AVILISSEMENT D’UNE MATURE - Dévergondages 06
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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AVILISSEMENT D’UNE MATURE - Dévergondages 06
AVILISSEMENT D’UNE MATURE - Dévergondages 06
Lors d’un récent déplacement, un Français nommé Michel B., est venu en voyage d’affaires dans le pays où je réside. Demeurant dans la région bordelaise, il m’a confié les fantasmes qu’il a de voir Odile, son épouse depuis plus de vingt ans, se dévergonder et accepter le libertinage, comme il l’a connu avec une maîtresse durant une dizaine d’années. Pour cela, il m’a demandé d’imaginer des récits pouvant l’amener à se pervertir.
« Les femmes préfèrent les hommes qui les prennent sans les comprendre, aux hommes qui les comprennent sans les prendre. Marcel Prevost »
Odile, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines d’une société bordelaise. Depuis six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Ils déjeunent presque tous les midis dans le même restaurant. Après avoir accepté une invitation à déjeuner en tête à tête chez Edmond, Odile s’est laissée quelque peu aller en acceptant les baisers de son hôte. Une douzaine de jours après, victime d’un chantage, elle accepte un rendez-vous avec Edmond pour éviter le déshonneur. Malgré elle, le plaisir que lui procure le sexagénaire attise ses sens exacerbés, se rendant à lui sans aucune retenue durant une soirée et une nuit extatiques.
Edmond, vers six heures trente du matin s’éveille, son corps emboîté dans celui d’Odile, allongée en chien de fusil. Son sexe, enchâssé entre les fesses de la belle endormie, se réveille lui aussi, dans une bandaison matinale qui devient vite insupportable à son propriétaire. Aussi, tout en relevant la cuisse supérieure de sa compagne, il cherche de son autre main qui tient sa verge devenue très raide, à atteindre le vagin dans lequel il compte s’enfoncer au plus tôt. Lorsque son gland s’engage dans le pertuis, Odile a un tressaillement et reprend ses esprits, sans prendre conscience de l’endroit où elle se trouve.
Michel, tu exagères… Tu sais que je n’aime pas le matin…
Eh ! Bien ma chère, tout cela va devoir changer, j’ai autant envie de vous le matin que le soir, et même…, à n’importe quel moment de la journée.
En entendant cette voix, Odile se rend compte instantanément, que ce n’est pas son mari qui lui fait l’amour. Elle réalise que celui qui est en elle et qui la pilonne sans relâche, est sans aucun doute : son vieil ami ?, son amant ?, son suborneur ?, l’incitateur à sa débauche ? Tout cela à la fois probablement. Elle sent la verge qui coulisse comme dans du beurre dans sa matrice, pourtant si sollicitée la veille. Ses sens sont entièrement acquis à cette pénétration matinale qu’elle déteste habituellement, ainsi que cette position, où elle est prise en levrette et qu’elle refuse à son mari. Pourtant, elle se délecte cette fois de la domination de l’homme qui la soumet à son bon plaisir, jouissant de son entière capitulation. Lorsqu’Edmond, envahit le conduit vaginal avec son sperme, elle se surprend à resserrer les cuisses et les muscles des parois de son vagin, afin de garder le membre au plus profond d’elle-même, suppliant même son compagnon.
Restez en moi Edmond, je n’ai pas encore joui, j’ai…, j’ai…, besoin de vous sentir… Oh ! Comme j’ai honte.
Edmond l’enlace et embrasse ses épaules, son cou, ses oreilles, il triture les pointes de ses mamelons, affolant la pauvre femme qui pousse de petits gémissements, et qui laisse la jouissance l’envahir une fois de plus.
L’heure avançant, Edmond prend une douche rapide et laisse sa place à Odile. Celle-ci se prépare également en peu de temps, revêtant le tailleur qu’Edmond lui a acheté, car elle n’aura pas le temps de passer chez elle pour se changer. Elle pense qu’une fois de plus, Edmond a déchargé son sperme au fond de son vagin. Elle porte heureusement un stérilet et n’a aucun risque de procréer. Pour les rapports non protégés, elle se sent tranquille, étant donneuse de sang comme Edmond ; ils ont été volontaires, plusieurs fois ensembles, lors des collectes régulières de la Croix-Rouge qui ont lieu cours Victor Hugo.
