Baby sitter bénévole - histoire érotique

J’aurais dix huit ans dans un mois, ce soir je suis invitée chez des copains a mes parents qui ont conviés quelques amis à diner, mes parents ne sont pas présent car une obligation familiale les retient ailleurs, c’est du moins la version officielle
La maitresse de maison m’a dit :
- Adeline, si cela ne t’ennuis pas j’aimerais que tu surveille les enfants, car avec mes invités je serais trop prise pour avoir l’œil sur eux
- Cela ne m’ennuis pas bien au contraire !cela me distrairas pendant que les adultes parlerons ensembles
Le grand a quatre ans et le dernier huit mois, une fois les enfants couchés je n’ai plus qu’à surveiller l’interphone du bébé
- Dis moi Adeline ça t’amuserait que je t’habille en femme ce soir ?profite en tes parents ne sont pas là et nous sommes entre gens bien !
- En femme ?
- Oui ! Viens avec moi dans ma chambre, ôte moi ce jeans et ce débardeur, essaie ça ….
Elle me tend une robe fourreau très courte, très moulante, sans brettelles qui finit en bustier,
- Je …. Je ne peu pas garder mon soutient gorge avec ça ….
- Ah non ! Mais les bonnets incorporés soutiennent tes seins qui de toute façon n’on pas besoin d’êtres soutenus !... hummmm elle me rappelle ma jeunesse ta magnifique poitrine …hé bien tu vois elle te va mieux qu’a moi ! Ha … par contre ont voit trop les coutures de ton slip … c’n’est pas un mini apparemment !!C’est affreux !....ôte le, tu ne sort pas de la maison, tu n’auras pas froid !comment te sens tu là dedans ?
- Bien ! Très bien ça fait drôle …..Je me sens nue ….
- Il n’ya que toi et moi qui sachons ! Détend toi, si tu savais les souvenirs que j’ai quand je vois cette robe... mais tu es trop jeune pour comprendre …. Aller on descend les invités vont arriver
Je suis fière, je me sens femme dans ce fourreau, de me savoir nue en dessous j’en mouillerais sans me toucher !
Quelle surprise quand je vois arriver mon ancien prof de gym du lycée, un homme que je kifais, beau comme un dieu, toutes les copines étaient folles de lui, si il avait voulus il se les serait tapées toutes, en commençant par moi !
Par contre sa femme parait insignifiante ! Ils sont mal assortis ! Les derniers invités les suivent de peu, banals eux aussi !
Pendant l’apéro le prof vient parler avec moi
- Si je m’attendais à trouver la petite Adeline ici ce soir !mais quelle transformation, tu es devenue une vraie femme, cette robe te va a ravir, je crois bien la reconnaitre …quels doux souvenirs.
Il parle, il parle, mais ses yeux sont rivés dans mon décolleté profond, mais, au fait ! Quels souvenirs ont-ils entre eux ? ...... auraient-ils une liaison ensembles ? Tous ensembles avec les autres invités ??
J’en deviens de plus en plus convaincue quand je vois certains gestes, certaines ‘messes basses’ tel que :
- Elle participe la petite ?
- T’es fou elle n’a pas encore dix huit ans, je ne veux pas d’embrouilles avec ses parents
- Dommage …
Au repas je suis placée en bout de table a coté du prof, en face l’autre copain de la famille, c’est auquel me draguera le plus ; a voir leurs têtes les nanas sont jalouses de moi, je m’en fous, ce soir je me sens femme jusqu’au bout du clitoris !
Mon voisin se sens obligé d’arranger a chaque instants sa serviette sur ses genoux, il en profite pour caresser généreusement ma cuisse du dos de sa main tandis que le pied du mec d’en face flirte avec le mien
Soudain j’entends le bébé pleurer à l’interphone, je quitte la table pour monter à l’étage, la chambre est légèrement éclairée par une lampe pour enfant, je redonne la ‘tutute’ au bambin il me sourit puis se tourne sur le coté je vais faire demi-tour quand je sens une présence dans mon dos, une main chaude se pose sur mon épaule, une voix chuchote
- Chuuuuutt … ne dit rien on pourrait nous entendre
J’ai reconnue la voix du prof, je suis en appuis sur les mains, penchée sur le lit, la main glisse vers ma poitrine elle se faufile entre le tissu pour saisir un sein, ma respiration s’accélère, une autre main n’a pas beaucoup d’efforts à faire pour passer sous ma robe et venir directement sur ma vulve
- Je savais que tu n’avais rien dessous, comme elle …elle est brulante ta chatte, hummmmmmmm
Mes jambes s’ouvrent, je me penche davantage pour laisser les doigts me pénétrer, je me liquéfie …..Soudains des pas dans l’escalier viennent rompre le charme magique
- Ne ferme pas ta chambre à clé ce soir
Je me retourne, il a disparut, la maitresse de maison entre a son tour
- Tout va bien Adeline ?
