Bain de minuit 3
Récit érotique écrit par Poesexe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Bain de minuit 3
Bain de minuit 3.
Depuis quelques jours, alors que je suis en vacances avec ma femme chez des cousins, je rencontre, le soir, une voisine qui m’a surpris alors que je prenais un bain de minuit ; et a fini par y prendre goût. Je ne sais rien d’elle, pas même son prénom. Tout juste qu’elle habite la maison voisine de mes cousins, et qu’elle a un fils qui s’appelle Thomas. Malgré notre relation, intime désormais, elle tient à garder ses distances, et ne répond à aucune de mes questions. A la dernière, avez vous un mari ? elle a esquivé, me demandant de me tenir dans l’allée piétonne qui sépare les deux propriétés à 23h30. Mon épouse, mes cousins et une de leurs amis sont lancés dans une partie de belote, et je m’esquive sans difficulté. Je contourne la maison, et , en arrivant dans l’allée piétonne, j’entends des bruits de l’autre côté de la haie. Une discussion.
- eh bien, quelle tenue !te voilà bien coquine ce soir ! dit une voix d’homme- Il faut bien fêter la promotion de mon mari. (ainsi donc Voisine est mariée)- Tu as couché Thomas ?
- Il dort le cher ange. Toute la journée à barboter, et le soir il tombe comme une masse.Hmm tu as l’air en forme ! c’est à vous ce gros sucre d’orge ?
- Oui, viens donc le gouter !
J’entends ensuite des bruits de succion, des soupirs de plaisir, tant féminins que masculins. Au bout d’un moment, l’homme intervient.
- Tourne toi, je vais te bouffer la chatte en 69.
Les soupirs reprennent de plus belle. Pendant quelques minutes j’imagine ce qu’ils font, en me disant que la télé, c’est quand même mieux que la radio. Enfin, j’aurais eu la réponse à ma question.
-Attends, je vais venir sur toi, dit elle soudain.
Je l’imagine enjambant son mari et s’empalant sur son membre tendu. Très vite je les entends haleter, de plus en plus vite -Oh oui, vas y à fond, baise moi bien ! plus fort ! lui lance t’elleJ’entends maintenant le claquement de ses fesses sur les cuisses de son mari. Le rythme va crescendo, s’enfle, et finalement, dans un râle grave s’arrête. Encore quelques soubresauts et il lache un long soupir.
-Ah, c’était bon _ Pfouuuu ! quelle chaleur ! Je crois que je vais aller me raffraichir à la piscine. Tu veux venir ?
- Non, la piscine est fermée à cette heure –ci- Mais la porte reste ouverte, et si on ne fait pas de bruit…- Vas y si tu veux, moi je suis crevé.
- Ok, à tout se suite, minou.
- Hé, habille toi un peu !
- Evidemment, je vais pas y aller à poil !
Je me dépèche de réintégrer la maison, où la partie de belote bat son plein. Personne ne s’est rendu compte de mon absence. J’annonce à la cantonnade :- Je vais aller me baigner, avec cette chaleur ça me fera du bien.
- Sois discret, me conseille ma cousine, la nuit les bruits portent loin, et il est normalement interdit d’utiliser la piscine- Pas de soucis.
Mon bermuda revétu, j’attrape une serviette, et je me dirige, tout impatient vers la piscine.
Quand j’arrive, Voisine est sous la douche, l’eau qui scintille dans la lumière artificielle des candélabres, sculpte son corps délié, laissant dans l’ombre les creux les plus intimes. Pendant que je me deshabille, elle s’asseoit au bord et se laisse glisser dans l’eau noire. Je la rejoins quelques instants après. Ce soir, il est plus facile d’échanger, car les bruits de la fête du village qui a lieu, non loin, couvrent facilement nos paroles.
- Bonsoir Voisine- Bonsoir Voisin, répond elle en nouant ses bras autour de mon cou, et ses jambes autour de mon bassinElle se colle à moi et saisissant ma queue, la guide pour la faire entrer dans sa chatte.
- Hmmm ! j’avais envie, murmure t’elle une fois que je suis abuté en elle- Pourtant tu viens de le faire- J’aime mon mari, et j’aime faire l’amour avec lui, mais j’aime aussi baiser, plus que lui, sans doute.
