Bad Lisa Backlash II - histoire érotique

Les deux “amies” travaillent d’arrache pied pour trouver la solution de leur problème. Ce qui leur prend quelques heures. La partie “implantation” fut solutionnée par Iris la technicienne, solution élégante et indétectable, on le verra plus tard. La partie tactique incombait au Major, en tenant compte des renseignements qu’elles avaient accumulés sur leur cible, c’était une solution, osée, mais viable. En cas d'échec, la force brute serait mise en œuvre. Mais la première solution serait tellement plus élégante et amusante.

Iris n'était pas plus vêtue que quand sa supérieure était revenue dans l’appartement. Lisa avait abandonné ses Louboutins sur le sol du salon, la veste de son tailleur abandonnée accrochée de travers sur le dossier d’une chaise. Son chemisier de satin était plus ouvert, que de raison sur sa peau blanche, laissant deviner des seins aux aréoles roses. La jupe de son tailleur froissée et remontée comme une ceinture autour de sa taille. Les pieds sur la table, elle dévoilait le haut de ses bas et plus rien ne cachait, la fente rebondie de son sexe.

Tu sais que tu m'excites beaucoup Major? dit Iris en étendant ses jambes et ses brasAh? Comment est-ce possible? répliqua Lisa Je ne suis pas nue moi !!!

En étendant ses membres, Iris avait mis en valeur sa plastique, ses longs cheveux bruns aux reflets bleutés tombaient en cascade sur ses épaules, à la place de son habituel chignon. Dans cette position de détente, ses seins étaient pointés vers le ciel, ces jolis seins pointus ornés de tétons non moins coniques qui prolongeaient harmonieusement sa poitrine.
Son ventre plat, contracté par la position, ses cuisses musclées, assez écartées, enfn sufissament pour dévoiler la blessure rose de son sexe glabre.
Lisa s'était levée et faisait le tour de la chaise de son amie, un verre de vodka glaçons dans la main, elle se pencha sur l’épaule d’ Iris, inclina son verre et laissa couler une rasade de vodka glacée entre les deux seins d’Iris.

Ohh c’est froid dit la jolie brune.
Hmmm peut-être que ça va éteindre le feu que tu as au cul ma chérie?
Non sûrement pas mon ange, il n’y a que ta langue pour calmer l’incendie.
Le liquide transparent coulait entre les seins, fit un petit lac dans son nombril, qui débordait pour glisser sur sa motte et se perdre dans sa fente rosée.

Hihihi ça picotte!! dit-elle en tendant les bras vers Lisa qui lui fait un baiser à l’envers sur la bouche.

Prenant un glaçon entre le pouce et l’index, Lisa promena le cube de glace sur la peau d’Iris, chair de poule instantanée, puis elle fit se tendre les tétons en frottant les mamelons avec la glace. Iris émettait un feulement continu. Tendant le bras Lisa fini par glisser le cube de glace dans le sexe du Lieutenant.

Oh salope!! tu vas me le payer!!
S’ensuivit une cavalcade jusqu'à la chambre à coucher où elles se jetèrent sur le lit, dans un 69 homérique.


7h00 du matin, la douche coule depuis longtemps, la buée emplit la salle de bain. Les bruits d’eau et de clapot le dispute aux deux naïades qui se gamahuchent à tour de rôle dans une débauche de soupirs et de cris de plaisir. Ayant atteint leur compte d’orgasme pour ce début de matinée. Elles se sèchent, mutuellement, en se bécotant toutefois à tout propos.

Tu vois dit Iris, les missions extérieures, surtout à Paris, sont celles que je préfèrentHmmm quand tu es avec moi peut être. Igor Alexeïev beaucoup moins!! Il a quand même laissé un testicule dans la bagarre.
Mouaiss mais je lui avais dit de pas toucher !!! Dit Iris en riant.

