Aventures d'ados ( 12 )
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-08-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Aventures d'ados ( 12 )
12
Ce week-end je reste à la maison, j’étudie dans ma chambre. Il faut que je bosse dur si je veux obtenir mon diplôme. Je pense à l’après- midi de vendredi, ce mec me fait rêver. J’en reste troublée, j’ai encore l’impression de sentir sa bite en moi. C’est la première fois qu’une partie de baise me fait cet effet. Sa queue est aussi importante que mon gode, mais elle est chaude et vivante, ça change tout !
J’attends jeudi soir avec impatience, pourvu qu’il ne me fasse pas faux bond, qu’il ne se soit pas moqué de moi en me faisant croire qu’il veut me revoir. Je n’oublie pas qu’il est marié, a peut-être des enfants, je ne voudrais pas briser un couple.
Je suis passée à la pharmacie reconstituer mon stock ! Je prends une taille 3, la plus grande, vu l’importance du membre à équiper. Regard étonné de la pharmacienne, mais pas de commentaires. J’ai arrêté de prendre la pilule, je suis dans la période dangereuse ! Je ne pourrais recommencer à la prendre qu’après mes règles. Pas de conneries, pas question de se faire monter à cru !
A la fac, le mec de l’autre jour a remis ça. Il réussit à me coincer dans un couloir, me pousse dans une salle vide dont la porte est ouverte.
Une fois entrés, il la referme, me plaque contre. Je me débats, il m’immobilise, à quoi bon résister, je risque de prendre un mauvais coup. Il passe sa main dans mon jean, atteint mon entrejambes. Je le laisse faire, il me triture la vulve, cherche à m’introduire ses doigts, involontairement, je mouille.
- Tu vois qu’t’en as envie !
- Tu veux m’baiser, vas-y !
- Tu regretteras pas !
- Toi si !
Il me lâche, recule, je ne bouge pas, j’ai ma petite idée. Il ouvre son jean, sort sa bite et ses couilles. Il est en érection, ridicule, trop insignifiante, c’est avec ça qu’il veut m’emmancher, il n’a pas de quoi aller jusqu’au fond ! Quel vantard ! Je serais lui, je n’oserais pas la déballer devant une fille ! Je connais mieux.
Il me regarde, s’approche, se plaque contre moi, cherche ma bouche, je tourne la tête. Il s’attaque à ma ceinture, l’ouvre, passe sa main dans ma culotte. J’écarte un peu les jambes, un doigt glisse dans ma fente. Je ne cherche pas à le repousser, ça le met en confiance, il tente d’aller plus loin. Je prends sa queue, commence à l’astiquer, il bande un peu plus, dommage pour lui…………Car soudain …..patatras, je passe la main sous ses couilles et les sers énergiquement. Oh… le gueulement ! Il est plié en deux, tombe à genoux, se roule par terre, se les tient. Je referme mon jean, ouvre la porte et file. C’est ma botte secrète, c’est la seconde fois que je l’utilise. Au moins en voilà un qui va me foutre la paix, je ne crois pas qu’il va s’en vanter ! Ou alors, si il le dit à ses copains et qu’ils s’y mettent à plusieurs, ça va être ma fête ! Je risque de passer à ‘’ la tournante’’, les mains attachées.
Le soir, dans ma chambre, j’ai du mal à travailler, je pense à jeudi, espère, hésite, je crois que je fais une bêtise, j’ai envie de me dédire, je ne sais pas comment le joindre. Si je passe la nuit dehors, je vais avoir droit aux reproches de ma mère. Surtout si elle apprend que je me fais sauter par un homme marié. En plus j’ai cours vendredi matin, je risque de ne pas être en forme, de somnoler ! Mais mon ventre en redemande, je ne peux pas résister à son appel. Alors ? Oui ou non, c’est dur !
On est jeudi soir, pas de nouvelles. A tout hasard, j’ai pris ma douche, mis une robe élégante, grand décolleté devant, Longue fermeture éclair dans le dos. Elle met en valeur ma silhouette, oublié la culotte. Je mets des chaussures à hauts talons, c’est quand même mieux pour sortir. Je me suis un peu maquillée les yeux, juste ce qu’il faut, parfum discret, c’est tout. Samedi dernier, je suis allée chez le coiffeur, ma coupe de cheveux était vraiment à revoir. Mes parents me voient comme ça, ma mère est offusquée, ne reconnaît plus sa fille. Je dis que je suis invitée au resto par un copain, que c’est normal que je me mette un peu en valeur.
- Et tu vas passer la nuit avec ?
