BAIN DE MINUIT 1
Récit érotique écrit par Poesexe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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BAIN DE MINUIT 1
Bain de minuit 1.
Cet après-midi là, je parque ma voiture sur un emplacement et descends pour rejoindre la maison par l’allée piétonne. En face de moi, émergeant du coffre d’une voiture, un cul me fait face. Un cul de femme assurément. Deux petites fesses fermes tendent le tissu d’un pantalon qui descend le long de jambes longilignes. Les fesses s’agitent un peu. Pas le moindre dessous visible entre le fin tissu et la peau. Enfin le buste se relève, dévoilant une taille fine, et je découvre, les bras chargés de paquets, la propriétaire de ces rondeurs attirantes. Elle se tourne vers moi et m’envoie un sourire.
-pas le moment de faire tomber la bonbonne en verre, dit elleSous le carré de ses cheveux blonds, les yeux clairs sont rieurs.
-Bonjour !, un coup de main ?
-Merci ça va aller, dit elle en affermissant sa prise sur ses colis-Alors, bonne journée, lui dis-je en prenant l’allée sans cesser de la regarder.
Finalement elle me lache du regard et entre dans son jardin, disparaissant à mes yeux.
Nous sommes invités, ma femme et moi, par des cousins, dans cette résidence, haut de gamme bien trop chère pour nous, et nous y passons quelque temps, profitant du soleil du sud, et de la piscine commune, située, avec son pool house, dans un coin écarté des habitations. Les villas sont jolies et regroupées dans un espace fermé, gardé, comme on en fait aujourd’hui.
Je partage mon temps entre la piscine , le tennis , mes cousins et ma femme.
Le soir venu, comme chaque soir, la chaleur lourde de l’été n’aidant pas au sommeil, je me faufile par la porte fenêtre de notre chambre, et me dirige vers la piscine, officiellement fermée, mais dont la porte n’est jamais verrouillée. Une fois sur place, je manipule doucement les loquets pour ne pas faire de bruit, et vais poser ma serviette sur un transat.
La première fois, j’avais oublié mon maillot, et me suis baigné avec mon boxer. Les jours suivants, constatant que les lieux étaient déserts, j’ai pris l’habitude de me baigner nu.
Pas question de plonger. Le bruit se propage sur l’eau et résonne loin dans la nuit. Je descends doucement l’échelle pour me glisser dans l’eau fraiche. J’adore ces instants, où je sens la température de mon corps s’abaisser. Au bout de quelques longueurs, je suis suffisamment rafraichi pour retourner me coucher et m’endormir comme un bébé.
Je suis en train de barboter doucement quand, dans la lueur des réverbères, je vois une silhouette entrer dans le pool-house. A la faveur de l’éclairage public, je reconnais la voisine aperçue l’après-midi. Elle est vétue de son pantalon, et d’un tee-shirt. Elle s’approche du bassin, et regarde vers moi. Je rejoins le bord.
-Je me demandais si c’était vous qui vous baignez chaque nuit murmure t’elle.
La réponse est évidente puisque je suis devant elle.
-Elle est bonne ? demande t’elle à voix basse-idéale pour passer une bonne nuit ensuite. Réponds-je- je viendrais bien vous rejoindre, mais je n’ai pas de serviette.
-essayez, je vous prêterais la mienne.
Elle fait mine de réfléchir, et se relève pour s’éloigner vers les transats. Elle enlève son tee-shirt et me dévoile dans la lumière conjuguée de la lune et des réverbères, un poitrine menue, haut perchée. Puis elle dégraffe son pantalon qui tombe sur ses chevilles. Elle ne porte qu’un string noir, et je peux observer la rondeur de ses fesses, la cambrure de ses reins. Elle range ses effets et rejoint l’échelle. Elle descend doucement dans l’eau, avec de petits soupirs. Quand finalement elle prend pied sur le fond, elle se tourne vers moi et me dit : c’est froid. Constatation confirmée par ses tétons, qui pointent durement au dessus de la surface. Elle se lance enfin, et nous faisons quelques longueurs avant de nous arrêter du côté le moins profond. Avec l’ombre de rebords, nous ne voyons pas grand-chose, et nous nous rapprochons pour pouvoir parler.
-Vous avez raison, ça fait du bien. Glisse t’elle-Pas sur que je sois aussi détendu, réponds-je. La vision que vous m’avez offerte en vous dévétant aurait plutôt produit l’effet inverse.
-Avec la fraicheur de l’eau, ça va se calmer, murmure t’elle.
