bite ! T'es génial !".
Je m'acharne sur lui, en me procurant plusieurs orgasmes anaux.
Il m'arrête, puis me couche sur le ventre et me pilonne par derrière avec fougue.
"Putain, ça rentre comme dans du beurre, je t'éclate le cul ! J'adore ça !".
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh !".
Au bout de, presque, trente minutes de ce délicieux traitement, il se cabre et se déverse en moi.
Je joui en même temps que lui, nos râles s'entremêlent.
Quand il a terminé de se vider, il se tourne en soufflant.
"Ouffff ! C'était trop bon encore ! Je suis vidé ! Merci Pascal, je pense que je vais passer une bonne semaine avec toi !".
"Je pense aussi !".
Je le laisse me caresser le dos, et ne me rend pas compte que je sombre, peu de temps après.
Je ne le sens pas se coller à mon cul, pour m'accompagner dans mon sommeil.
C'est lui qui me réveille, je vois qu'il a encore envie de baiser.
Il me touche souvent les fesses, pendant que nous nous préparons à partir.
"Antoine ! On va pas pouvoir bosser, si tu continues comme ça !".
"Je sais, mais c'étais trop bon, hier ! J'y repense et ça m'excite !".
Je décide de prendre les choses en mains et le plaque au mur pour le sucer, jusqu'à ce qu'il éjacule tout son foutre, dans ma bouche.
"Ahhh ! Ca va mieux, on va pouvoir y aller ! Merci Pascal !".
Mais on ne change pas un homme ! Le souvenir de nos ébats revenait sans cesse, dans ces plaisanteries.
Il me taquinait dès que nous étions seuls, j'ai eu tout le mal du monde pour le faire attendre jusqu'au soir !
Durant la semaine, il m'enculait une à deux fois, chaque soir, et je le suçais presque tous les matins.
A deux reprises, avant de reprendre le travail, vers 14 h, il m'a possédé discrètement, sur le chantier.
Une nuit, il m'a défoncé comme un fou, excité par son érection nocturne.
C'est en enfonçant sa grosse bite en moi, qu'il m'a sorti du sommeil.
Plus les jours passaient, plus il devenait endurant et vicieux.
On prenait nos repas du midi dans un petit routier.
Un jour, le jeudi, je crois ! Il reconnait un type de son âge.
Il se lève pour aller lui dire bonjour et lui parler.
Je vois qu'ils ont l'air de parler de moi, vu leurs yeux qui me fixent en discutant.
Il revient vers moi, et me dit discrètement qu'ils se sont rencontrés sur une aire d'autoroute, qui sert de lieu de rencontre entre hommes.
Ils ont baisé, ensemble, un homme quelconque, d'après lui.
Il me demande alors:
"Et toi, t'as déjà baisé avec deux mecs ?".
"Bien sûr ! Plus que ça et très souvent même !".
Il se lève d'un coup et va reparler au routier, qui me fait un grand sourire, aussitôt après.
Antoine revient et m'annonce que je vais avoir droit à un trio, le soir même.
L'inconnu qui s'appelle Roberto tient à nous offrir le repas du soir avant de venir à l'appart.
Au resto, Roberto ne me lâche pas des yeux, plus particulièrement, les lèvres quand je parle.
Il me caresse les cuisses, dès qu'il peut.
J'ai la désagréable impression de payer le diner avec mon corps.
Il est très excité, et en milieu de repas, il demande doucement à Antoine:
"Ca t'ennuie, si j'en profite un peu maintenant ?".
"C'est à dire ?".
"J'aimerai bien gouter à sa bouche ! Elle me fait envie !".
Antoine me regarde d'un air qui cherche mon approbation.
Je réponds:
"Bon, Ok, mais je fini mon plat avant !".
Roberto me fait un grand sourire.
Dès que j'avale ma dernière bouchée, il se lève pour aller "prendre l'air" officieusement et donne la consigne au patron d'attendre avant d'apporter les desserts.
Je sors dehors, et après un regard inquisiteur, je le vois qui me fait un signe de la main pour que je le rejoigne dans son camion.
Sa cabine est collée contre une allée de cyprès.
En ouvrant la portière, je constate qu'il a le pantalon sur les pieds, arborant une longue queue de largeur moyenne.
"Allez viens ! Montres moi ce que tu sais faire !".
"Pas trop longtemps ! S'il te plait ! On pourra faire tout ce que tu veux, à l'appart !".
"Je sais, mais je veux gouter à ta bouche ! Tes lèvres m'excitent !".
Ce compliment me conditionne, je lui dépose, très sensuellement, mes lèvres sur le gland.
Ma langue lèche soigneusement son gland gonflé d'envie.
Ma salive lubrifie sa queue, à mesure qu'elle coulisse dans ma gorge, humide et chaude.
Il gémit de plaisir en m'enfonçant sur sa bite avec ses mains puissantes.
