Baise avec les bouteilles.
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-07-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
Baise avec les bouteilles.
Ma femme est une sacrée salope, elle aime baiser souvent, dans un seul but : jouir le plus possible. Elle a trouvé un bar où le patron compatissant permet des rencontres amoureuses. Mis à part quelques jeunes de 15 ou 16 ans, qui viennent là pour se masturber, les autres sont des couples illégitimes ou de personnes isolées. Le bistro comporte des stalles très isolées : chacun occupe comme il l’entend les lieux.
Chaque fois que Virginie, 35 ans, bien faite, vient ce n’est que dans le but de faire des rencontres qui la mène au 7° ciel. Pour elle tirer un coup ne suffit pas, il lui faut jouir beaucoup est souvent : c’est pour ça qu’elle vient tous les jours. Vers 15 heures elle arrive, prends un café avant d’aller dans sa « loge privée ».
Ainsi ce jour, elle attend une autre fille, une amie de longue date avec la quelle elles ont fait les quatre cents coups. Quand elle se rencontre elle s’embrassent d’abord sur la bouche, passe rapidement une main sur la chatte de l’autre. Elles se laissent aller à une gâterie en se mettant déjà en 69. Pour elle cette première fois est la plus importante, celle qui ouvre la voie aux autre fois. Virginie aime bien la chatte de son amie Eveline, elle sent bon et elle raffole de son goût presque sucré. A 34 ans, elle est très sensuelle, portée vers la débauche depuis son plus jeune âge par un vague cousin. Elles sont encore assez habillées, seuls manquent les strings. Les bas de jupettes sont relevées pour leur permettent de passer facilement les têtes vers leurs cons.
Cette première caresse les mène vers l’orgasme recherché. Elles savent qu’un peu plus tard des amants connus la plus part du temps vous venir. Elle aime, comme aujourd’hui qu’un nommé Paul (Est-ce son vrai prénom) vienne. Il est très vicieux. Il leur fait faire des machin pas possible,
qu’elles acceptent de faire facilement. Le plus fort est qu’il ne les baise jamais : il est presque impuissant : avoir le rôle de dirigeant lui convient pour se branler même s’il ne bande pas beaucoup, en tout cas pas assez pour se payer une chatte ou un cul.
Et Paul vient. Il se fait embrasser sur la bouche. Il annonce la couleur :
- Aujourd’hui je vous propose de vous branler avec des bouteilles de bière. D’abord avec le goulot et ensuite avec le cul de la bouteille. Si vous pouvez j’aimerai vous voir aussi avec la bouteille dans le cul. Vous êtes assez salopes pour faire ça : vous me ferez bander un peu, suffisamment pour me sucer pour que je jouisse dans un corps de fille.
- Tu es sur de nous voir nous baiser avec une bouteille.
- Je veux que vous baisiez l’autre avec la bouteille.
Eveline voudrait protester alors que Virginie est d’accord. Les deux filles échangent leur salive juste au moment ou le patron porte les bouteilles de bière, avec trois verres.
Virginie, la plus dévoyée commence à boire une gorgée de bière. Avant la seconde elle déshabille son amante qui se laisse faire. Qua nd les deux sont nues, Paul commence à être satisfait :
- Vous êtes aussi baisable l’uns que l’autre, j’aimerai vous baiser toutes les deux à la fois, une avec ma langue, l’autre avec ma queue.
Dans sa bouche c’est un compliment rare. Il ouvre son pantalon pour sortir sa queue qui est de marbre, avec quand même un léger mouvement vers le haut : qui sait il bandera peut être.
Elles prolongent leur baiser pour finir par se masturber devant Paul. Elles aiment se donner du plaisir devant les autres. Pour elles c’est un passage obligatoire pour montrer leur déviance. Les doigts changent de position : si au début ils étaient sur le clitoris, maintenant celui de Virginie est sur l’anus d’Eveline. Elle caresse le rectum doucement avant de le pénétrer légèrement : l’amante se sentant ainsi prise ne laisse aller vers un autre orgasme. Après qu’elle ait joui, Eveline entre deux doigts dans le trou principal de Virginie simplement pour alla faire jouir par son point sensible.
Elles s’arrêtent pour boire la bière. Les bouteilles sont froides, tant pis ; c’est Virginie qui commence par prendre la première bouteille pour la mettre par le goulot sur l’entrée du vagin de sa compagne. Contrairement à ce qu’elle pensait Eveline apprécie la présence de cette nouvelle chose dans son con. Elle l’apprécie tellement qu’elle oublie de baiser Virginie qui la rappelle à l’ordre : elle aussi voudrait sentir ce nouveau plaisir d’une bouteille très froide dans son vagin tout chaud. Le contraste entre les deux températures fait que l’orgasme arrive trop tôt.
