Baise avec une shemale (5)
Récit érotique écrit par Anpi73 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-09-2009 dans la catégorie A dormir debout
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Baise avec une shemale (5)
Mylène. C’était Mylène que je venais de sucer il y a à peine 10 minutes. Cette fille était une vieille connaissance, que je fréquentais depuis le collège. Quand elle me reconnu, elle ouvrit de grand yeux, tout comme moi. Je m’avançai et m’assis sur la chaise en face d’elle.
« Comment…Comment c’est possible ? demanda-t-elle d’une voix incrédule. Je veux dire, je ne savais pas que tu étais gay…
-Ecoute, crois le ou non, je ne suis pas du tout homo. Je suis venu ici pour sucer une bite, en espérant que ce soit celle d’une femme, lui répondis-je, rougissant légèrement.
-Et tu es tombé avec moi…Incroyable, lança-t-elle avec un petit rire.
-Moi, ce que je trouve incroyable, c’est que tu ais…enfin tu vois ce que je veux dire. »
Mylène soupira et baissa les yeux. Je profitai de ce petit instant de répit pour la regarder. Elle était toujours aussi belle et séduisante qu’auparavant. Elle avait un très joli visage charmeur et aguicheur, de longs cheveux châtain clair, presque blonds et de beaux yeux bleu très clair. Son tour de taille était parfait, et ses hanches, et bien sûr son cul, superbes. Sa poitrine était magnifique : des seins bien gros et fermes, un peu plus petits que ceux de Nina et presque aussi beaux. Elle portait un petit haut noir, avec un décolleté impressionnant, et une minijupe rouge très moulante. Elle croisa délicatement ses belles jambes longues et parfaitement épilées et m’avoua tout :
« Je…je me suis faite opérer il y a à peine deux mois. J’avais cette idée en tête depuis un an déjà. Tu sais, j’ai toujours été attiré par le sexe des garçons, je veux dire que je n’appréciais pas le fait d’être dominée au lit, de me faire pénétrer. Je veux être plutôt celle qui dirige, qui fait les choses, plutôt que celle qui subit. Je rêvai d’avoir un gros membre comme les hommes, ça me faisait vraiment fantasmer. Et je l’ai finalement fait…. Et je peux te dire que je ne le regrette pas, ajouta-t-elle avec un petit rire.
-Incroyable…murmurai-je. Et donc, cette fois-ci, c’était la première fois que…
-Que je me faisais sucer ? Oui, répondit-elle avec un sourire. Et je dois te dire que tu te débrouille super bien, je n’avais jamais joui comme ça.
-Merci, dis-je en lui rendant son sourire.
-J’adore vraiment me faire sucer, c’est extraordinaire comme sensation, ajouta-t-elle en me regardant tendrement de ses beaux yeux bleu et en me caressant la jambe droite sous la table avec son pied. Bien plus puissante que lorsqu’on a une chatte. »
Je me remis à bander devant le regard de braise de Mylène et devant son superbe décolleté qui dévoilait une bonne partie de sa délicieuse poitrine. Je déglutis :
« Et tu habites dans le coin ? »
Mylène me lança un sourire terriblement aguicheur :
« Oui, pourquoi ? Tu voudrais venir me rendre visite ?
-J’adorerais…pourquoi pas ce soir tiens ? demandai-je, un peu gêné. »
Mylène ne prit pas la peine de répondre et, ses yeux magnifiques me dévisageant toujours, elle se leva et m’incita à faire de même. Elle me prit alors par la main et m’entraîna vers la sortie. Je la suivis sans résistance, très excité par la perspective de baiser une shemale. Sur le chemin, je croisai la blonde canon qui m’avait fait son numéro il y avait à peine cinq minutes et qui s’était exhibée pour se faire prendre dans un coin du club. Elle me dévisagea d’un regard furieux ; je me contentai de l’ignorer. Nous sortîmes enfin avec Mylène dans la nuit froide de Paris. « C’est à deux pas d’ici »me murmura-t-elle. Deux minutes plus tard, nous arrivions chez elle : c’était un petit appartement deux pièces, chambre/salle de bains. Elle me dit d’attendre dans la chambre tandis qu’elle se « préparait » dans la salle de bains. Je m’assis sur son grand lit deux places, ma bite déjà bien gonflée dans mon caleçon, et enlevai ma veste et mon pull. C’est alors que Mylène sortit de la salle de bain et se présenta devant moi avec un petit sourire charmeur, « prête ».