Pendant ce temps, Edmond, après avoir refermé la porte de la salle de bains, démonte prestement le matériel vidéo qu’il avait mis en place, puis, il téléphone depuis l’angle de la pièce le plus éloigné de la salle d’eau, au mystérieux correspondant qu’il a déjà appelé. Une fois tous les deux prêts, ils quittent l’hôtel, et Edmond rejoint rapidement l’aire des Landes où la Twingo d’Odile est garée depuis la veille. Celle-ci quitte Edmond sur un rapide baiser, promettant de se libérer le lundi après-midi suivant.
Durant le parcours qui mène Odile vers le lieu de son travail, ses réflexions la ramènent à ce qu'elle vient de vivre ces derniers jours. Sa conscience ne peut concevoir les égarements inconcevables auxquels elle s’est prêtée, dans sa propre conception des choses, aussi lointaine qu’elle puisse l'être. Jamais au grand jamais, ces circonstances de luxure n’ont traversé son esprit. La fragilité de l'instant vient de mettre sa vie en péril, après que vingt-cinq années de mariage soient confondues en un clin d'œil.
Pourtant, elle ne peut se méprendre sur la séduisante, voir attrayante rencontre avec cet homme d'un âge certain. L’agrément du restaurant quotidien partagé avec ses collègues, puis la rencontre gentillette d'Edmond, ainsi que ces longs bavardages avec ce gentilhomme, éduqué, cultivé et aisé, ne manquant pas d'humour de surcroît, l’ont complètement conquis dans le morne quotidien de sa vie professionnelle et familiale. Ces longues semaines de séduction discrète, puis, le piège… Alors, tout bascule et elle se retrouve à céder à l'homme qui se révèle d'une moralité qui est loin d’être conventionnelle, tout à l'opposé de son éducation judéo-chrétienne.
Elle ne peut oublier, que contrainte et forcée par le chantage d'un tiers, et la généreuse proposition d'Edmond pour payer la somme énorme demandée, elle se soit offerte à celui qui la courtisait et la convoitait depuis longtemps. Elle a une bouffée de chaleur en se remémorant la jouissance ressentie à tous les agissements auxquels elle s'est prêtées, même à sa soumission inavouable, lorsqu'Edmond l'a troussé et fait jouir sur la place du village et lorsqu'il, l'a obligé à se masturber devant le serveur et deux clients du restaurant. Elle sent son shorty s'humidifier à ces pensées malsaines et veut les chasser de sa mémoire trop sélective.
Son état psychologique est embrouillé. Perdue dans ses réflexions, ses sentiments se dirigent à présent vers sa fille Muriel, et son mari Michel, qui ne comprendraient pas ce qu'elle est en train de vivre. Puis elle pense aussi à ses collègues de travail, qui, tous les jours déjeunent avec elle et souvent avec Edmond. Celui-ci, se retrouvant régulièrement à leur table. Comment va-t-elle pouvoir vivre le quotidien avec toutes ces personnes à présent ?
Lorsqu’elle arrive à la société où elle travaille, (Odile est responsable DRH, d'une compagnie de service et d'ingénierie informatiques, ses collègues paraissent très étonnés de la voir, exceptionnellement habillée d’un tailleur avec une jupe, elle qui ne porte habituellement que des pantalons. Elle rougit aux propos quelque peu narquois en avançant des explications embarrassées, notamment aux hommes qui regrettent de ne pas voir plus souvent ses jolies jambes. Elle téléphone à son salon de coiffure habituel qui se trouve à deux immeubles de sa société pour prendre un rendez-vous. Une cliente s’étant décommandée pour la fin de l’après-midi, elle va donc se faire coiffer suivant les désirs d’Edmond. En effet, celui-ci lui a demandé de se faire couper les cheveux d’une façon plus moderne. Odile, demande à Josette, la coiffeuse qui lui est affectée fréquemment, de lui faire une coupe assez courte, avec une frange sur le front. Elle n’en revient toujours pas de se soumettre sans protester aux exigences de celui qui l’a entrainé, malgré ses principes, dans l’acte adultérin.