A ce moment, elle fait un mouvement et sent mon érection contre sa peau. Elle a un mouvement de surprise.
-Mais vous êtes à poil ! constate t’elle à voix basse-Désolé mais je suis généralement seulJe perçois son sourire dans la nuit.
- et minuit est largement passé. Complète t’elle. Allez, je vais aller me coucher, je sors.
- Attendez.
- ?
- Je ne peux pas sortir comme ça.
- Que voulez vous que j’y fasse ?
- C’est quand-même vous qui m’avez mis dans cet état.
- Nous sommes absolument seuls, et j’en ai vu d’autres…Elle me tourne le dos et monte l’échelle, ses fesses magnifiques tournées vers moi.
Je la rejoins un instant plus tard, alors qu’elle s’est déjà enroulée dans ma serviette.
_J’ai dit que je vous la prêterais. Mais là, je vais en avoir besoin.
Elle me tend la serviette, mais après quelques secondes :-j’ai froid.
J’ouvre la serviette, et elle vient se blottir contre moi, toute frissonnante. Ainsi serrés, elle ne peut ignorer mon érection, mais ne semble plus s’en offusquer. Elle se défait de son string trempé. J’en profite pour frotter vigoureusement ses fesses à travers le tissu. Elle se détend un peu, et une de ses mains vient saisir ma verge. Lentement elle commence à me masturber-vous avez raison, je ne peux pas vous laisser comme ça, dit elle en faisant coulisser sa main autour de mon gland.
Elle vient se coller contre moi et soulève une jambe, tantôt frottant son pubis sur mon sexe, tantôt le masturbant vigoureusement. D’une main, je maintiens la serviette autour de nous, et mon autre main s’aventure sur ses fesses. Mes doigts trouvent rapidement le chemin de son sexe, qui n’est pas mouillé que par l’eau de la piscine. J’investis tris doigts dans son antre et les agite furieusement, provoquant des soupirs d’aise.
Ses mains malaxent mes bourses et je sens que je ne vais pas tenir longtemps. Elle l’a senti et s’écarte de moi en accélérant la cadence jusqu’à ce que je jouisse arrosant le dallage de plusieurs giclées. Aussitôt elle se dégage, et enfile prestement pantalon et tee-shirt.
-Bonne nuit, voisin, me souffle t’elle en partant, son string humide à la main.
Cet après-midi là, je parque ma voiture sur un emplacement et descends pour rejoindre la maison par l’allée piétonne. En face de moi, émergeant du coffre d’une voiture, un cul me fait face. Un cul de femme assurément. Deux petites fesses fermes tendent le tissu d’un pantalon qui descend le long de jambes longilignes. Les fesses s’agitent un peu. Pas le moindre dessous visible entre le fin tissu et la peau. Enfin le buste se relève, dévoilant une taille fine, et je découvre, les bras chargés de paquets, la propriétaire de ces rondeurs attirantes. Elle se tourne vers moi et m’envoie un sourire.
-pas le moment de faire tomber la bonbonne en verre, dit elleSous le carré de ses cheveux blonds, les yeux clairs sont rieurs.
-Bonjour !, un coup de main ?
-Merci ça va aller, dit elle en affermissant sa prise sur ses colis-Alors, bonne journée, lui dis-je en prenant l’allée sans cesser de la regarder.
Finalement elle me lache du regard et entre dans son jardin, disparaissant à mes yeux.
Nous sommes invités, ma femme et moi, par des cousins, dans cette résidence, haut de gamme bien trop chère pour nous, et nous y passons quelque temps, profitant du soleil du sud, et de la piscine commune, située, avec son pool house, dans un coin écarté des habitations. Les villas sont jolies et regroupées dans un espace fermé, gardé, comme on en fait aujourd’hui.
Je partage mon temps entre la piscine , le tennis , mes cousins et ma femme.
Le soir venu, comme chaque soir, la chaleur lourde de l’été n’aidant pas au sommeil, je me faufile par la porte fenêtre de notre chambre, et me dirige vers la piscine, officiellement fermée, mais dont la porte n’est jamais verrouillée. Une fois sur place, je manipule doucement les loquets pour ne pas faire de bruit, et vais poser ma serviette sur un transat.
La première fois, j’avais oublié mon maillot, et me suis baigné avec mon boxer. Les jours suivants, constatant que les lieux étaient déserts, j’ai pris l’habitude de me baigner nu.
