AVENTURES D'ADOS ( 20 )

- Par l'auteur HDS Zefire -
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : AVENTURES D'ADOS ( 20 ) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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AVENTURES D'ADOS ( 20 )
Le lendemain on se retrouve à la fac. Pendant le trajet qui nous mène au restaurant universitaire, je lui reparle de la visite de son mec. Je lui parle aussi de Marc, le seul qui jusqu’à présent a réussi à me faire grimper aux rideaux.
- Dommage que je ne le voie plus, je te l’aurais prêté. Sa bite est énorme par rapport à celle de ton copain, et pour ce qui est de s’en servir, chapeau. Toutes les positions y passent. Une fois on était à poil, debout. Il m’a soulevé, fait pivoter, je me suis retrouvée la tête en bas, jambes sur ses épaules, sa langue dans mon trou et sa bite dans ma bouche. Un vrai 69 vertical ! Je l’ai sucé dans cette position. Le sang me montant à la tête, j’ai agrippé ses jambes. Il a compris le signal, m’a fait pivoter de nouveau, je me suis retrouvée avec mes bras autour de son cou. Il a passé ses mains sous mes cuisses, m’a soulevé, j’ai mis mes jambes sur ses hanches. Il m’a fait descendre sur son pieu et m’a emmanché direct. Après quelques coups de bite bien appuyés, il m’a déposé les épaules sur le lit, le cul en l’air, les pieds retombants au niveau de la poitrine. Il me l’a de nouveau enfilé, je voyais sa bite me ramoner, cernée d’un col de fourrure noire dans lequel elle coulissait, ses couilles tapant sur mon cul au rythme des va et vient. C’est la première fois que je voyais mon sexe aussi bien quand j’en avais une dedans ! Il m’a buriné sauvage, allait loin dans moi. Soudain il s’est bloqué au fond, a tout lâché, m’a rempli, j’ai poussé un cri de plaisir, j’ai crû que mon cœur s’arrêtait, je suis montée au 7 ème ciel. Quel pied! Il m’a redéposé doucement, j’étais anéantie, mon ventre était plein de foutre et de cyprine, ça coulait sur mes cuisses. J’ai foncé aux toilettes pour vider le trop plein. Ca c’est de la baise ! Ton mec a l’air d’être fier de sa queue, mais il ne sait pas s’en servir ! Sa bite est quelconque et de plus il ne baise pas terrible. Un coup vite fait, c’est pas du boulot !
Plutôt classique, j’te l’enfile et c’est parti ! Si tu veux, on va lui apprendre ! Il a l’air de tenir la distance, peut nous baiser toutes les deux le dimanche, il suffit de lui faire comprendre qu’on aimerait bien qu’il nous la joue douce !
- Tu sais, je ne tiens pas tellement à ce qu’il me baise quand tu es là. Je ne suis pas fière de t’avoir montré la façon dont il me saute !
- Oh ! T’inquiète pas, des baiseurs de son genre, j’en ai connu. Si j’arrive à recontacter Marc, j’aimerais l’attirer chez toi, tu veux bien ?
- Je ne sais pas, c’est pas le luxe. Je préfère me faire baiser sans témoin ! Hier c’était pas prévu qu’il vienne !
- Comme tu veux !
Les semaines passent, ma vie sexuelle est désespérément à zéro. Je ne cherche pas, je me concentre surtout à mes études. J’utilise mon gode, une ou deux fois je l’ai partagé avec Carole. Pourtant elle se fait toujours ramoner par son gus, mais je m’applique et parviens à la faire jouir. On est maintenant en janvier, le froid est peu propice à la baise.
Le café tabac rapporte de moins en moins, mes études coûtent cher à mes parents car c’est eux qui financent pour l’essentiel. Ma mère a donc décidé de chercher du boulot. Elle a trouvé un emploi de vendeuse dans une boulangerie pâtisserie. Dès que j’aurais mon diplôme d’études commerciales, j’espère pouvoir les aider. Avant Noël, ma mère a été très occupée par la vente des bûches, aussi j’ai dû faire un peu la cuisine et les courses pour l’aider. Je lui dois bien ça. Aujourd’hui, pour mon père, c’est jour de repos hebdomadaire. On a pas cours cet après midi, on a donc décidé, Carole et moi, de potasser la législation. Mon père est au salon, regarde la télé. Ma copine arrive, lui dit bonjour en passant, entre dans ma chambre. On commence à se mettre au travail, elle paraît préoccupée
- Qu’est ce qui se passe, t’as un problème ?
- Je suis bien ennuyée, mon évier est bouché, je ne connais personne.