En rentrant chez elle le soir, elle se demande comment elle va se comporter avec son mari. Elle songe qu’elle avait vingt-trois ans lorsqu’elle l’a épousé alors que lui-même, un grand gaillard sportif d’un mètre soixante-quinze, avait cinq ans de plus qu’elle. À présent, à cinquante-trois ans, c’est un compagnon qui est très près de sa famille et très sérieux dans son travail. Bien sûr, ses cheveux bruns deviennent gris, mais son visage carré et avenant, respire la sérénité. Elle se sent heureuse avec lui. Ce soir justement, alors qu’il est rentré de Hollande dans l’après-midi, ils doivent aller chercher Muriel à l’aéroport de Bordeaux Mérignac, à quatorze kilomètres de leur domicile, car leur fille vient de terminer un stage de natation à Londres. Elle vient d’avoir vingt-deux ans, étudiante à l’université de Bordeaux Montaigne, elle se prépare à devenir avocate spécialisée en droit international humanitaire. Odile sait que sa fille a un petit ami, Gérard, mais elle ne peut envisager qu’ils aient des rapports intimes ; d’ailleurs, trop prude et même introvertie, jamais, elle n’aura le courage d’avoir une conversation avec elle sur ce sujet.
Elle retrouve son mari sans en être embarrassée comme elle le craignait, l’entretenant des petits soucis quotidiens, sans qu’une seule fois sa culpabilité ne refasse surface. Son mari ne s’est même pas aperçut qu’elle porte une jupe, au contraire de ses habitudes ; tout juste lui fait-il des compliments sur sa coiffure qu’il trouve à son goût. Pourquoi ne lui a-t-il pas proposé, il a fallut que ce soit celui qui est en train de devenir son amant qui le lui suggère. Elle panique une nouvelle fois, car toutes ses pensées la ramènent à Edmond, alors qu’elle est bien consciente qu’elle n’en est pas amoureuse. Seule la jouissance étonnante qu’elle découvre avec lui, la rattache à cet homme.
Vers vingt-deux heures trente, ils partent tous les deux pour l’aéroport. L’avion est heureusement à l’heure, et lorsque Muriel se présente à la sortie des bagages, elle embrasse ses parents, heureuse de les retrouver. Il est décidé qu’ils prendront leur repas au plus près, l’heure tardive rendant un dîner dans un restaurant de Bordeaux problématique. Il y a heureusement un établissement gastronomique à deux pas de l’aéroport, « l’Iguane », trois fourchettes au Michelin et deux toques au Gault et Millau. Ils s’y rendent donc et s’attablent immédiatement. La commande passée au maître d’hôtel, ils devisent gentiment, commentant le séjour sportif de Muriel. Odile, intéressée moyennement par les propos, regarde autour d’elle. Soudain, son regard se fixe, et son visage devient d’une pâleur inquiétante. Elle vient d’apercevoir, derrière son mari qui lui tourne le dos, Edmond, installé à la table voisine. Il est seul et il la regarde d’un air goguenard.
Durant tout le repas, auquel Odile ne fait pas vraiment honneur, elle contemple furtivement ce voisin décidément importun en présence de sa famille. Elle n’a qu’une peur, c’est qu’il vienne faire un scandale en lui parlant ou en apostrophant son mari. Heureusement, celui-ci, en grande conversation avec Muriel qui se trouve à côté de sa mère, ne remarque pas les nombreux coups d’œil de son épouse. À la fin du repas, Edmond pianote sur son portable. Puis, il se lève et quitte sa table.
Odile, vient de percevoir que son téléphone vibre dans son sac. Elle regarde discrètement le message qui s’affiche : « Ma chère, je vous attends dans les toilettes du restaurant. J’espère que vous ne vous défilerez pas, votre mari et votre fille n’ont pas besoin de savoir les débordements auxquels vous vous livrez ».
Odile est atterrée. Que va-t-elle faire ? Elle se décide soudain et glisse à Michel qu’elle doit aller aux toilettes. Celui-ci, passionné par les explications de sa fille, ne prête aucune attention à l’absence de sa femme. Odile, tremblante des conséquences que cette rencontre pourrait provoquer, se hâte vers les toilettes de l’établissement. Avant d’arriver à l’entrée des dames, elle est happée par Edmond qui la propulse dans celle des hommes, la faisant entrer dans la cabine spéciale pour handicapés.