- Je ne sais pas, je vais peut-être rentrer tard. Il ne m’a pas appelé, je ne sais même pas s’il va venir !
Je suis dans ma chambre, nerveuse, guette la rue, il fait nuit. Huit heures et demi, rien. Il m’a posé un lapin, c’est tout ce que je mérite. J’ai eu tord de m’emballer pour ce mec. Il voulait tirer son coup, sans plus.
Il est bientôt neuf heures, je me prépare à me déshabiller, je vais descendre à la cuisine manger un morceau. Mes parents regardent la télé, ne s’occupent plus de moi.
Coup de klaxon bref, je jette un œil dehors, il est là. J’enfile un manteau demi saison, jette un grand châle en laine blanche sur mes épaules, descends les marches 4 à 4 au risque de tomber, (avec des hauts talons ce n’est pas évident) m’arrête, me calme, respire à fond, ouvre la porte. Il m’attend, me prend par la main, me conduit à la voiture, ouvre la portière, la classe !
- Excuse mon retard, j’ai perdu beaucoup de temps sur la route.
- Je croyais que tu m’avais posé un lapin.
- J’ai dis que je t’appellerais en cas d’empêchement.
- On dit, on dit. Je ne croyais pas te revoir, mais enfin tu es là.
- J’ai réservé pas très loin d’ici, dans une petite auberge sympa.
- C’est parce que j’ai mis ma main sur ta jambe que tu as eu envie de moi ?
- Ca m’a troublé, j’ai réfléchi, hésité. Je crois toujours faire une erreur !
- Tu me plais, je ne savais pas comment te le faire comprendre !
- Toi aussi tu me plais, c’est pour ça que je suis là, mais l’autre jour, te baiser, ce n’était pas dans mes intentions.
- Et aujourd’hui ?
- J’ai bien réfléchi, j’ai envie de toi. On y va ?
On roule depuis une demi heure, on est hors de la banlieue. On arrive, il entre dans une grande propriété, on roule sur une longue allée en gravier bordée d’arbres, au bout une sorte de petit château, façade éclairée. Il ouvre ma portière, me prend la main, je descends de voiture, il ouvre le coffre, prend sa valise. On monte les marches, on arrive sur un perron, une personne en tenue nous ouvre la porte, prend notre vestiaire, nous emmène en salle. Je suis émerveillée par le cadre, ambiance feutrée. Je regarde, impressionnée, admirative, intimidée, il m’a conduit dans un endroit où mes moyens ne me permettent pas d’aller. Lumières tamisées, une fleur et une lampe allumée sur chaque table. Le serveur nous place le long d’une fenêtre, face à face, un peu à l’écart des autres. Il y a dans la salle un groupe de 3 hommes d’affaires, et deux couples. On prend l’apéritif, pour moi il sera sans alcool, petits canapés, un délice, je dois garder la tête froide si je veux avoir le cul chaud. On nous présente le menu, le sommelier les vins, je suis un peu perdue, lui demande de choisir pour moi. En attendant, on parle un peu. Il me demande comment s’est passée ma semaine. Je lui raconte l’agression dont j’ai été victime hier, à la fac, et surtout la façon dont je m’en suis sortie. Et je lui parle de l’autre, celui qui a osé me forcer la rosette ! Ca l’a fait marrer, ne tient pas expérimenter ma botte secrète ! Il m’apprend qu’il dirige une petite entreprise, a une dizaine de salariés. Après les hors d’œuvre délicieux, on nous amène le plat principal sous cloche d’argent, je ne pensais pas qu’un jour une telle chose m’arriverait. Pendant le dîner je bois un verre de vin, ça me rend toute chose, m’échauffe, j’ai soudain envie d’oser. Je jette un coup d’oeil autour de moi, personne ne s’intéresse à nous. Mine de rien, je retrousse ma robe jusqu’ en haut des cuisses, elles sont cachées par la nappe J’enlève une chaussure, tends la jambe et frotte mon pied sur son sexe. Il me regarde, surpris, a un geste brusque, en fait tomber sa fourchette! Il se penche pour la ramasser, j’écarte les cuisses pour lui montrer que je n’ai pas mis de culotte. Je crois qu’il s’en ai aperçu, il se redresse, me regarde, il est tout rouge. Je lui dis tout bas :
- J’ai envie, il faut que tu me la mettes tout de suite, je ne tiens plus.
- Patience ! On a toute la nuit !
On arrive au dessert, génial comme le reste du dîner. Il est 11 h et demi, il me dit :
- Les dîners d’affaires sont toujours très longs, il va falloir que tu t’habitues !