Je restai sans voix devant sa beauté. Mylène portait un pantalon en latex noir luisant ultra moulant, qui lui moulait admirablement bien son sexe d’homme et épousait les formes de ses cuisses et de ses hanches parfaites. Je remarquai une braguette discrète sur le devant ; j’allais probablement la baiser toute habillée… Comme haut, elle avait mis un petit corset dans le même latex que pour le bas, qui laissait admirer la quasi-totalité de ses seins de rêve, leur rondeur, leurs courbes. Je parvenais presque à voir ses tétons… Elle avait coiffé ses cheveux en arrière, en une longue queue de cheval très sexy. Je bandais maintenant de plus en plus. Tellement belle, tellement sensuelle, obscène… Elle prit la pose et me demanda, amusée par mon expression comblée :
« Alors ? Ca te plaît ?
-Je…magnifique. Tu es magnifique, répondis-je, ne trouvant pas les mots.
-Déshabilles-toi mon chou. Aujourd’hui, c’est moi qui commande, dit-elle en souriant. »
Je me pliai donc à sa demande, et me retrouvai nu devant elle, ma bite déjà un peu tendue.
Elle regarda ma queue avec convoitise, les yeux pétillants, et nous nous mîmes à genoux sur le lit, l’un en face de l’autre. Elle baissa alors sa braguette et laissa sortir son beau sexe encore mou et ses couilles rasées. Elle me regarda de ses yeux brûlants de désir et me dit :
« Branle-moi. »
J’empoignai donc son sexe encore petit et non décalotté et commençai à le masturber lentement, le faisant grossir progressivement. Mylène prit elle aussi dans sa main ma bite et commença à la branler avec entrain. Sa queue devenait bien grosse à présent et je la décalottai pour ensuite m’enduire la main de son liquide séminale. Les va-et-vient de ma main devenaient plus rapides le long de la grosse bite de Mylène, tandis que celle-ci poussait de petits gémissements de plaisir. J’adorai cette sensation, de branler un gros membre qui grossissait sans cesse. Mylène me demanda alors de la regarder dans les yeux, ce que je fis. Mon regard plongea dans ses yeux d’un bleu pur et clair, tandis que nous nous masturbions mutuellement avec passion. Sa main glissait avec grâce le long de ma queue, ses doigts caressaient mon gros gland pourpre, tandis que je lui appliquai le même traitement. Je sentais un plaisir intense monter en moi, tandis que je regardais Mylène dans les yeux. Ce moment fut vraiment extraordinaire, le plaisir que nous ressentions était immense. Nos respirations s’accéléraient rapidement, tandis que nos mouvements sur la bite de l’autre s’accéléraient également. Soudain, Mylène arrêta de me branler et j’en fis alors de même. Nous étions tous les deux à bout de souffle, au bord de l’orgasme. Je baissai les yeux : sa bite était maintenant gonflée à bloc, énorme dans ma main, luisante de liquide séminale et palpitante de plaisir. Mylène écarta une mèche de cheveux qui lui tombait devant les yeux et se pencha pour m’embrasser tendrement, me prenant le visage de ses deux mains.
« C’était génial, me murmura-t-elle entre deux baisers.
-Oui, j’ai rarement éprouvé autant de plaisir sans orgasme, lui répondis-je, le souffle court. »
Elle me regarda et sourit, puis me lécha les lèvres avec une sensualité incroyable. Elle se recula alors et me demanda :
« Faisons une pause, d’accord ? »
Elle n’attendait pas de réponse, naturellement, et elle enleva donc son corset de latex.
Je me retrouvai alors face à une paire de seins magnifiques, bien fermes et rebondis, qui tombaient à peine. Mylène commença à se les masser délicatement de ses deux mains, puis, les yeux clos, elle lécha avec passion son sein droit, laissant tournoyer sa langue sur les courbures généreuses de sa poitrine. Je la regardais, bouche bée, quand elle arrêta de se faire plaisir et se cambra, les mains derrière la tête et me dévisageant, de sorte que j’avais littéralement mon nez dans sa poitrine. Je n’en demandai pas moins. Je me mis donc à lécher ses gros seins fermes comme un fou, ne pouvant pas me retenir. Ma langue suivait les courbes de sa poitrine parfaite, n’arrêtant pas de tournoyer. Mylène me regardait avec amusement en soupirant de plaisir et en me caressant les cheveux. Je me mis ensuite à sucer et à mordiller ses tétons roses qui pointaient, m’abandonnant totalement à elle. Ce petit jeu durait bien depuis cinq minutes, durant lesquelles j’avais exploré le moindre recoin des seins de Mylène avec ma langue avide, quand celle-ci me repoussa et se retourna à quatre pattes sur le lit pour me présenter son superbe cul bien bombé, moulé dans le latex noir luisant de son bas. Elle se cambra de façon obscène, accentuant encore plus les courbes exquises de son cul, et me lança d’un ton sulfureux, en tournant la tête vers moi :
« Vas-y mon beau, je t’attends. »
J’approchai donc ma bite de nouveau prête pour l’action, et je remarquai qu’il y avait un trou dans le bas en latex au niveau de son orifice. « Pratique. », pensais-je. Soudain, tandis que je m’approchai, Mylène tendis son bras droit en arrière et agrippa ma bite d’une main ferme.