Tandis que nous parlons tout bas, je la fais coulisser de bas en haut sur ma queue, et elle gémit de temps en temps.
- Mais la fidélité ?
_ Je suis fidèle, affirme t’elle, comme vous. Ahhh, c’est bon d’etre bien remplie !
Elle accélère ses mouvements de bassin et jouit rapidement en se serrant contre moi.
Nous nous désunissons pour nager un peu et laisser redescendre la tension. Mais je n’ai pas joui et mon sexe tendu comme un arc, vient régulièrement cogner des cuisses. Elle entreprend une lente masturbation qui a pour effet de me durcir encore un peu plus. J’ai une autre idée en tête. Je la fais se retourner et s’appuyer sur la margelle, puis je viens me coller contre son corps et l’embrasse dans le cou, en saisissant ses petits seins dont je caresse les tétons bien érigés avant de les pincer. Elle réagit en poussant ses fesses contre moi, jambes écartées : je plie un peu les jambes et remonte. Ma bite se glisse entre ses cuisses et arrive devant sa vulve.Je sens la chaleur de sa chatte au bout de mon gland. D’une poussée je m’introduis et commence mon va et vient qu’elle accompagne en douceur de son bassin. Nous profitons de longs moments de celle levrette cool,. Elle vient poser sa tête au creux de mon épaule, et murmure des mots d’amour, pendant que mes mains ne cessent d’explorer tantôt ses seins, son ventre, et descendent titiller son clito, jusqu’à ce qu’elle s’immobilise, se raidisse et exhale un soupir de bonheur. Toujours bandé, je glisse le long de son sillon et vient m’appuyer sur sa rosette- Oh non ! a t’elle le temps de murmurer, alors que mon gland s’est englouti d’un coup dans son anus, qui n’en est certainement pas à sa première expérience. Je pousse un peu. Elle souffle, mais écarte ses fesses à deux mains facilitant mon intromission. Petit à petit j’investis son cul jusqu’à venir buter sur ses fesses. Je commence alors à la ramoner doucement. Au début elle serre les dents, et même mord un de ses poings pour ne pas crier, mais sa douleur s’estompe pour faire place a du plaisir, et bientôt, c’est elle qui fait coulisser son cul sur ma queue, faisant taper de plus en plus ses fesses sur mon pubis, sans bruit car sous l’eau.
- Tu aimes ça hein ?
- Ahh, oui c’est bon. Dommage que tu n’aies qu’une seule bite…Comprenant le message, je fais entre deux doigts puis trois dans son vagin, sentant ma queue contre mes doigts au travers de la fine paroi. La sensation est telle que je ne peux me retenir très longtemps et je jouis sans retenue dans son petit cul..
Elle s’arrache à mon etreinte et sort de l’eau pour aller se jeter sous la douche. Je la rejoins alors qu’elle est en train de se sécher. Nous nous embrassons tendrement. Mes mains sont attirés par son corps ferme, ses fesses de béton, ses minuscules seins aux tétons si volontaires, son ventre plat et musclé, son pubis sans poils au bas duquel sa fente s’entrouvre, déjà brillante à nouveau, ses cuisses longues et fermes, ses épaules étroites, et pourtant carrées. Je ne me lasse pas d’embrasser son menton à fossette qui souligne l’ovale de son visage, ses lêvres légèrement pulpeuses sans intervention extérieurs, son nez étroit, en trompette, ses grands yeux , sans doute bleus, mais qui sont gris clairs sous la lumière nocturne, et ses mêches blondes, courte, mais denses qui tombent sur un cou qui appelle les baisers. Je ne sais ce qu’elle m’a trouvé, moi qui suis loin d’être un apollon, avec mon metre quatre-vingt, mes cheveux grisonnants, et mon petit bedon, mais je profite de la fête. Rapidement nos corps s’échauffent à nouveau, et Voisine me fait coucher sur le sol avant de venir s’empaler sur moi. Elle me chevauche ainsi de longues minutes, debout sur mon sexe, mes mains triturant ses seins et ses fesses. La cavalcade s’accélère et ressemble de plus en plus à un rodéo. Elle pose alors ses pieds au sol et vient sur ma queue, accroupie, en appui sur les bras, elle entame une dans de saint guy, de plus en plus rapide. Je sens son vagin sérré autour de moi qui s’échappe presque, pour venir s’empaler d’un coup juqu’à cogner mon ventre, à un rythme effrenné. Voisine Halète fort, le visage fixe, et s’écroule d’un coup sur moi, vaincue par sa jouissance.