Elle n’a pas le temps de protester devant le chantage odieux auquel il se livre, qu’Edmond, la prenant dans ses bras, l’embrasse sur les lèvres, ne lui laissant aucune possibilité de vouloir lui échapper. Puis, la retournant, il lui fait prendre appui de ses mains posées sur le siège haut des toilettes. Enfin, retroussant la jupe étroite, il fait glisser la culotte jusqu’aux chevilles, et ouvrant sa braguette, sortant sa verge en un tour de main, il enfile prestement Odile qui n’a pas eu le temps de réagir, mais en a-t-elle eu seulement envie ? Il et elle, savent qu’ils ont très peu de temps pour mener leur coït à bien. Aussi, c’est décuplé par l’urgence du moment et le danger de ces instants volés, qu’Edmond fourre le con de sa proie avec une brutalité bestiale. Odile ne peut s’empêcher de gémir de plus en plus fort à la bite qui la perfore jusqu’au col utérin. Malgré cette situation incongrue, même d’une vulgarité certaine, dans ce lieu malsain et malodorant, elle ne peut empêcher la jouissance de la gagner, sa mouille inondant ses cuisses, alors qu’un orgasme inouï la saisit avec une intensité encore inconnue.
Elle met quelques minutes à reprendre son souffle, réfléchissant que son mari et sa fille vont s’inquiéter de son absence prolongée. Vite, elle se rajuste maladroitement, et, pendant qu’Edmond fait le guet, elle sort de la cabine des handicapés hommes, et rejoint les toilettes féminines. Elle se voit complètement défaite dans le miroir, les yeux hagards, son chemisier à moitié ouvert et sa veste de tailleur de travers. Elle se refait rapidement un maquillage convenable, se rajuste, se recoiffe légèrement, et remonte vers le restaurant. Edmond, avant de s’éclipser, lui remet une enveloppe qu’elle glisse dans son sac.
Michel et Muriel se sont à peine aperçus de son absence, tout à leur conversation. Odile a un voile devant ses yeux. Se pourrait-il, qu’elle se complaise dans ces rapports de domination de la part d’Edmond, alors, que pour elle, elle réalise qu’il s’agit désormais d’une soumission consentie. Elle, la femme qui assume un poste de haute responsabilité, qui a une haute valeur morale de la famille et des convenances envers la société ? Elle s’affole de ce qu’elle est train de devenir, surtout qu’elle ne peut nier, malgré son humiliation et ses remords, qu’elle est pleinement consciente du plaisir intense qu’elle en retire…
À suivre…
Lors d’un récent déplacement, un Français nommé Michel B., est venu en voyage d’affaires dans le pays où je réside. Demeurant dans la région bordelaise, il m’a confié les fantasmes qu’il a de voir Odile, son épouse depuis plus de vingt ans, se dévergonder et accepter le libertinage, comme il l’a connu avec une maîtresse durant une dizaine d’années. Pour cela, il m’a demandé d’imaginer des récits pouvant l’amener à se pervertir.
« Les femmes préfèrent les hommes qui les prennent sans les comprendre, aux hommes qui les comprennent sans les prendre. Marcel Prevost »
Odile, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines d’une société bordelaise. Depuis six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Ils déjeunent presque tous les midis dans le même restaurant. Après avoir accepté une invitation à déjeuner en tête à tête chez Edmond, Odile s’est laissée quelque peu aller en acceptant les baisers de son hôte. Une douzaine de jours après, victime d’un chantage, elle accepte un rendez-vous avec Edmond pour éviter le déshonneur. Malgré elle, le plaisir que lui procure le sexagénaire attise ses sens exacerbés, se rendant à lui sans aucune retenue durant une soirée et une nuit extatiques.
Edmond, vers six heures trente du matin s’éveille, son corps emboîté dans celui d’Odile, allongée en chien de fusil. Son sexe, enchâssé entre les fesses de la belle endormie, se réveille lui aussi, dans une bandaison matinale qui devient vite insupportable à son propriétaire. Aussi, tout en relevant la cuisse supérieure de sa compagne, il cherche de son autre main qui tient sa verge devenue très raide, à atteindre le vagin dans lequel il compte s’enfoncer au plus tôt. Lorsque son gland s’engage dans le pertuis, Odile a un tressaillement et reprend ses esprits, sans prendre conscience de l’endroit où elle se trouve.
Michel, tu exagères… Tu sais que je n’aime pas le matin…
Eh ! Bien ma chère, tout cela va devoir changer, j’ai autant envie de vous le matin que le soir, et même…, à n’importe quel moment de la journée.