« C’est moi qui dirige, tu te souviens ? me lança-t-elle, ce sourire aguicheur que j’aimais tant sur son visage. »
Ce fut donc elle qui conduisit ma bite jusqu’à son trou du cul. Enfin devant, elle la relâcha et se posa sur ses coudes, incroyablement cambrée pour m’offrir son cul de la meilleure des manières. Je poussai donc avec ma bite pour la pénétrer ; elle y rentra facilement et je fus rapidement au fond. Je commençai alors les va-et-vient, tout de suite rapides et intenses, tout en agrippant ses hanches pour mieux pouvoir la pénétrer. Mylène lâchait des râles de plaisirs à chaque fois que je parvenais au fond de son cul. Je donnais à présent de violents coups de bite qui la faisaient tressaillir et je sentais le plaisir venir. Pendant que je l’enculais férocement, Mylène ne perdait pas de temps et se branlait rapidement en gémissant. Ma respiration s’accélérait, et après deux minutes d’enculage intensif, je sentis que j’allais éjaculer. A ce moment là, Mylène ne gémissait plus, elle hurlait de plaisir sous mes assauts répétés. Terriblement excité par son cul de rêve moulé dans le latex que j’enculais, j’eus juste le temps de retirer ma bite de son orifice. Je déchargeai alors tout mon foutre sur le beau cul de cette salope de Mylène en six longues giclées de sperme. Je laissai échapper un long râle de plaisir tandis que ma semence laissait de grandes traces blanches sur ce cul noir et luisant. Mylène me regarda en souriant ; elle était elle aussi à bout de souffle. Elle étala la grosse quantité de sperme sur son superbe cul, qui passa alors du noir au blanc pour une grande partie, puis se lécha les doigts avec envie.
« Hmmmm… j’adore ça, dit-elle d’un ton à me faire rougir. »
Je la regardai, comblé : j’avais chaud, j’étais essoufflé, ma bite commençait tout juste à débander après cet orgasme mémorable. Mylène se retourna sur le dos, ses gros seins sexy s’étalant comme elle était allongée, se tenant la bite bien gonflée et tendue, et elle me regarda d’un air tendre :
« Viens là chéri, viens me refaire une petite gâterie comme tout à l’heure… »
Je ne me fis pas prier, et me penchai pour enfourner sa grosse queue dans ma bouche. J’essayai à nouveau de lui faire une gorge profonde et y arrivait mieux cette fois-ci. Son gros gland buta au fond de ma gorge, et je réprimai un haut-le-cœur. Qu’est ce qu’elle était longue quand même… Je la ressortit lentement, puis je me mis à sucer Mylène comme elle le méritait. J’y allais à fond, je m’appliquais à lui donner autant de plaisir que je pouvais. Je léchais avec sensualité la base de sa bite, lui embrassait tendrement son gland humide et lui massais ses belles couilles rasées. Mylène laissait échapper de temps en temps de longs soupirs de plaisirs, tout en respirant bruyamment et en murmurant :
« Oh oui vas-y mon salaud, suce ma belle bite, hmmmm suce-la… »
Ces petits bruits m’excitaient encore plus, et je continuais donc à lui tailler une pipe de plus belle. Je lui titillais le bout du gland, je la suçai avec vigueur et amour… Tout à coup, elle retira sa queue hors de portée de ma bouche affamée.