Elle retombe épuisée à côté de moi, mais se rend compte que je n’ai pas encore joui (la seconde fois, c’est plus long)Elle m’attire à elle et se place à quatre pattes sur ma serviette, avant de s’étendre, la tête entre ses bras croisés, les fesses en l’air- Viens , me dit elle simplement.
Je m’agenouille derrière elle et elle écarte ses fesses de ses mains pour m’indiquer la voie à suivre. Je guide mon gland sur sa rosette, et j’appuie. Le chemin déjà fait m’absorbe instantanément et je me retrouve dans l’étroit fourreau en train de la pilonner vigoureusement. Elle subit mes assauts en oscillant juste, d’avant en arrière, pour faciliter le coit. Cette fois, l’étroitesse du conduit, la chaleur, et la vue de ce splendide cul offert, ont tôt fait de porter mon excitation à son comble. La tenant fermement par les hanches, je la percute de plus en plus fort jusqu’à ce qu’un torrent de feu monte en moi et jaillisse tel un geyser dans ses entrailles. Elle laisse s’apaiser mes pulsions avant de se dégager et de se diriger vers la douche Une fois lavée, elle revient s’essuyer avec ma serviette.
- Demain, nous partons, lui dis-jeElle ne réagit pas.
- Mais je reviendrais vers Noel. Tu seras là ?.
- Voisin !, dit elle d’un ton ironique. J’ai passé de bons moments avec vous. Ça fait du bien de se changer les idées , mais n’allez pas vous imaginer des choses.
Là dessus, elle me lançe ma serviette, et s’en va, nue comme un ver. Je la suis et me rapproche du portail du pool house pour la voir s’éloigner, son petit cul dansant dans la lumière des réverbères, traversant la résidence déserte à cette heure
Depuis quelques jours, alors que je suis en vacances avec ma femme chez des cousins, je rencontre, le soir, une voisine qui m’a surpris alors que je prenais un bain de minuit ; et a fini par y prendre goût. Je ne sais rien d’elle, pas même son prénom. Tout juste qu’elle habite la maison voisine de mes cousins, et qu’elle a un fils qui s’appelle Thomas. Malgré notre relation, intime désormais, elle tient à garder ses distances, et ne répond à aucune de mes questions. A la dernière, avez vous un mari ? elle a esquivé, me demandant de me tenir dans l’allée piétonne qui sépare les deux propriétés à 23h30. Mon épouse, mes cousins et une de leurs amis sont lancés dans une partie de belote, et je m’esquive sans difficulté. Je contourne la maison, et , en arrivant dans l’allée piétonne, j’entends des bruits de l’autre côté de la haie. Une discussion.
- eh bien, quelle tenue !te voilà bien coquine ce soir ! dit une voix d’homme- Il faut bien fêter la promotion de mon mari. (ainsi donc Voisine est mariée)- Tu as couché Thomas ?
- Il dort le cher ange. Toute la journée à barboter, et le soir il tombe comme une masse.Hmm tu as l’air en forme ! c’est à vous ce gros sucre d’orge ?
- Oui, viens donc le gouter !
J’entends ensuite des bruits de succion, des soupirs de plaisir, tant féminins que masculins. Au bout d’un moment, l’homme intervient.
- Tourne toi, je vais te bouffer la chatte en 69.
Les soupirs reprennent de plus belle. Pendant quelques minutes j’imagine ce qu’ils font, en me disant que la télé, c’est quand même mieux que la radio. Enfin, j’aurais eu la réponse à ma question.
-Attends, je vais venir sur toi, dit elle soudain.
Je l’imagine enjambant son mari et s’empalant sur son membre tendu. Très vite je les entends haleter, de plus en plus vite -Oh oui, vas y à fond, baise moi bien ! plus fort ! lui lance t’elleJ’entends maintenant le claquement de ses fesses sur les cuisses de son mari. Le rythme va crescendo, s’enfle, et finalement, dans un râle grave s’arrête. Encore quelques soubresauts et il lache un long soupir.
