Aventures d'ados ( 15 )

- Par l'auteur HDS Zefire -
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Aventures d'ados ( 15 ) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-09-2007 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Aventures d'ados ( 15 )
15 Le lendemain je retourne à la Fac. Ma copine trouve que j’ai une sale tête.
- Pourquoi t’étais pas là hier ?
- J’étais pas bien, j’ai dû rentrer
Vu mon air fatigué, mes traits tirés, elle me croit. Je lui demande de me passer ses notes. Après les cours, je rentre direct chez moi, m’allonge, m’endors. J’ai mal aux cuisses, près d’un mois sans baiser, je manque d’entraînement. Je ne verrais pas Marc la semaine prochaine, il a trop de travail, il ne pourra pas se libérer. Je repense à Jack, le copain de Mélanie. Il a une belle bite, nettement moins grosse et longue que celle de Marc, mais en attendant elle pourrait faire mon affaire et entretenir ma grotte. De cette façon, je n’aurais pas recours à mon gode en attendant que Marc me la remette. J’appelle Mélanie, c’est Jack qui me répond, elle est partie faire des courses
- Justement c’est à toi que je veux parler
- Qu’est ce qui se passe ?
- Rien de grave ! Tu préfères sans Mélanie ?
- Oui, bien sûr ! Tu la veux quand ?
- Je suis libre mardi après 5 h, t’as un endroit ?
- Je vais demander à un copain de me prêter sa piaule, je te rappelle !
- OK ! Bye.
Voilà, c’est fait, je me disais bien qu’il serait partant. Il n’a pas été dur à convaincre, Pauvre Mélanie, je vais trahir ma meilleure copine. Après tout, mon cul vaut bien le sien, il me propose un coup de bite, ça ne se refuse pas ! C’est pour la bonne cause !
Le mardi, il me rappelle. Un coup de chance je viens juste d’arriver quand le téléphone sonne. C’est moi qui réponds, ma mère n’est pas là.
- Ce soir ça te va, je dis à Mélanie que je vais faire un poker chez un copain. Comme elle n’aime pas jouer au poker, elle ne viendra pas. 9 h ça te va ? Je passe te prendre.
- Parfait, mais on sera seuls ?
- Oui, t’inquiète, il est au courant !
- Mélanie le connaît ?
- Oui, il va passer la voir, d’ailleurs, entre nous, je suis pas sûr, mais je crois bien qu’il se la tape !
- Tu dis où tu es à Mel ? Et si elle téléphone ?
- Elle le f’ ra pas. Et puis j’ai prévenu, y fr’ont pas d’embrouille. Pas intérêt
- Elle les connaît ?
- Ouais ! Même qu’une fois elle est venue, elle était l’enjeu.
- Ah bon, et qui l’a gagné !
- Personne, on était 4 à la table, on lui a fait 2 sandwiches ! Elle n’est pas prête d’y revenir !
- OK, bon pour 9 h. À plus !
Je mange, je dis à ma mère que je rentrerais tard. Encore ! Ce n’est pas avec Marc, si ça peut te tranquilliser. Je vais chez ma copine Audrey !
J’ai mis une jupe, un chemisier transparent, un string noir. 9 h pile, je suis devant la porte, le voilà. Je monte dans sa voiture, il m’embrasse et en route pour une partie de jambes en l’air ! On roule depuis un bon moment, on ne parle pas. Il me prend la main, la place dans son entrejambes, je sens qu’il bande, il sort sa queue, je l’astique et lui tiens les couilles au chaud. On arrive dans une cité HLM. Il range son matériel, on descend de voiture. On prend l’ascenseur, ça pue la pisse, pas ragoûtant. Il en profite pour me peloter, me foutre la main au cul. Ca commence bien ! On est sur le palier, il ouvre la porte, effectivement il n’y a personne. La piaule est bizarre, je lui demande :
- Comment s’appelle ton copain ?
- Karim, pourquoi ?
Il me pousse à l’intérieur. À peine entrés, la porte refermée, il me saute dessus, vire mon chemisier, ma jupe, je me retrouve à poil. Il me déstabilise, me fait tomber par terre, il est déjà sur moi ! Je le repousse, tape sur son dos avec mes poings, pas d’accord, il va trop vite. Il se relève, me regarde, penaud, reste assis par terre. Il a sorti sa queue quand il était sur moi, bande comme un cerf. Je suis debout devant lui, jauge l’engin. Pas formid !
- J’ai trop envie de toi ! j’peux plus attendre, faut que j’te l’enfile ! Ouvre tes cuisses ! Viens t’asseoir dessus !
