Aventures d'ados (13)
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-08-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Aventures d'ados (13)
13 Bien sûr, je suis terriblement en retard, tous les élèves sont là, sauf moi qui entre, m’excuse auprès du prof, problèmes féminins, m’installe à côté de ma copine. Il y a à peine vingt minutes que je suis là quand un mec de l’administration vient me chercher. Mademoiselle Ge…. (moi ) vous êtes demandée au bureau, veuillez me suivre. Et me voilà dans un bureau à attendre, je me demande ce qui se passe et ce qu’on me veut ? Est-ce à cause de mon retard en cours ? Une femme que je ne connais pas entre, s’installe derrière le bureau, me fait asseoir en face d’elle.
- Vous savez pourquoi je vous ai convoqué ?
- Non, qu’est ce qu’il se passe ?
- Hier soir vous avez été vue sortant de la salle de physique en courant. On a trouvé M. St…. recroquevillé, par terre, sans connaissances, pantalon et slip en bas des pieds, sexe encore en érection, se tenant les parties génitales. On a fait appel aux pompiers qui l’ont réanimé et transporté à l’hôpital. Pouvez vous me dire ce qui c’est passé ?
Je lui raconte l’agression dont j’ai été victime de sa part, et comment je m’en suis sortie.
- Avant que les pompiers l’emmènent, il m’a fait un récit qui diffère du vôtre. Il prétend que c’est vous qui l’avez attiré dans la salle. Vous lui avez baissé son pantalon, sorti son sexe, commencé à le branler. Vous lui avez dit : baise-moi ! Il a refusé, vous a repoussé, alors furieuse, vous lui avez attrapé les testicules et serré si fort qu’il en est tombé dans les pommes. Votre forfait accompli, vous êtes partie en courant !
- Mais c’est faux. Il est beaucoup plus grand et plus fort que moi. Regardez-moi, je ne fais pas le poids, je ne suis pas assez forte pour violer ce mec. Comment pourrais-je lui foutre le cul à l’air s’il me repousse ? Et le faire bander ? Il faut que je saisisse sa queue ! Je ne l’ai pas branlé. Je ne lui ai même pas touché le sexe. Par contre, après avoir mis lui même sa bite à l’air, il s’est plaqué contre moi, a ouvert mon jean, passé sa main dans ma culotte et fourré deux doigts dans mon vagin ! C’est pour me défendre que je lui ai écrasé les couilles !
- Il veut porter plainte contre vous car il risque d’avoir des séquelles. Au dire du médecin, vous avez serré beaucoup trop fort !
- Et moi, s’il m’avait violé, le risque de me retrouver enceinte, ce ne sont pas des séquelles ? Je ne prends pas la pilule !
- Pour lui ça risque d’être irréversible, alors que pour vous l’avortement est toujours possible !
- Il tente de me violer, je me défends, et c’est moi qui suis en tort, un comble ! Et c’est une femme qui me dit ça !
- S’il porte plainte, vous serrez sûrement convoquée au commissariat. Si c’est le cas, n’hésitez pas, de votre côté, à porter plainte pour tentative de viol. Faites le dès aujourd’hui, prenez les devants, c’est un conseil.
- Ce que vous ne savez pas, c’est que déjà la veille, en cours, il m’avait dit d’aller dans les « chiottes », de ne pas vérrouiller la porte, qu’il allait m’y rejoindre pour me baiser. J’ai refusé bien sûr, je ne suis pas une pute ! Interrogez dès maintenant Mlle A….., il lui a fait la même proposition ! Vous verrez que je ne mens pas !
- Bien mademoiselle, je ne sais lequel des deux croire, sa version est aussi plausible que la vôtre. Dès qu’il sera de retour, vous serez tous deux convoqués en conseil de discipline. J’organiserai une confrontation. Pour la suite, on verra. Retournez en cours.
- Un comble, je suis victime d’une agression sexuelle et je risque de me faire virer parce que je ne veux pas que ce salaud touche à mon cul !
