Baisage intégral
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Baisage intégral
Nous avons fait connaissance par hasard dans la rue. Nous regardions un étalagiste qui voulait vendre sa camelote et la vantait comme un beau diable. J’allais partir quand je suis entré dans cette jolie personne. Je ne la tamponnais pas n’importe où. Je me trouvais contre des pare-chocs extraordinaires de fermeté. Je voulais lui demander pardon quand elle me faisait des politesses, c’était de sa faute, uniquement due à sa maladresse. J’étais étonné, je le fus encore plus quand, au milieu du petit monde autour du vendeur elle collait ses lèvres sur les miennes. Surpris je ne réagissais pas à sa langue dans ma bouche : elle me collait un patin du feu de Dieu. Pour finir, elle se collait contre moi, ses bras autour de mon cou, comme si nous nous connaissions depuis longtemps. Elle murmurait ensuite dans mon oreille :
- Tu me plais, j’ai envie de toi, viens allons baiser. Je sens ta queue qui bande contre mon ventre. Moi aussi je suis excitée, je mouille beaucoup, ça me coule entre les jambes. Baise moi vite…
Que pouvais-je faire avec une excitée du bulbe rachidien et de du cul. L’envie de baiser ça passe , comme l’appétit en consommant. C’est-ce que nous avons fait de notre rencontre au coucher du soleil, pour reprendre toute la nuit, avec heureusement pour moi des temps de repos.
Mais quelle hargne quel désir elle avait au fond de son cul !
Nous étions à deux pas de chez moi, heureusement. J’ai à peine eu le temps de la faire entrer qu’elle était déjà en tenu de travail : nue comme au jour se sa naissance, avec sans doute des atouts plus attrayants. J’admirai ses seins, pas pour leur grosseur mais pour leur aréoles, sensibles à ma langue, autour de ses mamelons bien développés eux aussi. Je regardais avec beaucoup l’intérêt son bas ventre d’où sortait un peu une petite partie de son clitoris.
Elle revenait à l’assaut : à nouveau sa langue non plus dans la bouche, mais sur mes lèvres. Elle a commencé par me lécher les lèvres pour finir entre mes fesses. Elle n’a pas du rater un pouce de peau avec sa langue. Bien sur c’est elle qui s’est chargé de la formalité de mon déshabillage.
Mais le véritable combat sexuel a commencé quand elle s’est attaqué à ma bite. Elle a commencé par descendre mon prépuce lentement, très lentement, elle l’a fait descendre le plus bas possible en forçant sur mes couilles. Elle l’a remonté très rapidement pour recommencer les même gestes. J’en ai sursauté. Je ne pouvais rien dire : sa bouche clôturait la mienne. Je m’en souviens encore, quand elle avait la main et donc ma pine en bas, en tirant, elle entrait sa langue encore plus dans ma bouche.
J’ai pu enfin arriver à mettre ma main sur sa moule. J’ai aussitôt pris entre deux doigts le clitoris qui enflait comme ma bite. Je l’ai branlé un tout petit moment quand je sentais les crispations de jouissance. Je crois que c’est-ce qui la calmée un peu. Je l’ai renversé sur un vieux tapis, j’ai écarté ses jambes. Je me suis couché à ses pieds, ma tête sur son con. Je pouvais enfin sentir son odeur de femme et voir tous les replis de son sexe. Je n’hésitais pas du tout quand j’ai pris son clitoris dans ma bouche, comme une pine. Je pouvais bien le lécher ainsi. Le reste n’échappait pas à mes mains. Je commençais gentiment par lui entrer presque tous les doigts de la main droite dans son abime de plaisir et deux autres de la main gauche dans son cul. Je la sentais jouir presque sans arrêt, je pensais ce n’était pas possible qu’un fille jouisse autant et si rapproché. Je savais bien que souvent plus les femmes baisent et jouissent, plus elles jouissent vite les prochaines fois, mais pas à ce point.
Elle aurait voulu ma bite dans la bouche pour gouter mon sperme. Après tout c’est elle qui m’avait fait des avances, pas moi. Donc j’avais le droit de faire d’elle ce que je voulais. Et ce que je voulais c’était la lui mettre là où je voulais : dans son joli coquillage. C’est là que je la lui ai mise, c’est là qu’elle a jouit sans s’arrêter ou presque.
Je voulais garder son coté pile pour plus tard, comme dessert. En guise de dessert, c’était devenu le plat de principal. Je ne m’attendais pas à une telle pénétration. J’entrais dans un cul que je venais de branler un instant avant. Je l’avais trouvé normal. Ma queue était d’un autre avis, elle entrait aussi facilement que dans son sac à foutre. Je ne trouvais une différence qu’en ayant passé l’anus. Elle était plus serrée après qu’avant. J’allais et venais en elle : j’étais accompagné par ses mouvements qui faisaient que j’allais presque aussi vite dans son arrière train que dans son con. Je sentais mes poils du pubis venir s’écraser contre ses fesses.
La première fois que j’ai jouis c’était toujours dans son anus. Elle a pu m’y maintenir en serrant très fortement son anus pour m’empêcher de sortir jusqu’à ce que la dernière goutte de sperme sorte de mon méat.