- C’était bon ? demande Paul.
- Tu n’es qu’un salaud de nous faire faire de pareille choses. J’ai bien jouis, comme rarement.
Putain que c’était bon.
- Alors tournez les bouteilles pour vous les enfiler par l’autre coté.
- C’est trop gros.
- Essayez ça entrera tout seul.
Les deux filles obéissent, elles ne voulaient pas trop avec le goulot, elles en ont joui.
Cette fois c’est Eveline qui posse la bouteille sur le sexe de son amie. Elle force à peine pour que le début du cul de bouteille entre. Il entre profondément ensuite : Virginie crie son bonheur.
Les va-et-vient ont vite raison des sexes : elles jouissent encore. Elles aiment tant cette sensation de plénitude de remplissage de leur vagin qu’elles refusent de les faire sortir. Elles reprennent une autre portion d’orgasme plus fort que le dernier.
- Arrêter de vous baiser comme ça, enculez vous.
Elles ont peur d’entrer ces bouteilles dans les culs qui restent toujours leurs petits trous. Des petits trous qui sont finalement vite ouverts pas les goulots. Elles les enfoncent dans le cul de l’autre. Des mains libres, elles font ce qu’elles font quand elles sont enculées, elles se branlent en plus.
Cette fois Paul bande pour de bon. Il se touche la bite avec plaisir, il se masturbe même un peu pour tenir jusqu’à l’orgasme féminin suivant.
Etonnées de voir sa bite ainsi, et Virginie et Eveline vont vers lui, se mettent à genoux devant.
Ensemble elles prennent la base de la bite et les couilles. Leurs langues sont en même temps sur la tige pour se partager le gland bien épais. Elles ne pensaient jamais voir une telle pine à leur disposition.
Leur léchage porte rapidement ses fruits : Paul se crispe un peu en faisant une drôle de grimace : il jouit pour la première fois depuis des années. Son sperme est épais : s’il était dans un verre, il ne se renverserait pas. Les deux filles se partage la semence concentrée. Le peu qu’elles oublient sur leurs lèvres est vite léché par la langue de l’autre. Un dernier baiser les réunie encore.
Pour aujourd’hui elles ont eu leur dose avec ces bouteilles qu’elles craignaient au départ, maintenant elles sont convaincues que rentrées chez elle elles pourront remplacer les gode par une simple bouteille, qu’elle que soi sa taille. Elle le feront ce soit pour en parler demain après midi.
Chaque fois que Virginie, 35 ans, bien faite, vient ce n’est que dans le but de faire des rencontres qui la mène au 7° ciel. Pour elle tirer un coup ne suffit pas, il lui faut jouir beaucoup est souvent : c’est pour ça qu’elle vient tous les jours. Vers 15 heures elle arrive, prends un café avant d’aller dans sa « loge privée ».
Ainsi ce jour, elle attend une autre fille, une amie de longue date avec la quelle elles ont fait les quatre cents coups. Quand elle se rencontre elle s’embrassent d’abord sur la bouche, passe rapidement une main sur la chatte de l’autre. Elles se laissent aller à une gâterie en se mettant déjà en 69. Pour elle cette première fois est la plus importante, celle qui ouvre la voie aux autre fois. Virginie aime bien la chatte de son amie Eveline, elle sent bon et elle raffole de son goût presque sucré. A 34 ans, elle est très sensuelle, portée vers la débauche depuis son plus jeune âge par un vague cousin. Elles sont encore assez habillées, seuls manquent les strings. Les bas de jupettes sont relevées pour leur permettent de passer facilement les têtes vers leurs cons.
Cette première caresse les mène vers l’orgasme recherché. Elles savent qu’un peu plus tard des amants connus la plus part du temps vous venir. Elle aime, comme aujourd’hui qu’un nommé Paul (Est-ce son vrai prénom) vienne. Il est très vicieux. Il leur fait faire des machin pas possible,
qu’elles acceptent de faire facilement. Le plus fort est qu’il ne les baise jamais : il est presque impuissant : avoir le rôle de dirigeant lui convient pour se branler même s’il ne bande pas beaucoup, en tout cas pas assez pour se payer une chatte ou un cul.
Et Paul vient. Il se fait embrasser sur la bouche. Il annonce la couleur :
- Aujourd’hui je vous propose de vous branler avec des bouteilles de bière. D’abord avec le goulot et ensuite avec le cul de la bouteille. Si vous pouvez j’aimerai vous voir aussi avec la bouteille dans le cul. Vous êtes assez salopes pour faire ça : vous me ferez bander un peu, suffisamment pour me sucer pour que je jouisse dans un corps de fille.
