Aventures spatiales : Chapitre 23
Récit érotique écrit par Trixie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2018 dans la catégorie A dormir debout
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Aventures spatiales : Chapitre 23
Bonnes à tout faire :
Le second Alien, un reptoïde écailleux, de couleur rouille avait une tête triangulaire, elle comportait des granulations de taille variables, entremêlées de tubercules saillants plus ou moins volumineux. Ses yeux avaient des pupilles verticales, ils étaient gros sans paupières toujours en mouvement. Ses narines n'étaient comme ses oreilles que deux trous noirs. Son corps bien que fusiforme, était très musclé, il avait des bras assez long terminés par de grandes mains, avec des doigts aux phalanges très longues, des ongles courts, mais acérés. Il devait mesurer près de deux mètres. Il s'appelait Grakko.
« Elle n'a pas de string cette salope, dit son copain en passant sa main sous la minuscule robe, qui ne cachait rien de l'intimité de Sariah.»
Il insinua son index et son majeur dans la chatte de la jeune fille, elle eut un hoquet de plaisir lorsqu'elle sentit les longs doigts la pénétrer.
« Putain Kreel, je crois qu'elle mouille déjà ! Ce nouveau sérum est du tonnerre... »
Le Sneevel, léchait à grand coup de langue râpeuse, le sein qu'il avait mis hors de la robe, il attrapa la main de la jeune fille et lui demanda de la branler, elle obéit.
Le reptoïde s'était mis nu, il fit s'agenouiller Sariah et lui demanda de sucer sa bite, elle était toute boursouflée de la grosseur du poignet de la jeune Terrienne et devait mesurer plus de trente centimètres. Kreel pendant ce temps avait fait jaillir son second sein, et les malaxait sans douceur, tirant sur les tétons lui tirant des gémissements ou la douleur se mélangeait au plaisir.
Le lézard roux se coucha sur le dos, il fit mettre Sariah à cheval sur ses cuisses et lui enfila sa queue difforme, ce doit être l'effet de la drogue pensa-telle, mais putain que c'est bon de sentir la rugosité de sa bite dans ma chatte.
Le Sneevel s'était mis devant elle, elle avait ouvert la bouche, et il l'avait investi de son énorme mandrin noir annelé, au début elle eut un peu de mal a avaler les bourrelets, mais elle trouva assez vite la technique, surtout qu'il ne lui laissait pas beaucoup de répit.
Au bout d'un moment Grakko se releva, il mettre la jeune fille à genoux, et commença à la pilonner avec de grands coups de reins, il la tenait par les bras et lui les tirait en arrière pour bien enfoncer son immense bite jusqu'à la garde. Sariah ne pouvait que gémir doucement de plaisir sa bouche était toujours empli par la queue noire de Kreel.
« Fait nous voir ton joli corps Salope de Terrienne, j'adore voir les femelles de votre race en lingerie sexy, Braniac à raison de vous faire mettre des porte-jarretelles, c'est vachement érotique, tu ne trouves pas Kreel ? »
Il quitta la robe de Sariah et lui remonta la jambe gauche, qu'il posa sur son épaule.
« Regarde ce que je disais, son porte-jarretelles met en valeur sa chatte, ses bas affinent ses jambes... Braniac m'a expliqué que c'était une très vieille coutume Terrienne, Ooooooh putain ma bite entre toute seule maintenant, elle sont super ces filles... Elles ont une chatte chaude, lisse et humide... et ce qui est surprenant on dirait qu'elle s'adapte à la grosseur de la bite qui les pénètre...
- Oui, admire ses seins, tu as vu ses tétons, ils sont vachement longs et durs, je crois qu'elle apprécie ce que nous lui faisons... Allez dis nous que tu aimes...
- Oui...ouiiiiiii.... défonce ma chatte Kreel... et toi malaxes mes seins.... suce et mords mes bouts... ouiiii comme ça... putain que c'est bon !!
- Kreel laisse-moi ta place, ma bite voudrait bien connaître la chaleur et l'humidité de cette Salope »
Le Sneevel se saisit de Sariah et comme une plume la déposa sur un tabouret empire, elle était pliée en deux, les seins sur le cuir froid, la croupe saillante. Grakko lui bloqua les mains sur les fesses et enfila ses anneaux les uns après les autres dans le vagin trempé de la jeune fille. Elle hoquetait de plaisir, il besogna ainsi pendant dix minutes, puis il la retourna et la coucha sur le dos, elle écarta aussitôt largement ses cuisses sans qu'il le lui demande.
«Vas-y prends moi, moi... Mets ta grosse bite au fond de ma chatte... »
Lui cria-t-elle avant que la colossale queue du Sneevel ne s'engouffre dans sa bouche. Les deux Aliens étaient déchaînés, ils grognaient, soufflaient...le Sneevel lui tordait les seins en donnant de puissants coup de reins pour enfoncer entièrement son membre éléphantesque. Chaque fois que Kreel envoyait son bassin en avant le bout du gland de sa bite descendait au fond de la gorge de Sariah. Son cerveau ne réagissait plus, elle n'était plus qu'un sexe qui ne demandait qu'a recevoir des bites monstrueuses. Ce fut d'ailleurs ce qui arriva, elle se retrouva couchée sur le ventre du reptoïde, il lui écarta largement les cuisses et d'un seul coup enfila sa queue boursouflée dans sa chatte, elle sentit immédiatement que le gland de la grosse verge noire de Grakko se positionnait à l'entrée de sa chatte, une poussée violente et elle se retrouva avec les deux bites dans son vagin. Elle cria, lentement, ils ajustèrent leurs pénétrations. Elle n'avait plus conscience du temps qui s'écoulait, ni des orgasmes fulgurants qui l'avaient laissé plusieurs fois à demi-consciente, mais elle joui une dernière fois, lorsqu'elle sentit se déverser en elle, une quantité phénoménale de sperme jaune et vert. De merveilleuses sensations de volupté semblaient être multipliées par dix, tandis que les semences des Aliens se répandaient dans ses entrailles.
C?était comme si un des feux d'artifice de plaisir avait explosé en elle, Sariah était avait chuté au trente-sixième sous sol et elle aimait ça.
Tandis que Sariah vibrait encore sous le choc de son incroyable expérience sexuelle, Ackmena entra.
« Hey, les garçons, d'après ce qui coule de la chatte de la Terrienne, la grosseur et le nombre de tâches de sperme sur le tapis, je vois que les nouveaux colliers sont une réussite, je vais en faire part a monsieur Braniac, et toi la petite Salope tu vas me nettoyer tout ça ! »
Pendant ce temps, Abby était arrivée au bureau de Braniac, elle le trouva assis à son bureau en train de travailler. Elle réalisa immédiatement que c?était exactement le genre d?endroit où il pouvait détenir la formule et le code. Ses yeux faisaient le tour de la pièce. Elle repéra la petite lueur bleue clignotante de plusieurs caméras en fonctionnement. Braniac leva les yeux de son bureau.
« Oh, eh bien ... ne reste pas plantée là ... commence à travailler et ajuste ton bustier... on ne voit pas tes tétons... »
Abby obéit et fit sortir ses mamelons au-dessus du tissu, elle les fit rouler entre son pouce et son index pour les faire grossir.
Elle regarda l'écran informatique sur le bureau, et n'en cru pas ses yeux, la formule s'y étalait...
Elle réfléchissait ne sachant pas comment agir, elle était sûre d'une chose, il ne fallait pas rater son coup, sinon elle n'aurait pas d'autre chance.
