AVENTURES D'ADOS (suite 10)
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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AVENTURES D'ADOS (suite 10)
Il va sans dire qu’après avoir quitté Bob en train de récupérer suite à mon action vindicative sur ses couilles, nos relations se sont trouvées quelque peu refroidies. Je ne sais ce qu’il a raconté à sa femme, mais à mon avis, en rentrant, il n’était pas en mesure de la sauter.
Je crois que je l’ai calmé pour un certain temps, du moins en ce qui concerne l’utilisation de mon cul. Ce con m’a fait trop mal, je lui en veux !
Mais mon copain, lui, a trouvé qu’enculer Audrey lui avait fait découvrir d’autres sensations. Je suis sur mes gardes.
Alors qu’on était en train de baiser, il a voulu m’enculer, autant dire que je ne me suis pas prêtée au jeu, et pourtant il a bien failli réussir. Sa bite a une dimension bien inférieure à celle de Bob (environ 4 x 16, alors que Bob ferait plutôt du 5 x 20). Ce jour là il me prend en levrette et, alors qu’il me burine sauvagement, sort subitement de mon vagin, appuie si fortement sa queue sur ma rosette que je la sens s’ouvrir. Le salaud, il va réussir à entrer. Je donne immédiatement un coup de cul, me dégage, bascule sur le côté. Je suis sur le dos, cuisses largement ouvertes et remontées, sexe encore béant et offert. Il s’installe de nouveau entre mes cuisses, je saisis sa bite, la tire pour la remettre en place dans le bon trou, me cambre et d’un seul coup de rein, l’englouti jusqu’aux baloches. Surpris par cet assaut de ma part, il me donne des coups de butoir hargneux accompagnés de han, han, me défonce, se bloque, encore deux ou trois secousses, râle, m’inonde, je sens son foutre se répandre au fond de moi. Une autre secousse, c’est fini, il est vide. On reste encastrés l’un dans l’autre jusqu’à ce que sa bite ramollisse, diminue, ressorte, entraînant avec elle le foutre qui sort de mon vagin et se met à couler dans ma raie des fesses. Je n’ai pas joui, tant pis, un coup pour rien, mais j’ai quand même évité le pire, me faire enculer !
Frustré, mécontent, il me demande ce qui m’a pris. Il a envie de me défoncer le fion, de décharger dans mes boyaux. Quand il a vu mon oeillet aussi bien exposé, prêt à servir, il n’a pas pu résister à l’envie d’y enfourner sa bite. Dans le feu de l’action, il a voulu me dépuceler en comptant sur la surprise, comme pour Audrey. Il n’y a pas de quoi en faire une histoire, me dit- il, j’y étais presque, c’est bon aussi par-là ! Bien sûr il aurait dû me le demander, regrette, promet de me l’introduire en douceur, je n’aurais pas mal. Il compte bien réussir un jour à me faire jouir par là !
C’est alors que je lui raconte ce que Bob m’a fait subir, la double pénétration, la façon dont je me suis vengée. S’il tient à faire la même expérience, je n’hésiterais pas à lui faire subir le même sort. À bon entendeur, salut ! Je ne veux absolument pas que l’on touche à mon cul.
Ca fait longtemps que je n’ai pas eu de nouvelles de Bob et Audrey. Je délaisse Steve, je ne parviens plus à jouir quand on fait l’amour. Je n’arrive pas à me détendre quand il me baise, je n’ai pas confiance, j’ai toujours peur qu’il me l’enfile dans le cul au moment où je m’y attendrais le moins! Je ne crois pas qu’il y a renoncé, malgré la menace de m’en prendre à ses couilles.
En attendant de trouver mieux, je me suis offert un magnifique gode, un 5 x 20 en silicone rose, un vrai bijou que je planque dans ma chambre. Il ne faudrait pas que ma mère tombe dessus !
Je manque de bite, c’est évident, mais je ne veux pas me faire sauter, comme ça, à la sauvette, par un mec qui ne s’intéresserait qu’à mon cul pour se soulager. Sur mon lieu de travail, j’ai eu quelques invitations à me rendre dans la réserve, entre deux poses, mais il y a le risque de se faire prendre et je tiens à garder mon boulot à la caisse. Un coup vite fait entre deux cartons d’emballage, très peu pour moi.
