Aventures au travail, avec Antoine, l'ouvrier de chantier. 3.

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : Aventures au travail, avec Antoine, l'ouvrier de chantier. 3. Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Aventures au travail, avec Antoine, l'ouvrier de chantier. 3.
Le samedi, je suis allé chercher mon chèque avec Corinne.

Ils m'ont annoncé:

"Vous y retournez pendant trois semaines ! Le client est content de vous, son ouvrier vous réclame !".
"Euh, c'est pas prévu ! J'ai une copine ! Je suis pas seul !".
"Ne vous inquiétez pas, vous aurez une prime ! Et on est en train de discuter pour plus longtemps encore !".
"Je peux en discuter avec elle, avant d'accepter ?".
"Bien sûr, mais sachez qu'on a personne d'autre, pour vous remplacer !".

Corinne me dit que je dois accepter, je ne peux pas refuser cette opportunité d'argent supplémentaire.

"De toute façon, tu rentres tous les Week-ends ! Ca ira, je t'attendrai !".

Je leur donne donc mon accord, gêné par mon secret.
Puis à l'extérieur, Corinne me dit cette phrase, qui a faillit me faire éclater de rire:

"J'espère que tu te fais pas baiser ! Que la prime sera payée ! Ce serait bête de faire tout ça pour rien !".

Si elle savait !

Je suis content de retrouver une sexualité hétéro avec elle, tout en me questionnant sur les évènements prochains.
Elle me fait part de sa fierté, du fait que l'on me réclame dans mon travail, elle ne sait pas tout, mais c'est quand même, un peu vrai !

Le Lundi, Antoine est au rendez vous, il arbore un grand sourire.
Je monte dans le véhicule.

"Salut, mon chéri ! T'as bien profité du Week end ? T'as baisé ta femme ?".
"Salut ! Oui ! Mais tu savais que je reviendrai ! Pourquoi, tu m'as rien dis ?".
"Pour te baiser plus souvent ! Cette blague ! Tu sais, la semaine dernière, quand on m'a dit que je devais faire un détour pour venir te prendre, ça m'a gonflé ! Mais cette fois, j'aurai pu faire 100 km de plus, c'était pas grave !".

Il me pose sa main sur la cuisse, puis prend la mienne, qu'il entraine vers sa bite.

"Tu vois, je bande déjà ! Il va falloir qu'on s'arrête pour régler ça ! T'es prêt ?".
"Euh, tu commences tôt ! Ca promet pour la suite !".
"Ben, c'est normal, j'ai pas arrêté de penser à toi, tout le Week end ! J'en ai même rêvé ! Je me suis branlé aussi, tu m'en veux pas ?".
"Non, ça me fait drôle qu'on se branle en pensant à moi !".
"Ca t'as pas plu, tout ce qu'on a fait, cette semaine ?".
"Si, tu le sais ! Ca s'est vu ! Non ?".
"Oui, j'adore ! D'ailleurs ! Tu vas me rendre pédé ! Si on continue de baiser ensemble !".

Très vite, je vois qu'il prend la direction d'une aire de repos, très peu fréquentée.
Il m'invite à le suivre dans un cabinet de toilettes.

"Allez mon bébé ! Viens vite ! J'en peux plus !".

Il me penche au dessus de la cuvette en me baissant le jeans et s'enfonce en moi précipitamment.

"Arhhh ! Ca fait du bien ! Il m'a manqué ton petit cul ! J'y suis tellement bien !".

Il me fait jouir du cul deux fois, avant de se vider en moi, puis il remonte mes vêtements et plaisante:

"Ah ! Ah ! Tu vas devoir garder mon sperme dans le cul, toute la matinée, j'adore !".
"Enfoiré !".

Dans la matinée, le patron d'Antoine nous rend visite.
Il se dirige vers moi, alors que je confectionne un aménagement de placard d'angle.

"Alors, c'est vous, la perle rare ? Le fameux Pascal ! Antoine a raison, vous faites du bon boulot ! On a beaucoup à faire ! Ca vous dit de rallonger votre contrat ?".
"Pour combien de temps ?".
"Ben, pour le moment, j'ai deux autres immeubles anciens à restaurer, il y en a pour six mois !".

J'ai un choc en entendant cette réponse, si j'accepte, ça implique que je vais devoir sucer et me faire enculer par Antoine, plusieurs fois par jours, pendant six mois !
"Je peux vous donner la réponse, plus tard, en début de semaine prochaine ?".