Une seconde auparavant elle aurait pu l?assommer, mais elle n'aurait pas eu le temps d'agir, des gardes devaient surveiller les écrans de contrôle. Braniac récupéra la clé USB de son ordinateur et se rendit à un coffre-fort. Abby bien derrière lui essayait de mémoriser les signes sur lesquels il appuyait. Mais il ferma la porte, se retourna pour regarder Abby d'un air sévère. Surprise, elle tendit sa poitrine en avant.
« Tu as de bien jolis seins, tes tétons ont l'air très érectiles, ils dépassent parfaitement au-dessus de ta robe, c'est ainsi que j'aime les filles... comme toi... attends, je vais te gâter ! »
Comme par magie, une petite télécommande surgit dans sa main, il appuya sur un bouton. Abby sentit aussitôt une folle attirance pour Braniac s'insinuer dans son cerveau, la sensation lui coupa littéralement le souffle. Le pouvoir du sérum PPS lui sembla annuler immédiatement toute résistance qu'elle aurait pu avoir. Elle réalisa qu'elle voulait que Braniac la baise, plus que tout ce qu'elle avait jamais ressenti avec un autre mâle, qu'il soit humain ou Alien.
Une seconde plus tard, Abby se pressait contre Braniac et fit tomber les ustensiles de son bureau en embrassant l'Alien avec une passion plus que furieuse. Il tira sa robe vers le bas libérant ses seins aux mamelons dressés, qu'il saisit tour à tour entre ses lèvres, ses dents acérées entrèrent en action et mordillèrent les mamelons gonflés, tirant des gémissements de plaisir à Abby.
Rapidement, elle défit le pantalon de Braniac et sentit une poussée d'excitation lorsqu'elle libéra sa bite colossale, Kaareef pourtant bien monté était largement battu. Pour l'instant, il ne bandait pas, elle lui quitta le pantalon, s'extasiant mentalement devant la longueur, sa queue lui dépassait les genoux, elle devait faire au repos plus de huit centimètre de diamètre. Une onde de chaleur lui traversa le ventre, en s?imaginant cette bite au summum de son érection la pénétrer. De toutes les races qu'elle avait étudié, elle n'avait encore jamais vu un mâle extraterrestre posséder un tel appendice reproducteur.
Il s'était assis sur le bureau, elle souleva le membre monstrueux et enroula immédiatement ses lèvres autour du gland qu'elle avait décalotté. Elle aspira, en le masturbant, il avait un goût enivrant, elle sentit une drôle sensation la traverser comme un micro-orgasme, elle frissonna.
Maintenant rien n'était plus important que de faire bander la bite de Braniac... elle avait oublié sa mission.
Il avait posé ses mains sur sa tête pour accompagner la descente de la bouche, le long de sa hampe. Les fellations qu'elle faisait à Kaareef aidaient beaucoup la jeune brune à engloutir cet énorme tuyau lisse, strié de grosses veines. La bouche ouverte au maximum, elle bavait beaucoup, sa salive coulait le long du phallus de l'Alien, cela facilitait l'insertion au fond sa gorge. Son patron ne tarissait pas d'éloges à son égard, l'encourageait à avaler encore et encore. Il la prit par ses tresses et fit monter et descendre sa tête assez rapidement, le long de sa verge qui maintenant était aussi grosse que l'avant-bras d'Abby.
Il lui ordonna de monter sur le bureau, il n'eut pas besoin de demander quoique ce soit, Abby se baissa, écarta les cuisses en grand, saisit le membre monstrueux et le conduisit à l'entrée de son vagin. Elle s'accroupit, mais du forcer pour déjà faire entrer le gland, le PPS avait déclenché une inondation de sa chatte, son foutre coulait à flot. Elle s'abaissa lentement gagnant centimètre par centimètre, bientôt ses genoux touchèrent le dessus du bureau, Braniac lui malaxait les seins, étirant ses mamelons, les griffant de ses ongles acérés. Elle criait d'extase, les yeux révulsés. La queue bien enfoncée en elle, elle levait et descendait son bassin à toute allure, puis se servant de la bite dure et raide comme d'un axe, ses fesses allaient d'avant en arrière, ses hanches ondulaient, elle haletait de jouissance, la chatte écartelée. Ce n'était pas l'Alien qu'elle voulait contenter, mais c'était éteindre le désir qui lui brûlait le ventre.
Au bout d'un moment épuisée, elle ralentit la cadence, Braniac la fit lever, lui ôta sa robe, ne lui laissant que ses bas, son porte-jarretelles et ses talons aiguilles. Il se mit nu lui aussi, exhibant son torse couvert de poils noirs, la même toison couvrait son dos et ses jambes. Il la positionna à plat ventre sur le bureau, il avait adoré ce que Abby lui avait fait subir. A hauteur de sa hanche, il passa une main sous la ceinture du porte-jarretelles et de l'autre promena le bout de son gland le long de la fente ouverte et ruisselante, il l'insinuait entre les grandes lèvres et entrait un tout petit peu l'énorme tête. Il s'amusait de voir qu'à chaque fois la jeune fille se crispait et gémissait espérant une pénétration de sa bite diabolique. Il s'enfonça d'un seul coup la faisant crier.
« Tu aimes sentir ma queue au fond de toi, hein Salope... lui dit-il avec de lents mouvements de hanches, tu la sens bien glisser là, tu sens comme elle écartèle ta chatte... Attends ! »
Il grimpa à genoux sur le bureau, souleva sa jambe droite et le monstrueux sexe s'engouffra à nouveau dans la cavité béante, cette position lui permettait d'aller encore plus profondément dans le vagin de la jeune biologiste qui hurlait à chaque poussée, Braniac grimaçait son excitation le faisait baver et Abby sentait sa salive poisseuse lui couler sur les seins. Il pénétra ainsi encore et encore la jeune fille réceptive, dont le désir sexuel était toujours autant exacerbé. Il semblait à la Abby que le nouveau PPS retardait le moment de la jouissance, ce qui permettait au mâle de profiter pleinement du délire sexuel de sa partenaire.
Il la fit lever, et la plaqua contre lui, elle frotta langoureusement avec délice ses mamelons durs comme fer, contre la toison velue du torse de l'Alien, elle lui suça les tétons, le léchant en remontant, chercha la bouche du monstre, sa langue se faufila entre les lèvres cruelles, il la lui mordit, lui tirant un cri de douleur. Il se mit à la lui sucer, mélangeant sa salive au goût suret avec celle d'Abby. Il la poussa jusque devant le coffre-fort, l?attrapa sous les fesses, la souleva et sa bite cette fois sans forcer retrouva sa place et comme un piston dans sa chemise, se remit à coulisser à toute vitesse. C'était lui qui maintenant semblait atteint de frénésie sexuelle, plus rien ne comptait, il fallait qu'il assouvisse son désir, qu'il éjacule dans cette superbe Terrienne, si sa copine était comme elle, il avait fait une affaire superbe. Il haletait de plus en plus, ses assauts étaient de plus en plus violents, il aspira l?aréole du sein gauche d'Abby, et ne put se retenir de mordre le mamelon.
La douleur fit sursauter Abby, sa tête heurta le coffre-fort, la douleur combinée au coup fit qu'une déchirure se produisit dans la brume érotique de son cerveau...
« Putain, la combinaison... je vais l'ouvrir... »
Et tandis que Braniac redoublait ses pénétrations et ne prêtait plus attention à elle, trop occupé à chercher son plaisir, elle réussie subrepticement a taper le code qu'elle avait mémorisé, un léger déclic indiqua l'ouverture.
