baise de cul de ma cousine Fatima dans la grange
Récit érotique écrit par Farachimbank [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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baise de cul de ma cousine Fatima dans la grange
Vacances de printemps 2
Le premier jour je suis sortie en ballade a la campagne avec ma cousine Fatima, on a baisé par le cul, le soir on se couche tôt a la campagne, mais on se lève tôt aussi,au champ du coq . je me suis couché en pensant a la belle journée que j’ai passée, dans la forêt, avec ma cousine Fatima .Rien qu’a y penser j’ai bandé comme un âne ,je me suis vite endormi, j’étais fatigué. Le jour suivant on se leva tôt on prit le petit déjeuner vite fait et la répartition des taches commença, on sort le bétail, on nettoie les écuries . Tout le monde travaille a la ferme , moi j’aidais un peu par ci par là , je n’avais pas de tâche précise, mais je n’avais d’œil que pour Fatima. Elle s’occupait des chevaux , elle nettoya les écuries ,j’étais avec elle je voyais ce qu’elle faisait, c’était de la routine pour elle. Arrive midi , ma tante nous appela pour le déjeuner. Après une pause sieste courte ,au boulot encore . Cette fois ci c’est la grange il faut rempiler les bottes de paille , Fatima me demanda de l’aide et j’ai été avec elle , la grange se trouve a quelques vingt mètres de la maison pour la sécurité en cas d’incendie de la paille.
On arrive a la grange on commence a travailler , a empiler les bottes de foin et a ramasser la paille éparpillée par terre . A un certain moment on s’est arrêté pour souffler un peu,on s’est assis l’un en face de l’autre sur 2 bottes de paille ,on avait tellement chaud que j’ai enlevé mon polo ,elle pour sa part a commencé a se ventiler l’entrejambe en relevant et baissant sa jupe ,en suite elle a ouvert les deux premier boutons de sa chemise pour pour avoir un peu de fraîcheur sur le corps ,plutôt les seins , une partie de ses seins est apparu (elle n’avait pas de soutien-gorge), des seins blancs et mouillés par la sueur j’ai baissé la tête pour mieux profiter du spectacle de ses cuisse et entrecuisses , elle ne portait pas de culotte encore ,j’ai tout de suite bandé ,je me suis approché d’elle ,je me suis assis a coté d’elle ,elle n’a pas bougé ,je l’ai embrassé sur la joue elle m’a regardé et tout de suite elle a approché ses lèvres des mienne et m’a embrassé on s’est enroulé les langues elle a commencé a haleter et a pousser les sortes de gémissements,j’ai glissé ma main entre ses seins et j’ai commencé a les malaxer elle a pris du plaisir je sors un sein et je commence a le sucer comme un bébé ,là je commence a lui caresser les cuisse et je remonte vers son mont de venus ,je touche sa grotte elle mouillait bien la pute , elle était hors d’elle ,moi je bandais de plus belle , je dégrafe mon bermuda et je sors ma bite ,elle regarde et elle ne sait pas quoi en faire , je lui dis qu’il faut la sucer elle me dit qu’elle ne sait pas le faire je lui dis c’est comme un bâton de glace tu la mets dans la bouche et tu suces elle se met a genoux et se la fourre dans la bouche et commence a sucer elle me fait un peu mal avec les dents mais je supporte un certain moment elle a appris elle me regarde et je lui dis que c’est bien tu apprends vite ,elle suce en gémissant. Elle «était contente elle me dit que c’est délicieux, je l’avertis que je vais venir elle me dit viens dans ma bouche je veux savoir a quoi ressemble le foutre, je gicle trois bons jets dans sa bouche, elle me dit que ça ressemble a du lait aigre mais que c’est bon en tout cas ; là je lui dis puisque tu m’a fait jouir je te rends la pareille , je l’étends sur le dos a même la paille je lui ouvre les cuisses et je commence lui donner un coup de langue entre les cuisse , j’arrive au trésor ,son beau vagin et j’ouvre les lèvres et je commence a