« Arrête chéri. Si tu continues comme ça, tu auras vite la bouche encore plus pleine…J’ai prévu d’autres choses pour toi, me dit-elle, à bout de souffle, son beau visage de séductrice rougis par l’excitation. »
Elle prit sa belle bite toute tendue et me regarda de ses yeux brûlants :
« Je veux que tu t’empales la dessus, chéri. Je veux t’enculer. »
D’abord incrédule, j’étais trop excité pour refuser, et j’étais là pour tenter de nouvelles expériences. Se faire pénétrer par une shemale pourrait être intéressant… Je me mis donc debout, face à elle, qui était toujours allongée, et commençai à m’accroupir. Je m’arrêtai quand je sentis le gland de Mylène s’insérer entre mes fesses. Elle me regarda avec amusement :
« N’ais pas peur ! Je sais que c’est un gros engin que j’ai là, mais pousse avec ton cul et ça rentrera tout seul ! »
Sur ce, je m’accroupis donc un peu plus, lui faisant confiance, et sa grosse queue commença à rentrer en moi. Les premiers centimètres furent faciles, et très agréables je dois dire, puis après dix centimètres, cela commença à être plus laborieux. La bite de Mylène avait un gros diamètre, et écartelait mon trou du cul. C’était aussi difficile pour ce qui était de la longueur, ça bloquait. Mylène me sourit :
« Pousse ! me lança-t-elle. »
Je m’exécutai, le cul en feu, et elle en profita pour donner un grand coup de hanche. Son sexe rentra en entier d’un coup, il fut aspiré par mon cul. Je poussai un glapissement de douleur. En soupirant de plaisir et en me contemplant, accroupi devant elle, Mylène commença alors de lents va-et-vient profonds et intenses. Son regard plein de désir me transperça et je m’aperçus que malgré la douleur, je rebandais, et plutôt rapidement en plus. Sentir cette grosse bite me limer fut douloureux au début, puis après une minute ou deux, je ressentis un plaisir profond et inconnu jusqu’à lors. Je me mis à bouger moi aussi, descendant et remontant pour que cette belle queue me pénètre plus profondément. Mylène gémissait à présent de plaisir, et rayonnait de bonheur : c’était la première fois qu’elle pénétrait quelqu’un. Pour ma part, je haletais et remuait sous les coups de bite à présent plus violents de ma partenaire. Ma propre queue était à présent redevenue toute dure, et je l’empoignai pour me branler tout en me faisant enculer par une femme. Je fermis les yeux de bonheur : ce que c’était bon… Mylène me défonçait le cul avec entrain, et j’adorais ça ! Son beau sexe me limait furieusement l’orifice, tandis qu’elle donnait de grands coups de hanche vers le haut. J’avais du mal à rester sur mes pieds à présent, vacillant sous les assauts répétés de cette chaudasse de Mylène. Je la regardais pendant qu’elle me pénétrait, criant son plaisir, ses seins de rêve tressautant au fil de ses mouvements, son beau ventre plat se soulevant tandis qu’elle enfonçait sa queue plus profondément en moi. Ce qu’elle était bonne, sexy… Elle donna encore quelques violents coups de bite, puis la retira de mon cul dans un râle de plaisir. Elle leva la tête vers moi, le visage en sueur et le souffle court :
« Prends moi maintenant, chéri. Qu’on en finisse. »
Je me relevais donc, continuant à me branler d’une main en la regardant, puis me mis debout au bord du lit, sur le coté. Je pris Mylène par les jambes, et la ramenai rapidement vers moi, de sorte que mon sexe tendu se retrouve juste au dessus de son trou du cul, un rond rose au milieu de son cul bombé moulé dans le latex et souillé par mon sperme. Mylène se remit à respirer plus fort, et empoigna sa grosse bite palpitante qu’elle commença à branler précipitamment. Elle me susurra, haletante et impatiente :
« Oh oui vas-y, chéri, vas-y… »
Je l’agrippai fermement par les cuisses, la levai légèrement, et la pénétrai d’un coup sec de ma queue rouge de désir. Cette dernière rentra directement et entièrement dans le superbe cul de Mylène, puis je commençai à lui défoncer le cul avec vigueur. Elle remuait au fil de mes assauts, et se masturbait de plus belle en criant des « Oh oui ! » mémorables. Tandis que je l’enculais en me tenant à ses hanches, je la regardais fixement, l’excitation montant rapidement en moi : son visage d’ange crispé par le plaisir, sa belle bouche ouverte sur un cri silencieux, ses yeux bleu cristallins fixant sa grosse bite qu’elle branlait maintenant à toute vitesse, sa poitrine parfaite qui se secouait au fil des mouvements… A ce rythme là, ça n’allait pas tarder… Et en effet, quelques secondes plus tard, Mylène lâcha un hurlement de plaisir et de bonheur, tout en s’éjaculant sur le ventre et les seins, se couvrant de longues trainées de sperme. Juste après son superbe orgasme, elle poussa une série de petits gémissements, continuant à faire aller et venir sa main sur sa queue dégoulinante de semence pour tout bien faire sortir. C’est à ce moment là que j’éjaculai : j’eus juste le temps de sortir ma bite du cul de Mylène pour tout lui balancer sur le visage, en plusieurs longues et puissantes giclées. Je lâchai un long soupir de plaisir, ayant mon troisième orgasme de la soirée. Mylène, comblée, se retrouva avec le visage et les seins couverts de foutre, le mien et le sien. Elle n’arrivait même plus à ouvrir les yeux, noyés sous le sperme. Avec une envie et un entrain non dissimulés, elle se fit le devoir de se nettoyer entièrement. Elle lécha la moindre goutte de semence qui la souillait, même le foutre sur son beau cul moulé dans le latex, qui commençait à sécher. Je la regardait, hébété et ébahie par ses prouesses sexuelles. Elle me lança un sourire terriblement aguicheur, tandis qu’elle se léchait un doigt enduit de sperme. C’était la soirée la plus torride que j’avais jamais passé. Mylène était une vraie bombe sexuelle, et j’allais encore le vérifier dans les jours à venir… To be continued.