En entendant cette voix, Odile se rend compte instantanément, que ce n’est pas son mari qui lui fait l’amour. Elle réalise que celui qui est en elle et qui la pilonne sans relâche, est sans aucun doute : son vieil ami ?, son amant ?, son suborneur ?, l’incitateur à sa débauche ? Tout cela à la fois probablement. Elle sent la verge qui coulisse comme dans du beurre dans sa matrice, pourtant si sollicitée la veille. Ses sens sont entièrement acquis à cette pénétration matinale qu’elle déteste habituellement, ainsi que cette position, où elle est prise en levrette et qu’elle refuse à son mari. Pourtant, elle se délecte cette fois de la domination de l’homme qui la soumet à son bon plaisir, jouissant de son entière capitulation. Lorsqu’Edmond, envahit le conduit vaginal avec son sperme, elle se surprend à resserrer les cuisses et les muscles des parois de son vagin, afin de garder le membre au plus profond d’elle-même, suppliant même son compagnon.
Restez en moi Edmond, je n’ai pas encore joui, j’ai…, j’ai…, besoin de vous sentir… Oh ! Comme j’ai honte.
Edmond l’enlace et embrasse ses épaules, son cou, ses oreilles, il triture les pointes de ses mamelons, affolant la pauvre femme qui pousse de petits gémissements, et qui laisse la jouissance l’envahir une fois de plus.
L’heure avançant, Edmond prend une douche rapide et laisse sa place à Odile. Celle-ci se prépare également en peu de temps, revêtant le tailleur qu’Edmond lui a acheté, car elle n’aura pas le temps de passer chez elle pour se changer. Elle pense qu’une fois de plus, Edmond a déchargé son sperme au fond de son vagin. Elle porte heureusement un stérilet et n’a aucun risque de procréer. Pour les rapports non protégés, elle se sent tranquille, étant donneuse de sang comme Edmond ; ils ont été volontaires, plusieurs fois ensembles, lors des collectes régulières de la Croix-Rouge qui ont lieu cours Victor Hugo.
Pendant ce temps, Edmond, après avoir refermé la porte de la salle de bains, démonte prestement le matériel vidéo qu’il avait mis en place, puis, il téléphone depuis l’angle de la pièce le plus éloigné de la salle d’eau, au mystérieux correspondant qu’il a déjà appelé. Une fois tous les deux prêts, ils quittent l’hôtel, et Edmond rejoint rapidement l’aire des Landes où la Twingo d’Odile est garée depuis la veille. Celle-ci quitte Edmond sur un rapide baiser, promettant de se libérer le lundi après-midi suivant.
Durant le parcours qui mène Odile vers le lieu de son travail, ses réflexions la ramènent à ce qu'elle vient de vivre ces derniers jours. Sa conscience ne peut concevoir les égarements inconcevables auxquels elle s’est prêtée, dans sa propre conception des choses, aussi lointaine qu’elle puisse l'être. Jamais au grand jamais, ces circonstances de luxure n’ont traversé son esprit. La fragilité de l'instant vient de mettre sa vie en péril, après que vingt-cinq années de mariage soient confondues en un clin d'œil.
Pourtant, elle ne peut se méprendre sur la séduisante, voir attrayante rencontre avec cet homme d'un âge certain. L’agrément du restaurant quotidien partagé avec ses collègues, puis la rencontre gentillette d'Edmond, ainsi que ces longs bavardages avec ce gentilhomme, éduqué, cultivé et aisé, ne manquant pas d'humour de surcroît, l’ont complètement conquis dans le morne quotidien de sa vie professionnelle et familiale. Ces longues semaines de séduction discrète, puis, le piège… Alors, tout bascule et elle se retrouve à céder à l'homme qui se révèle d'une moralité qui est loin d’être conventionnelle, tout à l'opposé de son éducation judéo-chrétienne.
Elle ne peut oublier, que contrainte et forcée par le chantage d'un tiers, et la généreuse proposition d'Edmond pour payer la somme énorme demandée, elle se soit offerte à celui qui la courtisait et la convoitait depuis longtemps. Elle a une bouffée de chaleur en se remémorant la jouissance ressentie à tous les agissements auxquels elle s'est prêtées, même à sa soumission inavouable, lorsqu'Edmond l'a troussé et fait jouir sur la place du village et lorsqu'il, l'a obligé à se masturber devant le serveur et deux clients du restaurant. Elle sent son shorty s'humidifier à ces pensées malsaines et veut les chasser de sa mémoire trop sélective.