- Si je tombe de sommeil, je ne serais plus bonne à rien !
- Pas de problèmes, je sais ce dont tu es capable, on y va !
On sort de la salle de restaurant qui est maintenant presque vide, il récupère sa clé, on monte à l’étage. La chambre, une pure merveille de décoration. Mobilier de style, lit grand large à dosseret, tapis, moquette, lourds rideaux, le rêve. Peignoirs et robes de chambre dans l’armoire.
En entrant, il quitte sa veste, la met sur un cintre, je lance châle et sac sur le lit. Je fonce dans la salle de bains, laisse la porte ouverte, une urgence. Ouf, ça va mieux ! J’espérais qu’il me suive pour m’enfiler dès que soulagée, mais non, il est là, assis sur le bord du lit, à m’attendre. Je balance mes chaussures dans la pièce et pieds nus je fonce vers lui, tombe à genoux, l’aplatit sur le lit, libère sa queue, ses couilles. Elle est au repos, j’ai faim de lui, je ne la suce pas, je la lui bouffe littéralement, aspire le gland, lèche les couilles, l’enfourne en entier dans ma bouche. Qu’est ce qu’y me prend, je ne me suis jamais comportée comme ça ! Moi qui n’aime pas sucer ! Oh miracle, il se met à bander terrible, elle est impressionnante, je ne peux plus attendre, il me la faut. J’attrape mon sac, sort une capote, lui enfile, je relève ma robe, monte sur lui, m’encastre. Il est surpris par la soudaineté de l’attaque, réagit, me bascule, on tombe du lit, il reste encastré dans moi, je me retrouve sur la moquette, écartelée. Il me défonce, s’acharne, accélère, s’enfonce jusqu’à la garde, je sens sa pine grossir, durcir, il se lâche, je sens ses jets de foutre dans la capote, mon cœur s’emballe, je crie, jouis en même temps que lui. On est là, l’un dans l’autre, par terre, encore habillés, haletants, il m’a comblé, il y avait urgence. Il me quitte, se lève, vire la capote, me retourne, me met en levrette, me relève la robe sur le dos, me prend sous le ventre, tire, me soulève comme une plume. Il faut dire qu’il a un corps d’athlète, mesure 1,83 m pour 70 kg. Je me retrouve la tête en bas, les jambes en l’air. Il les passe sur ses épaules, sa tête est entre mes cuisses, il me bouffe la chatte, m’aspire le clito, entre sa langue dans mon trou, boit ma mouille. J’appuis mes mains sur ses jambes, sa bite est là, devant ma bouche, d’une main je la saisis. Je l’absorbe, la suce, elle est enduite de foutre, redevient raide, beurk ! j’aime pas le goût, tant pis. La position est inconfortable, je gigote, j’ai le sang qui monte à la tête. Il a comprit, me dépose sur le lit, on se calme, c’est trop violant, depuis le temps que j’attendais ce moment. On est en travers du lit, côte à côte, il est minuit et demi, mes yeux se ferment. Il faut qu’on dorme. On se met debout, j’ouvre le lit, le déshabille, il se laisse faire. Son sexe est revenu au repos, je le caresse doucement, tire sur la peau, dégage le gland, je le branle doucement, il durcit, bande de nouveau, quelle merveille !
Il passe derrière moi, fait glisser la fermeture éclair, dégage mes épaules, ma robe tombe au sol, on se retrouve à poil tous les deux. Il m’embrasse, suce mes tétons, pétrit mes seins, caresse mon corps, fait bander mon clito, enfile ses doigts dans mon vagin. Je mouille. Il remet un préservatif, m’allonge par terre, se place entre mes jambes, les relève, je me retrouve sur les épaules, cul en l’air, pieds de part et d’autre de ma tête, j’appuie les bras au sol. Debout, jambes écartées, il m’enfile direct, sans ménagements, me burine dur, fait des han, han, je sens sa verge buter au fond de moi. Dans cette position je vois ma vulve bordée de poils enserrer sa queue. Elle entre et sort de mon vagin, me quitte, entre de nouveau, ses couilles battent mon cul. Je me sens partir, gémis, couine de plus en plus fort, oui, oui, vas-y, je jouis. Il me laisse retomber doucement, s’allonge sur moi. Je ne suis pas refermée, il entre, coulisse facilement, va au fond de moi de plus en plus vite. Oui, oui, vas y, défonce moi, je sens que je vais jouir de nouveau. C’est aussi le moment pour lui. Il a un long un râle, s’arrête, sa bite grossit, se raidit, quelques spasmes, il gicle, c’est chaud, je crie oh, oh oui, ouiiiiiiii encore ! C’est trop bon.