- Oh là là, du calme, attends que je te mette une capote, je ne baise pas sans ! Je ne prends pas la pilule ! ( c’est faux )
Il se lève, se fout à poil vite fait, me présente sa bite, je l’équipe. Il bande dur, pas besoin de le branler, un vrai mâle en rût. Il m’embrasse sur la bouche et, mine de rien, me pousse vers le lit. Je perds l’équilibre, tombe en arrière. Pas de préambule, il m’attrape les jambes, m’ouvre les cuisses en grand, écarte le string, me remonte le cul et d’un seul coup me pénètre à fond. Il me fait mal en entrant, aieeeeeeeee, je ne mouille même pas, c’est du viol ! J’essaye de me débattre, rien à faire, il s’acharne, me l’enfonce sauvage, grogne comme un ours. En quelques coups de queue, il décharge, s’écroule sur moi. Depuis l’arrivée dans la chambre, à peine 5 minutes se sont écoulées, personne ne me l’a mise aussi sauvagement que lui. Je le repousse, descend du lit, commence à ramasser mes vêtements.
- T’as eu ce que tu voulais, allez, on rentre, ramène-moi !
- J’suis pas vide, on peut se la faire douce, je te l’ai mise, j’avais urgence !
La porte s’ouvre, c’est le copain Karim
- Qu’est c’tu fout là, j’t’ai dis d’aller voir Mél !
- Elle ne m’a pas laissé entrer. M’a dit : Jack n’est pas là, fout le camp. Je lui ai répondu : J’veux te baiser, elle m’a claqué la porte au nez !
En me désignant du menton, Jack lui dit :
- Je viens de la commencer, tu veux l’essayer, elle est bonne !
- Ca va pas, non, je n’suis pas une pute !
Karim s’approche de moi, je recule, c’est pas le genre de mec qui me plait, je ne veux pas qu’il me baise. Jack en profite pour me faire tomber sur le lit. Je me débats, il s’y mette à deux pour me tenir, retirent mon string, le lance à travers la pièce. Jack se met à cheval sur ma poitrine, m’écrase, je vois son dos, il me tient les jambes en l’air, les écartent un max, les tire vers lui, relève mon cul, offre mon sexe à son copain.
- Dis donc, t’es vachement poilue ! On voit à peine le trou !
Il m’écarte les lèvres, glisse son doigt dans la fente, pince mon clito, m’en enfile deux dans le trou.
Je ne peux pas bouger, tente de le repousser, je n’en ai pas la force, je suis coincée, foutue, lui dis :
- Si tu veux me baiser, prends une capote dans mon sac !
Jack me tient toujours les cuisses ouvertes pendant que Karim se fout à poil, prends une capote, la met, en tend une à Jack qui l’enfile. Le copain se positionne entre mes cuisses, me pénètre d’un coup sec, aie, aie je ne parviens pas à mouiller. Je me laisse faire, à quoi bon, contre deux mecs d’un mètre quatre vingt, je ne fais pas le poids, je dois subir. Il me lime sauvage, se retire, Jack le remplace. Pendant une dizaine de minutes, ils me ramonent chacun leur tour. Mon vagin est irrité, me fait mal, je ne mouille toujours pas, j’en ai les larmes aux yeux, je suis là, trou béant, amorphe, ne participe pas. J’abdique, les laisse faire, ils se relayent, l’un me maintient les cuisses écartées, le cul un peu en l’air, pendant que je subis les assauts percutants de l’autre.
- Et si on se la prenait à deux ?
- Non pas ça, je ne veux pas qu’on m’encule !
Rien n’y fait. Jack est sur moi, dans moi, arrête de me limer, roule sur le lit, m’entraîne. Je me retrouve aplatie sur lui, embrochée, cuisses ouvertes, à genoux, avec ses bras sur mon dos qui me bloquent sur lui. Je ne peux pas me défendre, mon cul est à disposition, exposé. Le copain monte sur le lit, m’ouvre les fesses, sa bite force ma rosette, il me fait mal, aie, il pousse, commence à m’ouvrir, le sphincter cède, il me l’enfonce en entier d’un seul coup, aie,aieeeeeee, je suis empalée. Et ça y est, la chevauchée infernale commence. Ils me pilonnent en cadence, je sens leurs bites se croiser dans mes deux conduits, je subis leurs assauts. Enfin Karim décharge, sort de mon cul, vire la capote, vient présenter sa queue devant ma bouche. Suce-moi ! Il me prend la tête, me force à l’avaler presque en entier, j’étouffe, il me relâche. Avant de la recracher, une petite vengeance me vient à l’esprit. Je la mords un bon coup. Hurlement…….
- Salope tu vas me le payer
Il ne bande plus, sa verge a la marque de mes dents, saigne légèrement. Il se la tient, va se la laver au lavabo. Je donne un coup de reins, me dégage de l’autre queue qui s’active toujours en moi. Il n’a pas eu le temps de décharger. Je suis debout et avant qu’ils ne réagissent, je ramasse mes affaires, saute dans mes pompes, ouvre la porte, file.