Décidément mon cul ne m’attire que des emmerdes. Je ne croyais pas qu’il allait tomber dans les pommes, ce con, encore moins l’envoyer à l’hôsto. Ses couilles sont petites, je les ai eu bien en main dès que je les ai attrapées. Si ça vient aux oreilles de mes parents !!!
Ce n’est pas mon jour car, en plus, en rentrant à la maison, je vais devoir affronter ma mère.
Bon je retourne en cours. Ce matin j’ai pratiquement tout manqué. Je demande à ma copine de me passer ses notes. En sortant, elle me parle de ma convocation à la direction. Je lui raconte l’histoire. J’ai bien fait de lui réduire les noisettes en bouillie, il va se tenir à carreaux, du moins on l’espère ! À ma place elle laisserait courir, porter plainte c’est aller au devant des emmerdes ! Avocats, tribunal, tout déballer ! Ca sera de ma faute !
La journée est terminée, je rentre chez moi, monte direct dans ma chambre. Ma mère prépare le dîner, me voit passer, abandonne tout, crapahute derrière moi ! Oh là là ! Ca va être ma fête. Je n’ai pas le temps de fermer la porte, je me prends une gifle !
- Et maintenant à nous deux. Où as-tu passé la nuit, t’as vu ta tête ?
- Un ami m’a invité au resto dans une auberge, j’ai dormi là bas !
- Dans son lit, à voir ta tête t’as baisé toute la nuit !
- T’as eu mon âge, tu n’devais pas t’en priver, rappelle-toi ! Et puis je suis majeure, je n’ai plus de comptes à te rendre!
- Tu te comportes comme une moins que rien, ça ne me plait pas.
- Oui, mais toi tu m’as eu à 18 ans, j’en ai 19, je suis comme toi au même âge, je prends du plaisir à me faire sauter ! Et pan dans les dents !
Elle redescend dans sa cuisine, furieuse, je m’allonge sur mon lit, je suis crevée, je m’endors. Demain sera un autre jour !
Une semaine passe, la vie continue, la Fac, la gueule à la maison, aucune nouvelle de Marc. Il m’appellera, j’attends, rien, sa queue me manque.
J’ai mes règles, ça me permet d’attendre ses prochains coups de bite. Je pense constamment à lui et à ses différentes façons de me la mettre !
Mon violeur n’a pas réapparu à la Fac. J’ai vraiment dû les lui briser. Pas de convocation, il n’a pas dû porter plainte.
À la Fac, certains mecs me regardent d’un drôle d’oeil, je m’en fous, je suis là pour étudier, la baise sur place ne m’interesse pas.
Encore une semaine passée, pas de nouvelles de Marc. Le téléphone est en bas, et si ma mère faisait barrage ? Je ne sais pas comment le joindre, c’est long d’attendre un coup d fil qui ne vient pas !
Tiens, j’ai rencontré Mélanie et son mec. Je l’avais perdu de vue depuis qu’elle est en ménage. Elle m’a invité samedi soir. Je ne sais pas si je vais y aller, pourtant je suis libre. Je ne risque pas de voir Marc les week-end, il les passe avec sa femme.
J’ai donc décidé de répondre à son invitation. Il faut que je me change les idées. J’arrive à 7 h du soir, comme convenu.
Tout est prêt, ils m’attendent. Pas de boissons alcoolisées pour moi, c’est prévu, elle n’a pas oublié ça. On discute, passe à table, je ne la savais pas aussi bonne cuisinière. Son mec est charmant, j’ai l’impression qu’il me fait un peu de » rentre dedans », mais Mélanie, du coin de l’œil, veille au grain. Je raconte la tentative de viol dont j’ai été victime, et la façon dont je m’en suis sortie. Bravo me dit-elle, tu n’as pas perdu la main ! Mais je ne parle pas de mon aventure avec Marc. De toute manière, comme je n’ai aucune nouvelle, je ne sais pas si elle va durer. Il est 10 h, je demande à Jack de me raccompagner. On arrive devant chez moi, je l’embrasse sur la joue.