Dans le dressing Lisa passa une combinaison de cuir souple, hyper moulante, elle la passa totalement nue d’ailleurs. La combinaison se fermant par un laçage du nombril à la poitrine. Lisa laissa largement ouverte la partie du décolleté, la combinaison remontait ses seins, faisant un décolleté pigeonnant à souhait. Le cuir était tellement souple et fin que ses mamelons marquaient leur empreinte, tout comme sa motte qui donnait l’impression d'être nue tant les formes en étaient discernables. Elle enfila de longues bottes blanches aux talons vertigineux, qui lui montaient jusqu'au genou. Lisa prit sur une étagère, deux dagues monoblocs en acier qu’elle glissa dans les poches prévues dans la tige des ses bottes. Un long manteau de daim blanc et un élégant chapeau à large bord complétait la tenue. Une rose rouge au revers finissait le look ravageur du Major.
Ouvrant le coffre fort du dressing, Lisa retira un assez volumineux étui en bois sombre, d’où dépassait la crosse en acier bronzé, garnie de plaquettes en bakélite couleur tuile.

NON !!! dit Iris, tu n'amènes pas le monstre !!! Mission discrète.. c’est pas une 3eme Guerre !!!
Lieutenant l’APS Stechkin est le meilleur de sa catégorie!! Un peu encombrant mais il a fait ses preuves!! répliqua le MajorPendant la révolution sûrement !! Contre Denikine? ricanna Iris.

Lisa accrochait le volumineux étui à une lanière installée dans son manteau. Elle jeta un oeil à sa complice qui avait passé une combinaison d’un noir brillant, Tout aussi moulante. Des bottes lacées jusqu’au genoux. Elle plaça dans des poches prévues de chaque côté du vêtement, deux Glock 17 silencés et équipés de lasers.
Portant chacune une valise d’aluminium brossé, les deux filles descendent au garage. Quiconque les auraient croisés dans le parking aurait eu un choc, était-il dans le dernier film de Marc Dorcel ou le dernier James Bond. Un peu les deux sans doute.
Lieutenant, cette tenue… hmmm il faut arrêter de regarder MatrixHeuuuu j’y penserais Major dit Iris en prenant des poses de top modèle et en tournant sur elle même.
Bon !! Iris, tu prends le Hummer tu te mets en stand by au point bêta je te contacte si j’ai pu embarquer le paquet à l’heure H. Sinon tu me rejoins à Alpha et on le prend ensemble.
A vos ordres Major dit Iris La jeune femme grimpa dans l’enorme 4X4 aussi noir et luisant que sa combinaison. Le moteur Gronda, la porte du parking s’ouvrit et dans un nuage de fumée, les pneus hurlants sur le ciment du sol, le 4x4 fit un bond en avant. Lisa regarda les feux arrière disparaître dans la pente, poussa un soupir haussa les épaules. Le bip de l’Aston Martin résonna quand elle approcha sa main de la poignée de porte, les lumières d’ambiance s'allumèrent. Le siège recula pour la laisser s’installer et reprit sa position idéale programmée pour la conduite. Une pression sur start, réveillant les 640 chevaux de cette flèche argentée. Elle ajusta ses lunettes de soleil et en souplesse, laissa la porte du parking se refermer, empruntant le pente donnant sur la rue elle descendit jusqu'à l'avenue de Madrid, puis à gauche direction pont de Neuilly, rester à droite pour attraper la tour ENGIE et aussitôt à gauche pour le parking du CNIT ou notre homme à ses habitudes. Tous les jours il descend des bureaux, prend sa voiture pour rejoindre un petit restaurant Grill Dehliz avenue Leonard de Vinci à Courbevoie “Spécialités turques” le client n’est pas un palais à priori. Lisa gare l’Aston à deux pas de la Twingo de sa cible. Elle laisse là portière grande ouverte et moteur tournant.

Le timing est parfait, elle c’est à peine cachée dans un renfoncement entre les piliers, que des pas retentissent. Notre homme arrive, la bonne cinquantaine, grisonnant, costume trois pièce pas si mal coupé, cravate unie dans les tons. Il aperçoit la voiture qui tourne au ralenti. Elle fait si peu de bruit alors qu'il passe sa pochette d’une main à l’autre. Il se penche vers l’habitacle et regarde lentement le véhicule, pose une main sur le siège ,teste la douceur de l’assise. Il se redresse un grand coup d'œil circulaire autour de lui, se haussant sur la pointe des pieds pour éventuellement voir si une autre personne est dans le parking. Rien.. Il remet la tête dans l’habitacle, tâte le tableau de bord, le caresse plutôt. Il jette encore un coup d’oeil autour de lui et s’assied à la place du conducteur. Il pose les mains sur le volant, repose sa tête sur l’appui tête. Il a l’air d’apprécier le confort.
A cet instant Lisa sort de l’ombre, le Stechkin au poing, il n’a rien vu et regarde toujours la voiture comme s' il envisageait un achat. Une pression sur le transpondeur, bip et le moteur se coupe brusquement, au même instant l’acier froid du canon de son arme touche la nuque de l’homme.