- C’est ça, barre-toi, putain ! Si je te rencontre dans le coin, je vais faire ta fête. T’as pas fini de souffrir !
Je me retrouve à poil sur le palier, me rhabille en descendant par l’escalier de secours. Je ne sais pas où je suis, il n’y a personne en bas. Je vais à la voiture, me cache derrière, il va bien revenir ! Dans l’affolement j’ai oublié de ramasser mon string, tant pis !
Le voilà, au moment de monter dans la voiture, il me voit.
- Qu’est ce que tu fous là ?
- Je t’attendais, je ne sais pas où on est, tu me raccompagnes ?
- T’es dingue, t’aurais pu lui couper la queue avec tes dents ! Tu lui as fait vachement mal. Il t’en veut !
- Tous les deux vous m’avez baisée à sec, je ne voulais pas qu’on m’encule, c’est du viol !
- Bon, on y va, monte, faut pas rester là !
On roule en silence, l’atmosphère est pesante. Ca m’apprendra, j’aurais dû me douter que ce n’était pas un raffiné ! Je repense à ce qui vient de m’arriver. Heureusement que la quéquette du copain taille du 3,5 x 14 en érection. C’est pour ça qu’il n’a pas eu trop de difficultés à me la rentrer dans le cul ! Bob m’avait enfilé difficilement du 5 x 20 ! Quant à Jack, il est monté en 4 x 16, pas de quoi pavoiser. Ces cons, avec leur façon de baiser sans préliminaires, n’ont pas été capables de me faire mouiller, encore moins jouir. Je suis restée là haut à peine une demi-heure. C’est la première fois qu’on me baise à sec, mes deux trous me font mal, je ne suis pas prête à recommencer avec lui, je le laisse à Mélanie ! Peut être bien que je vais me venger en lui racontant cette histoire ! Il est 10 h 30, on arrive. Au moment de me quitter, il m’embrasse sur la joue, glisse sa main entre mes jambes. Je serre les cuisses, dégrafe la ceinture de sécurité, saisie la poignée de portière, me prépare à descendre. Il me retient
- Tu vas pas partir comme ça !
- Qu’est ce que tu veux encore ?
- J’peux pas rentrer, c’est trop tôt.
- Qu’est ce que tu veux qu’ça m’foute ?
Manque de pot, durant cette discussion, j’ai baissé la garde. Sa main est toujours entre mes cuisses, sous ma jupe, je n‘ai pas fait attention, ma moule est nue, sa main s’est plaquée, ses doigts la serrent. Et crac ! Ils sont dedans, crochetés. J’essaye de me dégager, de le repousser, sert les cuisses, mais il et costaud, sa main ouvre ma vulve, un doigt agasse mon clito, deux autres me fouillent ! Cette fois je mouille malgré moi, je suis coincée, gesticule, ouvre les cuisses, ma respiration s’accélère, j’ai chaud, il me tient, je suis à sa merci. Il se rend compte que je suis prête, enlève sa main, redémarre.
- Où tu m’emmènes ? Laisse moi descendre !
- T’es pas pressée, je vais te la mettre, là haut tu m’as pas fini !
On arrive sur un parking, il se gare derrière un bâtiment, l’endroit est absolument désert. Il descend, ouvre ma portière, m’attrape, je résiste, il tire un coup sec. J’essaye de me retenir au montant de portière, je me retrouve à l’extérieur, mains appuyées sur le siège, jupe remontée sur le dos, le cul à l’air. Il m’écarte les jambes avec son genou, d’une main il m’appuie sur le cou, de l’autre m’écarte les lèvres et enfile ses doigts dans ma gaine, les fait tourner. Mon sexe est trempé, s’ouvre, je sens qu’il va me la mettre, je la veux, je lui dis :
- Prends une capote dans mon sac !
- J’vais m’vider dans tes boyaux, y en a pas besoin !
- Pas question, j’ai d’jà dit, j’veux pas qu’on m’encule !
Il tend la main, ouvre mon sac, le retourne, trouve une capote, sort sa queue, s‘équipe, m’attrape aux hanches et d’un coup sec m’emmanche jusqu’à la garde. Je pousse un oh de surprise.
- Vas-y plus doux, j’suis pas une bête !
Il me ramone en douceur, entre, sort, fait durer le plaisir. Il accélère, se met à me buriner dur, va au fond de moi, cette fois je l’accompagne. J’ai de plus en plus chaud, sa bite me fait du bien, je vais venir, remue le cul pour bien le sentir, l’aider à s’encastrer. Il choisit ce moment pour se bloquer au fond, donne plusieurs secousses, haaaaaaaa oooooooooo ouiiiiiiii je jouis en même temps qu’il décharge dans la capote, c’est chaud, c’est bon !.