"Oh, tu suces super bien ! Il a de la chance Antoine ! Il te baise souvent ?".
"Mmmmm ! Deux à trois fois par jour ! Et je le suce tous les matins ! Mmmmmmm !".
"Putain ! Tu m'excites !".
Il me tient par les cheveux et me défonce la gorge comme un forcené.
Après moins de cinq minutes, il me laisse prendre la direction de la fellation, en laissant tomber ses bras de chaque coté de son corps.
Je sens qu'il s'abandonne à mes talents buccaux.
C'est à ses secousses d'éjection et au gout dans ma gorge, que je comprend qu'il éjacule.
Je suis surpris par ce déversement, Il arrive assez tôt.
"Arhhhhhhhhh ! Désolé, tu suces trop bien ! Arhhhhhhhhhh !".
Le sperme très chaud, épais et salé, me comble le palais et continue de se déverser.
Les spasmes se font ressentir sous mes doigts, dans son canal urinaire.
J'avale au fur et à mesure qu'il m'inonde en râlant son plaisir.
Je recule mon visage, pensant qu'il a terminé son éjaculation, mais un nouveau spasme fait couler encore du sperme.
Je reprend sa queue en bouche et le laisse coulisser en moi jusqu'à la fin.
Ce sont ses caresses qui me donnent le feu vert pour me relever.
"Euh, du coup, tu ne viens pas avec nous ?".
"Bien sûr que si, j'ai trop envie de te baiser ! Ce sera mieux d'ailleurs ! Je vais t'enculer plus longtemps !".
On se remet à table, Antoine est déjà entrain de manger son dessert.
Les deux nôtres viennent d'être déposés.
"Alors, tu as eu une mise en bouche ?". Demande Antoine, à son pote.
"Ouais, c'était génial ! Et Pascal a eu droit à une petite crème dessert, du coup !".
"Ah bon, déjà ?".
"J'ai pas pu résister ! Ahhh ! Ca va mieux, moi !".
Je les laisse à leur partage de commentaires vicieux à mon égard, et je couvre le gout du sperme salé, par celui de trois boules de glace sucrées.
"Bon, dépêchez-vous, moi aussi, j'ai envie ! Je demande la note ! Tu paies et on y va !". Ajoute Antoine.
Comme prévu, Roberto paie et nous suit avec son camion jusqu'à l'appartement.
Il met du temps pour se garer, à cause de la taille de son semi remorque.
Lorsqu'il nous rejoint, je suis sous la douche.
Antoine se déshabille pour me retrouver.
Il ouvre la porte à son copain, qui le voit aussitôt après, me baisser sur sa grosse bite, afin que je le suce enfin.
Roberto quitte ses vêtements à la hâte.
Antoine me redresse et m'offre son premier baiser de la semaine.
Roberto se couvre les mains de savon liquide et me caresse le haut du corps avec, en insistant sur mon cul.
Je suis submergé de sensations plus agréables les unes que les autres.
Je suis coincé entre ces deux hommes qui aiment jouer avec mon corps en le caressant, et j'adore ça !
Je leur rend leur plaisir, en faisant coulisser mes doigts sur leurs bites et en massant leurs couilles.
Ils me tournent souvent pour m'embrasser à tour de rôle, me masturber la bite et l'anus en se servant du pouvoir glissant de la mousse du savon, pour m'y insérer leurs doigts.
Antoine me colle les lèvres aux siennes, nos langues se lèchent vicieusement.
Il m'écarte les fesses de ses larges mains puissantes.
'Mmuuuuummmmmmmmmmmmmm !".
Il ressent dans notre baiser que je subis un effet de plaisir soudain.
La longue queue de Roberto vient de me remplir le cul.
Il cogne déjà contre mon tréfond, de plus en plus fort et rapidement.
Antoine me laisse respirer, je me tiens à lui pour encaisser la possession de son copain.
"Elle est bonne, la bite à Roberto ?".
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Oui ! Il me baise bien !".
"Si tu savais, tout ce que je lui ai craché dans la bouche, tout à l'heure !". Ajoute Roberto.
"Ah bon, t'as eu deux desserts, alors ?".
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Oui ! C'est vrai ! C'était excitant !".
Antoine me remplit la gorge et la baise pendant que Roberto m'encule énergiquement.
Peu de temps après, Antoine fait une remarque.
"Venez, on va baiser dans la chambre, ce sera plus pratique !".
Roberto s'allonge sur le lit, et attire mon visage pour que je le suce.
Antoine entreprend donc de prendre sa place dans mon anus.
Son gros gland se sert de la présence de mes sécrétions anales, pour m'écarteler l'œillet, plus largement encore que Roberto.
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Vous allez me rendre dingue, tous les deux ! Elles sont trop bonnes, vos queues !".
"T'aimes te faire enculer par plusieurs mecs, je suis sûr !".