Ne bouge pas !! connard!
Ha!! heu!! quoi!! glups!!
Il commence à tourner la tête. Elle appuie plus fort le canon.

Alors papy!! on essaye de piquer ma voiture?
Oh non non je regardais c’est tout!!
C’est çà une voiture moteur tournant tu t’installe pour regarder !! Bouge pas!!

Le type est paniqué en quelques secondes des gouttes de sueur grosse comme le pouce descendent sur son front. Il tremble. Il est face à une gravure de mode, BCBG, qui le traite de connard et le braque avec un gros flingue comme une mitraillette. Le juriste moyen n’est pas formé pour ces rencontres.

Sors de là descends de ma voiture !! Les mains sur la tête Ce que j’ai dans la main, dans mon pays se nomme APS Stechkin calibre 9x18 Makarov, chargeur de 20 coups et quand le sélecteur est dirigé vers l’arrière il tire en rafale à 500 cps/minute tu fais le calcul pour savoir en combien de temps je transforme ton crâne en pâté pour chien.
Je sors, je sors!! il pleure presque.

Sans se faire prier, il descend de la voiture les mains posées sur le crâne. Lisa à du mal à ne pas avoir au moins un sourire compte tenu qu’elle connaît la suite des opérations.

Tenu en joue, l’homme n’en mène pas large, il ne sais vraiment pas ce qu’il fait là et pourquoi une jolie jeune femme le menace.

Je vous assure, je suis membre d’un club d’amoureux de voitures anciennes, il fait mine de prendre son portefeuille dans sa poche. Votre voiture c’est une Aston Martin DB11 AMR 12 cyl en V 649 chevaux, le 100m en 3,7 seconde Oh Oh stop!!! tu fais quoi là? Tu te souviens de ça? “bang pâté pour chien” !! dit Lisa secouant son arme.
Je voulais sortir mon portefeuille, montrer ma carte..dit le brave homme en se courbant comme un serveur de resto chinois.
Bonne idée donne moi tes papiers..
Il tend le portefeuille, sa main tremble. Lisa lui arrache des mains et compulse rapidement les éléments.

Ah oui , tiens une carte de club “ Car Lover’s Paris “ même pas en français !! carte d'identité… permis ah tu sais conduire? C’est pratique non? C’est ton nom çà? Ah çà va pas , a partir de maintenant tu est “Monsieur Connard”Heuuu oui oui et vous? ose le typeMoi?? Tu m’appelle “Madame” Elle lui jette le portefeuille qu’il attrape au vol. En route mets toi au volant.
Lisa passe son arme dans la main gauche, et pose le canon sur l’entrejambe de “Monsieur Connard” appuie sur le petit bouton qui recule le siège. Ce qui lui permet de se glisser face à lui vers la place passager. Durant cette manœuvre, le type à le nez dans le décolleté de Lisa.
Un conseil “Mr Connard” ne va pas te mettre à bander, si le coup part.. la vasectomie ne sera pas très propre..
Lisa se laisse tomber sur le siège, son arme toujours appuyée sur la queue de l’homme.
Mr Connard, moteur et suis mes instructions sans délai et profite des 640 chevaux tu n'es pas près de t’en payer une comme çàOui madame dit l’homme timidement.
A droite, à la sortie du parking .
Au volant malgré sa frousse, il arrive à positiver la situation, se réjouissant de pouvoir conduire l’un des ses monstres sacrés. L’auto semble glisser dans le silence, le moteur ne s’impose pas, le confort est total, la sellerie est comme tout le reste haut de gamme. Le volant est doux, une texture presque sensuelle, un instant il pense qu’elle le rappelle à l’ordre en appuyant plus son arme, en fait il commence à bander c’est la conduite de la voiture ou la blonde qui provoquent cette érection. Un peu les deux sans doute.En tout ca c’est pas Geneviève et ses bigoudis qui lui donne la trique, il constate avec satisfaction que la mécanique est opérationnelle.