On reste ainsi collés l’un dans l’autre jusqu'à ce que sa bite ressorte d’elle même.
Fatigués, on se relève, il retire la capote, je regarde l’heure, une heure et demie du matin.. On va dans la salle de bain se préparer pur la nuit, il enfile son pyjama. On se couche, je me blottis contre lui, je veux sa chaleur. Délicatement je lui masse les couilles, je ne tiens pas à les briser, de celles là j’en ai trop besoin, il ne réagit plus, on s’endort.
Il est 5 h, je m’éveille. Il est là, allongé, dort paisiblement. Ca ne peut pas durer, mon ventre à faim de lui, avec lui je suis inrassasiable ! J’allume le chevet, soulève le drap et la couverture, regarde. Sa bite est là, à portée de main, molle, pendante sur la cuisse. J’ai pitié, la sort du pyjama, soulève, caresse, tire sur la peau. Elle réagit, grossit, durcit, s’allonge. Je le branle doucement, il se réveille.
- Qu’est ce que tu fabriques ?
- Je t’équipe, j’ai envie.
- Je suis crevé, laisse moi dormir
- D’accord, on verra ça plus tard !
Je monte sur lui, m’empale, commence un doux va et vient, il m’aide, cabre le bassin, suis ma cadence. Il me renverse, passe sur moi, se met à me pilonner sauvage Il me l’enfonce profond, je serre ma gaine pour bien le sentir, mouille terrible. Il quitte le pyjama, je me mets sur le côté, cuisses serrées, lui présente mon cul. Il est derrière moi, écarte mes lèvres avec ses doigts, je saisis sa queue, la place devant mon trou, il me dilate en entrant, me burine dur. J’ai chaud, accompagne ses coups de queue par des coups de reins. Il me termine à l’énergie, je sens que je viens, chavire, gémis, jouit. Un râle, il a déchargé, s’arrête, m’embrasse dans le cou, se lève, jette la capote, va aux toilettes, je l’accompagne. Je le regarde pisser, prends la relève ,me soulage, passe sur le bidet, fais une toilette intime, je n’ai pas honte et pourtant c’est la première fois qu’on me regarde dans cette position, de plus je suis nue. On se recouche, on s’embrasse, on se tourne le dos, la nuit n’est pas finie, demain……au boulot !
Il a demandé le réveil à 7 h. Le téléphone intérieur nous sort de notre léthargie. Il raccroche, s’étire, se lève, prend un peignoir, se dirige vers la salle de bain. Mal réveillé, il ne marche pas très droit, on croirait qu’il est saoul. Il prend sa douche, moi je paresse un peu, le rejoins, prends une douche à mon tour, met un peignoir. Il a fini de se raser, je m’approche, le regarde, écarte les pans de son peignoir, attrape la queue, l’agasse, il bande. Il me retourne, je m’appuis sur le lavabo, il soulève le peignoir, me prend aux hanches. Je le vois dans le miroir, derrière moi, il se colle contre mon cul, s’enfonce, c’est bon de la sentir nue, comme petit déj, que rêver de mieux. Soudain j’y pense, pas de blagues. Je me redresse, le repousse d’un coup de cul, il ne s’est pas protégé, je lui dis, je suis dans la zone dangereuse.
Retour dans la chambre, je plonge sur le lit, à plat ventre. Il arrive derrière moi, relève le peignoir, m’écarte les fesses. Il s’est couvert au passage, je le sens s’introduire en moi, je redresse le cul, ça y est, il est en action. Je couine, crie ma jouissance, encore une fois je suis partie. Lui y va dard dard, n’a plus grand chose à éjaculer, s’acharne pour y parvenir, s’écroule, halète, bascule sur le dos à côté de moi, souffle, reprend des forces. C’est fini pour aujourd’hui, on se rhabille, il met pyjama, linge de corps, chaussettes, trousse de toilette, dans sa petite valise. Je remets un peu d’ordre dans la chambre, ramasse les témoins de nos folies, les jette dans la poubelle de la salle de bain. Au passage, je me regarde dans le miroir, on peut lire les fatigues de la nuit sur mon visage. On quitte la chambre, descendons dans la salle du petit déjeuner.
On prend un petit déjeuner copieux, on a faim, faire l’amour ça épuise. Il doit être à 9 h au bureau, il me dépose à la maison, on se roule un patin, il me dit : je t’appelle. Ma mère commence à m’entreprendre, je n’ai pas le temps, j’ai déjà manqué le premier cours, je me change, file. On verra ça plus tard !