Heureusement qu'elle avait agi rapidement, car elle se retrouva sur le tapis avec Braniac, assise sur son ventre le chevauchant furieusement. Elle sentait que l'accalmie, laissée par la drogue allait cesser. Il faut que le fasse éjaculer en le masturbant ou en lui faisant une fellation, je n'ai pas envie de me faire mettre enceinte par ce demi-Alien, pensa-t-elle se souvenant des paroles de Ackmena.
Mais Abby se sentait sur le point de jouir, sa chatte palpitait autour de la bite brûlante fouillant ses entrailles.
Elle voyait que Braniac approchait de sa jouissance lui aussi, elle savait qu'elle atteindrait la sienne avant lui.
Sa jouissance explosa, et lorsque son apogée atteint son paroxysme, elle crut voguer sur un geyser, son corps tout entier ressemblait à un nerf de plaisir géant, mit à vif qui se tordait en tous sens. Elle replongea dans son brouillard érotique et chevaucha Braniac avec frénésie, elle voulait que cette sensation ne disparaisse jamais.
Dans les nimbes de son orgasme incroyable, Abby sentait la bite de Braniac glisser avec vigueur dans son conduit vaginal, chaque fois que le prépuce le frottait en se rétractant, son corps était inondé de sensations encore plus incroyables. Elle s'assit complètement sur le cuisses velues en ondulant légèrement du bassin et lui cria.
« Ejacule... Ejacule dans ma chatte... Putain envoie ton sperme au fond de moi... je veux le sentir couler? »
L?énorme rouleau de chair eut une série de contractions, Braniac la saisit aux hanches comme pour s'enfoncer encore plus profondément en elle et éjacula sa semence avec un hurlement.
Abby, qui récupérait doucement, encore sous le choc de cette incroyable expérience, se tenait les jambes tremblantes devant l'Alien, sentant son sperme s?écouler sur ses bas. Elle réalisa avec effroi qu'il avait éjaculé en elle ses semences, et que même elle l'avait supplié de le faire.
« Je ne pense plus avoir besoin de toi, maintenant, tu peux sortir... mais je vais certainement te rappeler à nouveau.»
Abby sourit et acquiesça. Au fond de son cerveau, elle adorait l'idée que Braniac veuille la baiser à nouveau, l'effet de la drogue s'estompait, son côté plus rationnel la maudit pour s'être laissée emporter dans ce tourbillon de folies. Elle regarda le coffre-fort, il était fermé, mais la serrure était déconnectée, c'était déjà ça ! Il suffisait de revenir et de subtiliser la clé USB et le code des colliers.
Elle quitta le bureau et rejoignit Sariah qui avec deux autres esclaves Terriennes vaquaient au ménage dans la maison.
« Alors ? Demanda Sariah- Il m'a baisé pendant deux heures, putain ce que j'ai aimé mon rôle d'esclave sexuelle... il a une queue plus que monstrueuse... j'ai réussi a déconnecter la serrure du coffre-fort... il n'y a plus qu'a se servir... »
Ackeména fit irruption.
« Ce soir, M. Braniac aimerait se relaxer avec vous. Choisissez les meilleures tenues de soirée et rappelez-vous que vous devez lui plaire. Il veut passer la nuit comme on déguste un plateau de fromage, du plus doux au plus fort... Je pense donc, que Sariah et Abby seront croquées en dernier... Je veux que vous ayez toutes un comportement adéquat, mais les colliers sont là pour ça !! Et elle sortit.
- Parfait, dit Sariah. S'il commence par baiser nos deux camarades, bourré de PPS comme il va être, cela devrait me laisser pas mal de temps pour récupérer la clé et le code... c'est moi qui irais, tu as assez pris de risques...
- Oui, mais il y a des caméras !! répondit Abby. Bon, pendant que tu seras dans le bureau, j'essayerai d'occuper les deux gardes dans le poste de contrôle !! Voyons voir comment on va s'habiller... »
Elle ouvrit le placard, sur l'étagère, il n'y avait que deux petits tas de tulles, l'un noir, l'autre blanc. Les filles enfilèrent ce qui était « leurs robes du soir » et s'admirèrent dans le grand miroir !
C'étaient les deux mêmes guêpières de couleurs différentes, faites de tulle transparent parsemé de petites fleurs. Elles collaient à la peau, les seins étaient libres de toute entrave, et leurs poitrines fermes étaient ainsi mise en valeur, soutenues par un petit arceau d'excitonium. Dans un ovale parfait, le bord inférieur laissait leur nombril largement découvert, et deux pointes de tissu sur lesquelles étaient fixées deux jarretières assez longues et minces, s'arrêtaient à cinq centimètres du pli de leurs aines. Les bas rehaussés de fines dentelles leurs montaient à mi-cuisse. Dans le dos le même ovale parfait laissait leurs fesses fermes striées par les lanières du porte-jarretelles largement découvertes. Elles étaient perchées sur des talons aiguilles.
« Oh, merveilleux ! dit Abby. Il va falloir que je trouve la même chose pour en faire profiter Kaareef. Donc je suppose que je pourrai faire la fête pendant que tu feras la voleuse... !
- Oui, petite coquine, au lieu de penser à te faire baiser par le Sneevel, concentre toi sur ta mission !!"
L'une des deux autres esclaves s'approcha. Elles décidèrent de lui faire part de leur plan.
« Oh, ne vous inquiétez pas, vous aurez le temps, il aura beaucoup à faire avec nous deux, la dernière fête à laquelle nous avons participé a duré plus de quatre heures ! »
La porte s?entrebâilla et Ackmena ordonna aux deux premières filles de la rejoindre.
«Ça y est, vas au poste de contrôle distraire les gardes, dans un moment, j'irai subtiliser la clé USB ! »
Abby prit un plateau, le chargea de boissons rafraîchissantes et alla sonner à la porte de la salle de surveillance.
« Oui... répondit à l'interphone une voix bourrue et caverneuse- Monsieur Braniac, m'a chargée de vous apporter des rafraîchissements... »
Lorsqu'elle franchit le seuil, un concert de sifflements admiratifs s'éleva de la part des trois monstrueux Aliens. Pas tout à fait, il y en avait un qui ressemblait à un Terrien. Ils étaient nus tous les trois et regardaient une vidéo pornographique sur un plateau holographique. Leurs bites en érection. Le Terrien s'approcha, c'était un noir gigantesque, gros laid adipeux, il devait peser plus de 150 kilos, des bourrelets de graisse lui faisaient d?énormes poignets d'amour, ses pectoraux flasques pendaient sur son sternum. Il avait le crâne rasé et fixait Abby de ses yeux cruels.
« Putain, la Salope... tu es sûre que Braniac, nous envoie que des boissons... il doit aussi nous offrir une récréation, sinon il ne t'aurait pas fait habiller ainsi... »
Il se saisit d'un petit boîtier sur la table, Abb y sut ce qu'il allait lui arriver ! Elle sentit la légère piqûre dans le cou et des vagues de désirs démoniaques déferlèrent dans son corps, anéantissant toute résistance de sa part.
«Oh putain, c'est un vrai anaconda, c'est à peine croyable ! dit-elle en se laissant tomber à genoux et en attrapant la colossale bite noire, en érection totale dansant devant ses yeux.
- Ne t?inquiète pas, ta chatte est peut-être serrée, mais j'arriverai à tout faire entrer... après tout, tu t'es habillée pour ça !
- Oui, oh oui... je veux sentir ta queue en moi...