Ils sont sur une quatre-voies, la circulation est peu dense.
Accélère Monsieur Connard, la vitesse me fait mouiller lui dit la blonde en tapotant ses baloches avec le canon de son arme.
Dans sa tête il se demande bien qui est cette femme, pourquoi tout ce cirque, il ne comprend rien. La situation s’embrouille encore plus quand la blonde appelle avec son téléphone.

Chérie? Oui j’ai le paquet tu nous retrouve à l’hôtel, n’oublie pas le matériel et ta cravache surtout J’ai hâte de t’embrasser et oui “Monsieur Connard” çà c’était “Madame Chérie”
L'œil rivé sur la route, il essaye d’intégrer ces nouvelles informations. On ne l’a quand même pas enlevé pour le violer? Le monde est fou certes mais si des top-models enlèvent des quinqua pour des parties fines… DSK va passer pour un collégien!! Compte tenu de ce développement, est-il raisonnable de vouloir s’échapper.

On se dirige vers le Nord, dans le dédale d’autoroutes, de voies rapides du secteur. Il est vite hors de ses repères. Enfin ils arrivent sur le réseau secondaire, une route, puis deux. Il tourne sans chercher à comprendre, un portail barre la route. Une lumière orange clignote comme par magie le portail s'ouvre à deux battants. Une longue allée de cailloux blancs qui mène jusqu'à une grande bâtisse au style improbable, entre art nouveau et le plus pur rococo. En tout cas une bâtisse qui veut se faire remarquer et afficher son luxe. Lisa est sortie la première, elle expédie dans la main du voiturier le transpondeur de la voiture. Glisse au passage un joli billet dans la paume de l’homme qui ajuste sa casquette. La main droite sous son manteau, Lisa attrape le bras de la cible et se penche vers lui.
Tu ne dis rien, pas un mot, pas un mouvement sinon… "pâtée pour chien” ajoute t -elle en faisant tinter le métal de son arme.
Oui oui madameIls traversent le hall, bras dessus, bras dessous, une ascenseur est là, Lisa pousse l’homme dans la cabine, elle appuie sur le bouton menant au dernier étage. Ding.. ouverture des portes, une seule porte sur le palier. Elle sort la carte magnétique dans la serrure. Elle le pousse sans ménagement dans la suite, car c’est bien une suite ils sont à l'entrée du salon. La porte se referme, elle la verrouille. Sur la table, un seau à champagne, sa serviette et sa bouteille. Lisa tire le col de la bouteille…regarde la marque “Taittinger” avec une petite grimace elle laisse la bouteille s’endormir dans son lit de glace. Un plateau est présent couvert de canapés divers. L’homme regarde ça avec une pointe d’envie, normalement à cette heure il mange. Lisa pose son arme dans les reins du gars et le pousse vers la chambre.

Jolie chambre, grand lit. Lisa attrape une chaise et la pose au pied du lit.

Enlève tes vêtements et assieds toi là, ordonne la jolie blonde.

Au même instant bruit dans le salon, se penchant rapidement Lisa jette un coup d'œil. Au moment même où une voix enjouée annonce.

C’est moi !! J’arrive !!
Tu es presque en retard chérie dit Lisa.

Notre homme voit alors entrer une brune, en combinaison noire vinyle.. Lunettes noires et une paire de pistolets tout aussi noirs sanglés sur les cuisses. Elle porte deux valises en aluminium qu’elle dépose sur le lit. Elle revient lentement vers Lisa et sans crier gare l’enlace et l’embrasse comme une amante impatiente.

Hmmm ça me manquait..fit la brune.
Mr Connard je te présente Mme Chérie dit Lisa. Et tu es encore habillé, mon lapin!
Mais vous me voulez quoi à la fin?? dit l’homme avec un hoquet.
On se tait, on se calme, on obéit sinon.. commence LisaJe sais “Pâtée pour chien” dit l’homme en reniflant.
Oh mais le courant passe bien entre vous !! Super ! Pourquoi “Connard” moi je l’aurais appelé “Michalon”Vous n’allez pas me violer quand même? demande l’homme.