- Mon père est un peu bricoleur, je vais lui demander s’il veut bien aller le déboucher
- Je ne voudrais pas le déranger !
Je vais le voir, lui demande s’il veut bien lui rendre ce service. C’est pas loin, une demi-heure par les transports, pas la peine de prendre la voiture, c’est trop dur pour trouver une place de stationnement. Il prend un sac, y met sa salopette, une chemise de travail et quelques outils, s’équipe pour sortir car il fait froid, et les voilà partis. Moi je reste à la maison, j’ai pas mal de boulot.
Au bout de deux heures environ, peut être plus, mon père revient, range ses affaires et ses outils, entre dans la cuisine. Je m’y trouve car j’avais soif.
- T’as réussi à déboucher son évier ?
- Oui, mais ça n’a pas été facile, le siphon est dans un placard, il a fallu tout sortir et après ce n’est pas commode pour le démonter.
Pas d’autres commentaires, il vaque à ses occupations. Je le laisse, remonte dans ma chambre étudier.
Le lendemain, je retrouve Carole à la fac.
- Comment ça c’est passé le débouchage de ton évier ?
- Il a eu beaucoup de mal, c’était vraiment pas facile. Je te raconterais !
Deux jours après, elle vient me voir à la maison, mon père est au comptoir. Elle passe lui dire bonjour, monte dans ma chambre, me raconte :

À peine arrivés chez moi, il va dans la salle de bain, change de vêtements, se met au travail. Il faut d’abord vider le placard pour avoir accès au siphon. L’accès n’est pas commode, il a du mal à trouver une position confortable. Je le regarde faire, lui passe les outils pour lui éviter d’avoir à se relever. Vraiment dur à démonter, le siphon est plein de cochonneries agglutinées par de la graisse, pas ragoûtant du tout ! Il a même fallu démonter une partie de la tuyauterie pour la décrasser.
Au bout d’une demi heure à peu près, tout est nettoyé, remonté, essayé, ça marche, ça ne fuit pas. Il passe dans la salle de bain, se lave les mains, enlève sa salopette, sa chemise de travail. Entre temps je me suis mise à l’aise, enlevé jean et pull, passé un déshabillé. Je frappe à la porte, entre, il est en caleçon, se tourne vers moi surpris de me voir apparaître.
- Voulez vous boire quelque chose, je n’ai que de la bière à vous offrir.
- Merci, va pour une bière, après je file !
- Je ne sais comment vous remercier, c’était pas facile, vous m’avez bien dépanné.
Au lieu de sortir, je m’approche de lui, l’embrasse sur la joue, passe la main dans son entrejambe, lui prends les couilles. Il me repousse sèchement.
- Qu’est ce que tu fais, ça ne va pas ? Sorts de là, laisse moi me rhabiller !
Je recule un peu, regarde le caleçon qui se déforme de plus en plus. Je reviens à la charge, me rapproche. Sans que je la touche, sa queue jaillit comme un diable par l’ouverture du caleçon. Je n’en crois pas mes yeux, elle est aussi importante que ton gode. Impossible de résister, elle est trop belle, j’ai une soudaine envie de l’avoir en moi. Avant qu’il ne réagisse, j’attrape sa bite, m’accroupis, la prend en bouche!
- Quel morceau, je n’en ai jamais sucé d’aussi gros !
- Y en a marre, relève toi, je ne suis pas venu pour ça !
Il m’attrape sous les bras, me remet debout. Il a l’air furieux, se retourne pour prendre ses habits. Je fais tomber mon déshabillé au sol, me plaque derrière lui, frotte mon ventre contre son cul, passe une main devant, saisie sa queue, serre. Il est fumasse, me file un coup de cul pour m’éloigner, se retourne, le voilà face à moi. Il a vraiment l’air courroucé, il est tout rouge, d’une main il me repousse brutalement, et de l’autre me tape un grand coup sur la main pour me faire lâcher prise.
- Fout moi la paix, rhabille toi et laisse moi me rhabiller ! Barre toi, j’ai pas le temps.
Le gland est devenu énorme, presque violet, il va exploser, la hampe est raide, dure comme du bois ! J’attrape la main avec laquelle il m’a tapé, la plaque sur mon sexe, je mouille ma culotte, il ne peut que s’en apercevoir. Mon autre main tient toujours fermement la queue derrière le gland. Il enlève sa main de mon entrejambes.
- Lâche moi la queue, je vais me fâcher !