« Comment…Comment c’est possible ? demanda-t-elle d’une voix incrédule. Je veux dire, je ne savais pas que tu étais gay…
-Ecoute, crois le ou non, je ne suis pas du tout homo. Je suis venu ici pour sucer une bite, en espérant que ce soit celle d’une femme, lui répondis-je, rougissant légèrement.
-Et tu es tombé avec moi…Incroyable, lança-t-elle avec un petit rire.
-Moi, ce que je trouve incroyable, c’est que tu ais…enfin tu vois ce que je veux dire. »
Mylène soupira et baissa les yeux. Je profitai de ce petit instant de répit pour la regarder. Elle était toujours aussi belle et séduisante qu’auparavant. Elle avait un très joli visage charmeur et aguicheur, de longs cheveux châtain clair, presque blonds et de beaux yeux bleu très clair. Son tour de taille était parfait, et ses hanches, et bien sûr son cul, superbes. Sa poitrine était magnifique : des seins bien gros et fermes, un peu plus petits que ceux de Nina et presque aussi beaux. Elle portait un petit haut noir, avec un décolleté impressionnant, et une minijupe rouge très moulante. Elle croisa délicatement ses belles jambes longues et parfaitement épilées et m’avoua tout :
« Je…je me suis faite opérer il y a à peine deux mois. J’avais cette idée en tête depuis un an déjà. Tu sais, j’ai toujours été attiré par le sexe des garçons, je veux dire que je n’appréciais pas le fait d’être dominée au lit, de me faire pénétrer. Je veux être plutôt celle qui dirige, qui fait les choses, plutôt que celle qui subit. Je rêvai d’avoir un gros membre comme les hommes, ça me faisait vraiment fantasmer. Et je l’ai finalement fait…. Et je peux te dire que je ne le regrette pas, ajouta-t-elle avec un petit rire.
-Incroyable…murmurai-je. Et donc, cette fois-ci, c’était la première fois que…
-Que je me faisais sucer ? Oui, répondit-elle avec un sourire. Et je dois te dire que tu te débrouille super bien, je n’avais jamais joui comme ça.
-Merci, dis-je en lui rendant son sourire.
-J’adore vraiment me faire sucer, c’est extraordinaire comme sensation, ajouta-t-elle en me regardant tendrement de ses beaux yeux bleu et en me caressant la jambe droite sous la table avec son pied. Bien plus puissante que lorsqu’on a une chatte. »
Je me remis à bander devant le regard de braise de Mylène et devant son superbe décolleté qui dévoilait une bonne partie de sa délicieuse poitrine. Je déglutis :
« Et tu habites dans le coin ? »
Mylène me lança un sourire terriblement aguicheur :
« Oui, pourquoi ? Tu voudrais venir me rendre visite ?
-J’adorerais…pourquoi pas ce soir tiens ? demandai-je, un peu gêné. »
Mylène ne prit pas la peine de répondre et, ses yeux magnifiques me dévisageant toujours, elle se leva et m’incita à faire de même. Elle me prit alors par la main et m’entraîna vers la sortie. Je la suivis sans résistance, très excité par la perspective de baiser une shemale. Sur le chemin, je croisai la blonde canon qui m’avait fait son numéro il y avait à peine cinq minutes et qui s’était exhibée pour se faire prendre dans un coin du club. Elle me dévisagea d’un regard furieux ; je me contentai de l’ignorer. Nous sortîmes enfin avec Mylène dans la nuit froide de Paris. « C’est à deux pas d’ici »me murmura-t-elle. Deux minutes plus tard, nous arrivions chez elle : c’était un petit appartement deux pièces, chambre/salle de bains. Elle me dit d’attendre dans la chambre tandis qu’elle se « préparait » dans la salle de bains. Je m’assis sur son grand lit deux places, ma bite déjà bien gonflée dans mon caleçon, et enlevai ma veste et mon pull. C’est alors que Mylène sortit de la salle de bain et se présenta devant moi avec un petit sourire charmeur, « prête ».
Je restai sans voix devant sa beauté. Mylène portait un pantalon en latex noir luisant ultra moulant, qui lui moulait admirablement bien son sexe d’homme et épousait les formes de ses cuisses et de ses hanches parfaites. Je remarquai une braguette discrète sur le devant ; j’allais probablement la baiser toute habillée… Comme haut, elle avait mis un petit corset dans le même latex que pour le bas, qui laissait admirer la quasi-totalité de ses seins de rêve, leur rondeur, leurs courbes. Je parvenais presque à voir ses tétons… Elle avait coiffé ses cheveux en arrière, en une longue queue de cheval très sexy. Je bandais maintenant de plus en plus. Tellement belle, tellement sensuelle, obscène… Elle prit la pose et me demanda, amusée par mon expression comblée :
« Alors ? Ca te plaît ?