Les deux femmes se regardent un air surpris et choquées sur leur visage… qui se mue en deux sourires diaboliques et avec un choeur parfait lui répondent:
Mais non !! Pourquoi on ferait ça? Chérie, Monsieur Connard, essaie de me voler ma voiture et il espère qu’on est ici pour une partie de jambes en l’air !! Ah il doute de rien !! Les cons çà ose tout !! C’est à çà qu’on les reconnait . Alors à poil avant que je perde patience !!

Pas la peine d’énerver ces folles, il commence à se déshabiller, tandis que face à lui les deux femmes s’embrassent se frottant l’une à l’autre avec sensualité. Jamais il n'avait été aussi près de deux jeunes femmes sur le point de faire l’amour. Il sentait que la vision des deux filles se roulant des gamelles ne le laissait pas de marbre. Malgré la frousse et le stress, la réaction mécanique à l’excitation fonctionnait à merveille. Il prit alors conscience que les problémes qu’il connaissait avec sa femme venait surtout des bigoudis et des pantoufles lapin, plutot que de sa queue!.
Iris ouvrit les valises sur le lit, la première contenait des vêtements et des sous-vêtements a priori affriolants. La seconde un assortiment de sex toys, de martinets et de cravaches.. Il y avait bien une histoire de sexe, mais pourquoi lui? Pourquoi ces deux canons auraient-elles décidé de se taper un cinquantenaire sans fortune, sans histoire, sans pouvoir. Ou alors ce sont deux folles.. des tueuses psychopattes, des féministes militantes voulant marquer les esprits.

Il était nu et tenait devant son sexe son calecon roulé en boule.

Ah enfin… Tu est aussi long avec Mme Connard? tu dois pas lui dérider le cul bien souvent. Dit LisaOh c’est peut être elle qui lui trombone le fion dit Iris.
Ah oui peut être il attend que çà.. Lieutenant attache moi ce beau bébé sur la chaise.
Lieutenant ??? Mais vous êtes qui non de Dieu..
Bang une gifle monumentale lui fait balloter la tête. Lisa paraît menue, mais elle sait taper. Il est sonné. La brune approche lui passe un bracelet d’une menotte à droite. Elle est agenouillée devant lui le nez presque sur sa queue à demi bandée.
Assis ordonne telle. Comme il ne va pas assez vite, elle chope les couilles du mec et tire violemment pour l’asseoir.
Aieee!! çà va pas non? et bang la brune lui colle un direct dans les balloches.

Le type hurle à la mort, ces bijoux de famille était contre le rebord de la chaise et coincés par le poing d’Iris. Il essaye de reprendre sa respiration. Iris l’a menotté après la chaise. Elle est en train de lier ses jambes aux pieds des chaises. Pendant ce temps, Lisa a jeté son chapeau sur le lit, ôté ses lunettes fumées, elle délace sa combinaison de cuir blanc. Spectacle hypnotisant, pour l’homme qui voit le décolleté s’ouvrir largement, le nombril apparaît. Elle fait glisser la combinaison de ses épaules sur sa taille, ses seins sont nus, elle passe ses mains sous les globes, la chaleur de la combinaison a généré une petite sueur qui fait luire les jolis seins. Elle passe ses paumes sur ses mamelons avec un petit soupir de satisfaction.

Oh la Major!! Tout doux, regarde ce que j’ai sous le nez dit Iris
Lisa jette un œil au captif qu’elle saucissonne, la queue du mec est droite comme un piquet, le gland décalotté.

On dirait qu’il bande, le bougre !! Et il à une queue plutôt correcte non?
Mon ange tu sais que moi et les queues..
C’est vrai toi tu a préféré couper les couilles de Gregori dit LisaNon pas les !!! Une seule boule.. et petite encore et c’est accidentel !! réagit IrisBien sûr, bah voyons comme dirait Z.. Explique à notre invité que s' il te met la main au cul ses testicules vont tomber.. il sera prévenu.
Mais vous êtes qui !!! Je veux rentrer chez moi, dit le mec en pleurant presque.
Fais le taire dit Lisa en continuant à faire glisser la combinaison sur ses hanches.
Lisa se met debout face au mec, pose les mains sur les crosses des Glocks, dégaine d’un mouvement vif.. Le captif essaie de parler mais trop affolé par les canons pointés sur lui il n'émet qu’un gloussement et des yeux roulent comme des billes de loto. Lisa va jusqu'à la valise d’objets, pose ses deux pistolets, fafouille un instant dans la valise.. Elle sort un baillon boule lanniére de cuir noir, balle rouge vif. Elle revient vers lui..
Ouvre la bouche.. Il obéit, elle lui enfonce sans ménagement la boule entre les dents et serre la lanière à bloc. Voilà .. silence mon gros rat…
Lisa est nue, les mains sur les hanches et contemple notre homme, il à l’air pitoyable sur sa chaise. Iris à ce moment, fait comme son amie, elle s’extirpe de la combinaison noire. Elle n’est pas moins jolie que la blonde malgré l'étrangeté de la rencontre forcée, il contemple avec plaisir les deux superbes femmes qui sont nues devant lui, non seulement nues, mais avec des intentions qui semblent déplacées mais imprérieuses dans ce contexte dément.