Il y aura une suite
Ce week-end je reste à la maison, j’étudie dans ma chambre. Il faut que je bosse dur si je veux obtenir mon diplôme. Je pense à l’après- midi de vendredi, ce mec me fait rêver. J’en reste troublée, j’ai encore l’impression de sentir sa bite en moi. C’est la première fois qu’une partie de baise me fait cet effet. Sa queue est aussi importante que mon gode, mais elle est chaude et vivante, ça change tout !
J’attends jeudi soir avec impatience, pourvu qu’il ne me fasse pas faux bond, qu’il ne se soit pas moqué de moi en me faisant croire qu’il veut me revoir. Je n’oublie pas qu’il est marié, a peut-être des enfants, je ne voudrais pas briser un couple.
Je suis passée à la pharmacie reconstituer mon stock ! Je prends une taille 3, la plus grande, vu l’importance du membre à équiper. Regard étonné de la pharmacienne, mais pas de commentaires. J’ai arrêté de prendre la pilule, je suis dans la période dangereuse ! Je ne pourrais recommencer à la prendre qu’après mes règles. Pas de conneries, pas question de se faire monter à cru !
A la fac, le mec de l’autre jour a remis ça. Il réussit à me coincer dans un couloir, me pousse dans une salle vide dont la porte est ouverte.
Une fois entrés, il la referme, me plaque contre. Je me débats, il m’immobilise, à quoi bon résister, je risque de prendre un mauvais coup. Il passe sa main dans mon jean, atteint mon entrejambes. Je le laisse faire, il me triture la vulve, cherche à m’introduire ses doigts, involontairement, je mouille.
- Tu vois qu’t’en as envie !
- Tu veux m’baiser, vas-y !
- Tu regretteras pas !
- Toi si !
Il me lâche, recule, je ne bouge pas, j’ai ma petite idée. Il ouvre son jean, sort sa bite et ses couilles. Il est en érection, ridicule, trop insignifiante, c’est avec ça qu’il veut m’emmancher, il n’a pas de quoi aller jusqu’au fond ! Quel vantard ! Je serais lui, je n’oserais pas la déballer devant une fille ! Je connais mieux.
Il me regarde, s’approche, se plaque contre moi, cherche ma bouche, je tourne la tête. Il s’attaque à ma ceinture, l’ouvre, passe sa main dans ma culotte. J’écarte un peu les jambes, un doigt glisse dans ma fente. Je ne cherche pas à le repousser, ça le met en confiance, il tente d’aller plus loin. Je prends sa queue, commence à l’astiquer, il bande un peu plus, dommage pour lui…………Car soudain …..patatras, je passe la main sous ses couilles et les sers énergiquement. Oh… le gueulement ! Il est plié en deux, tombe à genoux, se roule par terre, se les tient. Je referme mon jean, ouvre la porte et file. C’est ma botte secrète, c’est la seconde fois que je l’utilise. Au moins en voilà un qui va me foutre la paix, je ne crois pas qu’il va s’en vanter ! Ou alors, si il le dit à ses copains et qu’ils s’y mettent à plusieurs, ça va être ma fête ! Je risque de passer à ‘’ la tournante’’, les mains attachées.
Le soir, dans ma chambre, j’ai du mal à travailler, je pense à jeudi, espère, hésite, je crois que je fais une bêtise, j’ai envie de me dédire, je ne sais pas comment le joindre. Si je passe la nuit dehors, je vais avoir droit aux reproches de ma mère. Surtout si elle apprend que je me fais sauter par un homme marié. En plus j’ai cours vendredi matin, je risque de ne pas être en forme, de somnoler ! Mais mon ventre en redemande, je ne peux pas résister à son appel. Alors ? Oui ou non, c’est dur !
On est jeudi soir, pas de nouvelles. A tout hasard, j’ai pris ma douche, mis une robe élégante, grand décolleté devant, Longue fermeture éclair dans le dos. Elle met en valeur ma silhouette, oublié la culotte. Je mets des chaussures à hauts talons, c’est quand même mieux pour sortir. Je me suis un peu maquillée les yeux, juste ce qu’il faut, parfum discret, c’est tout. Samedi dernier, je suis allée chez le coiffeur, ma coupe de cheveux était vraiment à revoir. Mes parents me voient comme ça, ma mère est offusquée, ne reconnaît plus sa fille. Je dis que je suis invitée au resto par un copain, que c’est normal que je me mette un peu en valeur.
- Et tu vas passer la nuit avec ?
- Je ne sais pas, je vais peut-être rentrer tard. Il ne m’a pas appelé, je ne sais même pas s’il va venir !
