Aventures spatiales - Chapitre 16 - histoire érotique

Vacances a Ardalon

Il y avait deux jours que les trois jeunes Terriennes étaient arrivées sur la planète paradisiaque. La chambre d'Abby au rez-de-chaussée donnait directement sur la plage, la grande baie vitrée laissait entrer le soleil à flot, l'océan d'un bleu merveilleux scintillait à perte de vue.
Elle était nue sur son grand lit blanc.
Elle commanda une de ces délicieuses boissons, dont ils avaient le secret. Mais bercée par une douce musique et le clapotis du ressac, elle s'endormit.
Le garçon de service qui lui apportait sa commande, frappa doucement à la porte-fenêtre grande ouverte. C'était un Alien, il était originaire de la planète-océan Mon Calamari. Son espèce la partageait avec une autre espèce, les Quarrens. Les Mon Calamari sont des créatures amphibies d'aspect humanoïde, d'environ 1.70 mètre. Leur peau est couleur saumon, et ils possèdent une tête en forme de dôme recourbé vers l'arrière, surmontée de deux énormes yeux placés de chaque côté. Une large bouche avec une langue hérissée de petit pic. Ils sont parmi les plus laids de l'univers. Leurs doigts sont reliés à leur base par une fine membrane. Les Mon Calamari sont à l'origine des créatures plutôt terrestres, ayant une forte affinité avec l'eau. Ce sont des êtres amphibies mais pas aquatiques, car ils vivent à l'air libre.
Il était seulement vêtu d'une veste blanche qui s'arrêtait sur ses hanches, son sexe énorme rose saumon pendait entre ses cuisses. Le bout de son gland large et évasé ne comportait pas de prépuce, il lui arrivait presque au niveau des genoux. N'obtenant pas de réponse, il entra.
Abby dormait couchée sur son côté droit, les bras étirés au-dessus de la tête, les jambes gainées de bottes noires à demi-repliées.
Ackbar, ne se formalisa pas de la voir ainsi, il avait l'habitude que les touristes se promènent dans l'hôtel dans le plus simple appareil. Mais... à bien y regarder de près, cette Terrienne était vraiment magnifique. Ses cheveux noirs de geai, cette immense tresse qui s'étalait sur la blancheur du lit, son petit nez retroussé, ses seins parfaits ni trop gros, ni trop petits, ses cuisses fines, mais musclées....
Il s'avança pour déposer la boisson sur la table jouxtant le lit.
Abby se retourna sur le dos, et écarta les jambes, lui dévoilant sa chatte exempte de toute pilosité. Les lèvres entrouvertes laisser entrapercevoir le rose de l'intérieur de son vagin. Il se figea plateau à la main devant ce magnifique spectacle.
La tête de la jeune fille se mit à dodeliner de droite à gauche, des soupirs sortaient de sa bouche.

« Elle doit rêver, se dit-il... »

Il s'approcha encore plus près, posa son plateau sur la table sans bruit. Sa tête surplombait la poitrine juvénile, il s'aperçut que les aréoles se couvraient de chair de poule, que ses tétons doublaient de volume et s'érigeaient en deux petits cônes bruns.
Elle eut un soubresaut, lançant son basin en avant. Elle dormait toujours.

« Elle doit faire, un rêve érotique.... »

Des murmures sortaient de ses lèvres, il tendit l'oreille.

« Ooooohhhhhh ouuuuuiiiiii.... ouiiiiiiiii..... prend moi, prend moi.... Je veux sentir ta grosse queue au fond de moi... »