-Je…magnifique. Tu es magnifique, répondis-je, ne trouvant pas les mots.
-Déshabilles-toi mon chou. Aujourd’hui, c’est moi qui commande, dit-elle en souriant. »
Je me pliai donc à sa demande, et me retrouvai nu devant elle, ma bite déjà un peu tendue.
Elle regarda ma queue avec convoitise, les yeux pétillants, et nous nous mîmes à genoux sur le lit, l’un en face de l’autre. Elle baissa alors sa braguette et laissa sortir son beau sexe encore mou et ses couilles rasées. Elle me regarda de ses yeux brûlants de désir et me dit :
« Branle-moi. »
J’empoignai donc son sexe encore petit et non décalotté et commençai à le masturber lentement, le faisant grossir progressivement. Mylène prit elle aussi dans sa main ma bite et commença à la branler avec entrain. Sa queue devenait bien grosse à présent et je la décalottai pour ensuite m’enduire la main de son liquide séminale. Les va-et-vient de ma main devenaient plus rapides le long de la grosse bite de Mylène, tandis que celle-ci poussait de petits gémissements de plaisir. J’adorai cette sensation, de branler un gros membre qui grossissait sans cesse. Mylène me demanda alors de la regarder dans les yeux, ce que je fis. Mon regard plongea dans ses yeux d’un bleu pur et clair, tandis que nous nous masturbions mutuellement avec passion. Sa main glissait avec grâce le long de ma queue, ses doigts caressaient mon gros gland pourpre, tandis que je lui appliquai le même traitement. Je sentais un plaisir intense monter en moi, tandis que je regardais Mylène dans les yeux. Ce moment fut vraiment extraordinaire, le plaisir que nous ressentions était immense. Nos respirations s’accéléraient rapidement, tandis que nos mouvements sur la bite de l’autre s’accéléraient également. Soudain, Mylène arrêta de me branler et j’en fis alors de même. Nous étions tous les deux à bout de souffle, au bord de l’orgasme. Je baissai les yeux : sa bite était maintenant gonflée à bloc, énorme dans ma main, luisante de liquide séminale et palpitante de plaisir. Mylène écarta une mèche de cheveux qui lui tombait devant les yeux et se pencha pour m’embrasser tendrement, me prenant le visage de ses deux mains.
« C’était génial, me murmura-t-elle entre deux baisers.
-Oui, j’ai rarement éprouvé autant de plaisir sans orgasme, lui répondis-je, le souffle court. »
Elle me regarda et sourit, puis me lécha les lèvres avec une sensualité incroyable. Elle se recula alors et me demanda :
« Faisons une pause, d’accord ? »
Elle n’attendait pas de réponse, naturellement, et elle enleva donc son corset de latex.
Je me retrouvai alors face à une paire de seins magnifiques, bien fermes et rebondis, qui tombaient à peine. Mylène commença à se les masser délicatement de ses deux mains, puis, les yeux clos, elle lécha avec passion son sein droit, laissant tournoyer sa langue sur les courbures généreuses de sa poitrine. Je la regardais, bouche bée, quand elle arrêta de se faire plaisir et se cambra, les mains derrière la tête et me dévisageant, de sorte que j’avais littéralement mon nez dans sa poitrine. Je n’en demandai pas moins. Je me mis donc à lécher ses gros seins fermes comme un fou, ne pouvant pas me retenir. Ma langue suivait les courbes de sa poitrine parfaite, n’arrêtant pas de tournoyer. Mylène me regardait avec amusement en soupirant de plaisir et en me caressant les cheveux. Je me mis ensuite à sucer et à mordiller ses tétons roses qui pointaient, m’abandonnant totalement à elle. Ce petit jeu durait bien depuis cinq minutes, durant lesquelles j’avais exploré le moindre recoin des seins de Mylène avec ma langue avide, quand celle-ci me repoussa et se retourna à quatre pattes sur le lit pour me présenter son superbe cul bien bombé, moulé dans le latex noir luisant de son bas. Elle se cambra de façon obscène, accentuant encore plus les courbes exquises de son cul, et me lança d’un ton sulfureux, en tournant la tête vers moi :
« Vas-y mon beau, je t’attends. »
J’approchai donc ma bite de nouveau prête pour l’action, et je remarquai qu’il y avait un trou dans le bas en latex au niveau de son orifice. « Pratique. », pensais-je. Soudain, tandis que je m’approchai, Mylène tendis son bras droit en arrière et agrippa ma bite d’une main ferme.