Je ne sais plus combien de fois nous avons baisé. Je me souviens par contre que nous avons baisé debout, couchés, sur le coté, moi dessus, moi dessous, en 69, surtout, je ne sais pas pourquoi, quand je venais de la sodomiser. J’ai joui dans ses mains, sa bouche, son cul, sa chatte, ses seins. Et même une fois avec ses pieds.
J’en suis sorti totalement exténué. Par contre maintenant qu’elle sait où j’habite elle m’a promis de revenir tirer un coup les fins de semaine. Je la comprends bien parait-il !
- Tu me plais, j’ai envie de toi, viens allons baiser. Je sens ta queue qui bande contre mon ventre. Moi aussi je suis excitée, je mouille beaucoup, ça me coule entre les jambes. Baise moi vite…
Que pouvais-je faire avec une excitée du bulbe rachidien et de du cul. L’envie de baiser ça passe , comme l’appétit en consommant. C’est-ce que nous avons fait de notre rencontre au coucher du soleil, pour reprendre toute la nuit, avec heureusement pour moi des temps de repos.
Mais quelle hargne quel désir elle avait au fond de son cul !
Nous étions à deux pas de chez moi, heureusement. J’ai à peine eu le temps de la faire entrer qu’elle était déjà en tenu de travail : nue comme au jour se sa naissance, avec sans doute des atouts plus attrayants. J’admirai ses seins, pas pour leur grosseur mais pour leur aréoles, sensibles à ma langue, autour de ses mamelons bien développés eux aussi. Je regardais avec beaucoup l’intérêt son bas ventre d’où sortait un peu une petite partie de son clitoris.
Elle revenait à l’assaut : à nouveau sa langue non plus dans la bouche, mais sur mes lèvres. Elle a commencé par me lécher les lèvres pour finir entre mes fesses. Elle n’a pas du rater un pouce de peau avec sa langue. Bien sur c’est elle qui s’est chargé de la formalité de mon déshabillage.
Mais le véritable combat sexuel a commencé quand elle s’est attaqué à ma bite. Elle a commencé par descendre mon prépuce lentement, très lentement, elle l’a fait descendre le plus bas possible en forçant sur mes couilles. Elle l’a remonté très rapidement pour recommencer les même gestes. J’en ai sursauté. Je ne pouvais rien dire : sa bouche clôturait la mienne. Je m’en souviens encore, quand elle avait la main et donc ma pine en bas, en tirant, elle entrait sa langue encore plus dans ma bouche.
J’ai pu enfin arriver à mettre ma main sur sa moule. J’ai aussitôt pris entre deux doigts le clitoris qui enflait comme ma bite. Je l’ai branlé un tout petit moment quand je sentais les crispations de jouissance. Je crois que c’est-ce qui la calmée un peu. Je l’ai renversé sur un vieux tapis, j’ai écarté ses jambes. Je me suis couché à ses pieds, ma tête sur son con. Je pouvais enfin sentir son odeur de femme et voir tous les replis de son sexe. Je n’hésitais pas du tout quand j’ai pris son clitoris dans ma bouche, comme une pine. Je pouvais bien le lécher ainsi. Le reste n’échappait pas à mes mains. Je commençais gentiment par lui entrer presque tous les doigts de la main droite dans son abime de plaisir et deux autres de la main gauche dans son cul. Je la sentais jouir presque sans arrêt, je pensais ce n’était pas possible qu’un fille jouisse autant et si rapproché. Je savais bien que souvent plus les femmes baisent et jouissent, plus elles jouissent vite les prochaines fois, mais pas à ce point.
Elle aurait voulu ma bite dans la bouche pour gouter mon sperme. Après tout c’est elle qui m’avait fait des avances, pas moi. Donc j’avais le droit de faire d’elle ce que je voulais. Et ce que je voulais c’était la lui mettre là où je voulais : dans son joli coquillage. C’est là que je la lui ai mise, c’est là qu’elle a jouit sans s’arrêter ou presque.
Je voulais garder son coté pile pour plus tard, comme dessert. En guise de dessert, c’était devenu le plat de principal. Je ne m’attendais pas à une telle pénétration. J’entrais dans un cul que je venais de branler un instant avant. Je l’avais trouvé normal. Ma queue était d’un autre avis, elle entrait aussi facilement que dans son sac à foutre. Je ne trouvais une différence qu’en ayant passé l’anus. Elle était plus serrée après qu’avant. J’allais et venais en elle : j’étais accompagné par ses mouvements qui faisaient que j’allais presque aussi vite dans son arrière train que dans son con. Je sentais mes poils du pubis venir s’écraser contre ses fesses.
La première fois que j’ai jouis c’était toujours dans son anus. Elle a pu m’y maintenir en serrant très fortement son anus pour m’empêcher de sortir jusqu’à ce que la dernière goutte de sperme sorte de mon méat.
Je ne sais plus combien de fois nous avons baisé. Je me souviens par contre que nous avons baisé debout, couchés, sur le coté, moi dessus, moi dessous, en 69, surtout, je ne sais pas pourquoi, quand je venais de la sodomiser. J’ai joui dans ses mains, sa bouche, son cul, sa chatte, ses seins. Et même une fois avec ses pieds.
J’en suis sorti totalement exténué. Par contre maintenant qu’elle sait où j’habite elle m’a promis de revenir tirer un coup les fins de semaine. Je la comprends bien parait-il !
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