Aventures d'ados 11

- Par l'auteur HDS Zefire -
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Aventures d'ados 11 Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-08-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Aventures d'ados 11
11 Maintenant je prends des cours à la Fac, ce qui ne me laisse pas beaucoup de temps pour m’envoyer en l’air. Je rentre chez moi chaque jour, et j’ai peu de chance de rencontrer ma copine Mélanie. Elle passe la plupart de ses nuits dans le lit de son copain, ce qui fait que je n’ai plus l’occasion d’utiliser sa chambre. Sa mère pourrait s’en apercevoir. Je ne vois plus Steve, il n’a pas apprécié que je lui refuse mon cul. Lorsque je sens que j’ai vraiment besoin d’un bon petit ramonage, je prends mon gode.
Audrey m’a appelé un samedi près midi. Elle était seule et m’a invité à courir les magasins avec elle. Elle est venue me chercher et on a passé l’après midi ensemble comme de vielles copines. Le soir nous sommes allées au resto, puis elle m’a raccompagné. Ah ! j’ai oublié de dire qu’elle vient de s’acheter une voiture, une bonne occasion semble-t-il. Je l’ai fait monter dans ma chambre et on a déballé nos achats. C’est la première fois que j’y amène quelqu’un d’autre que Mélanie. On s’est assises sur le bord du lit. Je lui ai parlé de mes journées à la Fac, mais aussi de l’invitation du chef de gestion de la grande surface dans laquelle j’ai travaillé pendant 3 mois. Je lui raconte que cet homme me plait. J’avais une furieuse envie qu’il me prenne dans la voiture, j’espérais qu’il me le propose. Bref, je n’ai pas osé lui demander de coucher avec lui, j’étais quelque peu intimidée. Pourtant je croyais qu’en m’invitant au resto, c’est ce qu’il attendait de moi, me baiser. Il ne s’est rien passé, c’est peut-être mieux comme ça.
Soudain elle m’aplatit sur le lit, prend ma bouche, cherche ma langue et me murmure à l’oreille » j’ai envie de toi » Ca me rend toute chose. Déjà sa main pétrit mes seins, glisse dans mon jean, passe derrière ma culotte, arrive dans ma fente, l’ouvre. Je mouille, elle presse mon clito, il s’érige, un doigt puis deux sont dans mon vagin, le fouillent. Je me redresse, j’ai chaud, mon cœur s’emballe, je me déshabille. Nous voilà toutes les deux à poil, excitées. On est l’une sur l’autre, on se bouffe la chatte, les langues entrent dans nos trous, nos bouches aspirent nos petits boutons, les nymphes, boivent notre mouille, on se fait un 69 d’enfer. Je me lève, vais dans l’armoire, prends le gode. Comme elle a les cuisses écartées, le trou dilaté, ruisselant, je n’ai aucun mal à l’enfiler au plus profond d’elle. Je la burine sauvage. Elle pousse des gémissements de plus en plus forts et soudain se redresse, me pousse, je bascule, me retrouve sur le dos. Elle s’empare de l’engin qui est planté en elle, et sans ménagement, me l’enfourne en entier, le ressort, recommence plusieurs fois. Je perds la tête, crie de plus en plus fort à chaque fois qu’il butte au fond de moi, jouis.
Il est tard, elle se rhabille, j’enfile une robe de chambre, la raccompagne en bas, sa voiture est devant la porte.
Elle m’embrasse, je rentre et trouve ma mère qui m’attend dans ma chambre, l’air courroucé. - Qu’est ce tu foutais ?
- J’étais avec une copine.
- Tu es nue sous cette robe de chambre, explique-moi pourquoi ?
- Je me suis déshabillée pour me mettre au lit.
- Avant de la raccompagner ? Tu me prends pour une conne !
- Avant ou après, qu’est ce que ça change ?
- J’ai bien comprit ce que vous avez fait ! Elle me montre le gode resté sur le lit.
- Les hommes ne te suffisent plus, il te faut des femmes maintenant !
- Qu’est ce que ça peut te faire !
- Je ne veux pas de ça chez moi Ca passe pour cette fois, mais ne recommence pas !