- Je te remercie pour la soirée.
Il pose une main sur ma cuisse, la remonte sous ma jupe, elle dévie direct dans mon entrejambes, enserre ma vulve, la pétrit, il me fait mouiller.
- Quand tu veux !
- Avec ou sans Mélanie ?
- Tout de suite, ça sera sans !.
Sa main se fait de plus en plus exigeante, ses doigts écartent ma culotte, entrent dans mon intimité. J’ouvre largement les cuisses, le laisse me fouiller, remue sur mon siège, j’ai de plus en plus chaud. Nos regards se croisent, après tout pourquoi pas ?
J’enlève sa main, me penche sur lui, ouvre sa braguette, sort sa bite.
- Diable, qu’elle est raide, quel beau morceau !
- Pompe-moi.
Je le prends en bouche, il me tient la tête, me force à absorber la hampe en entier, coulisse, seules les couilles dépassent. Je glisse ma main dessous.
- Ah non, pas ça !
- De quoi as-tu peur ?
- Ahaaaaaaaaa, je viens !
J’essaye de me dégager, mais il me bloque la tête, enfonce sa bite jusqu’au au fond de ma gorge, j’étouffe. Il décharge, ressort, j’avale, déglutit, il l’enfourne de nouveau, gicle encore, ma bouche est pleine de foutre. Il sort sa queue, un jet m’atteint le visage, un autre les cheveux, j’en ai plein sur moi. Quel dessert ! J’en bave, ça me coule sur le menton, je l’essuie avec le dos de ma main. Je me redresse, j’ai envie de dégueuler, sorts de la voiture en courant, entre chez moi, grimpe les marches 4 à 4, fonce dans la salle de bain. Ouark ! Il était temps ! Il ne me reste plus qu’à prendre une douche avant d’aller au lit !
J’aurais préféré qu’il m’emmanche, bien sûr, qu’il décharge dans moi, j’ai eu tort de commencer par le sucer. Je ne croyais pas qu’il allait gicler aussi vite. J’ai dû avaler son foutre, c’est dégueulasse, je n’aime vraiment pas, ça me fait gerber ! C’est pour ça que j’évite de sucer. Les mecs ne savent pas se retenir, ils croient qu’on aime ça. J’étais prête à l’équiper pour l’avoir en moi, je mouillais terrible, il m’a ouverte avec ses doigts, il serait entré sans mal. Reste à savoir qu’elle position j’aurais dû prendre pour qu’il me l’introduise. À l’avant d’une voiture, ce n’est pas évident. Il a une belle bite qui ferait bien mon affaire, surtout parce que je suis en manque en ce moment. Je vais demander à Mélanie de la partager avec moi ! Je crois que lui ne serait pas contre, mais elle je ne sais pas ! On verra ça plus tard.
Toujours pas de nouvelles de Marc depuis plus de 3 semaines. Pas le moindre petit ramonage pendant tout ce temps, ça me manque. Lorsque j’ai du temps libre je vais traîner dans le centre commercial. Comme on arrive aux grandes vacances, je vais en profiter pour demander à rencontrer le chef de service qui ma proposé de m’employer. Mais c’était l’année dernière, il ne doit plus se souvenir de moi. Enfin je vais tenter, 3 mois pendant les vacances ça peut l’intéresser, sinon je tenterais d’obtenir un emploi de caissière.
Ce samedi a été fructueux. À force de traîner dans le centre commercial, j’ai aperçu Marc. Il est en compagnie d’une belle jeune femme de ma taille et d’une fillette d’une dizaine d’années. Il est en pantalon, chemisette, sac banane cuir en ceinture, allure sportive. Je ne sais pas comment lui signaler ma présence. Je passe derrière lui, le bouscule un peu, dit « pardon », prends un article dans un rayon, m’éloigne. Il semble ne pas m’avoir reconnu. Je le surveille à distance. Alors que sa femme s’est un peu éloignée et fait ses emplettes, je le vois fouiller dans son sac, en sortir une sorte de ticket, griffonner quelque chose. Il le laisse tomber, mine de rien le repousse du pied le long d’un rayon et rejoint sa femme. Ils s’éloignent, changent d’allée, continuent les achats. Je ne les vois plus, je vais ramasser le papier. Je lis : me 3h m otl. Il n’y a pas de doute, il m’a vu, me file rancard pour mercredi. Mon cœur bat la chamade, sa bite, oh sa bite, il va de nouveau me la rentrer, j’en mouille d’avance !