Pas question de plonger. Le bruit se propage sur l’eau et résonne loin dans la nuit. Je descends doucement l’échelle pour me glisser dans l’eau fraiche. J’adore ces instants, où je sens la température de mon corps s’abaisser. Au bout de quelques longueurs, je suis suffisamment rafraichi pour retourner me coucher et m’endormir comme un bébé.
Je suis en train de barboter doucement quand, dans la lueur des réverbères, je vois une silhouette entrer dans le pool-house. A la faveur de l’éclairage public, je reconnais la voisine aperçue l’après-midi. Elle est vétue de son pantalon, et d’un tee-shirt. Elle s’approche du bassin, et regarde vers moi. Je rejoins le bord.
-Je me demandais si c’était vous qui vous baignez chaque nuit murmure t’elle.
La réponse est évidente puisque je suis devant elle.
-Elle est bonne ? demande t’elle à voix basse-idéale pour passer une bonne nuit ensuite. Réponds-je- je viendrais bien vous rejoindre, mais je n’ai pas de serviette.
-essayez, je vous prêterais la mienne.
Elle fait mine de réfléchir, et se relève pour s’éloigner vers les transats. Elle enlève son tee-shirt et me dévoile dans la lumière conjuguée de la lune et des réverbères, un poitrine menue, haut perchée. Puis elle dégraffe son pantalon qui tombe sur ses chevilles. Elle ne porte qu’un string noir, et je peux observer la rondeur de ses fesses, la cambrure de ses reins. Elle range ses effets et rejoint l’échelle. Elle descend doucement dans l’eau, avec de petits soupirs. Quand finalement elle prend pied sur le fond, elle se tourne vers moi et me dit : c’est froid. Constatation confirmée par ses tétons, qui pointent durement au dessus de la surface. Elle se lance enfin, et nous faisons quelques longueurs avant de nous arrêter du côté le moins profond. Avec l’ombre de rebords, nous ne voyons pas grand-chose, et nous nous rapprochons pour pouvoir parler.
-Vous avez raison, ça fait du bien. Glisse t’elle-Pas sur que je sois aussi détendu, réponds-je. La vision que vous m’avez offerte en vous dévétant aurait plutôt produit l’effet inverse.
-Avec la fraicheur de l’eau, ça va se calmer, murmure t’elle.
A ce moment, elle fait un mouvement et sent mon érection contre sa peau. Elle a un mouvement de surprise.
-Mais vous êtes à poil ! constate t’elle à voix basse-Désolé mais je suis généralement seulJe perçois son sourire dans la nuit.
- et minuit est largement passé. Complète t’elle. Allez, je vais aller me coucher, je sors.
- Attendez.
- ?
- Je ne peux pas sortir comme ça.
- Que voulez vous que j’y fasse ?
- C’est quand-même vous qui m’avez mis dans cet état.
- Nous sommes absolument seuls, et j’en ai vu d’autres…Elle me tourne le dos et monte l’échelle, ses fesses magnifiques tournées vers moi.
Je la rejoins un instant plus tard, alors qu’elle s’est déjà enroulée dans ma serviette.
_J’ai dit que je vous la prêterais. Mais là, je vais en avoir besoin.
Elle me tend la serviette, mais après quelques secondes :-j’ai froid.
J’ouvre la serviette, et elle vient se blottir contre moi, toute frissonnante. Ainsi serrés, elle ne peut ignorer mon érection, mais ne semble plus s’en offusquer. Elle se défait de son string trempé. J’en profite pour frotter vigoureusement ses fesses à travers le tissu. Elle se détend un peu, et une de ses mains vient saisir ma verge. Lentement elle commence à me masturber-vous avez raison, je ne peux pas vous laisser comme ça, dit elle en faisant coulisser sa main autour de mon gland.
Elle vient se coller contre moi et soulève une jambe, tantôt frottant son pubis sur mon sexe, tantôt le masturbant vigoureusement. D’une main, je maintiens la serviette autour de nous, et mon autre main s’aventure sur ses fesses. Mes doigts trouvent rapidement le chemin de son sexe, qui n’est pas mouillé que par l’eau de la piscine. J’investis tris doigts dans son antre et les agite furieusement, provoquant des soupirs d’aise.
Ses mains malaxent mes bourses et je sens que je ne vais pas tenir longtemps. Elle l’a senti et s’écarte de moi en accélérant la cadence jusqu’à ce que je jouisse arrosant le dallage de plusieurs giclées. Aussitôt elle se dégage, et enfile prestement pantalon et tee-shirt.
-Bonne nuit, voisin, me souffle t’elle en partant, son string humide à la main.
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