Au lieu de lui obéir, je prends sa main, me frotte contre lui, y mets toutes mes forces pour l’obliger à la passer dans ma culotte. Il résiste mais je réussis à la faire descendre sur ma vulve trempée. Je sens qu’il ne va plus résister longtemps, ses doigts entrent déjà dans ma fente. Je sorts le grand jeu, le tire par la queue, il résiste, ne bouge pas. Il a l’air vraiment en pétard !
- À quoi tu joues ?
- J’veux qu’ tu m’ baises ! Alors, tu viens ?
Je marche en arrière, sorts de la salle de bain en le tirant par la queue. Cette fois il abandonne la lutte, je l’emmène dans le studio, auprès du lit.
- Bon sang, tu vas me lâcher, tu me fais mal ! T’as pas comprit qu’ tu n’ m’intéresses pas, sinon j’ t’aurais d’jà rentré dedans !
- Je ne demande que ça !
Il tape sur la main qui tient sa queue, je tiens bon, sers plus fort, comprime le gland, je dois lui faire mal. J’ai l’impression que plus il fait d’efforts pour se libérer, plus je résiste, plus sa bite gonfle et s’allonge et plus le gland devient violacé.
Alors, changement de situation. Il est tout rouge, furieux, me pousse brutalement en arrière, je perds l’équilibre, lâche ma prise, tombe sur le lit. Il attrape ma culotte par l’entrejambes, tire d’un coup sec, manque de la déchirer, l’écarte.
- Ah ! t’en veux, hé bien tu vas en avoir !
Je m’attends à ce qu’il me l’enfile bestial, sans préliminaires, comme mon mec, il est tellement furieux contre moi. Ca me fait peur, il est trop gros, il ne pourra pas rentrer, je ne suis pas ouverte, je vais avoir mal, je n’aurais pas dû !
Il retire son caleçon, se met à genoux, m’écarte les cuisses sans ménagement, relève mes jambes, fourre sa tête entre, sa langue entre en action, mon clito s’érige, oh là là que c’est bon. Je remue le bas ventre, appuie sa tête contre mon sexe. Je ruisselle, tout mon sexe est trempé. Doucement, il lèche mon petit bouton, le mord, passe sa langue entre mes nymphes, la glisse dans mon trou puis l’agrandit avec ses doigts. Il remonte les mains le long de mon corps, saisie mes seins, les sort du soutien-gorge, les pétrit, suce les tétons, ma poitrine durcit à m’en faire mal.
- J’tiens plus, prends moi, y a une capote sur la table !
- Garce, t’avais prévu de te faire sauter !
Il enfile la capote, je l’aide à enlever ma culotte, il me relève les jambes, les place sur ses épaules, présente sa queue devant mon trou et l’enfourne en entier d’un seul coup de reins. Je suis tellement mouillée et ouverte qu’elle entre sans aucune difficulté, malgré la dimension du mandrin peu habituelle pour moi !
- Oh oui, ramone-moi, vas plus vite, enfonce la bien !
Oh qu’il va loin en moi, me comble le ventre. Il me pilonne hard, butte au fond à chaque fois, sort, me la rentre jusqu’aux couilles. Je la sens coulisser le long de la parois de mon vagin, les couilles battrent sur mon cul, je l’accompagne, participe, j’ai de plus en plus chaud. Il me bascule, je me retrouve sur le côté. Il se place derrière moi, je sers les cuisses, il ouvre mes lèvres avec ses doigts, glisse son gland entre elles, s’enfonce en moi d’un coup sec.
- Ouioui, encore !
Je le sens bien, il élargit et allonge ma gaine, je sens que je viens, gémis de plus en plus fort, que c’est bon. Il sort de moi, me met sur le ventre, m’écarte les cuisses en grand, me relève un peu le cul, m’emmanche de nouveau, je n’ai jamais mouillé autant. Encore quelques coups de bite bien appuyés, il me tire par les hanches, me met en levrette. Il s’enfonce en moi comme jamais, accélère la cadence, je parts, mon cœur s’emballe, je respire de plus en plus vite, j’ai chaud terrible. Il me retourne, je me retrouve sur le dos. Il m’écartèle littéralement, me pilonne sauvage, me défonce comme pas possible, chaque va et vient de sa bite me rend folle. Je suis foutue, chavire, perds la tête, défaille, je suis sur un petit nuage. Il a un long râle, je crie de plus en plus fort à chaque fois qu’il envoie un jet de foutre dans la capote.
- Ahahahahah ohohohoh encore, je viens, remplit moi, ouiouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!