- Oui ça va j’attendais qu’il se rendorme, je redescends
Mes jambes en tremblent encore !je retrouve mon voisin de table qui fait l’indifférent a mon arrivée, tout le monde semblent impatients d’aller finir la soirée dans la ‘salle de billard’, une pièce aménagée a coté du garage, un billard américain, deux canapés convertibles et un bar … que peut il bien se passer dans cette pièce loin des chambres ? des regards complices s’échangent, subitement je me sens de trop …
- Vous m’excuserez mais je monte a ma chambre, je vais bien veiller sur les enfants soyez rassurée madame D, bonne soirée messieurs dames !!
- Je te fais confiance ma chérie ! Merci a demain
Encore toute excitée par les caresses furtives, je m’allonge nue sur le drap, je ne peux empêcher ma main d’aller titiller longuement mon clitoris … après ma jouissance, vaincue par le sommeil je m’endors dans la même position …je rêve qu’une main se pose sur mon mollet, elle est douce, elle m’écarte les jambes …..Un souffle chaud sur mes poils c’est merveilleux, une langue se faufile entre mes lèvres, des doigts me pénètrent ….ma chatte coule, dans mon sommeil ma main descend vers l’endroit qui me donne du plaisir …je ne rêve plus, je touche des cheveux…. Une paire d’oreilles ? Quelqu’un me mange réellement l’abricot, instinctivement mes genoux se relèvent, je m’offre entièrement a ce baiser sexuel
J’ai reconnus mon prof qui m’avait demandé de ne pas fermer ma porte, je serre les cuisses sur sa tête, il fouille mon conduit vaginal avec toute l’expérience du mâle de quarante ans, ses lèvres aspirent mon clito encore sensible de ma masturbation récente, il me fait un bien extraordinaire, je fais un effort surhumain pour ne pas hurler de bonheur, je tends une main vers son bas ventre, je tombe directement sur une paire de couilles velues posées par-dessus l’élastique du slip
Juste au dessus la queue bandée plaquée sur le ventre, il ne peut retenir un soupir quand je l’entoure de ma main
- Oui petite, branle moi Muuuuuummmmm ….ta chatte est merveilleusement bonne muuuuuummmmm !
- Baisez moi s’il vous plait, mettez moi votre grosse queue au fond du vagin
- T’à raison je n’ai pas beaucoup de temps …j’ai réussi à me libérer juste pour un moment
Accroupit entre mes cuisses, il me relève les jambes en passant ses mains sous mes genoux pour me les maintenir bien hauts, écartelée au possible
- Guide-moi …
Je saisie sa bitte raide et brulante, le gland suinte de désir, je la pointe vers ma faille détrempée, lentement il avance son chibre, mes chairs laissent le passage a ce pieu, mon ventre gonfle a n’en plus finir
- HAAA, petite vicieuse combien de fois m’a tu fais voir ton fond de culotte au lycée, j’avais très envie de vous baisez, toi et tes copines, j’étais obligé de me branler après les cours, je me rattrape ce soir ! Prend ça salope !!
Il se déchaine en me donnant de puissants coups de reins, ma gaine vaginale est fortement étirée, mon utérus bousculé, je caresse mon clitoris pour jouir avant qu’il ne décharge, l’onde de plaisir monte, une déferlante m’anéantie, des giclées incontrôlables fuient de mon vagin écartelé, je mords le drap dans un miaulement de chatte en chaleur
- Je viens petite ! Je viens dans ton con, HAAAAAAAA !!!!!!!Tu es bonne … HOOOOOOOOOOOO ! Tu me vide les burnes !!!!!
Un torrent de lave brulante gonfle ma matrice, il ne bouge plus attendant que la dernière goutte se vide au fond de moi
- Refermes tes lèvres avec tes doigts quand je vais me retirer, sinon tu va tacher les draps, je me sauve, j’essaierais de revenir ….
Je reviens doucement à la réalité, j’ai du sperme plein les doigts, il a disparut comme il est venu, j’ai encore envie de baiser, je glisse un oreiller entre mes jambes, les doigts plantés dans ma motte comme une bitte, je mime les mouvements du coït, la semence de l’homme coule lentement hors de ma moule tant pis pour l’oreiller, apaisée a demi, je suis gagnée par Morphée, restant le cul en l’air, les doigts dans le vagin

Combien de temps ai-je dormi ? Le matelas du lit s’affaisse, quelqu’un vient de s’assoir a mes cotés …. Il est revenu ? Je suis toujours dans la position ou je me suis endormie, le cul en l’air, des doigts impatients n’ont aucun efforts à trouver le chemin de ma vulve tapissée de foutre séché, un souffle cout et bruyant accompagne la masturbation, deux doigts fouillent mon vagin gluant tandis qu’un pouce appuis sur mon œillet qui cède, les doigts formant une pince se rejoignent a travers la mince paroi, fouillée par l’anus et la chatte mon plaisir revient vite, on ne m’a encore jamais caressée de cette façon …..