Son état psychologique est embrouillé. Perdue dans ses réflexions, ses sentiments se dirigent à présent vers sa fille Muriel, et son mari Michel, qui ne comprendraient pas ce qu'elle est en train de vivre. Puis elle pense aussi à ses collègues de travail, qui, tous les jours déjeunent avec elle et souvent avec Edmond. Celui-ci, se retrouvant régulièrement à leur table. Comment va-t-elle pouvoir vivre le quotidien avec toutes ces personnes à présent ?
Lorsqu’elle arrive à la société où elle travaille, (Odile est responsable DRH, d'une compagnie de service et d'ingénierie informatiques, ses collègues paraissent très étonnés de la voir, exceptionnellement habillée d’un tailleur avec une jupe, elle qui ne porte habituellement que des pantalons. Elle rougit aux propos quelque peu narquois en avançant des explications embarrassées, notamment aux hommes qui regrettent de ne pas voir plus souvent ses jolies jambes. Elle téléphone à son salon de coiffure habituel qui se trouve à deux immeubles de sa société pour prendre un rendez-vous. Une cliente s’étant décommandée pour la fin de l’après-midi, elle va donc se faire coiffer suivant les désirs d’Edmond. En effet, celui-ci lui a demandé de se faire couper les cheveux d’une façon plus moderne. Odile, demande à Josette, la coiffeuse qui lui est affectée fréquemment, de lui faire une coupe assez courte, avec une frange sur le front. Elle n’en revient toujours pas de se soumettre sans protester aux exigences de celui qui l’a entrainé, malgré ses principes, dans l’acte adultérin.
En rentrant chez elle le soir, elle se demande comment elle va se comporter avec son mari. Elle songe qu’elle avait vingt-trois ans lorsqu’elle l’a épousé alors que lui-même, un grand gaillard sportif d’un mètre soixante-quinze, avait cinq ans de plus qu’elle. À présent, à cinquante-trois ans, c’est un compagnon qui est très près de sa famille et très sérieux dans son travail. Bien sûr, ses cheveux bruns deviennent gris, mais son visage carré et avenant, respire la sérénité. Elle se sent heureuse avec lui. Ce soir justement, alors qu’il est rentré de Hollande dans l’après-midi, ils doivent aller chercher Muriel à l’aéroport de Bordeaux Mérignac, à quatorze kilomètres de leur domicile, car leur fille vient de terminer un stage de natation à Londres. Elle vient d’avoir vingt-deux ans, étudiante à l’université de Bordeaux Montaigne, elle se prépare à devenir avocate spécialisée en droit international humanitaire. Odile sait que sa fille a un petit ami, Gérard, mais elle ne peut envisager qu’ils aient des rapports intimes ; d’ailleurs, trop prude et même introvertie, jamais, elle n’aura le courage d’avoir une conversation avec elle sur ce sujet.
Elle retrouve son mari sans en être embarrassée comme elle le craignait, l’entretenant des petits soucis quotidiens, sans qu’une seule fois sa culpabilité ne refasse surface. Son mari ne s’est même pas aperçut qu’elle porte une jupe, au contraire de ses habitudes ; tout juste lui fait-il des compliments sur sa coiffure qu’il trouve à son goût. Pourquoi ne lui a-t-il pas proposé, il a fallut que ce soit celui qui est en train de devenir son amant qui le lui suggère. Elle panique une nouvelle fois, car toutes ses pensées la ramènent à Edmond, alors qu’elle est bien consciente qu’elle n’en est pas amoureuse. Seule la jouissance étonnante qu’elle découvre avec lui, la rattache à cet homme.
Vers vingt-deux heures trente, ils partent tous les deux pour l’aéroport. L’avion est heureusement à l’heure, et lorsque Muriel se présente à la sortie des bagages, elle embrasse ses parents, heureuse de les retrouver. Il est décidé qu’ils prendront leur repas au plus près, l’heure tardive rendant un dîner dans un restaurant de Bordeaux problématique. Il y a heureusement un établissement gastronomique à deux pas de l’aéroport, « l’Iguane », trois fourchettes au Michelin et deux toques au Gault et Millau. Ils s’y rendent donc et s’attablent immédiatement. La commande passée au maître d’hôtel, ils devisent gentiment, commentant le séjour sportif de Muriel. Odile, intéressée moyennement par les propos, regarde autour d’elle. Soudain, son regard se fixe, et son visage devient d’une pâleur inquiétante. Elle vient d’apercevoir, derrière son mari qui lui tourne le dos, Edmond, installé à la table voisine. Il est seul et il la regarde d’un air goguenard.