Toutefois il y a un ‘’costume cravate’’ qui m’intéresse. Il est bel homme, la trentaine. Un jour il me convoque dans son bureau pour me proposer une autre affectation plus en rapport avec mes compétences. Je lui dis que je compte bien poursuivre mes études dans le domaine commercial et économique. Mon emploi actuel n’est que provisoire. Il a l’air déçu, mais comprend que je pense à mon avenir. Il abrège l’entretien, me renvoie à ma caisse. Alors que j’allais sortir de son bureau, il me rappelle et me dit qu’aujourd’hui il n’a pas le temps mais qu’il aimerait mieux connaître mes projets d’avenir. Il m’invite à le rencontrer en ville pour en discuter. J’hésite, il y va de ma réputation si jamais ça venait à se savoir. Mais il a l’air sérieux, est marié, j’ai confiance, j’accepte. Comme le samedi suivant je travaille de 8 à 15 h, il passera me chercher chez moi à 19 h.
Il y a quelques jours, Audrey m’a aperçu en faisant ses courses. Elle est donc passée à ma caisse. Comme je termine à 20 h, elle propose de m’attendre. Elle s’étonne de ne pas avoir de mes nouvelles. OK, mais je ne sais pas si je vais lui donner la raison pour laquelle j’évite son mari. Je crois qu’il ne lui a pas raconté ce que je lui ai fait subir lorsqu’il m’a raccompagné.
En ce moment elle est souvent seule, Bob ne rentre que le vendredi soir pour repartir le lundi matin. Après le boulot, à la maison elle s’ennuie, n’a personne pour discuter, se plait en ma compagnie. Je lui promets de la rappeler. Mais attention, pas de coup fourré comme la dernière fois, juste entre amies, pas de mari ni de copain qui passe à l’improviste.
Mélanie a encore changé de copain. Le nouveau a un emploi, une voiture, loue un petit appartement dans une tour. Il est beau mec, a une queue qui n’est ni très grosse, ni très longue, maîtrise parfaitement les techniques de baise. Bref, ça lui convient. Elle doit me le présenter, mais j’ai l’impression que pour le moment elle tient à en garder l’exclusivité ! Elle passe souvent ses nuits chez lui, ses parents s’en accommodent, ça n’a pas été sans mal (ni sans reproches !) Lorsque je la rencontre, elle m’explique en détails comment il la prend, et combien de fois. Il la fait grimper aux rideaux plusieurs fois par nuit, elle n’en peut plus de jouir tellement il la baise bien ! Je crois que c’est pour me rendre jalouse qu’elle me raconte ses exploits. Elle sait qu’en ce moment je suis plutôt à la diète. Je lui ai expliqué les raisons pour lesquelles je ne baise plus, et elle me comprend parfaitement. Si son nouveau mec tente de lui forcer le cul, elle fera comme moi ! Reste à voir, je la connais, elle ose beaucoup quand elle baise. Et je sais que quand elle est sur un pieu elle se donne à fond ! Quoi qu’elle en dise, je pense qu’elle acceptera de s’en prendre un dans le cul, même par surprise !
Le samedi arrive. Je n’ai pas revu le chef de service depuis mon entretien. Je crois qu’il m’a oublié. Toutefois je rentre chez moi après le boulot, prends une douche, me change, passe une robe toute simple, enfile un string noir, c’est tout ce que j’ai sur moi. Il est 19 h, je regarde à la fenêtre. Juste à l’heure, pas croyable, il arrive. Je descends en vitesse, ne pas le faire attendre. Il sort de voiture, m’ouvre la portière. La classe. On démarre, il me vouvoie, me complimente sur ma tenue, me propose de m’emmener dans une auberge où on aura tout notre temps pour discuter devant une bonne table. Nous voilà dans la campagne. Il me dit que sa femme et ses enfants sont chez ses beaux-parents pour le week-end. Le reste du trajet s’effectue en silence. Je suis vraiment mal à l’aise, j’ai chaud, je crois qu’il s’en aperçoit. Je me sens mal barrée, encore un qui ne pense qu’à me sauter. Décidément, j’ai le chic pour me fourrer dans la gueule du loup ! Enfin on arrive. C’est une auberge discrète, salle de restaurant décorée à l’ancienne, cadre merveilleux. C’est la première fois que j’entre dans ce genre d’établissement, il voit ma surprise, s’en amuse. On choisit une table près d’une fenêtre. Il me propose de prendre un apéritif, je lui dis que je ne bois pas d’alcool. Alors ce sera un apéritif sans alcool pour mademoiselle ! C’est la première fois que quelqu’un me parle de cette façon, a autant d’égards envers moi, ça me trouble. J’ai envie de lui dire « assez de simagrées, prends une chambre, saute-moi, qu’on en finisse puisqu’il m’a emmené là pour ça !«
Je crois qu’il lit dans mes pensées, je rougis quand il me regarde dans les yeux. Il commence à engager la conversation sur mes projets d’avenir. J’expose mes idées, ma vision des choses. Il m’écoute, intéressé, m’encourage, me félicite. Il veut connaître ma façon de vivre, mes intérêts, me pose des questions sur ma jeunesse, mes fréquentations, mes études. Par contre, je ne lui ai pas fait mention de mes aptitudes à la baise, ni de mes envies de sa queue en ce moment. Il ne s’est pas trompé, est surpris par ma détermination.