Je suis dans ma chambre, nerveuse, guette la rue, il fait nuit. Huit heures et demi, rien. Il m’a posé un lapin, c’est tout ce que je mérite. J’ai eu tord de m’emballer pour ce mec. Il voulait tirer son coup, sans plus.
Il est bientôt neuf heures, je me prépare à me déshabiller, je vais descendre à la cuisine manger un morceau. Mes parents regardent la télé, ne s’occupent plus de moi.
Coup de klaxon bref, je jette un œil dehors, il est là. J’enfile un manteau demi saison, jette un grand châle en laine blanche sur mes épaules, descends les marches 4 à 4 au risque de tomber, (avec des hauts talons ce n’est pas évident) m’arrête, me calme, respire à fond, ouvre la porte. Il m’attend, me prend par la main, me conduit à la voiture, ouvre la portière, la classe !
- Excuse mon retard, j’ai perdu beaucoup de temps sur la route.
- Je croyais que tu m’avais posé un lapin.
- J’ai dis que je t’appellerais en cas d’empêchement.
- On dit, on dit. Je ne croyais pas te revoir, mais enfin tu es là.
- J’ai réservé pas très loin d’ici, dans une petite auberge sympa.
- C’est parce que j’ai mis ma main sur ta jambe que tu as eu envie de moi ?
- Ca m’a troublé, j’ai réfléchi, hésité. Je crois toujours faire une erreur !
- Tu me plais, je ne savais pas comment te le faire comprendre !
- Toi aussi tu me plais, c’est pour ça que je suis là, mais l’autre jour, te baiser, ce n’était pas dans mes intentions.
- Et aujourd’hui ?
- J’ai bien réfléchi, j’ai envie de toi. On y va ?
On roule depuis une demi heure, on est hors de la banlieue. On arrive, il entre dans une grande propriété, on roule sur une longue allée en gravier bordée d’arbres, au bout une sorte de petit château, façade éclairée. Il ouvre ma portière, me prend la main, je descends de voiture, il ouvre le coffre, prend sa valise. On monte les marches, on arrive sur un perron, une personne en tenue nous ouvre la porte, prend notre vestiaire, nous emmène en salle. Je suis émerveillée par le cadre, ambiance feutrée. Je regarde, impressionnée, admirative, intimidée, il m’a conduit dans un endroit où mes moyens ne me permettent pas d’aller. Lumières tamisées, une fleur et une lampe allumée sur chaque table. Le serveur nous place le long d’une fenêtre, face à face, un peu à l’écart des autres. Il y a dans la salle un groupe de 3 hommes d’affaires, et deux couples. On prend l’apéritif, pour moi il sera sans alcool, petits canapés, un délice, je dois garder la tête froide si je veux avoir le cul chaud. On nous présente le menu, le sommelier les vins, je suis un peu perdue, lui demande de choisir pour moi. En attendant, on parle un peu. Il me demande comment s’est passée ma semaine. Je lui raconte l’agression dont j’ai été victime hier, à la fac, et surtout la façon dont je m’en suis sortie. Et je lui parle de l’autre, celui qui a osé me forcer la rosette ! Ca l’a fait marrer, ne tient pas expérimenter ma botte secrète ! Il m’apprend qu’il dirige une petite entreprise, a une dizaine de salariés. Après les hors d’œuvre délicieux, on nous amène le plat principal sous cloche d’argent, je ne pensais pas qu’un jour une telle chose m’arriverait. Pendant le dîner je bois un verre de vin, ça me rend toute chose, m’échauffe, j’ai soudain envie d’oser. Je jette un coup d’oeil autour de moi, personne ne s’intéresse à nous. Mine de rien, je retrousse ma robe jusqu’ en haut des cuisses, elles sont cachées par la nappe J’enlève une chaussure, tends la jambe et frotte mon pied sur son sexe. Il me regarde, surpris, a un geste brusque, en fait tomber sa fourchette! Il se penche pour la ramasser, j’écarte les cuisses pour lui montrer que je n’ai pas mis de culotte. Je crois qu’il s’en ai aperçu, il se redresse, me regarde, il est tout rouge. Je lui dis tout bas :
- J’ai envie, il faut que tu me la mettes tout de suite, je ne tiens plus.
- Patience ! On a toute la nuit !
On arrive au dessert, génial comme le reste du dîner. Il est 11 h et demi, il me dit :
- Les dîners d’affaires sont toujours très longs, il va falloir que tu t’habitues !
- Si je tombe de sommeil, je ne serais plus bonne à rien !