Viens là chérie, dit lisa tendant la main à Iris en reculant et se laissant choir sur le litLa belle Iris se laisse aller en avant, tombant bouche à bouche avec la blonde Lisa qui lui a pris les fesses dans ses mains. De là où il est, les filles sont de 3⁄4 et il profite d’un point de vue imprenable. Quand Lisa écarte les fesses d'Iris, elle lui dévoile la petite pastille brune, et un petit bout du rose de la chatte de la fille. Il a beau être attaché, sa queue ne l’est pas et il bande de belle manière. Iris regarde par-dessus son épaule et Lisa relève la tête du lit, pour regarder leur captif…
Tu sais qu’il est en train de nous mater, il bande en plus. dit IrisOui et alors il n’ira rien raconter à personne non? réponds LisaHmm après le traitement il racontera rien c’est certain. Dit Iris en riant.
On va bien voir si il gicle sans les mains fit Lisa
Le pauvre était à 1m de ces deux nanas, nues imbriquées l’une dans l’autre. Comment un homme normalement constitué aurait pu ne pas avoir la trique qu’il avait actuellement. Jamais sa Geneviéve ne lui avait fait cet effet, pourtant il ne se plaignait pas d’elle, si ce n’est le mode plan-plan dans lequel elle se complait. Il essaya bien de penser à autre chose, de regarder ailleurs, mais quand tu entends les gémissements, les bruits humides de langues dans les chattes c’est dur.
Les ébats durent et la blonde venait de jouir, d’où il était il voyait clairement le sexe trempé de la fille. Celui de la brune était au premier plan, elle n’avait pas encore joui, car c’est elle qui léchait sa camarade. Pourtant la belle avait une chatte qui baillait largement et on voyait une liqueur épaisse et laiteuse couler de sa fente, formant une goutte qui tombait de temps en temps sur la couette. Au lieu d’échanger leur place, la blonde vint se mettre en 69 sous la brune, de cette façon son visage était sous la chatte humide, et elle était tout près de lui.

Ça va mon lapin, tu profites du spectacle on dirait.. regarde ça on dirait que sa queue fond comme une bougie, regarde toutes ses gouttes qui ruissellent le long !!! dit elle
Il ne dit rien, mais il savait bien que jamais il n’avait été dans cet état. Il était persuadé que si une mouche se posait sur son gland il allait la satelliser en éjaculant. Ses couilles gonflées lui faisaient un mal de chien, il avait un espoir c’est que regarder les deux filles allait le libérer. Il ne se posait même plus la question pourquoi il était là ou bien qui étaient les deux inconnues. Il ne voulait que jouir.. gicler.. se vider.. Mais la brune l’avait bien attaché, sûrement une adepte du sado maso. Là il arrête de gamberger.. et si elles ne sacrifient, me coupent les couilles et la queue.. peut être des dingues comme ça? Il se faisait peur, mais de son fort intérieur il n’arrivait pas à voir des tueuses dans ces deux bombes, une farce? Non il n’avait pas de copain ayant les moyens de payer deux filles de se calibre pour une farce.. dans ce cas il serait plutôt dans un sous sol de banlieue avec deux grosses putes. Pas dans une suite, avec deux top modèles roulant en Aston Martin.