Il commande le repas, me propose des plats inconnus pour moi. Bien sûr, tous ces mets se dégustent avec du vin, j’en prends quand même un verre pour lui faire plaisir, mais reste surtout à l’eau. Si je dois y passer, ce dont je ne doute pas, autant être en forme pour déployer mes talents de baiseuse.
Ce soir, comme il se sentait seul, il apprécie vraiment ma compagnie. Si cela m’intéresse, il m’invite à le contacter lorsque j’aurais mon diplôme, il aimerait m’avoir dans son service de gestion et d’approvisionnement.
Il est 22 h, il me propose, non pas de passer la nuit avec lui, mais de me raccompagner, je n’en reviens pas. Et c’est effectivement ce qu’il fait, paye l’addition. Cet homme me plait, je n’ose pas lui demander de prendre une chambre, j’ai une sacrée envie de lui, de sentir sa bite en moi, j’en mouille mon string. Le retour se fait comme à l’aller, en silence. Je ne parle pas de peur de montrer mon trouble. Je voudrais qu’il s’arrête là, dans la campagne, qu’il me prenne sauvagement dans la voiture. Je ne crois pas que ce soit son genre, dommage !
À 23 h il me dépose devant chez moi, me serre la main. Je le remercie pour cette soirée, rentre chez moi.
Je suis excitée, regrette de ne pas lui avoir demandé de me sauter, me déshabille, prends mon gode dans l’armoire.
Tout en me l’introduisant, je repense à la soirée. Enfin quelqu’un qui s’intéresse à moi, pas à mon cul. Je crois que j’ai bien fait de ne pas lui dire que j’avais envie qu’il me baise, j’aurais gâché toute chance d’être embauchée par la suite. Je pense qu’il est sincère, c’est quelqu’un de bien qui m’inspire confiance. J’ai peut-être un boulot assuré lorsque j’aurais terminé mes études.
Encore une semaine, et c’est la fin de mon contrat. Ensuite j’entre à la Fac, je vais avoir d’autres préoccupations que la baise. On verra bien !
Suite dans un prochain épisode, si ses aventures vous intéressent
Je crois que je l’ai calmé pour un certain temps, du moins en ce qui concerne l’utilisation de mon cul. Ce con m’a fait trop mal, je lui en veux !
Mais mon copain, lui, a trouvé qu’enculer Audrey lui avait fait découvrir d’autres sensations. Je suis sur mes gardes.
Alors qu’on était en train de baiser, il a voulu m’enculer, autant dire que je ne me suis pas prêtée au jeu, et pourtant il a bien failli réussir. Sa bite a une dimension bien inférieure à celle de Bob (environ 4 x 16, alors que Bob ferait plutôt du 5 x 20). Ce jour là il me prend en levrette et, alors qu’il me burine sauvagement, sort subitement de mon vagin, appuie si fortement sa queue sur ma rosette que je la sens s’ouvrir. Le salaud, il va réussir à entrer. Je donne immédiatement un coup de cul, me dégage, bascule sur le côté. Je suis sur le dos, cuisses largement ouvertes et remontées, sexe encore béant et offert. Il s’installe de nouveau entre mes cuisses, je saisis sa bite, la tire pour la remettre en place dans le bon trou, me cambre et d’un seul coup de rein, l’englouti jusqu’aux baloches. Surpris par cet assaut de ma part, il me donne des coups de butoir hargneux accompagnés de han, han, me défonce, se bloque, encore deux ou trois secousses, râle, m’inonde, je sens son foutre se répandre au fond de moi. Une autre secousse, c’est fini, il est vide. On reste encastrés l’un dans l’autre jusqu’à ce que sa bite ramollisse, diminue, ressorte, entraînant avec elle le foutre qui sort de mon vagin et se met à couler dans ma raie des fesses. Je n’ai pas joui, tant pis, un coup pour rien, mais j’ai quand même évité le pire, me faire enculer !