Au grand étonnement de ma mère, me voilà de retour en plein après midi, monte dans ma chambre. Depuis la visite d’Audrey je n’ai pas utilisé mon gode, je le prends dans l’armoire, m’allonge sur mon lit, ouvre mes cuisses, écarte ma culotte, l’enfonce au plus profond de moi. Je l’active en pensant à Marc, j’ai chaud, mouille, me sens partir, oh, je jouis, quel bonheur, un avant goût de sa trique ! Je suis calmée, vais dans la salle de bain me rafraîchir, laver le gode. Je le range, prends mon sac, sorts, je dois me réapprovisionner en préservatifs. Je reprends la pilule, c’est plus prudent. Je vais peut être lui proposer de me monter à crû, c’est tellement meilleur!
Lorsqu’il m’y a emmené, en sortant j’ai eu la présence d’esprit de repérer le nom de l’hôtel et la rue. Il aurait pu choisir un autre endroit. Ca m’ennuie de retourner dans cet hôtel, après tout ce qu’on a laissé comme témoins de notre intense activité sexuelle ! Lorsque je le verrais, je lui demanderais d’aller ailleurs, j’ai honte, je me souviens encore du regard réprobateur du réceptionniste.
C’est loin mercredi, et en plus j’ai cours cet après midi là. Il va falloir trouver une excuse !
Heureusement qu’il ne m’a pas donné ses coordonnées, je suis tellement accroc à sa queue que je me sens capable de faire des bêtises. Je ne peux pas risquer de briser son ménage. Dieu seul sait ce qu’une femme sexuellement amoureuse peut inventer pour s’approprier l’homme qui la fait jouir ! On est deux sur le coup, il ne me l’a pas caché puisque je l’ai aidé à choisir des dessous pour sa femme, il faut que je m’adapte à cette situation, partager.
Lisez la suite !
- Vous savez pourquoi je vous ai convoqué ?
- Non, qu’est ce qu’il se passe ?
- Hier soir vous avez été vue sortant de la salle de physique en courant. On a trouvé M. St…. recroquevillé, par terre, sans connaissances, pantalon et slip en bas des pieds, sexe encore en érection, se tenant les parties génitales. On a fait appel aux pompiers qui l’ont réanimé et transporté à l’hôpital. Pouvez vous me dire ce qui c’est passé ?
Je lui raconte l’agression dont j’ai été victime de sa part, et comment je m’en suis sortie.
- Avant que les pompiers l’emmènent, il m’a fait un récit qui diffère du vôtre. Il prétend que c’est vous qui l’avez attiré dans la salle. Vous lui avez baissé son pantalon, sorti son sexe, commencé à le branler. Vous lui avez dit : baise-moi ! Il a refusé, vous a repoussé, alors furieuse, vous lui avez attrapé les testicules et serré si fort qu’il en est tombé dans les pommes. Votre forfait accompli, vous êtes partie en courant !
- Mais c’est faux. Il est beaucoup plus grand et plus fort que moi. Regardez-moi, je ne fais pas le poids, je ne suis pas assez forte pour violer ce mec. Comment pourrais-je lui foutre le cul à l’air s’il me repousse ? Et le faire bander ? Il faut que je saisisse sa queue ! Je ne l’ai pas branlé. Je ne lui ai même pas touché le sexe. Par contre, après avoir mis lui même sa bite à l’air, il s’est plaqué contre moi, a ouvert mon jean, passé sa main dans ma culotte et fourré deux doigts dans mon vagin ! C’est pour me défendre que je lui ai écrasé les couilles !