Je ne pouvais quand même pas lui avouer qu’on venait de se gouiner, qu’on s’était fait du bien. Manifestement elle nous a entendues. Ce soir on n'a pas été très discrètes. Dans le feu de l’action, j’ai oublié que mes parents dorment dans la chambre à côté. Elle aussi est nue sous sa robe de chambre. Pour ne pas intervenir plus tôt elle était peut être en train de faire l’amour. Elle n’a que 37 ans, il n’y a que 5 ou 6 ans que je l’ai surprise en train baiser avec mon père. Ca elle ne le sait pas. Dans la pleine force de l’âge, ce jour là elle se donnait à fond, ce qui doit toujours être le cas.
Ca va faire près de 6 mois que je n’ai pas rencontré Mélanie. Je ne sais pas comment la contacter, je n’ai pas l’adresse ni le téléphone de son mec.
Pour ma part, à la Fac, je pourrais trouver des verges pour m’entretenir la moule, mais ça ne me dit rien, je suis bien trop occupée à suivre les cours. Pourtant mon conduit a besoin de se faire ramoner, ça fait quelque temps qu’il n’a pas servi. Si je me fais allumer, je crains le feu de cheminée !
Il y en a bien un qui me plait, mais il est en mains, je ne vais pas lui faire du rentre-dedans, ça serait mal vu par sa copine.
L’autre jour, pendant le cours, le mec assis à côté de moi me chuchote : - Va m’attendre aux chiottes, ferme pas la porte.
- Non mais ça va pas, faut te faire soigner !
- Fait pas ta mijaurée, je vois bien qu’t’en as envie !
- Si je veux me faire sauter, ça s’ra pas par toi !
- Aller, soit pas bégueule, tu ne le regretteras pas !.
- Va te faire foutre ! J’ai ce qu’il me faut !
- Menteuse, t’es en manque !
- Qu’est ce t’en sais ? Fout moi la paix !
Il est bien foutu, pas très grand, un peu trop sûr de lui, pense que c’est arrivé, qu’il suffit de claquer les doigts pour me sauter. Il peut toujours courir, il ne faut pas qu’il compte sur moi pour lui vider les couilles. Un peu plus de romantisme, voyons !
J’ai quand même fait une nouvelle provision de condoms, fini le temps de se faire monter à cru !
Cet après midi je n’ai pas cours, il fait froid dehors, je me ballade tranquillement dans le centre commercial. Seule, je m’ennuie. Alors que je suis dans un magasin de lingerie fine, un mec dans la trentaine, bien mis, manteau, costume, cravate, pull léger, m’accoste et me demande de l’aider à choisir des sous-vêtements pour faire un cadeau à sa femme. Il m’a choisi parce que j’ai le même gabarit qu’elle, ( je fais 1,63 m, 48 Kg ) me dit qu’il n’y connaît rien. Allons-y ! Que cherche-t-il ? Et nous voilà dans le rayon soieries. Je lui conseil un ensemble sous tif 85 C, et le string qui va avec, du 38 comme pour moi. L’ensemble est très joli, dentelles et broderies, le tout rouge sombre, cher et vachement sexy. En plaisantant je lui dis :- Avec ce cadeau, vous allez avoir droit à un très gros remerciement.
- J’espère bien, c’est demain son anniversaire !
- En tout cas, si c’était pour moi, je sais ce que je ferais !
- Il fait froid dehors, je vous offre une boisson chaude ?
- Je veux bien.
- Allons-y !
On sort, il m’emmène à sa voiture. Je le regarde, il est beau mec, élégant, je me le ferais bien. Je ne sais pas comment le lui faire comprendre. Je ne le connais pas, j’ai pris un risque en montant avec lui en voiture. On arrive en centre ville, on s’arrête devant un salon de thé, il me demande si ça me convient. Une serveuse nous ouvre la porte, on entre, il quitte son manteau, moi ma parka, on s’installe à une table. Je prends un chocolat chaud, il me propose de choisir une pâtisserie. On parle de choses sans importances, la pluie et le beau temps, je suis en fac, n’ai pas de petit ami, habite chez mes parents. Il ne me parle que peu de lui.. Il paye, on s’en va.
- Où puis-je vous déposer ?
- À un arrêt de bus, s’il vous plait, je vais rentrer chez moi.
C’est foutu, j’y aurais pas droit, il me plait. J’ai soudain besoin d’un coup de bite sauvage, tout de suite, mon ventre réclame, j’aimerais qu’il me prenne là, dans sa voiture, à sec ! On roule, négligeament je pose une main sur sa cuisse. Il me regarde, ne réagit pas, j’enlève ma main, m’excuse.