"Bien sûr, mais on a besoin de vous ! Pensez-y ! Surtout Antoine, il vous adore ! Ah, au fait ! Ca vous déranges pas de partager la chambre avec lui ?".
"Non, j'ai l'habitude, depuis mon enfance, ça me choque pas !".

"Bon, tant mieux ! Et puis, vous faites ce que vous voulez ! Ca ne me regarde pas !".

Il voit que je suis surpris en entendant ces mots.
"Je plaisante, mais faites attention, quand même ! Vous êtes très mignon et je sais qu'Antoine est plutôt très chaud ! Comme on dit ! Sur un malentendu, ou un accident de parcours !".

"Merci, je ferai attention !". (En pensant: C'est trop tard ! Et c'est moi qui l'ai cherché !).
"Bon, continuez comme ça ! C'est très bien !".

Le reste de la journée se déroule comme d'habitude.
Repas au routier, quelques attouchements que j'arrive à gérer en lui rappelant qu'il va pouvoir me baiser à l'appart, et des plaisanteries salaces toute l'après-midi.

Lors du retour à l'appartement, je sais qu'Antoine est sous pression.
Il quitte ses vêtements, presque aussitôt.

"Allez chéri ! Viens avec moi, sous la douche ! Je vais m'occuper de toi !".
"J'arrive ! Mais arrêtes de m'appeler comme ça ! Tu va te planter un jour et tu vas le faire devant quelqu'un !".
"Oui, allez viens ! Vite !".

Dès que j'approche nu, près de lui, il m'attrape et m'embrasse fougueusement.
Ses mains épaisses malaxent mon cul fermement.

"Putain, Pascal, je suis trop content que tu bosses encore avec moi ! Le patron t'as dit pour les autres chantiers ?".
"Oui ! Il faut que j'y réfléchisse ! Ma copine a son mot à dire !".
"Ben, si tu la baises, le Week end, ça suffit ! Non ?".
"C'est pas comme ça que ça se passe ! Je l'aime !".
"Et ma bite, tu l'aimes pas ? Elle te fais pas du bien ?".
"Si, mais, je m'attendais pas à me faire baiser si souvent !".
"Je t'avais prévenu ! C'est comme ça avec moi !".
"Je sais ! Mmmmmmmmmmmm !".

Il vient de me prendre par la nuque pour m'embrasser encore, en dirigeant ma main vers son gros membre en érection.

Son désir est communicatif, il est irrésistible, j'ai envie de lui, encore.
Après de longues caresses et une tendre masturbation de sa queue, il m'incite à le prendre en bouche.

"Tu me rend dingue Antoine ! J'arrive pas à te résister ! T'as compris que tu peux me demander tout ce que tu veux !".
"Je le sais ! Chéri ! Allez suces moi la bite ! Après ça, je te la remets dans le cul !".

Il tient ses engagements en me prenant contre la paroi de la douche.
Mes râles l'affolent, tant il me fait crier de plaisir.
J'ai du mal à tenir sur mes pieds en encaissant ses coups de queue.

Il s'est habitué à la chaleur de mon anus, et il est très endurant, à présent.
Il s'amuse à me faire orgasmer encore et encore.

Puis, il éjacule en grognant, dans un râle interminable, presque animal.
Pendant son déversement, il me bloque contre le mur, tout en me serrant entre ses bras fortement.
Il revient à lui lentement, mon orgasme redescend aussi.

"Ohhhh ! Pascal ! C'est de mieux en mieux ! Je comprend pas pourquoi, tu me plais autant ! Tu me perturbes !".
"Oh ! J'y suis pour rien ! T'aime baiser des mecs, assumes le !".
"Je sais, mais avec toi ! C'est différent, c'est meilleur !".
"Je suis pas exceptionnel, non plus ! Faut pas pousser ! Mais bon ! C'est gentil de me dire ça quand même !".
"Putain, j'ai pas envie de quitter ton cul ! J'y suis trop bien !".
"Fais comme tu veux, j'aime ça aussi !".

Il fait couler l'eau pour nous laver dans cette position excitante.
Je me laisse aller à ses mains vicieuses, pleines de savon, qui me nettoient le corps et la tête, sans que sa bite sorte de mon anus.
Tout cela est très sensuel, j'adore ce moment.

Sa queue coulisse en moi très langoureusement, puis il quitte mon cul pour me retourner et m'embrasser encore une dernière fois.
Je le lave à mon tour, en insistant sur sa bite, que je prend en bouche par moment, puis nous nous séchons.
On s'allonge ensemble, nus sur le lit, en attendant l'heure du diner.
On regarde la télévision, collé l'un à l'autre. Puis on s'habille pour sortir manger.

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