- Je te rappelle les règles du jeu, ce sera fini quand nous aurons épuisé notre sperme ! Ce sera plus excitant si je t'attache, fais moi passer cette corde. »
Elle était penchée, les bras liés dans le dos et elle sentit la grosse bite du mec monstrueux pousser contre sa chatte. Elle sentait que ses grandes lèvres se refermaient sur l'énorme gland et qu'il en avait déjà introduit la moitié dans sa cavité vaginale, qui malgré elle commençait à produire un flot de foutre, puis d'un seul coup, il fut en elle. Elle sentit tout son corps se tendre de plaisir.
Lorsqu'elle sentit sa queue glisser dans le c?ur de son intimité, il se cala quelques instants sans bouger, comme pour bien lui faire apprécier la grosseur de son membre, avant de commencer à la baiser sauvagement.
«Salope, je vais te faire un gosse, qui te rappellera le putain de gros noir qui t'as baisé... Tu vas me supplier d'éjaculer dans ta chatte... je te le garanti. »
Il était absolument brutal dans la façon dont il la prenait, elle se débattait, mais ne lui demandait pas de s'arrêter, au contraire. Elle grogna de plaisir quand il enfonça profondément la totalité de sa bite dans sa chatte, puis elle sentit un frisson la traverser quand elle commença à sentir les chaudes giclées se déverser dans son vagin. Elle n'avait pas joui. Quelques instants plus tard, elle se retrouva investie à nouveau par l'énorme cylindre noir, Avec une poussée phénoménale la bite encore dure comme un roc était de retour en elle, il la pilonna rapidement, il voulait jouir rapidement à nouveau.
« Ooooohh ouai... ouaaaaaiiiiii... on y va encore.... et encore...putain que c'est bon... il y a longtemps que je n'avais pas baisé une Terrienne... »
Il explosa en elle pour la deuxième fois. Il semblait impossible que quiconque puisse éjaculer autant de sperme. Il n'était pas rassasié pour autant, et ses copains ébahis le regardèrent remettre ça une troisième fois. Abby n'avait toujours pas joui... mais elle nageait dans un océan de plaisir.
« Maintenant brunette, tu peux rester là en attendant que mon sperme? et le mastodonte s'écroula endormi sur le sol.
- Putain, j'ai cru qu'il ne s'arrêterait jamais, dit en ricanant un Alien d'un vert foncé, tu as vu, il est épuisé le pauvre, c'est vrai qu'elle est bandante habillée ainsi... »
Abby l'examina, c'était un insectoïde. Il avait une tête complètement ovale, de grands yeux avec des milliers de petites facettes, il n'avait pas de lèvres et sa bouche aux dents pointues s'ouvrait sous les deux trous qui lui servaient de narines, sa peau granuleuse luisait sous la lumière crue. Il avait deux plaques de chitine vert pâle sur son thorax, ses longs bras assez fluets était terminés par des mains aux doigts démesurément longs. Lorsqu'il parlait une longue lange fourchue en bout, sortait de sa bouche. Son sexe était important certes, comme tous le Aliens, mais moins gros que celui du Terrien black qui venait de la baiser.
« Je raffole de butiner, les femelles... je vois que son nectar coule vachement, je crois que je vais me régaler... »
Il la fit coucher sur un banc, elle écarta largement les jambes. Abby sourit, elle devait admettre que les extraterrestres étaient des amants incroyables, ils semblaient savoir exactement ce qu'elle voulait et comblaient parfaitement ses délires sexuels. Le fait qu'ils aient réduit en esclavage des filles humaines et d'autres races c's'était envolé envolé, Abby ne pensait qu'aux trois longs doigts qui s'étaient introduits en elle et fouillaient sa chatte tandis que le pouce lui frottait doucement le clitoris. Il prolongea ce délicieux massage attentif aux soupirs et halètements de la jeune fille, il ressortit ses doigts luisants de foutre, et les suça longuement.
« Putain les terriennes ont un nectar délicieux et celle là particulièrement, regarde comme elle coule... »
Il écarta doucement les grandes lèvres d'Abby ressemblant à deux ailes de papillons, Abby contracta ses muscle vaginaux plusieurs fois, du sperme de son amant précédent mélangé à son foutre s'écoula.
« Muuummmm dit l'insectoïde ne laissons rien perdre de ce merveilleux cocktail ! »
Son appendice buccal vint remplacer les doigts, il était assez gros, long, agile se faufilait dans tous les recoins de la chatte d'Abby, il descendait très loin dans son conduit vaginal. La jeune fille n'avait jamais eu un tel cunnilingus. La langue procurait un engourdissement merveilleux de ses sens, et l'amenait doucement vers la jouissance. Jusqu'ici, chaques orgasmes qu' Abby avait eu avec des Aliens avaient été incroyables, et maintenant, ce n'était pas une exception. Elle cria sa passion, et son cri résonna sur les murs de la pièce.
« Hé, je veux jouir moi aussi, mais il n'y a rien de meilleur que le jus produit par les femelles Terriennes lorsqu'elle jouissent... Tu vas voir... j'ai peaufiné ma technique... Oui, c'est ça lève un peu les fesses, que je te sodomise... là, ouiiiii... tu sens ma bite dans ton cul petite Salope ! On dirait que tu aimes ça ! Écarte un peu les jambes, que je remette mes doigts et ma main dans ta chatte, ouiiiii... Putain, tu es toujours aussi mouillée, je vais avoir droit à un véritable festin ! »
Il lui besogna l'anus d'abord doucement, puis de plus en plus vite, guettant le moindre signe annonciateur de la jouissance de son amante... Les portes du Nirvana s'ouvraient pour Abby, il lesentit et plaqua sa bouche sur la chatte qui palpitait, sa langue pénétra dans le sexe qui se contractaitet il aspira l'abondant liquide qui en coulait... Elle n'avait jamais ressentit un tel truc, elle se cambra, hurla, griffa le dos de l'Alien, se mit à trembler, pleura de joie... Elle était encore arc-boutée en pleine jouissance, quand elle sentit le phallus de l'insectoïde pénétrer sa chatte cette fois-ci et déverser sa semence verdâtre et gluante dans ses entrailles.
Elle était épuisée, mais entièrement comblée, il lui semblait que le désir sexuel prodigué par le PPS était en train de s'estomper, qu'elle retrouvait toute sa lucidité, peut être que la dose injectée avait été moins importante. Quoiqu'il en fût, il ne fallait pas que les deux Aliens s'en aperçoivent. Le noir dormait toujours inerte sur le sol. Son regard fit le tour de la pièce. Son c?ur fit un bond dans sa poitrine, la porte de la salle était légèrement entrebâillée, sur un écran elle aperçut le bureau de Braniac, il y avait un plan fixe sur le coffre-fort, ou était Sariah... elle devait avoir fini.
Le dernier Alien, un colosse, il faisait presque deux têtes de plus qu'Abby. Il avait deux petites cornes de chaque côté de la tête séparées par une énorme touffe de cheveux. Des bras et des pectoraux énormes. Il avait l'air pataud et donnait dans le genre abruti. Les yeux de Abby se portèrent sur sa bite, elle n'était pas très longue, mais d'un diamètre colossal.
« S'il me baise, pensa Abby, qui avait retrouvé toute sa lucidité, il me déchire la chatte... »
L'insectiforme s'était tourné pour visionner si tout allait bien sur les écrans. Le gros balourd s'approcha de Abby, il tendit les mains pour lui caresser les seins, le banc les séparait. Elle ne réfléchit pas le poussa d'un coup de pied dans les jambes du montre qui trébucha, et s'étala sur le sol. Elle bondit vers la porte, rapide comme l'éclair, elle se mit à courir dans le couloir pour rejoindre. Sariah. Trop tard au bout du couloir le Sneevel verdâtre pointait une arme sur elle, elle stoppa net... elle entendait derrière elle les pas du gros abruti qui approchait.