- Il veut porter plainte contre vous car il risque d’avoir des séquelles. Au dire du médecin, vous avez serré beaucoup trop fort !
- Et moi, s’il m’avait violé, le risque de me retrouver enceinte, ce ne sont pas des séquelles ? Je ne prends pas la pilule !
- Pour lui ça risque d’être irréversible, alors que pour vous l’avortement est toujours possible !
- Il tente de me violer, je me défends, et c’est moi qui suis en tort, un comble ! Et c’est une femme qui me dit ça !
- S’il porte plainte, vous serrez sûrement convoquée au commissariat. Si c’est le cas, n’hésitez pas, de votre côté, à porter plainte pour tentative de viol. Faites le dès aujourd’hui, prenez les devants, c’est un conseil.
- Ce que vous ne savez pas, c’est que déjà la veille, en cours, il m’avait dit d’aller dans les « chiottes », de ne pas vérrouiller la porte, qu’il allait m’y rejoindre pour me baiser. J’ai refusé bien sûr, je ne suis pas une pute ! Interrogez dès maintenant Mlle A….., il lui a fait la même proposition ! Vous verrez que je ne mens pas !
- Bien mademoiselle, je ne sais lequel des deux croire, sa version est aussi plausible que la vôtre. Dès qu’il sera de retour, vous serez tous deux convoqués en conseil de discipline. J’organiserai une confrontation. Pour la suite, on verra. Retournez en cours.
- Un comble, je suis victime d’une agression sexuelle et je risque de me faire virer parce que je ne veux pas que ce salaud touche à mon cul !
Décidément mon cul ne m’attire que des emmerdes. Je ne croyais pas qu’il allait tomber dans les pommes, ce con, encore moins l’envoyer à l’hôsto. Ses couilles sont petites, je les ai eu bien en main dès que je les ai attrapées. Si ça vient aux oreilles de mes parents !!!
Ce n’est pas mon jour car, en plus, en rentrant à la maison, je vais devoir affronter ma mère.
Bon je retourne en cours. Ce matin j’ai pratiquement tout manqué. Je demande à ma copine de me passer ses notes. En sortant, elle me parle de ma convocation à la direction. Je lui raconte l’histoire. J’ai bien fait de lui réduire les noisettes en bouillie, il va se tenir à carreaux, du moins on l’espère ! À ma place elle laisserait courir, porter plainte c’est aller au devant des emmerdes ! Avocats, tribunal, tout déballer ! Ca sera de ma faute !
La journée est terminée, je rentre chez moi, monte direct dans ma chambre. Ma mère prépare le dîner, me voit passer, abandonne tout, crapahute derrière moi ! Oh là là ! Ca va être ma fête. Je n’ai pas le temps de fermer la porte, je me prends une gifle !
- Et maintenant à nous deux. Où as-tu passé la nuit, t’as vu ta tête ?
- Un ami m’a invité au resto dans une auberge, j’ai dormi là bas !
- Dans son lit, à voir ta tête t’as baisé toute la nuit !
- T’as eu mon âge, tu n’devais pas t’en priver, rappelle-toi ! Et puis je suis majeure, je n’ai plus de comptes à te rendre!
- Tu te comportes comme une moins que rien, ça ne me plait pas.
- Oui, mais toi tu m’as eu à 18 ans, j’en ai 19, je suis comme toi au même âge, je prends du plaisir à me faire sauter ! Et pan dans les dents !
Elle redescend dans sa cuisine, furieuse, je m’allonge sur mon lit, je suis crevée, je m’endors. Demain sera un autre jour !
Une semaine passe, la vie continue, la Fac, la gueule à la maison, aucune nouvelle de Marc. Il m’appellera, j’attends, rien, sa queue me manque.
J’ai mes règles, ça me permet d’attendre ses prochains coups de bite. Je pense constamment à lui et à ses différentes façons de me la mettre !