Lisa écarte les lèvres de la chatte d’Iris, le con palpite et dégorge de liqueur, qui coule sur la langue de la blonde. Cette langue pénètre l’orifice, le pistonne, parcourt les lèvres, s’attarde sur le clitoris. La palpitation du vagin s'accélère et les gémissements d’Iris emplissent la pièce..

Oui chérie !! Oh Oui Major, encore encore lèche moi bien !! Oh ton doigt !!!

Il voit que la blonde a vrillé un doigt dans la rosette de sa compagne qui semble adorer la caresse. Le doigt tourne, entre et sors de la pastille brune, qui semble attendre le retour du doigt en restant largement ouverte.

Ah petite pute!! tu aimes te faire enculer hein?
Oh oui bourre mon petit cul j’aime ça..

Ce dialogue met le feu aux sens de notre pauvre captif. Des ondes puissantes montent dans son ventre, sa queue gonfle un peu plus et palpite. Il croit un instant qu’il va enfin se libérer. Mais non le long de son urètre il sent monter, monter un bon paquet de liqueur, qui s’écoule du méat, lui chatouilles la tige et ruisselle sur ses couilles.

Sous son nez, Iris le con ouvert par la langue de Lisa, le cul comblé est sur le point de jouir, ce qu’elle fait avec force cris et déhanchements, inondant au passage le visage le la blonde. qui lappe et bois tout ce liquide avec délectation.

Malgré deux grosses palpitations, le foutre du pauvre homme reste là où il est. Le calme et le silence reviennent, les filles s’étirent, se frottent l’une à l’autre. Une délicieuse odeur de stupre flotte dans l’air, de doux froissements et chuchotements se font entendre.
Iris s’étire et se lève. Se caresse le corps et minaude devant sa chérie qui l’admire c’est évident.

Bien.. dit-elle, c'est moi qui m’y colle alors..
Hé oui c’est à toi que reviens le gros lot.. dit Iris
Iris fouille dans la valise à jouets et en sort un superbe godemiché ceinture, qu’elle ajuste à sa taille. Curieusement fait l’engin dispose d’un second gode dirigé vers l'arrière, pas très long, fort courbé il s’adapte parfaitement à son anatomie, et elle l’enfile dans son sexe avec un petit soupir satisfait.

Iris, tu l'as modifié non?
Hmm un peu oui…Tu sais qu’on ne doit pas !! dit LisaOui oui je sais, mais déjà que c’est moi qui travailles, autant en profiter un peu!!

Lisa hausse les épaules, mais son sourire en dit long sur sa complicité avec Iris. Cette dernière est en train de terminer ses préparatifs. Referme l'extrémité du godemiché, avant de l'oindre d’un gel lubrifiant.

Chargé, Paré à Tirer Major.. dit elle dans une parodie de salut militaire.
Fais pas le clown .. viens m’aider.

Elles s’approchent du gars sur la chaise, sa queue est gonflée à souhait. Il est tellement endolori par les liens qu’il n’essaie même pas d’échapper. Et encore moins quand elle le guident sur le lit, l’installant sur le dos.


Allez lapin tu sera mieux là tu va être récompensé pour ta patience, on a adoré que tu nous regardeTotalement estomaqué le type sent les mains des filles le cajoler, elles effleure a peine son sexe. Elle caresse ses fesses. Lisa va même jusqu'à lui écarter les fesses et lêcher son anus. Dans sa tête il se dit.. ça va c’est deux dingues nymphos qui veulent s’amuser. Il décide alors de se laisser aller et même de coopérer. Il pose sa main sur le cul de Lisa, qui se laisse lutiner et plus, il glisse ses doigts dans la fente moite et offerte de la fille.

Il a les mains douces ma chérie. dit-elle.
C’est bien occupe le.. moi je bosse. dit Iris
Lisa passe un genoux de chaque côté de la tête de l’homme et le bâillonne avec sa chatte. Sans demander son reste, il se met à la lécher avec application, et elle en sent les effets.
Iris, de son côté, titille l’anus de l’homme. Il se dégage un instant de sous le sexe de Lisa pour dire
Heu je suis pas homo, occupez vous de ma queue plutôtLaisse moi faire mon lapin je vais t’envoyer en orbite promis!!dit IrisLisa lui remet sa chatte sur le nez.. Car elle a bien envie qu’il la fasse jouir.
Iris a bien préparé le terrain et elle approche la tête du gode de la pastille de leur captif. Il semble protester mais L’engin entre lentement dans le fondement de l’homme. Son sexe parait à la fête. Alors Iris commence un lent va et vient dont elle ressent elle aussi les effets car elle à dans son sexe le manche de l’engin.