A suivre
Le second Alien, un reptoïde écailleux, de couleur rouille avait une tête triangulaire, elle comportait des granulations de taille variables, entremêlées de tubercules saillants plus ou moins volumineux. Ses yeux avaient des pupilles verticales, ils étaient gros sans paupières toujours en mouvement. Ses narines n'étaient comme ses oreilles que deux trous noirs. Son corps bien que fusiforme, était très musclé, il avait des bras assez long terminés par de grandes mains, avec des doigts aux phalanges très longues, des ongles courts, mais acérés. Il devait mesurer près de deux mètres. Il s'appelait Grakko.
« Elle n'a pas de string cette salope, dit son copain en passant sa main sous la minuscule robe, qui ne cachait rien de l'intimité de Sariah.»
Il insinua son index et son majeur dans la chatte de la jeune fille, elle eut un hoquet de plaisir lorsqu'elle sentit les longs doigts la pénétrer.
« Putain Kreel, je crois qu'elle mouille déjà ! Ce nouveau sérum est du tonnerre... »
Le Sneevel, léchait à grand coup de langue râpeuse, le sein qu'il avait mis hors de la robe, il attrapa la main de la jeune fille et lui demanda de la branler, elle obéit.
Le reptoïde s'était mis nu, il fit s'agenouiller Sariah et lui demanda de sucer sa bite, elle était toute boursouflée de la grosseur du poignet de la jeune Terrienne et devait mesurer plus de trente centimètres. Kreel pendant ce temps avait fait jaillir son second sein, et les malaxait sans douceur, tirant sur les tétons lui tirant des gémissements ou la douleur se mélangeait au plaisir.
Le lézard roux se coucha sur le dos, il fit mettre Sariah à cheval sur ses cuisses et lui enfila sa queue difforme, ce doit être l'effet de la drogue pensa-telle, mais putain que c'est bon de sentir la rugosité de sa bite dans ma chatte.
Le Sneevel s'était mis devant elle, elle avait ouvert la bouche, et il l'avait investi de son énorme mandrin noir annelé, au début elle eut un peu de mal a avaler les bourrelets, mais elle trouva assez vite la technique, surtout qu'il ne lui laissait pas beaucoup de répit.
Au bout d'un moment Grakko se releva, il mettre la jeune fille à genoux, et commença à la pilonner avec de grands coups de reins, il la tenait par les bras et lui les tirait en arrière pour bien enfoncer son immense bite jusqu'à la garde. Sariah ne pouvait que gémir doucement de plaisir sa bouche était toujours empli par la queue noire de Kreel.
« Fait nous voir ton joli corps Salope de Terrienne, j'adore voir les femelles de votre race en lingerie sexy, Braniac à raison de vous faire mettre des porte-jarretelles, c'est vachement érotique, tu ne trouves pas Kreel ? »
Il quitta la robe de Sariah et lui remonta la jambe gauche, qu'il posa sur son épaule.
« Regarde ce que je disais, son porte-jarretelles met en valeur sa chatte, ses bas affinent ses jambes... Braniac m'a expliqué que c'était une très vieille coutume Terrienne, Ooooooh putain ma bite entre toute seule maintenant, elle sont super ces filles... Elles ont une chatte chaude, lisse et humide... et ce qui est surprenant on dirait qu'elle s'adapte à la grosseur de la bite qui les pénètre...
- Oui, admire ses seins, tu as vu ses tétons, ils sont vachement longs et durs, je crois qu'elle apprécie ce que nous lui faisons... Allez dis nous que tu aimes...
- Oui...ouiiiiiii.... défonce ma chatte Kreel... et toi malaxes mes seins.... suce et mords mes bouts... ouiiii comme ça... putain que c'est bon !!
- Kreel laisse-moi ta place, ma bite voudrait bien connaître la chaleur et l'humidité de cette Salope »
Le Sneevel se saisit de Sariah et comme une plume la déposa sur un tabouret empire, elle était pliée en deux, les seins sur le cuir froid, la croupe saillante. Grakko lui bloqua les mains sur les fesses et enfila ses anneaux les uns après les autres dans le vagin trempé de la jeune fille. Elle hoquetait de plaisir, il besogna ainsi pendant dix minutes, puis il la retourna et la coucha sur le dos, elle écarta aussitôt largement ses cuisses sans qu'il le lui demande.
«Vas-y prends moi, moi... Mets ta grosse bite au fond de ma chatte... »
Lui cria-t-elle avant que la colossale queue du Sneevel ne s'engouffre dans sa bouche. Les deux Aliens étaient déchaînés, ils grognaient, soufflaient...le Sneevel lui tordait les seins en donnant de puissants coup de reins pour enfoncer entièrement son membre éléphantesque. Chaque fois que Kreel envoyait son bassin en avant le bout du gland de sa bite descendait au fond de la gorge de Sariah. Son cerveau ne réagissait plus, elle n'était plus qu'un sexe qui ne demandait qu'a recevoir des bites monstrueuses. Ce fut d'ailleurs ce qui arriva, elle se retrouva couchée sur le ventre du reptoïde, il lui écarta largement les cuisses et d'un seul coup enfila sa queue boursouflée dans sa chatte, elle sentit immédiatement que le gland de la grosse verge noire de Grakko se positionnait à l'entrée de sa chatte, une poussée violente et elle se retrouva avec les deux bites dans son vagin. Elle cria, lentement, ils ajustèrent leurs pénétrations. Elle n'avait plus conscience du temps qui s'écoulait, ni des orgasmes fulgurants qui l'avaient laissé plusieurs fois à demi-consciente, mais elle joui une dernière fois, lorsqu'elle sentit se déverser en elle, une quantité phénoménale de sperme jaune et vert. De merveilleuses sensations de volupté semblaient être multipliées par dix, tandis que les semences des Aliens se répandaient dans ses entrailles.
C?était comme si un des feux d'artifice de plaisir avait explosé en elle, Sariah était avait chuté au trente-sixième sous sol et elle aimait ça.
Tandis que Sariah vibrait encore sous le choc de son incroyable expérience sexuelle, Ackmena entra.
« Hey, les garçons, d'après ce qui coule de la chatte de la Terrienne, la grosseur et le nombre de tâches de sperme sur le tapis, je vois que les nouveaux colliers sont une réussite, je vais en faire part a monsieur Braniac, et toi la petite Salope tu vas me nettoyer tout ça ! »
Pendant ce temps, Abby était arrivée au bureau de Braniac, elle le trouva assis à son bureau en train de travailler. Elle réalisa immédiatement que c?était exactement le genre d?endroit où il pouvait détenir la formule et le code. Ses yeux faisaient le tour de la pièce. Elle repéra la petite lueur bleue clignotante de plusieurs caméras en fonctionnement. Braniac leva les yeux de son bureau.
« Oh, eh bien ... ne reste pas plantée là ... commence à travailler et ajuste ton bustier... on ne voit pas tes tétons... »
Abby obéit et fit sortir ses mamelons au-dessus du tissu, elle les fit rouler entre son pouce et son index pour les faire grossir.
Elle regarda l'écran informatique sur le bureau, et n'en cru pas ses yeux, la formule s'y étalait...
Elle réfléchissait ne sachant pas comment agir, elle était sûre d'une chose, il ne fallait pas rater son coup, sinon elle n'aurait pas d'autre chance.