-Ah, c’était bon _ Pfouuuu ! quelle chaleur ! Je crois que je vais aller me raffraichir à la piscine. Tu veux venir ?
- Non, la piscine est fermée à cette heure –ci- Mais la porte reste ouverte, et si on ne fait pas de bruit…- Vas y si tu veux, moi je suis crevé.
- Ok, à tout se suite, minou.
- Hé, habille toi un peu !
- Evidemment, je vais pas y aller à poil !
Je me dépèche de réintégrer la maison, où la partie de belote bat son plein. Personne ne s’est rendu compte de mon absence. J’annonce à la cantonnade :- Je vais aller me baigner, avec cette chaleur ça me fera du bien.
- Sois discret, me conseille ma cousine, la nuit les bruits portent loin, et il est normalement interdit d’utiliser la piscine- Pas de soucis.
Mon bermuda revétu, j’attrape une serviette, et je me dirige, tout impatient vers la piscine.
Quand j’arrive, Voisine est sous la douche, l’eau qui scintille dans la lumière artificielle des candélabres, sculpte son corps délié, laissant dans l’ombre les creux les plus intimes. Pendant que je me deshabille, elle s’asseoit au bord et se laisse glisser dans l’eau noire. Je la rejoins quelques instants après. Ce soir, il est plus facile d’échanger, car les bruits de la fête du village qui a lieu, non loin, couvrent facilement nos paroles.
- Bonsoir Voisine- Bonsoir Voisin, répond elle en nouant ses bras autour de mon cou, et ses jambes autour de mon bassinElle se colle à moi et saisissant ma queue, la guide pour la faire entrer dans sa chatte.
- Hmmm ! j’avais envie, murmure t’elle une fois que je suis abuté en elle- Pourtant tu viens de le faire- J’aime mon mari, et j’aime faire l’amour avec lui, mais j’aime aussi baiser, plus que lui, sans doute.
Tandis que nous parlons tout bas, je la fais coulisser de bas en haut sur ma queue, et elle gémit de temps en temps.
- Mais la fidélité ?
_ Je suis fidèle, affirme t’elle, comme vous. Ahhh, c’est bon d’etre bien remplie !
Elle accélère ses mouvements de bassin et jouit rapidement en se serrant contre moi.
Nous nous désunissons pour nager un peu et laisser redescendre la tension. Mais je n’ai pas joui et mon sexe tendu comme un arc, vient régulièrement cogner des cuisses. Elle entreprend une lente masturbation qui a pour effet de me durcir encore un peu plus. J’ai une autre idée en tête. Je la fais se retourner et s’appuyer sur la margelle, puis je viens me coller contre son corps et l’embrasse dans le cou, en saisissant ses petits seins dont je caresse les tétons bien érigés avant de les pincer. Elle réagit en poussant ses fesses contre moi, jambes écartées : je plie un peu les jambes et remonte. Ma bite se glisse entre ses cuisses et arrive devant sa vulve.Je sens la chaleur de sa chatte au bout de mon gland. D’une poussée je m’introduis et commence mon va et vient qu’elle accompagne en douceur de son bassin. Nous profitons de longs moments de celle levrette cool,. Elle vient poser sa tête au creux de mon épaule, et murmure des mots d’amour, pendant que mes mains ne cessent d’explorer tantôt ses seins, son ventre, et descendent titiller son clito, jusqu’à ce qu’elle s’immobilise, se raidisse et exhale un soupir de bonheur. Toujours bandé, je glisse le long de son sillon et vient m’appuyer sur sa rosette- Oh non ! a t’elle le temps de murmurer, alors que mon gland s’est englouti d’un coup dans son anus, qui n’en est certainement pas à sa première expérience. Je pousse un peu. Elle souffle, mais écarte ses fesses à deux mains facilitant mon intromission. Petit à petit j’investis son cul jusqu’à venir buter sur ses fesses. Je commence alors à la ramoner doucement. Au début elle serre les dents, et même mord un de ses poings pour ne pas crier, mais sa douleur s’estompe pour faire place a du plaisir, et bientôt, c’est elle qui fait coulisser son cul sur ma queue, faisant taper de plus en plus ses fesses sur mon pubis, sans bruit car sous l’eau.