Son bassin se trémoussait... Elle se caressait les seins, les yeux globuleux de l'Alien se fixèrent sur sa chatte. Elle était mouillée, une petite tâche de foutre s'étalait sur les draps. Ce qu'il venait de voir ne l'avait pas laissé insensible, son phallus était en érection totale. Je veux sentir ta grosse queue au fond de moi...
Abby se tourna sur le côté, tout en continuant à gémir. Elle était au bord du lit, lentement, il mit son genou gauche sur le lit, sa main droite guida sa bite énorme vers la chatte de Abby. Son gland écarta les grandes lèvres de la chatte humide, il en entra doucement la moitié, surveillant la réaction de la jeune Terrienne. Seul un soupir de contentement sortit de sa bouche. Il s'enhardit, et poussa lentement, il avait entré la moitié de sa queue monumentale, lorsque Abby ouvrit les yeux. Il crut qu'elle allait hurler.... Mais dans un râle de plaisir elle hoqueta :

« Ooooohhhhhhh, putain ce qu'elle est grosse... Doucement... Doucement... »

Elle se mit sur le dos, lui présentant ses seins fermes aux aréoles durcis et aux tétons turgescents, rassuré de sa réaction Ackbar la tira vers lui, les fesses au bord du lit, et enfila lentement le reste de son colossal phallus puis ne bougea plus. Il sentait les contraction des parois vaginales de la jeune fille lui enserrer la bite, c'était délicieux. Il se pencha, sa langue se mit à lécher frénétiquement le bout des seins d'Abby. Elle se mit a hurler de bonheur, les petits pics de la langue lui procuraient des sensations merveilleuses, des ondes électriques partaient de ses tétons et venaient se concentrer dans son bas ventre.
Elle s'abandonna complètement sur le lit en roucoulant. Le Mon Calamari lui saisit d' une main la cuisse droite et de l'autre la hanche opposée, et commença des va-et-vient d'une amplitude et d'une vitesse folle, elle criait, elle le suppliait de ne pas s'arrêter, il la besogna ainsi longtemps, elle n'arrivait plus à reprendre son souffle. Il la repoussa sur le lit et d'un bond y grimpa toujours la bite enfoncée au plus profond de la chatte chaude et trempée. De sa grande bouche, il l'embrassa fougueusement, sa langue fouillait la cavité buccale de Abby, leurs salives se mélangeaient.
Abby sentait monter le plaisir, elle sentait que son partenaire n'était pas loin d'éjaculer lui aussi, elle remonta son buste, l'attira à elle de toutes ses forces, plaqua la tête hideuse sur son épaule et au moment ou elle sentit les contractions du pénis dans sa chatte, elle s'ouvrit à son plaisir, son orgasme la tétanisa contre l'amphibien.
Il la tourna sur le côté, elle sentit le trop-plein du sperme gluant et jaunâtre couler sur ses cuisses.

« Alors jeune Terrienne, tu as aimé ? »

Abby le regarda, il était vraiment affreux d'apparence... Mais elle mentirait si elle disait que sa queue n'avait pas assouvi ses désirs...

« Oui ... oui j'ai aimé... ta bite est monstrueuse, et j'ai joui énormément...
- Tu en veux encore ? »

Son énorme queue toujours aussi raide pénétra à nouveau la chatte gluante de sperme. Puis il sembla se raviser. Il tourna la jeune biologiste sur le côté, cracha sur sa bite et envahi l'anus d'Abby . Elle se mit sur le ventre, il monta à califourchon sur ses reins, il lui attrapa les seins, les malaxa, lui tirant le buste en arrière pour que sa sodomie soit la plus profonde possible. Sa langue râpeuse léchait la nuque de Abby. Il lui murmurait des insanités à l'oreille, la traitant de petite pute de Terrienne, qu'elle était la reine des salopes de l'univers, qu'il allait lui déverser encore son sperme gluant dans le cul... Le plus fort c'était que cela excitait le jeune docteur. Elle lui demandait d'aller plus vite et plus profond... Leurs ébats firent tomber Abby sur le sol, il lui coucha le buste sur le lit, puis il lui tira sur sa longue tresse noire et éjacula une quantité phénoménale de liquide séminal dans l'anus distendu.
Elle commençait à fatiguer, elle était toujours à genoux le sperme jaunâtre coulait de son anus le long de sa cuisse jusqu'à son genoux... elle récupéra ainsi plusieurs minutes...
Elle s'assit sur le lit, but le cocktail qu'il lui avait apporté...