« C’est moi qui dirige, tu te souviens ? me lança-t-elle, ce sourire aguicheur que j’aimais tant sur son visage. »
Ce fut donc elle qui conduisit ma bite jusqu’à son trou du cul. Enfin devant, elle la relâcha et se posa sur ses coudes, incroyablement cambrée pour m’offrir son cul de la meilleure des manières. Je poussai donc avec ma bite pour la pénétrer ; elle y rentra facilement et je fus rapidement au fond. Je commençai alors les va-et-vient, tout de suite rapides et intenses, tout en agrippant ses hanches pour mieux pouvoir la pénétrer. Mylène lâchait des râles de plaisirs à chaque fois que je parvenais au fond de son cul. Je donnais à présent de violents coups de bite qui la faisaient tressaillir et je sentais le plaisir venir. Pendant que je l’enculais férocement, Mylène ne perdait pas de temps et se branlait rapidement en gémissant. Ma respiration s’accélérait, et après deux minutes d’enculage intensif, je sentis que j’allais éjaculer. A ce moment là, Mylène ne gémissait plus, elle hurlait de plaisir sous mes assauts répétés. Terriblement excité par son cul de rêve moulé dans le latex que j’enculais, j’eus juste le temps de retirer ma bite de son orifice. Je déchargeai alors tout mon foutre sur le beau cul de cette salope de Mylène en six longues giclées de sperme. Je laissai échapper un long râle de plaisir tandis que ma semence laissait de grandes traces blanches sur ce cul noir et luisant. Mylène me regarda en souriant ; elle était elle aussi à bout de souffle. Elle étala la grosse quantité de sperme sur son superbe cul, qui passa alors du noir au blanc pour une grande partie, puis se lécha les doigts avec envie.
« Hmmmm… j’adore ça, dit-elle d’un ton à me faire rougir. »
Je la regardai, comblé : j’avais chaud, j’étais essoufflé, ma bite commençait tout juste à débander après cet orgasme mémorable. Mylène se retourna sur le dos, ses gros seins sexy s’étalant comme elle était allongée, se tenant la bite bien gonflée et tendue, et elle me regarda d’un air tendre :
« Viens là chéri, viens me refaire une petite gâterie comme tout à l’heure… »
Je ne me fis pas prier, et me penchai pour enfourner sa grosse queue dans ma bouche. J’essayai à nouveau de lui faire une gorge profonde et y arrivait mieux cette fois-ci. Son gros gland buta au fond de ma gorge, et je réprimai un haut-le-cœur. Qu’est ce qu’elle était longue quand même… Je la ressortit lentement, puis je me mis à sucer Mylène comme elle le méritait. J’y allais à fond, je m’appliquais à lui donner autant de plaisir que je pouvais. Je léchais avec sensualité la base de sa bite, lui embrassait tendrement son gland humide et lui massais ses belles couilles rasées. Mylène laissait échapper de temps en temps de longs soupirs de plaisirs, tout en respirant bruyamment et en murmurant :
« Oh oui vas-y mon salaud, suce ma belle bite, hmmmm suce-la… »
Ces petits bruits m’excitaient encore plus, et je continuais donc à lui tailler une pipe de plus belle. Je lui titillais le bout du gland, je la suçai avec vigueur et amour… Tout à coup, elle retira sa queue hors de portée de ma bouche affamée.
« Arrête chéri. Si tu continues comme ça, tu auras vite la bouche encore plus pleine…J’ai prévu d’autres choses pour toi, me dit-elle, à bout de souffle, son beau visage de séductrice rougis par l’excitation. »
Elle prit sa belle bite toute tendue et me regarda de ses yeux brûlants :
« Je veux que tu t’empales la dessus, chéri. Je veux t’enculer. »
D’abord incrédule, j’étais trop excité pour refuser, et j’étais là pour tenter de nouvelles expériences. Se faire pénétrer par une shemale pourrait être intéressant… Je me mis donc debout, face à elle, qui était toujours allongée, et commençai à m’accroupir. Je m’arrêtai quand je sentis le gland de Mylène s’insérer entre mes fesses. Elle me regarda avec amusement :
« N’ais pas peur ! Je sais que c’est un gros engin que j’ai là, mais pousse avec ton cul et ça rentrera tout seul ! »
Sur ce, je m’accroupis donc un peu plus, lui faisant confiance, et sa grosse queue commença à rentrer en moi. Les premiers centimètres furent faciles, et très agréables je dois dire, puis après dix centimètres, cela commença à être plus laborieux. La bite de Mylène avait un gros diamètre, et écartelait mon trou du cul. C’était aussi difficile pour ce qui était de la longueur, ça bloquait. Mylène me sourit :
« Pousse ! me lança-t-elle. »