Mon violeur n’a pas réapparu à la Fac. J’ai vraiment dû les lui briser. Pas de convocation, il n’a pas dû porter plainte.
À la Fac, certains mecs me regardent d’un drôle d’oeil, je m’en fous, je suis là pour étudier, la baise sur place ne m’interesse pas.
Encore une semaine passée, pas de nouvelles de Marc. Le téléphone est en bas, et si ma mère faisait barrage ? Je ne sais pas comment le joindre, c’est long d’attendre un coup d fil qui ne vient pas !
Tiens, j’ai rencontré Mélanie et son mec. Je l’avais perdu de vue depuis qu’elle est en ménage. Elle m’a invité samedi soir. Je ne sais pas si je vais y aller, pourtant je suis libre. Je ne risque pas de voir Marc les week-end, il les passe avec sa femme.
J’ai donc décidé de répondre à son invitation. Il faut que je me change les idées. J’arrive à 7 h du soir, comme convenu.
Tout est prêt, ils m’attendent. Pas de boissons alcoolisées pour moi, c’est prévu, elle n’a pas oublié ça. On discute, passe à table, je ne la savais pas aussi bonne cuisinière. Son mec est charmant, j’ai l’impression qu’il me fait un peu de » rentre dedans », mais Mélanie, du coin de l’œil, veille au grain. Je raconte la tentative de viol dont j’ai été victime, et la façon dont je m’en suis sortie. Bravo me dit-elle, tu n’as pas perdu la main ! Mais je ne parle pas de mon aventure avec Marc. De toute manière, comme je n’ai aucune nouvelle, je ne sais pas si elle va durer. Il est 10 h, je demande à Jack de me raccompagner. On arrive devant chez moi, je l’embrasse sur la joue.
- Je te remercie pour la soirée.
Il pose une main sur ma cuisse, la remonte sous ma jupe, elle dévie direct dans mon entrejambes, enserre ma vulve, la pétrit, il me fait mouiller.
- Quand tu veux !
- Avec ou sans Mélanie ?
- Tout de suite, ça sera sans !.
Sa main se fait de plus en plus exigeante, ses doigts écartent ma culotte, entrent dans mon intimité. J’ouvre largement les cuisses, le laisse me fouiller, remue sur mon siège, j’ai de plus en plus chaud. Nos regards se croisent, après tout pourquoi pas ?
J’enlève sa main, me penche sur lui, ouvre sa braguette, sort sa bite.
- Diable, qu’elle est raide, quel beau morceau !
- Pompe-moi.
Je le prends en bouche, il me tient la tête, me force à absorber la hampe en entier, coulisse, seules les couilles dépassent. Je glisse ma main dessous.
- Ah non, pas ça !
- De quoi as-tu peur ?
- Ahaaaaaaaaa, je viens !
J’essaye de me dégager, mais il me bloque la tête, enfonce sa bite jusqu’au au fond de ma gorge, j’étouffe. Il décharge, ressort, j’avale, déglutit, il l’enfourne de nouveau, gicle encore, ma bouche est pleine de foutre. Il sort sa queue, un jet m’atteint le visage, un autre les cheveux, j’en ai plein sur moi. Quel dessert ! J’en bave, ça me coule sur le menton, je l’essuie avec le dos de ma main. Je me redresse, j’ai envie de dégueuler, sorts de la voiture en courant, entre chez moi, grimpe les marches 4 à 4, fonce dans la salle de bain. Ouark ! Il était temps ! Il ne me reste plus qu’à prendre une douche avant d’aller au lit !
J’aurais préféré qu’il m’emmanche, bien sûr, qu’il décharge dans moi, j’ai eu tort de commencer par le sucer. Je ne croyais pas qu’il allait gicler aussi vite. J’ai dû avaler son foutre, c’est dégueulasse, je n’aime vraiment pas, ça me fait gerber ! C’est pour ça que j’évite de sucer. Les mecs ne savent pas se retenir, ils croient qu’on aime ça. J’étais prête à l’équiper pour l’avoir en moi, je mouillais terrible, il m’a ouverte avec ses doigts, il serait entré sans mal. Reste à savoir qu’elle position j’aurais dû prendre pour qu’il me l’introduise. À l’avant d’une voiture, ce n’est pas évident. Il a une belle bite qui ferait bien mon affaire, surtout parce que je suis en manque en ce moment. Je vais demander à Mélanie de la partager avec moi ! Je crois que lui ne serait pas contre, mais elle je ne sais pas ! On verra ça plus tard.