Il s’arrête, se gare, coupe le contact. On est à quelques pas de l’entrée d’un grand hôtel. Il se tourne vers moi, a un regard interrogateur, ne dit pas un mot. Je tourne la tête vers lui, me sens rougir, je ne suis pas à l’aise. Il met la main sur la portière, hésite à l’ouvrir, me regarde de nouveau, se décide, descend, fait le tour de la voiture, ouvre ma portière. Je ne bouge pas, scotchée. Toujours sans un mot, il me prend la main, je me tourne vers lui. Je détache ma ceinture de sécurité, récupère mon sac, sorts de la voiture. Je l’accompagne, subjuguée, on se dirige vers la porte de l’hôtel, qu’est qu’il m’arrive ? On franchit la porte, je m’arrête dans l’entrée, paniquée. Le réceptionniste me jette un regard réprobateur, la honte m’envahit, j’ai envie de m’enfuir. Il prend une clé, se dirige vers l’ascenseur, je le suis machinalement, comme une somnambule. J’avais envie de lui lorsque je suis montée dans sa voiture, et voilà que bizarrement, juste pour avoir posé une main sur sa cuisse, je me retrouve dans une chambre avec cet inconnu. Je reste plantée là, au milieu de la pièce, ne sachant qu’elle attitude prendre. Il m’intimide, ne parle pas, enlève manteau et veston, les met sur une chaise, s’approche. Il vient derrière moi, passe ses bras le long de mon corps, déboutonne, ouvre le zip de ma parka, la fait glisser sur mes épaules, tire sur les manches, elle est au sol. Il m’embrasse dans le cou, prends mes seins à travers mon pull, les malaxe. J’attends, troublée, me laisse faire. Il attrape le bas du pull, le remonte, le passe par-dessus ma tête, je l’aide à l’enlever, il rejoint la parka. Mes seins sont à l’air, libres, il les attrape, les caresse, roule les tétons entre ses doigts. Il est plaqué contre moi, je sens une bosse dure qui m’appuie dans le bas du dos, ça me fait tout drôle, j’en mouille ma culotte. Pièce par pièce il me déshabille, je le laisse faire, anesthésiée, sans réaction. Ainsi je perds mon jean qui tombe à mes pieds. Il glisse ses mains dans ma culotte, caresse ma toison, aventure ses doigts dans mon intimité. Il ressort ses mains, tire sur l’élastique de la culotte, la fait descendre, elle tombe, jean et culotte se rejoignent, m’entravent les pieds, je les dégage. Je me retrouve nue, toujours immobile, un geste de pudeur, je place une main sur mon minet, l’autre cache mes seins, je suis rouge de confusion. Il passe devant moi, cherche ma langue, suce mes tétons, m’embrasse un peu partout, et lentement descend jusqu’à ma chatte, enlève ma main. J’écarte un peu les jambes, il entre dans mon intimité. Je me laisse faire, mouille, ma respiration s’accélère, j’ai chaud, j’appuis sa tête contre mon entrejambes. Il se relève, prend ma main, la presse sur son sexe, je sens son érection. Je tire le zip, sort l’engin qui est de bonne taille. Je le branle doucement, il prend longueur et volume, quelle belle pièce ! Il me serre contre lui, j’astique toujours sa queue, ses doigts s’introduisent en moi, m’ouvrent, me fouillent, m’affolent. Je vais dans la salle de bain, j’ai besoin de me soulager, de faire un brin de toilette. Lorsque j’en ressorts, pieds nus, il est à poil, étendu sur le lit, maintient sa bite en forme, le gland est violacé, énorme. J’admire la taille et la raideur de l’engin, quelle longueur ! Je prends un préservatif dans mon sac, (j’aurais dû choisir une taille au-dessus, mais ça va aller quand même) l’équipe, me mets à califourchon au-dessus de lui, face à lui, saisis la verge, la guide dans mon trou, descends doucement. Ca y est, j’y suis, j’ai sa bite dans moi, depuis le temps que j’ai envie d’en sentir une vraie, dure et chaude. Je monte et descends sur ce pieu, vais de plus en plus vite. Il entre au plus profond de moi, me comble le ventre, élargit ma gaine, l’étire, je mouille comme jamais. On roule sur le côté, il est sur moi, me défonce bestial, je couine de plus en plus fort, transpire, perd la tête, mon cœur s’emballe. Je pousse un cri, jouis, tout mon corps se cabre, se détend. Lui s’acharne, est en nage, long râle, soubresauts, décharge dans la capote, s’aplatit sur moi. J’ai eu ce que je voulais, bon sang, ce qu’une bite peut faire du bien.