Frustré, mécontent, il me demande ce qui m’a pris. Il a envie de me défoncer le fion, de décharger dans mes boyaux. Quand il a vu mon oeillet aussi bien exposé, prêt à servir, il n’a pas pu résister à l’envie d’y enfourner sa bite. Dans le feu de l’action, il a voulu me dépuceler en comptant sur la surprise, comme pour Audrey. Il n’y a pas de quoi en faire une histoire, me dit- il, j’y étais presque, c’est bon aussi par-là ! Bien sûr il aurait dû me le demander, regrette, promet de me l’introduire en douceur, je n’aurais pas mal. Il compte bien réussir un jour à me faire jouir par là !
C’est alors que je lui raconte ce que Bob m’a fait subir, la double pénétration, la façon dont je me suis vengée. S’il tient à faire la même expérience, je n’hésiterais pas à lui faire subir le même sort. À bon entendeur, salut ! Je ne veux absolument pas que l’on touche à mon cul.
Ca fait longtemps que je n’ai pas eu de nouvelles de Bob et Audrey. Je délaisse Steve, je ne parviens plus à jouir quand on fait l’amour. Je n’arrive pas à me détendre quand il me baise, je n’ai pas confiance, j’ai toujours peur qu’il me l’enfile dans le cul au moment où je m’y attendrais le moins! Je ne crois pas qu’il y a renoncé, malgré la menace de m’en prendre à ses couilles.
En attendant de trouver mieux, je me suis offert un magnifique gode, un 5 x 20 en silicone rose, un vrai bijou que je planque dans ma chambre. Il ne faudrait pas que ma mère tombe dessus !
Je manque de bite, c’est évident, mais je ne veux pas me faire sauter, comme ça, à la sauvette, par un mec qui ne s’intéresserait qu’à mon cul pour se soulager. Sur mon lieu de travail, j’ai eu quelques invitations à me rendre dans la réserve, entre deux poses, mais il y a le risque de se faire prendre et je tiens à garder mon boulot à la caisse. Un coup vite fait entre deux cartons d’emballage, très peu pour moi.
Toutefois il y a un ‘’costume cravate’’ qui m’intéresse. Il est bel homme, la trentaine. Un jour il me convoque dans son bureau pour me proposer une autre affectation plus en rapport avec mes compétences. Je lui dis que je compte bien poursuivre mes études dans le domaine commercial et économique. Mon emploi actuel n’est que provisoire. Il a l’air déçu, mais comprend que je pense à mon avenir. Il abrège l’entretien, me renvoie à ma caisse. Alors que j’allais sortir de son bureau, il me rappelle et me dit qu’aujourd’hui il n’a pas le temps mais qu’il aimerait mieux connaître mes projets d’avenir. Il m’invite à le rencontrer en ville pour en discuter. J’hésite, il y va de ma réputation si jamais ça venait à se savoir. Mais il a l’air sérieux, est marié, j’ai confiance, j’accepte. Comme le samedi suivant je travaille de 8 à 15 h, il passera me chercher chez moi à 19 h.
Il y a quelques jours, Audrey m’a aperçu en faisant ses courses. Elle est donc passée à ma caisse. Comme je termine à 20 h, elle propose de m’attendre. Elle s’étonne de ne pas avoir de mes nouvelles. OK, mais je ne sais pas si je vais lui donner la raison pour laquelle j’évite son mari. Je crois qu’il ne lui a pas raconté ce que je lui ai fait subir lorsqu’il m’a raccompagné.
En ce moment elle est souvent seule, Bob ne rentre que le vendredi soir pour repartir le lundi matin. Après le boulot, à la maison elle s’ennuie, n’a personne pour discuter, se plait en ma compagnie. Je lui promets de la rappeler. Mais attention, pas de coup fourré comme la dernière fois, juste entre amies, pas de mari ni de copain qui passe à l’improviste.
Mélanie a encore changé de copain. Le nouveau a un emploi, une voiture, loue un petit appartement dans une tour. Il est beau mec, a une queue qui n’est ni très grosse, ni très longue, maîtrise parfaitement les techniques de baise. Bref, ça lui convient. Elle doit me le présenter, mais j’ai l’impression que pour le moment elle tient à en garder l’exclusivité ! Elle passe souvent ses nuits chez lui, ses parents s’en accommodent, ça n’a pas été sans mal (ni sans reproches !) Lorsque je la rencontre, elle m’explique en détails comment il la prend, et combien de fois. Il la fait grimper aux rideaux plusieurs fois par nuit, elle n’en peut plus de jouir tellement il la baise bien ! Je crois que c’est pour me rendre jalouse qu’elle me raconte ses exploits. Elle sait qu’en ce moment je suis plutôt à la diète. Je lui ai expliqué les raisons pour lesquelles je ne baise plus, et elle me comprend parfaitement. Si son nouveau mec tente de lui forcer le cul, elle fera comme moi ! Reste à voir, je la connais, elle ose beaucoup quand elle baise. Et je sais que quand elle est sur un pieu elle se donne à fond ! Quoi qu’elle en dise, je pense qu’elle acceptera de s’en prendre un dans le cul, même par surprise !