Toujours pas de nouvelles de Marc depuis plus de 3 semaines. Pas le moindre petit ramonage pendant tout ce temps, ça me manque. Lorsque j’ai du temps libre je vais traîner dans le centre commercial. Comme on arrive aux grandes vacances, je vais en profiter pour demander à rencontrer le chef de service qui ma proposé de m’employer. Mais c’était l’année dernière, il ne doit plus se souvenir de moi. Enfin je vais tenter, 3 mois pendant les vacances ça peut l’intéresser, sinon je tenterais d’obtenir un emploi de caissière.
Ce samedi a été fructueux. À force de traîner dans le centre commercial, j’ai aperçu Marc. Il est en compagnie d’une belle jeune femme de ma taille et d’une fillette d’une dizaine d’années. Il est en pantalon, chemisette, sac banane cuir en ceinture, allure sportive. Je ne sais pas comment lui signaler ma présence. Je passe derrière lui, le bouscule un peu, dit « pardon », prends un article dans un rayon, m’éloigne. Il semble ne pas m’avoir reconnu. Je le surveille à distance. Alors que sa femme s’est un peu éloignée et fait ses emplettes, je le vois fouiller dans son sac, en sortir une sorte de ticket, griffonner quelque chose. Il le laisse tomber, mine de rien le repousse du pied le long d’un rayon et rejoint sa femme. Ils s’éloignent, changent d’allée, continuent les achats. Je ne les vois plus, je vais ramasser le papier. Je lis : me 3h m otl. Il n’y a pas de doute, il m’a vu, me file rancard pour mercredi. Mon cœur bat la chamade, sa bite, oh sa bite, il va de nouveau me la rentrer, j’en mouille d’avance !
Au grand étonnement de ma mère, me voilà de retour en plein après midi, monte dans ma chambre. Depuis la visite d’Audrey je n’ai pas utilisé mon gode, je le prends dans l’armoire, m’allonge sur mon lit, ouvre mes cuisses, écarte ma culotte, l’enfonce au plus profond de moi. Je l’active en pensant à Marc, j’ai chaud, mouille, me sens partir, oh, je jouis, quel bonheur, un avant goût de sa trique ! Je suis calmée, vais dans la salle de bain me rafraîchir, laver le gode. Je le range, prends mon sac, sorts, je dois me réapprovisionner en préservatifs. Je reprends la pilule, c’est plus prudent. Je vais peut être lui proposer de me monter à crû, c’est tellement meilleur!
Lorsqu’il m’y a emmené, en sortant j’ai eu la présence d’esprit de repérer le nom de l’hôtel et la rue. Il aurait pu choisir un autre endroit. Ca m’ennuie de retourner dans cet hôtel, après tout ce qu’on a laissé comme témoins de notre intense activité sexuelle ! Lorsque je le verrais, je lui demanderais d’aller ailleurs, j’ai honte, je me souviens encore du regard réprobateur du réceptionniste.
C’est loin mercredi, et en plus j’ai cours cet après midi là. Il va falloir trouver une excuse !
Heureusement qu’il ne m’a pas donné ses coordonnées, je suis tellement accroc à sa queue que je me sens capable de faire des bêtises. Je ne peux pas risquer de briser son ménage. Dieu seul sait ce qu’une femme sexuellement amoureuse peut inventer pour s’approprier l’homme qui la fait jouir ! On est deux sur le coup, il ne me l’a pas caché puisque je l’ai aidé à choisir des dessous pour sa femme, il faut que je m’adapte à cette situation, partager.
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