Une seconde auparavant elle aurait pu l?assommer, mais elle n'aurait pas eu le temps d'agir, des gardes devaient surveiller les écrans de contrôle. Braniac récupéra la clé USB de son ordinateur et se rendit à un coffre-fort. Abby bien derrière lui essayait de mémoriser les signes sur lesquels il appuyait. Mais il ferma la porte, se retourna pour regarder Abby d'un air sévère. Surprise, elle tendit sa poitrine en avant.
« Tu as de bien jolis seins, tes tétons ont l'air très érectiles, ils dépassent parfaitement au-dessus de ta robe, c'est ainsi que j'aime les filles... comme toi... attends, je vais te gâter ! »
Comme par magie, une petite télécommande surgit dans sa main, il appuya sur un bouton. Abby sentit aussitôt une folle attirance pour Braniac s'insinuer dans son cerveau, la sensation lui coupa littéralement le souffle. Le pouvoir du sérum PPS lui sembla annuler immédiatement toute résistance qu'elle aurait pu avoir. Elle réalisa qu'elle voulait que Braniac la baise, plus que tout ce qu'elle avait jamais ressenti avec un autre mâle, qu'il soit humain ou Alien.
Une seconde plus tard, Abby se pressait contre Braniac et fit tomber les ustensiles de son bureau en embrassant l'Alien avec une passion plus que furieuse. Il tira sa robe vers le bas libérant ses seins aux mamelons dressés, qu'il saisit tour à tour entre ses lèvres, ses dents acérées entrèrent en action et mordillèrent les mamelons gonflés, tirant des gémissements de plaisir à Abby.
Rapidement, elle défit le pantalon de Braniac et sentit une poussée d'excitation lorsqu'elle libéra sa bite colossale, Kaareef pourtant bien monté était largement battu. Pour l'instant, il ne bandait pas, elle lui quitta le pantalon, s'extasiant mentalement devant la longueur, sa queue lui dépassait les genoux, elle devait faire au repos plus de huit centimètre de diamètre. Une onde de chaleur lui traversa le ventre, en s?imaginant cette bite au summum de son érection la pénétrer. De toutes les races qu'elle avait étudié, elle n'avait encore jamais vu un mâle extraterrestre posséder un tel appendice reproducteur.
Il s'était assis sur le bureau, elle souleva le membre monstrueux et enroula immédiatement ses lèvres autour du gland qu'elle avait décalotté. Elle aspira, en le masturbant, il avait un goût enivrant, elle sentit une drôle sensation la traverser comme un micro-orgasme, elle frissonna.
Maintenant rien n'était plus important que de faire bander la bite de Braniac... elle avait oublié sa mission.
Il avait posé ses mains sur sa tête pour accompagner la descente de la bouche, le long de sa hampe. Les fellations qu'elle faisait à Kaareef aidaient beaucoup la jeune brune à engloutir cet énorme tuyau lisse, strié de grosses veines. La bouche ouverte au maximum, elle bavait beaucoup, sa salive coulait le long du phallus de l'Alien, cela facilitait l'insertion au fond sa gorge. Son patron ne tarissait pas d'éloges à son égard, l'encourageait à avaler encore et encore. Il la prit par ses tresses et fit monter et descendre sa tête assez rapidement, le long de sa verge qui maintenant était aussi grosse que l'avant-bras d'Abby.
Il lui ordonna de monter sur le bureau, il n'eut pas besoin de demander quoique ce soit, Abby se baissa, écarta les cuisses en grand, saisit le membre monstrueux et le conduisit à l'entrée de son vagin. Elle s'accroupit, mais du forcer pour déjà faire entrer le gland, le PPS avait déclenché une inondation de sa chatte, son foutre coulait à flot. Elle s'abaissa lentement gagnant centimètre par centimètre, bientôt ses genoux touchèrent le dessus du bureau, Braniac lui malaxait les seins, étirant ses mamelons, les griffant de ses ongles acérés. Elle criait d'extase, les yeux révulsés. La queue bien enfoncée en elle, elle levait et descendait son bassin à toute allure, puis se servant de la bite dure et raide comme d'un axe, ses fesses allaient d'avant en arrière, ses hanches ondulaient, elle haletait de jouissance, la chatte écartelée. Ce n'était pas l'Alien qu'elle voulait contenter, mais c'était éteindre le désir qui lui brûlait le ventre.
Au bout d'un moment épuisée, elle ralentit la cadence, Braniac la fit lever, lui ôta sa robe, ne lui laissant que ses bas, son porte-jarretelles et ses talons aiguilles. Il se mit nu lui aussi, exhibant son torse couvert de poils noirs, la même toison couvrait son dos et ses jambes. Il la positionna à plat ventre sur le bureau, il avait adoré ce que Abby lui avait fait subir. A hauteur de sa hanche, il passa une main sous la ceinture du porte-jarretelles et de l'autre promena le bout de son gland le long de la fente ouverte et ruisselante, il l'insinuait entre les grandes lèvres et entrait un tout petit peu l'énorme tête. Il s'amusait de voir qu'à chaque fois la jeune fille se crispait et gémissait espérant une pénétration de sa bite diabolique. Il s'enfonça d'un seul coup la faisant crier.
« Tu aimes sentir ma queue au fond de toi, hein Salope... lui dit-il avec de lents mouvements de hanches, tu la sens bien glisser là, tu sens comme elle écartèle ta chatte... Attends ! »
Il grimpa à genoux sur le bureau, souleva sa jambe droite et le monstrueux sexe s'engouffra à nouveau dans la cavité béante, cette position lui permettait d'aller encore plus profondément dans le vagin de la jeune biologiste qui hurlait à chaque poussée, Braniac grimaçait son excitation le faisait baver et Abby sentait sa salive poisseuse lui couler sur les seins. Il pénétra ainsi encore et encore la jeune fille réceptive, dont le désir sexuel était toujours autant exacerbé. Il semblait à la Abby que le nouveau PPS retardait le moment de la jouissance, ce qui permettait au mâle de profiter pleinement du délire sexuel de sa partenaire.
Il la fit lever, et la plaqua contre lui, elle frotta langoureusement avec délice ses mamelons durs comme fer, contre la toison velue du torse de l'Alien, elle lui suça les tétons, le léchant en remontant, chercha la bouche du monstre, sa langue se faufila entre les lèvres cruelles, il la lui mordit, lui tirant un cri de douleur. Il se mit à la lui sucer, mélangeant sa salive au goût suret avec celle d'Abby. Il la poussa jusque devant le coffre-fort, l?attrapa sous les fesses, la souleva et sa bite cette fois sans forcer retrouva sa place et comme un piston dans sa chemise, se remit à coulisser à toute vitesse. C'était lui qui maintenant semblait atteint de frénésie sexuelle, plus rien ne comptait, il fallait qu'il assouvisse son désir, qu'il éjacule dans cette superbe Terrienne, si sa copine était comme elle, il avait fait une affaire superbe. Il haletait de plus en plus, ses assauts étaient de plus en plus violents, il aspira l?aréole du sein gauche d'Abby, et ne put se retenir de mordre le mamelon.
La douleur fit sursauter Abby, sa tête heurta le coffre-fort, la douleur combinée au coup fit qu'une déchirure se produisit dans la brume érotique de son cerveau...
« Putain, la combinaison... je vais l'ouvrir... »
Et tandis que Braniac redoublait ses pénétrations et ne prêtait plus attention à elle, trop occupé à chercher son plaisir, elle réussie subrepticement a taper le code qu'elle avait mémorisé, un léger déclic indiqua l'ouverture.