On reste allongés, je récupère, il vire la capote, je lui caresse la queue, les couilles. Elle reprend doucement du volume, de la raideur, moi je mouille de nouveau. J’en veux encore un coup, c’est trop bon !
- Suce-moi !
- Non, j’aime pas ! Autant te le dire tout de suite, je ne veux pas non plus qu’on m’encule !
Alors c’est lui qui se met entre mes jambes, m’écartèle, s’empare de ma vulve gonflée, aspire ma mouille, bouffe mon clito, sa langue s’active, ses doigts m’ouvrent, je viens, chavire, jouis, il sait y faire. Je le repousse, reprends un préservatif, grimpe sur lui, enfourne sa pine, et c’est reparti pour une chevauchée fantastique. Un hurlement, je m’écroule, c’est trop fort, un autre orgasme. Il me bascule, ses assauts sont fulgurants, sa bite grossit encore, se bloque au fond, donne des à-coups, gicle, je sens les jets de foutre malgré la capote, c’est chaud, c’est bon, j’en perds la tête, défaille, crie ma jouissance. On reste allongés, l’un dans l’autre, anéantis, silencieux, je goûte les instants magiques qui viennent de s’écouler.
On prend une douche ensemble, il m’enfile de nouveau, debout, liane grimpant à l’arbre, mes bras autour de son cou, jambes sur ses hanches. Il me tient sous les fesses, est planté dans moi, me fait monter et descendre sur sa tige, qu’elle santé ! Je pousse un cri, je suis partie, je jouis de nouveau. Mais cette fois, si la branche est encore solide, l’arbre n’a plus de sève. Heureusement, car ce dernier coup n’était pas prévu, il me l’a introduite nue ! Je n’ai jamais trouvé un mec qui met autant d’ardeur à me sauter, qui me fait autant jouir, il est toujours en forme.
Ca fait plus de 3 h qu’on baise, toutes les positions y sont passées, sur et hors du lit, ma tuyauterie n’a jamais été aussi bien ramonée ! Manque d’entraînement, goupillon trop actif, je n’en peux plus. Je suis affamée, je lui dis, j’ai dû perdre au moins un kilo, je me suis trop donnée.. Nos vêtements traînent sur le sol, on se rhabille. On quitte la chambre, le lit est ravagé, il y a des capotes partout, certaines sont pleines de foutre. Il m’invite au resto pour finir la soirée. Je bois même du vin, c’est contraire à mes habitudes. Je suis un peu pompette, j’ai besoin de m’étourdir. Il n’est pas tard, j’ai hâte de rentrer, il me reconduit chez moi, aimerait qu’on se revoie jeudi prochain, si je suis libre. Il a quelqu’un à voir en province, compte ne pas rentrer chez lui ce soir là. J’accepte, il viendra me chercher entre 8 et 9 h. On ira dîner, puis, si je le veux bien, il compte passer la nuit avec moi. Il a aimé ma prestation, je lui réponds que j’ai apprécié la façon dont il m’a baisée. Je suis prête à recommencer, mais pour le moment j’ai besoin de récupérer.
Il me demande mon téléphone pour me joindre au cas où il aurait un empêchement. De lui je sais juste son prénom, Marc.
Une seule chose me gène : c’est un homme marié, il n’y a que ceux là qui m’intéressent, pas les gamins de mon âge. Ce soir, quand il va retrouver sa femme, qu’elle excuse va-il invoquer pour expliquer qu’il a déjà dîné ? Ou alors, comme il a lui aussi perdu énormément de calories, se remettra-t-il à table en arrivant ! Ni vu, ni connu……… Et une fois au lit, ça m’étonnerait qu’il la baise, il est reparti les couilles bien trop vides !
J’ai trop baisé, je suis épuisée, vidée, les jambes molles, j’ai mal aux cuisses, je les ai trop fort et trop souvent écartées, je n’en ai plus l’habitude. J’ai l’impression que mon trou est encore ouvert, que sa queue est restée en moi. Dommage que ça ne soit pas la réalité.
Je file dans ma chambre, me sens bien, me déshabille, me couche, m’endort illico, heureuse !
Vivement jeudi prochain qu’il me la remette bien profond, j’aime.
Si ce récit vous passionne, il y a encore une suite, puis une autre. A plus tard ...

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