« Ça va lui demanda-t-elle ? Tu as bien joui ? Je peux aller prendre une douche ?
- Mais oui, vas-y lui répondit-il avec un sourire narquois sur sa face hideuse. Laisse la porte ouverte que je puisse regarder... »

La douche fraîche décontracta le corps de la jeune fille, elle laissa couler l'eau sur corps, le Mon Calamari était toujours là, épiant le moindre de ses gestes... cela ne la gênait pas qu'il la regarde, il serait bien obligé de partir pour aller bosser... Elle se savonna pendant de longues minutes, se rinça, écarta les lèvres de sa chatte pour bien évacuer le sperme, c'est alors que ça la prit... Elle connaissait bien ces symptômes... Il avait du mettre lorsqu'elle avait le dos tourné quelques gouttes de PPS, la drogue du sexe, dans son verre... C'était cuit, elle ne pouvait plus résister... au désir qui l'envahissait à nouveau.
Le majeur et l'index de sa main gauche se retrouvèrent dans sa chatte, tandis de le majeur de sa main droite caressait son clitoris en petits cercles concentriques, elle sentit son vagin devenir humide, elle adjoignit son annulaire, puis son auriculaire aux doigts qui étaient dans sa chatte. Trouvant que ce n'était pas suffisant pour calmer ses ardeurs le pouce les rejoignit, et lentement en regardant langoureusement l'amphibien hideux qui la matait en ricanant, entra entièrement et ressortit plusieurs fois sa main dans sa cavité vaginale.

« Allez Salope, viens ici, viens prendre ma grosse bite... »

Le corps encore ruisselant d'eau elle se dirige vers lui. Il s'était assis sur le lit, son phallus monstrueux de trente centimètres pointant fièrement vers le plafond. Il la fit mettre de dos , lui enserra la taille de ses mains palmées, sans qu'il le lui demande son orifice vaginal vint se frotter sur le bout du gland, lentement il lui appuya sur les hanches... le sexe éléphantesque glissa entre les parois bien lubrifiées, elle gloussa de plaisir. Une fois que les fesses d'Abby se retrouvèrent en contact avec ses cuisses, les mains écailleuses remontèrent le long des flancs de la jeune Terrienne, elle frémit sous cette caresse rugueuse. Il lui attrapa les seins, les malaxa jusqu'à ce qu 'elle gémisse et se tortille sur sa queue , les tétons subirent pincements, tiraillements... c'était elle qui faisait entrer et sortir le pieu rigide de ses entrailles, elle avait un rythme effréné. Abby n'en pouvait plus, elle se laissa aller en arrière sur l'épaule de son amant, il en profita pour lui mordre le bout du sein droit, elle cria.
Il passa sa main sous la cuisse de la jeune fille, et la releva pour mieux enfoncer son phallus géant au tréfonds de la chatte palpitante. Sa main agrippa le sein gauche d'Abby, il allait jouir, elle pouvait sentir la pulsation de son membre en elle, la puissance qui accompagnait ses coups de boutoir s'était accrue. La créature amphibie aspira avec sa grande bouche la moitié du sein droit de Abby, son membre plongeait de plus en plus à l'intérieur son vagin. Elle cria, elle crut qu'il était entré dans le col de son utérus. Son plaisir déferla, un orgasme puissant, dévastateur comme sait en donner cette drogue, son corps entier se raidit dans un long spasme. Ses poumons se vidèrent de leur oxygène, chaque muscle de son corps se contractait involontairement.
Ackbar déversa pour la troisième fois une quantité impressionnante de sa semence dans le ventre de Abby, il éjacula cette fois avec un long feulement.
Puis il se leva, prit sa veste et sortit de la chambre sans un regard pour la magnifique Terrienne, qui les bras en croix sur le lit, un flot de sperme jaunâtre coulant de sa chatte, essayait de récupérer de ses trois coïts effrénés.

À suivre