Le samedi arrive. Je n’ai pas revu le chef de service depuis mon entretien. Je crois qu’il m’a oublié. Toutefois je rentre chez moi après le boulot, prends une douche, me change, passe une robe toute simple, enfile un string noir, c’est tout ce que j’ai sur moi. Il est 19 h, je regarde à la fenêtre. Juste à l’heure, pas croyable, il arrive. Je descends en vitesse, ne pas le faire attendre. Il sort de voiture, m’ouvre la portière. La classe. On démarre, il me vouvoie, me complimente sur ma tenue, me propose de m’emmener dans une auberge où on aura tout notre temps pour discuter devant une bonne table. Nous voilà dans la campagne. Il me dit que sa femme et ses enfants sont chez ses beaux-parents pour le week-end. Le reste du trajet s’effectue en silence. Je suis vraiment mal à l’aise, j’ai chaud, je crois qu’il s’en aperçoit. Je me sens mal barrée, encore un qui ne pense qu’à me sauter. Décidément, j’ai le chic pour me fourrer dans la gueule du loup ! Enfin on arrive. C’est une auberge discrète, salle de restaurant décorée à l’ancienne, cadre merveilleux. C’est la première fois que j’entre dans ce genre d’établissement, il voit ma surprise, s’en amuse. On choisit une table près d’une fenêtre. Il me propose de prendre un apéritif, je lui dis que je ne bois pas d’alcool. Alors ce sera un apéritif sans alcool pour mademoiselle ! C’est la première fois que quelqu’un me parle de cette façon, a autant d’égards envers moi, ça me trouble. J’ai envie de lui dire « assez de simagrées, prends une chambre, saute-moi, qu’on en finisse puisqu’il m’a emmené là pour ça !«
Je crois qu’il lit dans mes pensées, je rougis quand il me regarde dans les yeux. Il commence à engager la conversation sur mes projets d’avenir. J’expose mes idées, ma vision des choses. Il m’écoute, intéressé, m’encourage, me félicite. Il veut connaître ma façon de vivre, mes intérêts, me pose des questions sur ma jeunesse, mes fréquentations, mes études. Par contre, je ne lui ai pas fait mention de mes aptitudes à la baise, ni de mes envies de sa queue en ce moment. Il ne s’est pas trompé, est surpris par ma détermination.
Il commande le repas, me propose des plats inconnus pour moi. Bien sûr, tous ces mets se dégustent avec du vin, j’en prends quand même un verre pour lui faire plaisir, mais reste surtout à l’eau. Si je dois y passer, ce dont je ne doute pas, autant être en forme pour déployer mes talents de baiseuse.
Ce soir, comme il se sentait seul, il apprécie vraiment ma compagnie. Si cela m’intéresse, il m’invite à le contacter lorsque j’aurais mon diplôme, il aimerait m’avoir dans son service de gestion et d’approvisionnement.
Il est 22 h, il me propose, non pas de passer la nuit avec lui, mais de me raccompagner, je n’en reviens pas. Et c’est effectivement ce qu’il fait, paye l’addition. Cet homme me plait, je n’ose pas lui demander de prendre une chambre, j’ai une sacrée envie de lui, de sentir sa bite en moi, j’en mouille mon string. Le retour se fait comme à l’aller, en silence. Je ne parle pas de peur de montrer mon trouble. Je voudrais qu’il s’arrête là, dans la campagne, qu’il me prenne sauvagement dans la voiture. Je ne crois pas que ce soit son genre, dommage !
À 23 h il me dépose devant chez moi, me serre la main. Je le remercie pour cette soirée, rentre chez moi.
Je suis excitée, regrette de ne pas lui avoir demandé de me sauter, me déshabille, prends mon gode dans l’armoire.
Tout en me l’introduisant, je repense à la soirée. Enfin quelqu’un qui s’intéresse à moi, pas à mon cul. Je crois que j’ai bien fait de ne pas lui dire que j’avais envie qu’il me baise, j’aurais gâché toute chance d’être embauchée par la suite. Je pense qu’il est sincère, c’est quelqu’un de bien qui m’inspire confiance. J’ai peut-être un boulot assuré lorsque j’aurais terminé mes études.
Encore une semaine, et c’est la fin de mon contrat. Ensuite j’entre à la Fac, je vais avoir d’autres préoccupations que la baise. On verra bien !
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