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Oui, j'adore ça !".
Roberto s'excite et demande à Antoine de me défoncer encore plus fort.
Je joui à répétition, empalé, en bouffant sa queue.
Roberto réclame son tour et je monte sur lui pour m'enculer pendant qu'Antoine se fait pomper la bite entre deux baisers vicieux.
Antoine passe derrière moi et insère deux doigts dans mon anus, avec la bite de Roberto encore présente en moi.
Mon cul est lubrifié au maximum par mon jus anal qui couvre la bite de Roberto.
Antoine se décide alors de tenter sa chance et commence à inserer sa bite en moi, en utilisant celle de son ami comme appui.
Il pousse patiemment, mes premiers râles excitent les deux hommes.
Antoine adore m'entendre gémir, et s'étonne de la réaction de mon anus.
"Putain ! Ca va rentrer tout seul ! Oh ! Oh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Ca y est !".
"Arhhhhhhhhhhhhh ! J'adore ça ! "Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !".
"Ouhhhh là ! Là, tu m'écrases la queue, Antoine ! C'est serré ! C'est trop bon !".
Je constate que c'est leur première double anale, ils mettent un certain temps à trouver le rythme idéal.
Mais je joui quand même, d'un orgasme continu.
Roberto ne bouges plus, Antoine en profites pour s'agiter plus rapidement et m'annonce qu'il va "exploser".
"Prépares toi ! Pascal ! Tu vas avoir encore du dessert !".
Il sort d'un coup et me comble la gorge de son gros membre, qui explose son foutre gluant et chaud.
J'avale goulument, excité en petite salope que je suis.
Roberto me soulève les fesses et se défoule dans mon cul en me regardant avaler longuement le jus de son ami.
"Putain Antoine, il faut pas le lâcher celui-là ! Il est trop bon à baiser !".
"Arhhhhhh ! T'as raison, je me régales depuis Lundi ! Si j'avais su j'aurais demandé de l'aide depuis longtemps ! Ouhhhhhhhhh !".
Je gémis pendant que j'ingurgite son jus, tout en jouissant analement.
Antoine se dégage de ma bouche puis s'allonge à nos cotés, repu de plaisir.
Roberto me soulève et vient derrière moi pour m'enculer à quatre pattes, en me claquant le cul.
Antoine en profite pour se faire lêcher la queue et les testicules.
Il aime ce spectacle et fait une remarque, encore:
"Putain ! Du coup, j'ai plus besoin de mes bouquins de cul ! C'est beaucoup mieux !".
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Salauds ! Vous me cassez le cul, à vous deux !".
Antoine regarde son ami me défoncer plus d'une demi-heure encore, dans plusieurs positions.
Il l'aide en me tenant les cuisses relevées, parfois, et l'encourage à me défoncer plus fort.
La bite de Roberto a passé depuis longtemps mon virage anal pour faire écraser ses couilles contre mon œillet.
Antoine me caresse la queue quand il constate que je commence à bander, sans me toucher.
Je gueule comme une chienne, puis mon gland éjecte mon sperme au rythme des assauts de Roberto.
Roberto ne tient plus en voyant mon plaisir et se déverse au fond de moi, secoué par de nombreux spasmes de jouissance.
Comme dans le camion, son éjaculation est interminable.
J'y prend énormément de plaisir.
Il s'écrase sur moi et m'embrasse en soufflant entre chaque baiser.
"Putain ! Jeune ! C'est trop bon de te baiser !".
"Merci ! Mais j'ai bien aimé aussi !".
On se détend, puis ils me posent des questions sur ma vie d'homo caché.
Ils apprennent que je baise en backroom, cinéma porno et lieux chauds.
"Mais ton maximum, c'est combien de mecs alors ? 6, 7 ?".
"Oh, non, beaucoup plus, les lieux ou je vais, sont très fréquentés !".
"Alors ! Combien ?".
"Je sais pas ! 25 à 30 ! Mais ça n'arrive pas souvent ! Et je préfère moins d'hommes qui me baisent bien comme vous, que plus qui n'assurent pas !".
Roberto en profite pour me demander:
"Mais, ça te dirai alors, que je te présente à des potes routiers ?".
"Ca va pas être possible, je dois rentrer chez moi, demain soir !".
Antoine sourit et change de sujet.
Le temps fait son affaire et les deux hommes reprennent de la vigueur.
Je joui encore de nombreuses fois, enculé à tour de rôle, en double anale ensuite, jusqu'à leurs éjaculations quasi simultanées.
J'ai dormi comme un bébé, cette nuit là !
Le lendemain matin, Antoine m'a laissé tranquille ! Pas de fellation !
On a réussi à tenir nos délais, si bien, que l'on a pu rentrer plus tôt à l'appart, à sa demande.
Il voulait profiter de ma présence pour prendre encore du plaisir, avant de retrouver sa solitude de divorcé.
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