On reste collés l’un à l’autre, mes jambes, qu’il tenait relevées et écartées, retombent. Il est entre elles, aplati sur moi, sa queue ressort lentement. Il se relève, s’assoie sur le bord du lit. Je suis là, sur le dos, nue, cuisses ouvertes, sexe béant, je reprends mon souffle, récupère un peu. Il me regarde, passe sa main sur ma chatte, agasse mon clito, le sort de sa gaine, glisse ses doigts dans la fente, les entre dans mon vagin encore ouvert et trempé, les fait coulisser, caresse mes seins, suce les tétons. Je me sens bien.
- T’es vraiment belle après la baise !
Je descends du lit, m’agenouille devant lui, vire la capote qu’il n’a pas encore enlevé, le prends en bouche. Il se laisse faire, sa queue est molle, je crois que je lui ai pompé toute son énergie, vu la quantité de foutre qu’il a balancé dans la capote. Mais mon action est efficace, plus je la suce, plus elle reprend de la vigueur. J’en profite pour le branler doucement, elle est raide et droite, de nouveau en forme, quelle santé !
- Je veux que tu me la remettes ! J’ suis pas rassasiée !
Je me relève, lui tourne le dos, écarte les jambes, saisie la queue, descends dessus. Ca y est, elle est dedans. Je monte et descends doucement, la fait pénétrer à fond, caresse les couilles. Je sens la bite nue coulisser contre la parois de mon vagin, que c’est bon comme sensation. Il me laisse faire, passe sa main sur ma chatte, astique mon clito. Je sens que le gland enfle, sa bite se contracte quand elle est au fond de moi. Soudain il réagit, m’attrape aux hanches, me repousse, sa queue sort de moi, je me retrouve debout. Je me penche vers lui, ouvre la bouche, déguste la dernière giclée, lèche la dernière goutte qui perle au bout du gland.
- T’es une sacrée salope ! Je suis venu pour déboucher ton évier, pas pour boucher ton trou !
- Je ne savais pas comment te remercier de m’avoir dépanné. C’est quand j’ai vu que tu bandais en me regardant que j’ai eu envie de ta bite !
- Ne raconte pas d’histoires, t’avais prémédité ton coup, pourquoi t’as sorti une capote et mis un déshabillé transparent ?
- Je ne sais pas, une envie. Mais ta bite a une telle dimension que j’ai voulu l’avoir en moi. Je n’en ai jamais eu de cette taille !
- Bon, on va pas polémiquer là dessus. T’as eu ce que tu veux, maintenant tu m’fous la paix !
.J’ouvre le frigo, prends 2 bières, sorts des verres, les remplis. Je lui en tends un, il le prend, boit.
- J’ai encore envie de toi ! J’peux t’ faire rebander ?
- Pas question, je n’ai plus le temps, tu viens encore de te l’enfiler, ça ne te suffit pas ! Je finis ma bière et je rentre !
Il ramasse son caleçon, je le suis dans la salle de bain. Sa queue est revenue au repos, tête en bas. Je suis toujours nue, la regarde.
- Laisse moi la laver !
- Si ça t’amuse, mais vite fait, n’en profite pour me branler !
Je la savonne soigneusement, rince, l’essuie, il se laisse faire, ne bande pas. Je soupèse les couilles, je l’ai vidé, il n’y a plus rien dedans.
- Bon, t’as fini de jouer avec, laisse moi me rhabiller !
Il se rhabille, le voilà prêt à affronter le froid. Il se dirige vers la porte, ramasse son sac. Je l’embrasse sur la joue.
- Merci pour tout. J’peux t’faire un compliment ? Tu baises vachement bien ! Mieux que ceux que j’ai connu jusqu’à présent !
- Bon, ne recommence pas avec ça.
J’ouvre la porte, il sort, mets son sac à l’épaule, et comme je suis toujours à poil, me pince un téton, me file une tape sur le cul, s’en va.
Je repense à ce qui vient de se passer. J’ai peut être fait une connerie en me faisant sauter par le père de ma meilleure copine, mais bon ! Je n’aurais jamais cru qu’une bite de cette importance ( je l’estime à 5 x20 sans les couilles) pouvait entrer aussi facilement, aller aussi loin en moi et me combler à ce point ! Je n’ai jamais eu un tel orgasme, je crois avoir perdu conscience quelques secondes. C’était plus fort que lorsqu’elle m’enfile son gode, car une bite c’est chaud, vivant, et les jets de foutre, chauds et puissants, me font chavirer malgré la capote qui en limite les sensations.
Quand à lui, si sa femme demande à se faire sauter cette nuit, il risque d’avoir une petite défaillance !
Maintenant il faut que je récupère, je suis exténuée, je me suis trop donnée. Je suis toujours à poil, m’allonge sur le lit, rabat la couette sur moi, m’endors…

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