Oh putain mais c’est bon ce que tu me fait !! dit l’hommeMais oui mon lapin, tu à l’air d'aimer, réplique Iris. On va te faire exploser mon chéri on va te vider tu vas voir !!
Vous me laisserez votre téléphone hein?
Ne sois pas trop gourmand non plus dit Lisa et Bouffe moi le clito Lapin!!

Nos deux comparses s’en donnent à coeur joie, en se roulant des pelles par-dessus notre homme qui est à la fête.. Geneviève va en prendre plein le cul quand il aura récupéré bien sûr. En relativement peu de temps le type éjacule si bien qu’il asperge nos deux héroïnes qui se retrouvent enfoutrées de la chatte aux oreilles. Foutre que les deux gourgandines lappent allégrement et mutuellements sur leurs jolis corps..
Iris pousse un cri et jouit alors à son tour..

Hé qu’est ce que je sens là !! crie l’homme…Mais mon lapin je suis en train d’éjaculer en toi… c’est bon..
Ah dis donc c’est bien fait .. on le sent bien..
Ça te plait?
Ah bah je suis pas homo mais bon sang c’est bon !! dit l’homme.

Nos deux amies se lèvent, après un dernier baiser entre elles, elles viennent doucement poser un baiser sur les lèvres de notre homme qui est fourbu. Puis elles s'éclipsent dans la salle de bain.. il est temps de se rafraîchir. Quand elles reviennent, il est toujours les bras en croix, la queue molle sur le lit.

Iris le secoue
Hé mon lapin.. Allez on se lève.. fatigué? attends.. dit IrisElle prend un perrier glacé dans le frigo, et glisse subrepticement une dose d’un mystérieux produit dedans.
Allez bois çà tu vas être en forme..


Il avale l’eau pétillante et aussitôt il se sent en pleine forme et tout joyeux. Les yeux brillants il regarde les filles et leur demande :
Vous faites ça souvent? On se revoit?
Oh oui assez c’est notre Job.. dit Iris… Allez vite on te ramène..

Des étoiles plein les yeux.. la tête dans les nuages.. Il monte dans l’Aston aux côtés de Lisa, Iris les suit dans le Hummer.
Lisa prend la direction de la défense, elle roule depuis 4 minutes à peine que le téléphone retenti. La voix d’Iris..
Il dort??Mon ange..
Oui il est out depuis 2 minutes. T'as fait quoi encore?
Mon job, c’est un composé génial, il te booste 5mn à fond et hop dodo pour 5 à 8h et il aura tout oublié depuis le milieu de la matiné.. on a jamais existé ou dans un rêve.
Bien on le ramène à sa voiture, on le dépose et nous on rentre. On fête ça entre nous ce soir.


Le brave gars s'est réveillé en toute fin d'après-midi, la tête lourde.. dans sa voiture.
Merde pensat-il Genevieve va m’engueuler si je suis trop en retard.. Bon sang la digestion devient difficile, faut que j’arrête le turque.Oh et flûte demain on part pour Davos, c’est chiant ce truc. Allez à la maison.
Il ne savait pourquoi il avait soudain l’envie de demander à Geneviève d’utiliser son sex toy pour l’enculer lui.. quelle idée !! mais elle lui plaisait.


Le lendemain, Iris et Lisa se prélassaient au bord de leur piscine, les infos tournaient en boucle annonçant toutes les catastrophes du jour et les mensonges des politiciens. Un flash spécial tomba. Images de catastrophes, flammes, ambulances, pompiers, Le journaliste annonça :Tout ce que le monde comptait comme grands argentiers, magnat de l’industrie et de la finance sont morts dans une gigantesque explosion au forum de Davos seuls les représentants Russes sont épargnés leur avions n’avait pas pu décoller à cause du brouillard.
On se pose encore la question de l' attentat ou accident. Plus dans notre prochaine édition.

Iris!!!! Tu as bricolé quoi?
Ah non !!! j’ai appliqué l’ordre correctif que j’ai reçu en direct!!! Je sais travailler moi!!!