Heureusement qu'elle avait agi rapidement, car elle se retrouva sur le tapis avec Braniac, assise sur son ventre le chevauchant furieusement. Elle sentait que l'accalmie, laissée par la drogue allait cesser. Il faut que le fasse éjaculer en le masturbant ou en lui faisant une fellation, je n'ai pas envie de me faire mettre enceinte par ce demi-Alien, pensa-t-elle se souvenant des paroles de Ackmena.
Mais Abby se sentait sur le point de jouir, sa chatte palpitait autour de la bite brûlante fouillant ses entrailles.
Elle voyait que Braniac approchait de sa jouissance lui aussi, elle savait qu'elle atteindrait la sienne avant lui.
Sa jouissance explosa, et lorsque son apogée atteint son paroxysme, elle crut voguer sur un geyser, son corps tout entier ressemblait à un nerf de plaisir géant, mit à vif qui se tordait en tous sens. Elle replongea dans son brouillard érotique et chevaucha Braniac avec frénésie, elle voulait que cette sensation ne disparaisse jamais.
Dans les nimbes de son orgasme incroyable, Abby sentait la bite de Braniac glisser avec vigueur dans son conduit vaginal, chaque fois que le prépuce le frottait en se rétractant, son corps était inondé de sensations encore plus incroyables. Elle s'assit complètement sur le cuisses velues en ondulant légèrement du bassin et lui cria.
« Ejacule... Ejacule dans ma chatte... Putain envoie ton sperme au fond de moi... je veux le sentir couler? »
L?énorme rouleau de chair eut une série de contractions, Braniac la saisit aux hanches comme pour s'enfoncer encore plus profondément en elle et éjacula sa semence avec un hurlement.
Abby, qui récupérait doucement, encore sous le choc de cette incroyable expérience, se tenait les jambes tremblantes devant l'Alien, sentant son sperme s?écouler sur ses bas. Elle réalisa avec effroi qu'il avait éjaculé en elle ses semences, et que même elle l'avait supplié de le faire.
« Je ne pense plus avoir besoin de toi, maintenant, tu peux sortir... mais je vais certainement te rappeler à nouveau.»
Abby sourit et acquiesça. Au fond de son cerveau, elle adorait l'idée que Braniac veuille la baiser à nouveau, l'effet de la drogue s'estompait, son côté plus rationnel la maudit pour s'être laissée emporter dans ce tourbillon de folies. Elle regarda le coffre-fort, il était fermé, mais la serrure était déconnectée, c'était déjà ça ! Il suffisait de revenir et de subtiliser la clé USB et le code des colliers.
Elle quitta le bureau et rejoignit Sariah qui avec deux autres esclaves Terriennes vaquaient au ménage dans la maison.
« Alors ? Demanda Sariah- Il m'a baisé pendant deux heures, putain ce que j'ai aimé mon rôle d'esclave sexuelle... il a une queue plus que monstrueuse... j'ai réussi a déconnecter la serrure du coffre-fort... il n'y a plus qu'a se servir... »
Ackeména fit irruption.
« Ce soir, M. Braniac aimerait se relaxer avec vous. Choisissez les meilleures tenues de soirée et rappelez-vous que vous devez lui plaire. Il veut passer la nuit comme on déguste un plateau de fromage, du plus doux au plus fort... Je pense donc, que Sariah et Abby seront croquées en dernier... Je veux que vous ayez toutes un comportement adéquat, mais les colliers sont là pour ça !! Et elle sortit.
- Parfait, dit Sariah. S'il commence par baiser nos deux camarades, bourré de PPS comme il va être, cela devrait me laisser pas mal de temps pour récupérer la clé et le code... c'est moi qui irais, tu as assez pris de risques...
- Oui, mais il y a des caméras !! répondit Abby. Bon, pendant que tu seras dans le bureau, j'essayerai d'occuper les deux gardes dans le poste de contrôle !! Voyons voir comment on va s'habiller... »
Elle ouvrit le placard, sur l'étagère, il n'y avait que deux petits tas de tulles, l'un noir, l'autre blanc. Les filles enfilèrent ce qui était « leurs robes du soir » et s'admirèrent dans le grand miroir !
C'étaient les deux mêmes guêpières de couleurs différentes, faites de tulle transparent parsemé de petites fleurs. Elles collaient à la peau, les seins étaient libres de toute entrave, et leurs poitrines fermes étaient ainsi mise en valeur, soutenues par un petit arceau d'excitonium. Dans un ovale parfait, le bord inférieur laissait leur nombril largement découvert, et deux pointes de tissu sur lesquelles étaient fixées deux jarretières assez longues et minces, s'arrêtaient à cinq centimètres du pli de leurs aines. Les bas rehaussés de fines dentelles leurs montaient à mi-cuisse. Dans le dos le même ovale parfait laissait leurs fesses fermes striées par les lanières du porte-jarretelles largement découvertes. Elles étaient perchées sur des talons aiguilles.
« Oh, merveilleux ! dit Abby. Il va falloir que je trouve la même chose pour en faire profiter Kaareef. Donc je suppose que je pourrai faire la fête pendant que tu feras la voleuse... !
- Oui, petite coquine, au lieu de penser à te faire baiser par le Sneevel, concentre toi sur ta mission !!"
L'une des deux autres esclaves s'approcha. Elles décidèrent de lui faire part de leur plan.
« Oh, ne vous inquiétez pas, vous aurez le temps, il aura beaucoup à faire avec nous deux, la dernière fête à laquelle nous avons participé a duré plus de quatre heures ! »
La porte s?entrebâilla et Ackmena ordonna aux deux premières filles de la rejoindre.
«Ça y est, vas au poste de contrôle distraire les gardes, dans un moment, j'irai subtiliser la clé USB ! »
Abby prit un plateau, le chargea de boissons rafraîchissantes et alla sonner à la porte de la salle de surveillance.
« Oui... répondit à l'interphone une voix bourrue et caverneuse- Monsieur Braniac, m'a chargée de vous apporter des rafraîchissements... »
Lorsqu'elle franchit le seuil, un concert de sifflements admiratifs s'éleva de la part des trois monstrueux Aliens. Pas tout à fait, il y en avait un qui ressemblait à un Terrien. Ils étaient nus tous les trois et regardaient une vidéo pornographique sur un plateau holographique. Leurs bites en érection. Le Terrien s'approcha, c'était un noir gigantesque, gros laid adipeux, il devait peser plus de 150 kilos, des bourrelets de graisse lui faisaient d?énormes poignets d'amour, ses pectoraux flasques pendaient sur son sternum. Il avait le crâne rasé et fixait Abby de ses yeux cruels.
« Putain, la Salope... tu es sûre que Braniac, nous envoie que des boissons... il doit aussi nous offrir une récréation, sinon il ne t'aurait pas fait habiller ainsi... »
Il se saisit d'un petit boîtier sur la table, Abb y sut ce qu'il allait lui arriver ! Elle sentit la légère piqûre dans le cou et des vagues de désirs démoniaques déferlèrent dans son corps, anéantissant toute résistance de sa part.
«Oh putain, c'est un vrai anaconda, c'est à peine croyable ! dit-elle en se laissant tomber à genoux et en attrapant la colossale bite noire, en érection totale dansant devant ses yeux.
- Ne t?inquiète pas, ta chatte est peut-être serrée, mais j'arriverai à tout faire entrer... après tout, tu t'es habillée pour ça !
- Oui, oh oui... je veux sentir ta queue en moi...
- Je te rappelle les règles du jeu, ce sera fini quand nous aurons épuisé notre sperme ! Ce sera plus excitant si je t'attache, fais moi passer cette corde. »
Elle était penchée, les bras liés dans le dos et elle sentit la grosse bite du mec monstrueux pousser contre sa chatte. Elle sentait que ses grandes lèvres se refermaient sur l'énorme gland et qu'il en avait déjà introduit la moitié dans sa cavité vaginale, qui malgré elle commençait à produire un flot de foutre, puis d'un seul coup, il fut en elle. Elle sentit tout son corps se tendre de plaisir.