- Qu’est ce qu’il lui a mis le salaud …..Elle est encore trempée ! Je vais lui fourrer dans le cul, c’est plus serré…
…….. Merde ! Ce n’est pas le prof qui me touche le cul ????... alors c’est l’autre invité …….après tout une queue c’est une queue, je laisse faire pour la comparaison …..
- Il est désolé les femmes le retiennent en bas, il m’a envoyé a sa place, ça ne t’ennuie pas ?
- Non ! Allez-y ….
L’homme se positionne entre mes cuisses, se moquant de toute façon de mon avis il me tire par les hanches, je me retrouve en levrette, la joue sur le drap
Il frotte son mandrin sur toute la longueur de ma fente, d’un coup sec il envahit ma chatte, cette bitte est plus courte mais plus épaisse que celle du prof
- Haaa ! Voilà ma bitte est lubrifiée petite, maintenant je vais te la mettre au cul
Sitôt dit sitôt fait, la rondeur du gland pèse sur ma cible fripée qui se détend lentement… ça me brule ….je mord le drap, mon boyau gonfle, je suis bel et bien enculée ….
- Çà va petite ?
- Oui ça va, c’est gros mais ça va
- Bon, alors je vais te ramoner le fion, putain c’est serré ….je vais doucement pour commencer, ha t’es bonne tu sais ?les autres en bas elles se sont tellement faites ramoner que je ne sens plus les bords !pour avoir du plaisir ont est obligés de les prendre a deux, t’a déjà eue deux queues ?
- Fermez là un peu et défoncez-moi le cul plutôt que de jacasser
- Ok comme tu veux...
Le salaud me cramponne les hanches et me fourre à grands coups de bitte en marmonnant des paroles salaces
- Quelle petite pute cette gamine, on devrait la faire descendre a la salle de billard, pas besoins des autres bonnes femmes, elle peut prendre un régiment de queues… Han ! Han ! Han ! Han !!!!!! HAAAAAAAAA ? Quel con je me fais partir tout seul !!! Hoooooooooooo c’est boooooooooonnnnnn c’est boooooooooonnnnnn
Des jets brulants fouettent mon boyau enflammé, son manche devenu mou glisse hors de mon cul qui fait des bulles, il se relève, et quitte la chambre en catimini, je m’affale et me rendors enfin apaisée
La lumière du jour envahie la chambre lorsque la maitresse de maison frappe à ma porte
- Adeline ? Tu dors ?
- Non madame entrez
Je réalise trop tard que je suis nue sur le drap, l’oreiller souillé d’énormes taches douteuses a mes pieds, elle entre en robe de chambre, les yeux cernés ?visiblement pas encore passée sous la douche vu certaines traces sur son visage ….
- Bonjour ! Les enfants ont bien dormis ?
Ha c’est vrai je les avais oubliés ceux là !même s’ils s’étaient réveillés je n’aurais rien entendus !
- Ho oui ! Très bien je ne les aie pas entendus de la nuit ….
- Tant mieux ….. Mais dit moi …..C’est toi qui as taché ainsi l’oreiller ?
- Euuuuhhh … c'est-à-dire …..
- Je conçois que tu te sois caressée, mais a toi toute seule tu n’a pas pus faire tout ça ! Alors ?? Regarde un peu tes poils ! Ils ont disparus sous une couche de je ne sais quoi ….Haaaaa ! Je comprends ! ‘Ils’ sont venus te rendre visite n’est ce pas ? ne ment pas, ils se sont absentés tous les deux plus d’une demie heure ….
- Hé bien oui ……c’est vrai ils sont venus
- Ils ne t’ont pas forcée au moins ?
- Non, j’en avais trop envie
- A voir ton état ils sont dut se régaler….je ne t’en veux pas tu sais, j’espère surtout que tu sauras tenir ta langue sur ce qui c’est passé ici cette nuit
- Vous avez ma parole !
- Bien !... Dit- moi, tu va avoir dix huit ans bientôt non ?
- Dans exactement un mois
- Pour te prouver que je ne t’en veux pas je t’invite a notre prochaine soirée, nous fêterons ton anniversaire … mais, tu sais ce qui t’attend ?.....
- Je crois avoir compris …
- Tu va te faire prendre par tous les hommes qui étaient présents cette nuit y compris mon mari, voir même les femmes ….dont moi …..
- j’y suis prête …..
- Je peux venir prés de toi ma chérie ?tu va avoir un aperçu de ce qu’est l’amour entre femmes …………….