Il vire la capote, la jette, laisse son outillage dehors. Je suis debout, appuyée sur la portière, récupère.
- T’en veux encore un coup, cette fois j’te la file dans l’cul, j’me sens en forme !
- J’t’ai d’jà dit non, n’insiste pas, ramène-moi.
- J’veux qu’tum’ suce avant ! Faut pas que je sente la baise !
- J’aime pas, je mords ! Démerde-toi autrement !
On remonte en voiture, il me ramène, on ne dit rien. Il ne m’a pas sauté dessus comme en début de soirée. Il me dépose devant chez moi, je descends rapide, lui fais un signe de la main, entre, file dans la salle de bain, pisse, me lave le cul, rentre me coucher. Je repense à ce qui vient de m’arriver. Ca m’apprendra de vouloir piquer le mec d’une autre. J’ai joué, j’ai perdu, pris des risques et finalement je me suis fait enculer.
Je téléphone à Marc. Il a beaucoup de boulot car il va partir 3 semaines en vacances. J’insiste un peu, lui dis que je veux l’avoir en moi, attendre encore 3 semaines, c’est trop dur, j’ai envie de sa queue ! Il me donne l’adresse de sa boîte et un rencard jeudi pendant l’heure du déjeuner, il n’y aura personne. Mets pas de culotte, on aura pas beaucoup de temps, une demi-heure tout au plus, c’est un peu juste pour tirer un coup, mais tant pis !
Je m’habille léger, rien dessous, comme demandé. Ca me fait drôle d’avoir le cul nu dans les transports, je dois changer, ce n’est pas direct. J’arrive un peu en avance, attends à proximité. Les employés sortent un à un, j’attends encore 5 mn pour m’assurer qu’il n’y a plus personne. Je lève les yeux, je le vois à une fenêtre, il me fait signe. Ok, je fonce ! Je grimpe 4 à 4, traverse le bureau de la secrétaire. Il est en pantalon, chemise, cravate, m’attend devant la porte. J’entre, il ferme la porte à clé, se plaque contre moi, palpe mes seins, me roule une pèle ! Je baisse son pantalon, sorts sa bite, libère les couilles, le branle pendant que sa langue fouille ma bouche et ses doigts mon vagin. Je suis trempée, ouverte, me laisse tomber sur la moquette, l’entraîne. Il remonte ma jupe sur mon ventre, je l’aide à la tirer sous moi, j’écarte les cuisses, remonte les jambes, relève le cul, lui expose vulve et toison noires. Il bande dur, passe ses avant-bras sous mes jambes, les remontent. Il se met sur moi, glisse son braquemart dans la fente poilue, il est devant mon trou, pousse, m’embroche d’une seule traite, me pilonne hard, je l’accompagne. Il va profond, me remplit le ventre, j’avais besoin de sentir sa bite en moi. On roule, je suis sur lui, me redresse, je suis à cheval, monte et descend sur ce pieu qui m‘emmanche. Que c’est bon, il est dur, énorme, long, me défonce, je mouille terrible, gémis. Il me bascule, je me retrouve sur le ventre, remonte le cul, il écarte les poils, m’ouvre les lèvres, glisse sa queue, m’enfile, accélère, durcit ses coups de bite. J’ai de plus en plus chaud, je sens que je viens, couine. Soudain il se bloque au fond, un premier jet. Oh ouii, encore ! Quelques secousses, il gicle plusieurs fois, me remplit, je chavire, perd la tête, crie ahaaaaa, ouiiiiiiiii pendant qu’il décharge. Heureusement que nous sommes seuls. Il reste sur moi, sa queue vit en moi, se vide encore, il halète. On reste comme ça, collés l’un à l’autre, l’un dans l’autre, sa queue ressort lentement. Il a programmé sa montre, elle sonne. Il se relève, je me mets debout, son foutre coule le long de mes cuisses. Il remet son pantalon, me donne un kleenex, je m’essuie. Désolé, tu dois partir. Je l’embrasse, j’ai le ventre plein de sa semence, il en coule encore le long de mes cuisses. Lui a les couilles vides, vu la quantité qu’il m’a refilé. Il ouvre la porte, je t’appelle dès mon retour, un dernier bisou, je file, il était temps. Au coin de la rue je me retourne, j’aperçois les premiers employés qui reviennent. Je rentre à la maison, déjeune, monte dans ma chambre. Bien sûr c’est un coup de bite vite fait, mais il m’a fait jouir terrible, j’ai le ventre plein de lui. Et puis, le risque qu’on a pris en baisant dans son bureau donne du piquant ! C’est une bonne baise à la sauvette, mais quel bonheur de se faire sauter dans ces conditions !
Et mes aventures ne se terminent pas à ça!

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