Lorsqu'elle sentit sa queue glisser dans le c?ur de son intimité, il se cala quelques instants sans bouger, comme pour bien lui faire apprécier la grosseur de son membre, avant de commencer à la baiser sauvagement.
«Salope, je vais te faire un gosse, qui te rappellera le putain de gros noir qui t'as baisé... Tu vas me supplier d'éjaculer dans ta chatte... je te le garanti. »
Il était absolument brutal dans la façon dont il la prenait, elle se débattait, mais ne lui demandait pas de s'arrêter, au contraire. Elle grogna de plaisir quand il enfonça profondément la totalité de sa bite dans sa chatte, puis elle sentit un frisson la traverser quand elle commença à sentir les chaudes giclées se déverser dans son vagin. Elle n'avait pas joui. Quelques instants plus tard, elle se retrouva investie à nouveau par l'énorme cylindre noir, Avec une poussée phénoménale la bite encore dure comme un roc était de retour en elle, il la pilonna rapidement, il voulait jouir rapidement à nouveau.
« Ooooohh ouai... ouaaaaaiiiiii... on y va encore.... et encore...putain que c'est bon... il y a longtemps que je n'avais pas baisé une Terrienne... »
Il explosa en elle pour la deuxième fois. Il semblait impossible que quiconque puisse éjaculer autant de sperme. Il n'était pas rassasié pour autant, et ses copains ébahis le regardèrent remettre ça une troisième fois. Abby n'avait toujours pas joui... mais elle nageait dans un océan de plaisir.
« Maintenant brunette, tu peux rester là en attendant que mon sperme? et le mastodonte s'écroula endormi sur le sol.
- Putain, j'ai cru qu'il ne s'arrêterait jamais, dit en ricanant un Alien d'un vert foncé, tu as vu, il est épuisé le pauvre, c'est vrai qu'elle est bandante habillée ainsi... »
Abby l'examina, c'était un insectoïde. Il avait une tête complètement ovale, de grands yeux avec des milliers de petites facettes, il n'avait pas de lèvres et sa bouche aux dents pointues s'ouvrait sous les deux trous qui lui servaient de narines, sa peau granuleuse luisait sous la lumière crue. Il avait deux plaques de chitine vert pâle sur son thorax, ses longs bras assez fluets était terminés par des mains aux doigts démesurément longs. Lorsqu'il parlait une longue lange fourchue en bout, sortait de sa bouche. Son sexe était important certes, comme tous le Aliens, mais moins gros que celui du Terrien black qui venait de la baiser.
« Je raffole de butiner, les femelles... je vois que son nectar coule vachement, je crois que je vais me régaler... »
Il la fit coucher sur un banc, elle écarta largement les jambes. Abby sourit, elle devait admettre que les extraterrestres étaient des amants incroyables, ils semblaient savoir exactement ce qu'elle voulait et comblaient parfaitement ses délires sexuels. Le fait qu'ils aient réduit en esclavage des filles humaines et d'autres races c's'était envolé envolé, Abby ne pensait qu'aux trois longs doigts qui s'étaient introduits en elle et fouillaient sa chatte tandis que le pouce lui frottait doucement le clitoris. Il prolongea ce délicieux massage attentif aux soupirs et halètements de la jeune fille, il ressortit ses doigts luisants de foutre, et les suça longuement.
« Putain les terriennes ont un nectar délicieux et celle là particulièrement, regarde comme elle coule... »
Il écarta doucement les grandes lèvres d'Abby ressemblant à deux ailes de papillons, Abby contracta ses muscle vaginaux plusieurs fois, du sperme de son amant précédent mélangé à son foutre s'écoula.
« Muuummmm dit l'insectoïde ne laissons rien perdre de ce merveilleux cocktail ! »
Son appendice buccal vint remplacer les doigts, il était assez gros, long, agile se faufilait dans tous les recoins de la chatte d'Abby, il descendait très loin dans son conduit vaginal. La jeune fille n'avait jamais eu un tel cunnilingus. La langue procurait un engourdissement merveilleux de ses sens, et l'amenait doucement vers la jouissance. Jusqu'ici, chaques orgasmes qu' Abby avait eu avec des Aliens avaient été incroyables, et maintenant, ce n'était pas une exception. Elle cria sa passion, et son cri résonna sur les murs de la pièce.
« Hé, je veux jouir moi aussi, mais il n'y a rien de meilleur que le jus produit par les femelles Terriennes lorsqu'elle jouissent... Tu vas voir... j'ai peaufiné ma technique... Oui, c'est ça lève un peu les fesses, que je te sodomise... là, ouiiiii... tu sens ma bite dans ton cul petite Salope ! On dirait que tu aimes ça ! Écarte un peu les jambes, que je remette mes doigts et ma main dans ta chatte, ouiiiii... Putain, tu es toujours aussi mouillée, je vais avoir droit à un véritable festin ! »
Il lui besogna l'anus d'abord doucement, puis de plus en plus vite, guettant le moindre signe annonciateur de la jouissance de son amante... Les portes du Nirvana s'ouvraient pour Abby, il lesentit et plaqua sa bouche sur la chatte qui palpitait, sa langue pénétra dans le sexe qui se contractaitet il aspira l'abondant liquide qui en coulait... Elle n'avait jamais ressentit un tel truc, elle se cambra, hurla, griffa le dos de l'Alien, se mit à trembler, pleura de joie... Elle était encore arc-boutée en pleine jouissance, quand elle sentit le phallus de l'insectoïde pénétrer sa chatte cette fois-ci et déverser sa semence verdâtre et gluante dans ses entrailles.
Elle était épuisée, mais entièrement comblée, il lui semblait que le désir sexuel prodigué par le PPS était en train de s'estomper, qu'elle retrouvait toute sa lucidité, peut être que la dose injectée avait été moins importante. Quoiqu'il en fût, il ne fallait pas que les deux Aliens s'en aperçoivent. Le noir dormait toujours inerte sur le sol. Son regard fit le tour de la pièce. Son c?ur fit un bond dans sa poitrine, la porte de la salle était légèrement entrebâillée, sur un écran elle aperçut le bureau de Braniac, il y avait un plan fixe sur le coffre-fort, ou était Sariah... elle devait avoir fini.
Le dernier Alien, un colosse, il faisait presque deux têtes de plus qu'Abby. Il avait deux petites cornes de chaque côté de la tête séparées par une énorme touffe de cheveux. Des bras et des pectoraux énormes. Il avait l'air pataud et donnait dans le genre abruti. Les yeux de Abby se portèrent sur sa bite, elle n'était pas très longue, mais d'un diamètre colossal.
« S'il me baise, pensa Abby, qui avait retrouvé toute sa lucidité, il me déchire la chatte... »
L'insectiforme s'était tourné pour visionner si tout allait bien sur les écrans. Le gros balourd s'approcha de Abby, il tendit les mains pour lui caresser les seins, le banc les séparait. Elle ne réfléchit pas le poussa d'un coup de pied dans les jambes du montre qui trébucha, et s'étala sur le sol. Elle bondit vers la porte, rapide comme l'éclair, elle se mit à courir dans le couloir pour rejoindre. Sariah. Trop tard au bout du couloir le Sneevel verdâtre pointait une arme sur elle, elle stoppa net... elle entendait derrière elle les pas du gros abruti qui approchait.
A suivre
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