- Pas de problèmes, je sais ce dont tu es capable, on y va !
On sort de la salle de restaurant qui est maintenant presque vide, il récupère sa clé, on monte à l’étage. La chambre, une pure merveille de décoration. Mobilier de style, lit grand large à dosseret, tapis, moquette, lourds rideaux, le rêve. Peignoirs et robes de chambre dans l’armoire.
En entrant, il quitte sa veste, la met sur un cintre, je lance châle et sac sur le lit. Je fonce dans la salle de bains, laisse la porte ouverte, une urgence. Ouf, ça va mieux ! J’espérais qu’il me suive pour m’enfiler dès que soulagée, mais non, il est là, assis sur le bord du lit, à m’attendre. Je balance mes chaussures dans la pièce et pieds nus je fonce vers lui, tombe à genoux, l’aplatit sur le lit, libère sa queue, ses couilles. Elle est au repos, j’ai faim de lui, je ne la suce pas, je la lui bouffe littéralement, aspire le gland, lèche les couilles, l’enfourne en entier dans ma bouche. Qu’est ce qu’y me prend, je ne me suis jamais comportée comme ça ! Moi qui n’aime pas sucer ! Oh miracle, il se met à bander terrible, elle est impressionnante, je ne peux plus attendre, il me la faut. J’attrape mon sac, sort une capote, lui enfile, je relève ma robe, monte sur lui, m’encastre. Il est surpris par la soudaineté de l’attaque, réagit, me bascule, on tombe du lit, il reste encastré dans moi, je me retrouve sur la moquette, écartelée. Il me défonce, s’acharne, accélère, s’enfonce jusqu’à la garde, je sens sa pine grossir, durcir, il se lâche, je sens ses jets de foutre dans la capote, mon cœur s’emballe, je crie, jouis en même temps que lui. On est là, l’un dans l’autre, par terre, encore habillés, haletants, il m’a comblé, il y avait urgence. Il me quitte, se lève, vire la capote, me retourne, me met en levrette, me relève la robe sur le dos, me prend sous le ventre, tire, me soulève comme une plume. Il faut dire qu’il a un corps d’athlète, mesure 1,83 m pour 70 kg. Je me retrouve la tête en bas, les jambes en l’air. Il les passe sur ses épaules, sa tête est entre mes cuisses, il me bouffe la chatte, m’aspire le clito, entre sa langue dans mon trou, boit ma mouille. J’appuis mes mains sur ses jambes, sa bite est là, devant ma bouche, d’une main je la saisis. Je l’absorbe, la suce, elle est enduite de foutre, redevient raide, beurk ! j’aime pas le goût, tant pis. La position est inconfortable, je gigote, j’ai le sang qui monte à la tête. Il a comprit, me dépose sur le lit, on se calme, c’est trop violant, depuis le temps que j’attendais ce moment. On est en travers du lit, côte à côte, il est minuit et demi, mes yeux se ferment. Il faut qu’on dorme. On se met debout, j’ouvre le lit, le déshabille, il se laisse faire. Son sexe est revenu au repos, je le caresse doucement, tire sur la peau, dégage le gland, je le branle doucement, il durcit, bande de nouveau, quelle merveille !
Il passe derrière moi, fait glisser la fermeture éclair, dégage mes épaules, ma robe tombe au sol, on se retrouve à poil tous les deux. Il m’embrasse, suce mes tétons, pétrit mes seins, caresse mon corps, fait bander mon clito, enfile ses doigts dans mon vagin. Je mouille. Il remet un préservatif, m’allonge par terre, se place entre mes jambes, les relève, je me retrouve sur les épaules, cul en l’air, pieds de part et d’autre de ma tête, j’appuie les bras au sol. Debout, jambes écartées, il m’enfile direct, sans ménagements, me burine dur, fait des han, han, je sens sa verge buter au fond de moi. Dans cette position je vois ma vulve bordée de poils enserrer sa queue. Elle entre et sort de mon vagin, me quitte, entre de nouveau, ses couilles battent mon cul. Je me sens partir, gémis, couine de plus en plus fort, oui, oui, vas-y, je jouis. Il me laisse retomber doucement, s’allonge sur moi. Je ne suis pas refermée, il entre, coulisse facilement, va au fond de moi de plus en plus vite. Oui, oui, vas y, défonce moi, je sens que je vais jouir de nouveau. C’est aussi le moment pour lui. Il a un long un râle, s’arrête, sa bite grossit, se raidit, quelques spasmes, il gicle, c’est chaud, je crie oh, oh oui, ouiiiiiiii encore ! C’est trop bon.