- Tu es sur de nous voir nous baiser avec une bouteille.
- Je veux que vous baisiez l’autre avec la bouteille.
Eveline voudrait protester alors que Virginie est d’accord. Les deux filles échangent leur salive juste au moment ou le patron porte les bouteilles de bière, avec trois verres.
Virginie, la plus dévoyée commence à boire une gorgée de bière. Avant la seconde elle déshabille son amante qui se laisse faire. Qua nd les deux sont nues, Paul commence à être satisfait :
- Vous êtes aussi baisable l’uns que l’autre, j’aimerai vous baiser toutes les deux à la fois, une avec ma langue, l’autre avec ma queue.
Dans sa bouche c’est un compliment rare. Il ouvre son pantalon pour sortir sa queue qui est de marbre, avec quand même un léger mouvement vers le haut : qui sait il bandera peut être.
Elles prolongent leur baiser pour finir par se masturber devant Paul. Elles aiment se donner du plaisir devant les autres. Pour elles c’est un passage obligatoire pour montrer leur déviance. Les doigts changent de position : si au début ils étaient sur le clitoris, maintenant celui de Virginie est sur l’anus d’Eveline. Elle caresse le rectum doucement avant de le pénétrer légèrement : l’amante se sentant ainsi prise ne laisse aller vers un autre orgasme. Après qu’elle ait joui, Eveline entre deux doigts dans le trou principal de Virginie simplement pour alla faire jouir par son point sensible.
Elles s’arrêtent pour boire la bière. Les bouteilles sont froides, tant pis ; c’est Virginie qui commence par prendre la première bouteille pour la mettre par le goulot sur l’entrée du vagin de sa compagne. Contrairement à ce qu’elle pensait Eveline apprécie la présence de cette nouvelle chose dans son con. Elle l’apprécie tellement qu’elle oublie de baiser Virginie qui la rappelle à l’ordre : elle aussi voudrait sentir ce nouveau plaisir d’une bouteille très froide dans son vagin tout chaud. Le contraste entre les deux températures fait que l’orgasme arrive trop tôt.
- C’était bon ? demande Paul.
- Tu n’es qu’un salaud de nous faire faire de pareille choses. J’ai bien jouis, comme rarement.
Putain que c’était bon.
- Alors tournez les bouteilles pour vous les enfiler par l’autre coté.
- C’est trop gros.
- Essayez ça entrera tout seul.
Les deux filles obéissent, elles ne voulaient pas trop avec le goulot, elles en ont joui.
Cette fois c’est Eveline qui posse la bouteille sur le sexe de son amie. Elle force à peine pour que le début du cul de bouteille entre. Il entre profondément ensuite : Virginie crie son bonheur.
Les va-et-vient ont vite raison des sexes : elles jouissent encore. Elles aiment tant cette sensation de plénitude de remplissage de leur vagin qu’elles refusent de les faire sortir. Elles reprennent une autre portion d’orgasme plus fort que le dernier.
- Arrêter de vous baiser comme ça, enculez vous.
Elles ont peur d’entrer ces bouteilles dans les culs qui restent toujours leurs petits trous. Des petits trous qui sont finalement vite ouverts pas les goulots. Elles les enfoncent dans le cul de l’autre. Des mains libres, elles font ce qu’elles font quand elles sont enculées, elles se branlent en plus.
Cette fois Paul bande pour de bon. Il se touche la bite avec plaisir, il se masturbe même un peu pour tenir jusqu’à l’orgasme féminin suivant.
Etonnées de voir sa bite ainsi, et Virginie et Eveline vont vers lui, se mettent à genoux devant.
Ensemble elles prennent la base de la bite et les couilles. Leurs langues sont en même temps sur la tige pour se partager le gland bien épais. Elles ne pensaient jamais voir une telle pine à leur disposition.
Leur léchage porte rapidement ses fruits : Paul se crispe un peu en faisant une drôle de grimace : il jouit pour la première fois depuis des années. Son sperme est épais : s’il était dans un verre, il ne se renverserait pas. Les deux filles se partage la semence concentrée. Le peu qu’elles oublient sur leurs lèvres est vite léché par la langue de l’autre. Un dernier baiser les réunie encore.
Pour aujourd’hui elles ont eu leur dose avec ces bouteilles qu’elles craignaient au départ, maintenant elles sont convaincues que rentrées chez elle elles pourront remplacer les gode par une simple bouteille, qu’elle que soi sa taille. Elle le feront ce soit pour en parler demain après midi.
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