sucer le petit bouton et a laper les liquides vaginaux qui coulent par torrents ,elle était au paroxysme de l’excitation elle gémissait de plus belle elle criait presque ,je lui dis doucement de peur qu’on nous entende,mais rien a faire elle jouissait c’était son orgasme ,et c’était brutal elle n’arrivait pas a freiner ses sentiments. Là je lui dis que je dois la pénétrer ,pas question pour le moment, pour toute réponse elle se met a plat ventre et me dit que pour le moment contente toi du cul, d’ailleurs ça lui a fait plaisir la première fois dans la clairière durant notre première ballade a cheval.,je n’ai pas voulu la brusque ,et je me suis a laper son derrière j’arrive a sa rosette et j’y met ma langue elle a gémi et a commencé a respirer fortement et elle me dit pénètre moi tout de suite on a tardé ,j’avais rebandé je lui demande d’écarter les fesses ce qu’elle fait avec les deux mains là son trou du cul apparut bien clair je lui crache dessus je mouille un peu ma bite avec de la salive et je m’allonge sur elle ,la bite directement dans la rosette elle a un peu mal mais elle supporte en moins de deux je l’avais pénétrée, elle commence a souffler c'est peut être la douleur qui s’est transformée vite en plaisir . Je commence mes va et viens doucement elle commence a gémir et a me dire continue oh que c’est bon ! oh que c’est bon ! de ma part je lui limai le cul comme un forcené ou si comme si c’est le dernier cul que je vais baiser, son sphincter me serre le sexe et le relâche ,je voyais venir son orgasme et il arriva avec un aaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh de plaisir j’ai continué a la besogner de plus belle elle me dit continue Oh quel plaisir cousin OOOOOHHHHHHHHHHHHH !!!,j’ai continué et une deuxième fois son sphincter se serra et là j’ai profite pour qu’on ait un orgasme ensemble ,je lui lâche mon foutre dans les entrailles et je m’effondre sur elle ,je reste cinq bonnes minutes sur elle ,je debande doucement ,ma bite se retire toute seule de son anus et PLOC ,le sperme commence a gicler de ses entrailles ,on se relève elle m’embrasse et on se remercie du plaisir mutuel qu’on s’est donné ;on s’est nettoyé un peu on secoue la paille ,elle avait le visage barbouillé et la paille dans les cheveux ,on se nettoie et on reprend le boulot. Une heure après on avait fini.
Ensuite on est rentré a la maison , ma tante nous demanda si on a fait le boulot je lui réponds qu’on a fait le boulot et bien mieux que ce qu’on espérait. Elle nous gratifia d’une collation , du pain chaud , du fromage frais et du thé pour passer le tout. En mangeant je faisais des clins d’œil a ma cousine elle me les rendait .Ah la coquine.
Mes vacances continuent…………………
Le premier jour je suis sortie en ballade a la campagne avec ma cousine Fatima, on a baisé par le cul, le soir on se couche tôt a la campagne, mais on se lève tôt aussi,au champ du coq . je me suis couché en pensant a la belle journée que j’ai passée, dans la forêt, avec ma cousine Fatima .Rien qu’a y penser j’ai bandé comme un âne ,je me suis vite endormi, j’étais fatigué. Le jour suivant on se leva tôt on prit le petit déjeuner vite fait et la répartition des taches commença, on sort le bétail, on nettoie les écuries . Tout le monde travaille a la ferme , moi j’aidais un peu par ci par là , je n’avais pas de tâche précise, mais je n’avais d’œil que pour Fatima. Elle s’occupait des chevaux , elle nettoya les écuries ,j’étais avec elle je voyais ce qu’elle faisait, c’était de la routine pour elle. Arrive midi , ma tante nous appela pour le déjeuner. Après une pause sieste courte ,au boulot encore . Cette fois ci c’est la grange il faut rempiler les bottes de paille , Fatima me demanda de l’aide et j’ai été avec elle , la grange se trouve a quelques vingt mètres de la maison pour la sécurité en cas d’incendie de la paille.