On reste ainsi collés l’un dans l’autre jusqu'à ce que sa bite ressorte d’elle même.
Fatigués, on se relève, il retire la capote, je regarde l’heure, une heure et demie du matin.. On va dans la salle de bain se préparer pur la nuit, il enfile son pyjama. On se couche, je me blottis contre lui, je veux sa chaleur. Délicatement je lui masse les couilles, je ne tiens pas à les briser, de celles là j’en ai trop besoin, il ne réagit plus, on s’endort.
Il est 5 h, je m’éveille. Il est là, allongé, dort paisiblement. Ca ne peut pas durer, mon ventre à faim de lui, avec lui je suis inrassasiable ! J’allume le chevet, soulève le drap et la couverture, regarde. Sa bite est là, à portée de main, molle, pendante sur la cuisse. J’ai pitié, la sort du pyjama, soulève, caresse, tire sur la peau. Elle réagit, grossit, durcit, s’allonge. Je le branle doucement, il se réveille.
- Qu’est ce que tu fabriques ?
- Je t’équipe, j’ai envie.
- Je suis crevé, laisse moi dormir
- D’accord, on verra ça plus tard !
Je monte sur lui, m’empale, commence un doux va et vient, il m’aide, cabre le bassin, suis ma cadence. Il me renverse, passe sur moi, se met à me pilonner sauvage Il me l’enfonce profond, je serre ma gaine pour bien le sentir, mouille terrible. Il quitte le pyjama, je me mets sur le côté, cuisses serrées, lui présente mon cul. Il est derrière moi, écarte mes lèvres avec ses doigts, je saisis sa queue, la place devant mon trou, il me dilate en entrant, me burine dur. J’ai chaud, accompagne ses coups de queue par des coups de reins. Il me termine à l’énergie, je sens que je viens, chavire, gémis, jouit. Un râle, il a déchargé, s’arrête, m’embrasse dans le cou, se lève, jette la capote, va aux toilettes, je l’accompagne. Je le regarde pisser, prends la relève ,me soulage, passe sur le bidet, fais une toilette intime, je n’ai pas honte et pourtant c’est la première fois qu’on me regarde dans cette position, de plus je suis nue. On se recouche, on s’embrasse, on se tourne le dos, la nuit n’est pas finie, demain……au boulot !
Il a demandé le réveil à 7 h. Le téléphone intérieur nous sort de notre léthargie. Il raccroche, s’étire, se lève, prend un peignoir, se dirige vers la salle de bain. Mal réveillé, il ne marche pas très droit, on croirait qu’il est saoul. Il prend sa douche, moi je paresse un peu, le rejoins, prends une douche à mon tour, met un peignoir. Il a fini de se raser, je m’approche, le regarde, écarte les pans de son peignoir, attrape la queue, l’agasse, il bande. Il me retourne, je m’appuis sur le lavabo, il soulève le peignoir, me prend aux hanches. Je le vois dans le miroir, derrière moi, il se colle contre mon cul, s’enfonce, c’est bon de la sentir nue, comme petit déj, que rêver de mieux. Soudain j’y pense, pas de blagues. Je me redresse, le repousse d’un coup de cul, il ne s’est pas protégé, je lui dis, je suis dans la zone dangereuse.
Retour dans la chambre, je plonge sur le lit, à plat ventre. Il arrive derrière moi, relève le peignoir, m’écarte les fesses. Il s’est couvert au passage, je le sens s’introduire en moi, je redresse le cul, ça y est, il est en action. Je couine, crie ma jouissance, encore une fois je suis partie. Lui y va dard dard, n’a plus grand chose à éjaculer, s’acharne pour y parvenir, s’écroule, halète, bascule sur le dos à côté de moi, souffle, reprend des forces. C’est fini pour aujourd’hui, on se rhabille, il met pyjama, linge de corps, chaussettes, trousse de toilette, dans sa petite valise. Je remets un peu d’ordre dans la chambre, ramasse les témoins de nos folies, les jette dans la poubelle de la salle de bain. Au passage, je me regarde dans le miroir, on peut lire les fatigues de la nuit sur mon visage. On quitte la chambre, descendons dans la salle du petit déjeuner.
On prend un petit déjeuner copieux, on a faim, faire l’amour ça épuise. Il doit être à 9 h au bureau, il me dépose à la maison, on se roule un patin, il me dit : je t’appelle. Ma mère commence à m’entreprendre, je n’ai pas le temps, j’ai déjà manqué le premier cours, je me change, file. On verra ça plus tard !
Il y aura une suite
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