Je m’exécutai, le cul en feu, et elle en profita pour donner un grand coup de hanche. Son sexe rentra en entier d’un coup, il fut aspiré par mon cul. Je poussai un glapissement de douleur. En soupirant de plaisir et en me contemplant, accroupi devant elle, Mylène commença alors de lents va-et-vient profonds et intenses. Son regard plein de désir me transperça et je m’aperçus que malgré la douleur, je rebandais, et plutôt rapidement en plus. Sentir cette grosse bite me limer fut douloureux au début, puis après une minute ou deux, je ressentis un plaisir profond et inconnu jusqu’à lors. Je me mis à bouger moi aussi, descendant et remontant pour que cette belle queue me pénètre plus profondément. Mylène gémissait à présent de plaisir, et rayonnait de bonheur : c’était la première fois qu’elle pénétrait quelqu’un. Pour ma part, je haletais et remuait sous les coups de bite à présent plus violents de ma partenaire. Ma propre queue était à présent redevenue toute dure, et je l’empoignai pour me branler tout en me faisant enculer par une femme. Je fermis les yeux de bonheur : ce que c’était bon… Mylène me défonçait le cul avec entrain, et j’adorais ça ! Son beau sexe me limait furieusement l’orifice, tandis qu’elle donnait de grands coups de hanche vers le haut. J’avais du mal à rester sur mes pieds à présent, vacillant sous les assauts répétés de cette chaudasse de Mylène. Je la regardais pendant qu’elle me pénétrait, criant son plaisir, ses seins de rêve tressautant au fil de ses mouvements, son beau ventre plat se soulevant tandis qu’elle enfonçait sa queue plus profondément en moi. Ce qu’elle était bonne, sexy… Elle donna encore quelques violents coups de bite, puis la retira de mon cul dans un râle de plaisir. Elle leva la tête vers moi, le visage en sueur et le souffle court :
« Prends moi maintenant, chéri. Qu’on en finisse. »
Je me relevais donc, continuant à me branler d’une main en la regardant, puis me mis debout au bord du lit, sur le coté. Je pris Mylène par les jambes, et la ramenai rapidement vers moi, de sorte que mon sexe tendu se retrouve juste au dessus de son trou du cul, un rond rose au milieu de son cul bombé moulé dans le latex et souillé par mon sperme. Mylène se remit à respirer plus fort, et empoigna sa grosse bite palpitante qu’elle commença à branler précipitamment. Elle me susurra, haletante et impatiente :
« Oh oui vas-y, chéri, vas-y… »
Je l’agrippai fermement par les cuisses, la levai légèrement, et la pénétrai d’un coup sec de ma queue rouge de désir. Cette dernière rentra directement et entièrement dans le superbe cul de Mylène, puis je commençai à lui défoncer le cul avec vigueur. Elle remuait au fil de mes assauts, et se masturbait de plus belle en criant des « Oh oui ! » mémorables. Tandis que je l’enculais en me tenant à ses hanches, je la regardais fixement, l’excitation montant rapidement en moi : son visage d’ange crispé par le plaisir, sa belle bouche ouverte sur un cri silencieux, ses yeux bleu cristallins fixant sa grosse bite qu’elle branlait maintenant à toute vitesse, sa poitrine parfaite qui se secouait au fil des mouvements… A ce rythme là, ça n’allait pas tarder… Et en effet, quelques secondes plus tard, Mylène lâcha un hurlement de plaisir et de bonheur, tout en s’éjaculant sur le ventre et les seins, se couvrant de longues trainées de sperme. Juste après son superbe orgasme, elle poussa une série de petits gémissements, continuant à faire aller et venir sa main sur sa queue dégoulinante de semence pour tout bien faire sortir. C’est à ce moment là que j’éjaculai : j’eus juste le temps de sortir ma bite du cul de Mylène pour tout lui balancer sur le visage, en plusieurs longues et puissantes giclées. Je lâchai un long soupir de plaisir, ayant mon troisième orgasme de la soirée. Mylène, comblée, se retrouva avec le visage et les seins couverts de foutre, le mien et le sien. Elle n’arrivait même plus à ouvrir les yeux, noyés sous le sperme. Avec une envie et un entrain non dissimulés, elle se fit le devoir de se nettoyer entièrement. Elle lécha la moindre goutte de semence qui la souillait, même le foutre sur son beau cul moulé dans le latex, qui commençait à sécher. Je la regardait, hébété et ébahie par ses prouesses sexuelles. Elle me lança un sourire terriblement aguicheur, tandis qu’elle se léchait un doigt enduit de sperme. C’était la soirée la plus torride que j’avais jamais passé. Mylène était une vraie bombe sexuelle, et j’allais encore le vérifier dans les jours à venir… To be continued.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
bjr a toi tres bandent et existent tres envie de te connaitre et d esseye sa avec toi si sa te dit laisse moi message avec ton email
oui belle et existente
magnifique , j aimerai avoir la meme chance avec une mylene .
Hummmm complètement dégueulasse comme histoire, mais fascinant (:
tres belle et bandante histoire