- Tu aimes ça hein ?
- Ahh, oui c’est bon. Dommage que tu n’aies qu’une seule bite…Comprenant le message, je fais entre deux doigts puis trois dans son vagin, sentant ma queue contre mes doigts au travers de la fine paroi. La sensation est telle que je ne peux me retenir très longtemps et je jouis sans retenue dans son petit cul..
Elle s’arrache à mon etreinte et sort de l’eau pour aller se jeter sous la douche. Je la rejoins alors qu’elle est en train de se sécher. Nous nous embrassons tendrement. Mes mains sont attirés par son corps ferme, ses fesses de béton, ses minuscules seins aux tétons si volontaires, son ventre plat et musclé, son pubis sans poils au bas duquel sa fente s’entrouvre, déjà brillante à nouveau, ses cuisses longues et fermes, ses épaules étroites, et pourtant carrées. Je ne me lasse pas d’embrasser son menton à fossette qui souligne l’ovale de son visage, ses lêvres légèrement pulpeuses sans intervention extérieurs, son nez étroit, en trompette, ses grands yeux , sans doute bleus, mais qui sont gris clairs sous la lumière nocturne, et ses mêches blondes, courte, mais denses qui tombent sur un cou qui appelle les baisers. Je ne sais ce qu’elle m’a trouvé, moi qui suis loin d’être un apollon, avec mon metre quatre-vingt, mes cheveux grisonnants, et mon petit bedon, mais je profite de la fête. Rapidement nos corps s’échauffent à nouveau, et Voisine me fait coucher sur le sol avant de venir s’empaler sur moi. Elle me chevauche ainsi de longues minutes, debout sur mon sexe, mes mains triturant ses seins et ses fesses. La cavalcade s’accélère et ressemble de plus en plus à un rodéo. Elle pose alors ses pieds au sol et vient sur ma queue, accroupie, en appui sur les bras, elle entame une dans de saint guy, de plus en plus rapide. Je sens son vagin sérré autour de moi qui s’échappe presque, pour venir s’empaler d’un coup juqu’à cogner mon ventre, à un rythme effrenné. Voisine Halète fort, le visage fixe, et s’écroule d’un coup sur moi, vaincue par sa jouissance.
Elle retombe épuisée à côté de moi, mais se rend compte que je n’ai pas encore joui (la seconde fois, c’est plus long)Elle m’attire à elle et se place à quatre pattes sur ma serviette, avant de s’étendre, la tête entre ses bras croisés, les fesses en l’air- Viens , me dit elle simplement.
Je m’agenouille derrière elle et elle écarte ses fesses de ses mains pour m’indiquer la voie à suivre. Je guide mon gland sur sa rosette, et j’appuie. Le chemin déjà fait m’absorbe instantanément et je me retrouve dans l’étroit fourreau en train de la pilonner vigoureusement. Elle subit mes assauts en oscillant juste, d’avant en arrière, pour faciliter le coit. Cette fois, l’étroitesse du conduit, la chaleur, et la vue de ce splendide cul offert, ont tôt fait de porter mon excitation à son comble. La tenant fermement par les hanches, je la percute de plus en plus fort jusqu’à ce qu’un torrent de feu monte en moi et jaillisse tel un geyser dans ses entrailles. Elle laisse s’apaiser mes pulsions avant de se dégager et de se diriger vers la douche Une fois lavée, elle revient s’essuyer avec ma serviette.
- Demain, nous partons, lui dis-jeElle ne réagit pas.
- Mais je reviendrais vers Noel. Tu seras là ?.
- Voisin !, dit elle d’un ton ironique. J’ai passé de bons moments avec vous. Ça fait du bien de se changer les idées , mais n’allez pas vous imaginer des choses.
Là dessus, elle me lançe ma serviette, et s’en va, nue comme un ver. Je la suis et me rapproche du portail du pool house pour la voir s’éloigner, son petit cul dansant dans la lumière des réverbères, traversant la résidence déserte à cette heure
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