Durant tout le repas, auquel Odile ne fait pas vraiment honneur, elle contemple furtivement ce voisin décidément importun en présence de sa famille. Elle n’a qu’une peur, c’est qu’il vienne faire un scandale en lui parlant ou en apostrophant son mari. Heureusement, celui-ci, en grande conversation avec Muriel qui se trouve à côté de sa mère, ne remarque pas les nombreux coups d’œil de son épouse. À la fin du repas, Edmond pianote sur son portable. Puis, il se lève et quitte sa table.
Odile, vient de percevoir que son téléphone vibre dans son sac. Elle regarde discrètement le message qui s’affiche : « Ma chère, je vous attends dans les toilettes du restaurant. J’espère que vous ne vous défilerez pas, votre mari et votre fille n’ont pas besoin de savoir les débordements auxquels vous vous livrez ».
Odile est atterrée. Que va-t-elle faire ? Elle se décide soudain et glisse à Michel qu’elle doit aller aux toilettes. Celui-ci, passionné par les explications de sa fille, ne prête aucune attention à l’absence de sa femme. Odile, tremblante des conséquences que cette rencontre pourrait provoquer, se hâte vers les toilettes de l’établissement. Avant d’arriver à l’entrée des dames, elle est happée par Edmond qui la propulse dans celle des hommes, la faisant entrer dans la cabine spéciale pour handicapés.
Elle n’a pas le temps de protester devant le chantage odieux auquel il se livre, qu’Edmond, la prenant dans ses bras, l’embrasse sur les lèvres, ne lui laissant aucune possibilité de vouloir lui échapper. Puis, la retournant, il lui fait prendre appui de ses mains posées sur le siège haut des toilettes. Enfin, retroussant la jupe étroite, il fait glisser la culotte jusqu’aux chevilles, et ouvrant sa braguette, sortant sa verge en un tour de main, il enfile prestement Odile qui n’a pas eu le temps de réagir, mais en a-t-elle eu seulement envie ? Il et elle, savent qu’ils ont très peu de temps pour mener leur coït à bien. Aussi, c’est décuplé par l’urgence du moment et le danger de ces instants volés, qu’Edmond fourre le con de sa proie avec une brutalité bestiale. Odile ne peut s’empêcher de gémir de plus en plus fort à la bite qui la perfore jusqu’au col utérin. Malgré cette situation incongrue, même d’une vulgarité certaine, dans ce lieu malsain et malodorant, elle ne peut empêcher la jouissance de la gagner, sa mouille inondant ses cuisses, alors qu’un orgasme inouï la saisit avec une intensité encore inconnue.
Elle met quelques minutes à reprendre son souffle, réfléchissant que son mari et sa fille vont s’inquiéter de son absence prolongée. Vite, elle se rajuste maladroitement, et, pendant qu’Edmond fait le guet, elle sort de la cabine des handicapés hommes, et rejoint les toilettes féminines. Elle se voit complètement défaite dans le miroir, les yeux hagards, son chemisier à moitié ouvert et sa veste de tailleur de travers. Elle se refait rapidement un maquillage convenable, se rajuste, se recoiffe légèrement, et remonte vers le restaurant. Edmond, avant de s’éclipser, lui remet une enveloppe qu’elle glisse dans son sac.
Michel et Muriel se sont à peine aperçus de son absence, tout à leur conversation. Odile a un voile devant ses yeux. Se pourrait-il, qu’elle se complaise dans ces rapports de domination de la part d’Edmond, alors, que pour elle, elle réalise qu’il s’agit désormais d’une soumission consentie. Elle, la femme qui assume un poste de haute responsabilité, qui a une haute valeur morale de la famille et des convenances envers la société ? Elle s’affole de ce qu’elle est train de devenir, surtout qu’elle ne peut nier, malgré son humiliation et ses remords, qu’elle est pleinement consciente du plaisir intense qu’elle en retire…
À suivre…
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