On arrive a la grange on commence a travailler , a empiler les bottes de foin et a ramasser la paille éparpillée par terre . A un certain moment on s’est arrêté pour souffler un peu,on s’est assis l’un en face de l’autre sur 2 bottes de paille ,on avait tellement chaud que j’ai enlevé mon polo ,elle pour sa part a commencé a se ventiler l’entrejambe en relevant et baissant sa jupe ,en suite elle a ouvert les deux premier boutons de sa chemise pour pour avoir un peu de fraîcheur sur le corps ,plutôt les seins , une partie de ses seins est apparu (elle n’avait pas de soutien-gorge), des seins blancs et mouillés par la sueur j’ai baissé la tête pour mieux profiter du spectacle de ses cuisse et entrecuisses , elle ne portait pas de culotte encore ,j’ai tout de suite bandé ,je me suis approché d’elle ,je me suis assis a coté d’elle ,elle n’a pas bougé ,je l’ai embrassé sur la joue elle m’a regardé et tout de suite elle a approché ses lèvres des mienne et m’a embrassé on s’est enroulé les langues elle a commencé a haleter et a pousser les sortes de gémissements,j’ai glissé ma main entre ses seins et j’ai commencé a les malaxer elle a pris du plaisir je sors un sein et je commence a le sucer comme un bébé ,là je commence a lui caresser les cuisse et je remonte vers son mont de venus ,je touche sa grotte elle mouillait bien la pute , elle était hors d’elle ,moi je bandais de plus belle , je dégrafe mon bermuda et je sors ma bite ,elle regarde et elle ne sait pas quoi en faire , je lui dis qu’il faut la sucer elle me dit qu’elle ne sait pas le faire je lui dis c’est comme un bâton de glace tu la mets dans la bouche et tu suces elle se met a genoux et se la fourre dans la bouche et commence a sucer elle me fait un peu mal avec les dents mais je supporte un certain moment elle a appris elle me regarde et je lui dis que c’est bien tu apprends vite ,elle suce en gémissant. Elle «était contente elle me dit que c’est délicieux, je l’avertis que je vais venir elle me dit viens dans ma bouche je veux savoir a quoi ressemble le foutre, je gicle trois bons jets dans sa bouche, elle me dit que ça ressemble a du lait aigre mais que c’est bon en tout cas ; là je lui dis puisque tu m’a fait jouir je te rends la pareille , je l’étends sur le dos a même la paille je lui ouvre les cuisses et je commence lui donner un coup de langue entre les cuisse , j’arrive au trésor ,son beau vagin et j’ouvre les lèvres et je commence a sucer le petit bouton et a laper les liquides vaginaux qui coulent par torrents ,elle était au paroxysme de l’excitation elle gémissait de plus belle elle criait presque ,je lui dis doucement de peur qu’on nous entende,mais rien a faire elle jouissait c’était son orgasme ,et c’était brutal elle n’arrivait pas a freiner ses sentiments. Là je lui dis que je dois la pénétrer ,pas question pour le moment, pour toute réponse elle se met a plat ventre et me dit que pour le moment contente toi du cul, d’ailleurs ça lui a fait plaisir la première fois dans la clairière durant notre première ballade a cheval.,je n’ai pas voulu la brusque ,et je me suis a laper son derrière j’arrive a sa rosette et j’y met ma langue elle a gémi et a commencé a respirer fortement et elle me dit pénètre moi tout de suite on a tardé ,j’avais rebandé je lui demande d’écarter les fesses ce qu’elle fait avec les deux mains là son trou du cul apparut bien clair je lui crache dessus je mouille un peu ma bite avec de la salive et je m’allonge sur elle ,la bite directement dans la rosette elle a un peu mal mais elle supporte en moins de deux je l’avais pénétrée, elle commence a souffler c'est peut être la douleur qui s’est transformée vite en plaisir . Je commence mes va et viens doucement elle commence a gémir et a me dire continue oh que c’est bon ! oh que c’est bon ! de ma part je lui limai le cul comme un forcené ou si comme si c’est le dernier cul que je vais baiser, son sphincter me serre le sexe et le relâche ,je voyais venir son orgasme et il arriva avec un aaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh de plaisir j’ai continué a la besogner de plus belle elle me dit continue Oh quel plaisir cousin OOOOOHHHHHHHHHHHHH !!!,j’ai continué et une deuxième fois son sphincter se serra et là j’ai profite pour qu’on ait un orgasme ensemble ,je lui lâche mon foutre dans les entrailles et je m’effondre sur elle ,je reste cinq bonnes minutes sur elle ,je debande doucement ,ma bite se retire toute seule de son anus et PLOC ,le sperme commence a gicler de ses entrailles ,on se relève elle m’embrasse et on se remercie du plaisir mutuel qu’on s’est donné ;on s’est nettoyé un peu on secoue la paille ,elle avait le visage barbouillé et la paille dans les cheveux ,on se nettoie et on reprend le boulot. Une heure après on avait fini.
Ensuite on est rentré a la maison , ma tante nous demanda si on a fait le boulot je lui réponds qu’on a fait le boulot et bien mieux que ce qu’on espérait. Elle nous gratifia d’une collation , du pain chaud , du fromage frais et du thé pour passer le tout. En mangeant je faisais des clins d’œil a ma cousine elle me les rendait .Ah la coquine.
Mes vacances continuent…………………
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